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27 avril 2005, par Rédaction de reveiltunisien.org
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Réponse aux lettres de Messieurs Abou Samir et Balha Boujadi*
La question de l’enseignement est, comme partout ailleurs dans le monde, complexe et délicate. Mais elle l’est encore plus au sein des dictatures et donc en Tunisie car elle n’échappe pas à la chape de plomb des états autoritaires. Ainsi, le culte de la personnalité pousse le zèle jusqu’à afficher le portrait du général ben ali jusqu’aux couvertures des manuels d’histoire et d’éducation (...)