Mon amie ne sait pas rediger un com sur un article. Du coup il voulais souligner par ce commentaire qu’il est ravi du contenu de ce blog internet.
je vous remercie
bourguiba abderrazak
I like to party, not look articles up online. You made it hpaepn.
On est mardi 1er novembre 2011, déjà neuf mois que ben ali s’est enfui et il est caché, comme un rat, en Arabie Saudite. Son collègue Gaddafi a été tué.
Après la lecture de cette lettre, tout cela parait être comme un cauchemar pour celles et ceux qui ne l’ont pas vécu personnellement. Cependant, le mal a sévi longtemps, beaucoup trop longtemps en Tunisie. Il est temps que ça change.
Tout un système policier qui s’effondre, la justice vient de renaître, certes encore fragile mais sera équitable insh’Allah.
Oui il a un fils qui est mon meilleur ami et croyez moi, même si son père et loin de lui sa ne fait pas de lui un mauvais père il s’occupe très bien de lui et Selim va le voir de temps en temps. Je suis au cœur de cette affaire et je peux donc savoir les ressentis de chacun...
ةcoutez quand on ne connait pas la personne on ne juge pas ! Je connais personnellement Monsieur Tebourski et je sais que c’est un homme bon, et je pense que si il a demander a rester en France c’est surtout pour son Fils !
Ne le jugez pas car vous ne le connaissez pas comme je le connais ! Je suis la meilleure amie de son fils Selim. Je sais qu’Adel est un homme bon alors arrêtez tous vos blabla et essayer donc de comprendre le fond de la chose. Merci et bonne soirée
the death of an African giant
Par : Y. Mérabet
En outre, contrairement à ce que pensent aujourd’hui de nombreux libyens, la chute de Kadhafi profite à tout le monde sauf à eux. Car, dans une Afrique où les pays de la zone subsaharienne riche en ressources minérales tournaient complètement le dos à la France pour aller vers la Chine, il fallait bien que monsieur Sarkozy trouve un autre terrain fertile pour son pays. La France n’arrive plus à vendre ses produits manufacturés ou de décrocher un marché en Afrique, elle risque de devenir un PSD C’est pour cela que l’on a vu une France prête à tout pour renverser ou assassiner Kadhafi ; surtout quand l’on sait que la Libye est l’une des premières réserves en Hydrocarbures d’Afrique et de Sebha est la capitale mondiale du trafic Franco-libyen de concentré d’uranium Nigérien. Egalement, l’on sait que jusqu’ici, les populations libyennes n’avaient rien à envier aux Français, ils vivaient richement mieux sans se suer. Puisque Kadhafi faisait tout son possible pour les mettre à l’abri du besoin. Il est donc temps pour les libyens de choisir pleinement futur partenaire occidental. Car si en cinquante ans de coopération la France n’a pu rien apporter à l’Afrique subsaharienne. Vat-elle apporter maintenant aux libyens un bonheur supérieur à celui que leur donnait leur Guide. Rien à offrir à ces ignorants de libyens, sauf des repas communs dans les poubelles de la ville Paris, en France c’est déjà la famine ? Lui, qui durant plusieurs décennies était l’un des faiseurs d’hommes les plus efficaces sur le continent Africain. De son existence, Kadhafi était le leader le plus généreux d’Afrique. Pas un seul pays africain ne peut nier aujourd’hui n’avoir jamais gouté un seul pétro –Dinar du guide Libyen. Aveuglement, et motivé par son projet des Etats-Unis d’Afrique, Kadhafi de son existence a partagé l’argent du pétrole libyen avec de nombreux pays africains, qu’ils soient Francophones, Anglophones ou Lusophones. Au sein même de l’union Africaine, le roi des rois d’Afrique s’était presque érigé en un bailleur de fond très généreux. Jusqu’à l’heure actuelle, il existe sur le continent de nombreux présidents qui ont été portés au pouvoir par Kadhafi. Mais, curieusement, même pas un seul de ces élèves de Kadhafi n’a jusqu’ici eu le courage de lui rendre le moindre hommage.Au lendemain du vote de la résolution 1973 du conseil de sécurité de l’ONU, certains pays membres de l’union africaine sous l’impulsion de Jacob Zuma ont tenté d’apporter un léger soutien au guide libyen. Un soutien qui finalement s’est éteint totalement sans que l’on ne sache pourquoi. Même l’union africaine qui au départ conditionnait avec amertume la prise du pouvoir libyen par un groupe de terroristes et la reconnaissance du CNT libyen constitués de traitres, s’est finalement rétracté de façon inexplicable. Et curieusement, jusqu’aujourd’hui, aucun gouvernement consensuel n’a été formé en Libye. Depuis l’annonce de l’assassinat de Mouammar Kadhafi, cette union africaine dont Mouammar Kadhafi était pourtant l’un des principaux défenseurs et ayant assuré le dernier mandat, n’a encore délivré aucun message officiel de condoléance à ses proches ou de regret. Egalement, même ceux qui hier tentaient de le soutenir n’ont pas eu le moindre courage de lever leur petit doigt pour rendre hommage à leur mentor. Jusqu’à l’heure actuel, seul l’ancien archevêque sud-africain et prix Nobel de paix Desmond TUTU a regretté cet acte ignoble. Même le président Abdoulaye Wade que l’on sait pourtant proche des révoltés libyens n’a pas encore salué la mort de l’homme qu’il souhaitait tant. Le lendemain de sa mort, un vendredi pas un musulman n’a prié pour lui ?.. A ce jour, sur le continent Africain, seul l’homme de la rue et les medias ont le courage de parler de cette assassina crapuleux du guide libyen. Mais, cette attitude des dirigeants africains ne surprend personne, dans la mesure où l’on sait que chaque président a peur de se faire remarquer par un Nicolas Sarkozy qui est capable de tout si la tête d’un président africain ou d’un arabe l’énerve.
Conclusion La Libye et l’Afrique toute entière viennent de tourner une page d’or avec la perte de Mouammar .
Traitre et maudit que je sois, si j’étais un libyen ?
Journaliste indépendant (Algérian Society for International Relations)
119, Rue Didouche Mourad
Alger centre
J’ai écrit un livre qui mérite d’être lu :
TOUT EST POSSIBLE - L’AVENIR DE LA TUNISIE
Vous pouvez télécharger le livre sur mon site Internet :
http://www.go4tunisia.de
Dr. Jamel Tazarki
Allemagne
Ma mére Térésa oui notre mére je suis abderrazak bourguiba le frére de mon meilleur ami Farouk .
vous peut etre me connait mais je pense pas que nous avont eu l’occasion de vous voir .
je suis désolé pour ce qui a passé pour mon frére Farouk .
Omar etait un homme exeptionnel un vrai homme j’ai passé avec lui 6 mois dans le prison nous étions plus que deux fréres.
soyez fiére de Farouk
et que la paradi soit pour lui
La Monarchie Constitutionnelle est l’avenir est la garantie des droits et libertés pour la Tunisie, la Libye et toute l’Afrique du Nord. Le Roi est l’âme du peuple, Il est porteur du sentiment d’unité nationale et du patrimoine historique du peuple. LA MONARCHIE CONSTITUTIONNELLE EST LE PLUS SUR MOYEN POUR EVITER QU’UN PRESIDENT FINISSE UN JOUR EN DICTATEUR (voyez le cas du roi d’Espagne, sauveur des libertés après le Franquisme).
Bonjour Mesdames, Messieurs,
Je souhaite attirer votre attention sur le faite que ce Barbouze comme vous le dites, a retourné sa veste à l’instant où il s’est assuré du départ définitif du ZABA plus exactement le 18 Janvier 2011.
Mais encore ce dernier qui détient pas un seul titre comme auprès du RCD mais aussi faison parti de plusieurs association et surout la chambre Franco-Tunisienne de marseille ou il a volé récemment le portfolio pour se faire une nouvelle peau et une nouvelle virginité auprès de la Tunisie, avec un pseudo symposium tenue au pôle technologique sis à la Gazelle (Ariana).
Rappel du passé : Khaled Néji représentant de l’office de l’huile près du consulat générale de Tunisie à Marseille a été victime de sa (Stoufida).
Monsieur Kahled Néji a été limogé de son poste, radié de ses fonctions, décédés suite à une attaque cardiaque après avoir visité les prisons Tunisiennes
Je souhaite que cette personne n’intervienne plus sur le sol Tunisien afin de crée des réseaux encore pire qu’avant et revenir au pouvoir par la fenêtre.
Aidez moi à dire la vérité sur ce malheureux de la Sbikha (kairouan) qui fout la honte à son peuple.
Ce Virus, qui trompe sa femme sans scrupule ni honte. A trahit ce que nos ancêtres ont essayé de bâtir, bravour, fraternité dévouement, sincérité.
Il est et il sera toujours à l’antipode des Tunisiens , lèches botes et au plurielles
Vive la Tunisie sans hypocrites
bonjour je suis tres heureuse que mr tlili soit libere mais je n arrive pas avoir de nouvelles precises je tiens a dire que c est un MONSIEUR exceptionnel et qu il ne merite vraiment pas ce qu il a endure j aimerai pouvoir lui exprimer tte ma sympathie
Voilà quatre ans se sont écoulés et votre combat a porté ses fruits. J’aurais pas osé signer ces quelques mots par mon nom réel si vous n’avez pas milité pour ’ma’ liberté. Reconnaissante et le mot ne peut résumer ce que je ressens et tout le respect que je vous porte.
Merci...
Lilia Weslaty
Les petits cons s’amusent à faire leurs graffitis imbéciles même sur les statues couvertes de prestige et d’histoire de Carthage ; on en a maintenant fini avec Ben Ali, avec la censure et l’étouffement des idées et de coeur opéré par son régime. Mais on en finira jamais avec l’idiotie des fondamentalistes islamiques qui promenent leurs femmes en burka, parce que c’est la seule façon par laquelle savent voir une femme : comme une bête dangeureuse. On en finira pas facilement, terrible dictature, avec ceux qui demandent maintenant de couper les mains, les jambes et les bras, suivant l’obsolète loi coranique, sans se faire aucun souci de l’Homme. Jésus, le Christ en est le plus grand champion, le Rédempteur de l’humanité, Lui qui a porté la Croix pour nous TOUS ; quant à la mafia et à al-Capone, nous les plaçerons comme un héritage historique de cet islam que tant s’acharnent à défendre par l’ignorance (mafia vient de l’arabe dialectal anciene "mafiah", c’est-à-dire "protection", la mafia est nait et c’est culturellement radiquée dans une ancienne terre d’islam, la Sicile)
j’ai aimé ce que vous pensé . suis de ton coté. tu me trouvera a l’appui
Flash info 10 FEVRIER 2004
Des contraintes techniques ne nous ont pas permis de diffuser le Flash infos rédigé le 29 janvier 2004. Pour l’essentiel, les informations qui y étaient inclues demeurent d’actualité et sont reprises dans le présent Flash Infos.
1. LA FIDH ET LA LDH RELANCENT L’AFFAIRE DU "POLICIER-DIPLOMATE" TUNISIEN KHALED BEN SAID OBJET D’UNE PLAINTE POUR TORTURE 2. INFORMATIONS SUR LES PRISONNIERS POLITIQUES 3. L’AFFAIRE DES INTERNAUTES DE ZARZIS RENVOYEE AU 2 MARS 4. LE PARLEMENT EUROPEEN MARQUE A NOUVEAU SES DISTANCES A L’EGARD DU GOUVERNEMENT TUNISIEN 5. LTDH 6. DROITS ECONOMIQUES ET SOCIAUX : LA SPIRALE DES DEPOTS DE BILANS ET DES FERMETURES D’ENTREPRISES 7. BREVES…BREVES…BREVES
1. LA FIDH ET LA LDH RELANCENT L’AFFAIRE DU "POLICIER-DIPLOMATE" TUNISIEN KHALED BEN SAID OBJET D’UNE PLAINTE POUR TORTURE
Le CRLDHT se félicite de la récente initiative prise par la plaignante, son avocat, la FIDH et de la LDH en vue de relancer la procédure entamée à l’encontre d’un "policier-diplomate" tunisien objet d’une plainte pour torture. Vice consul de Tunisie à Strasbourg, Khaled Ben Saïd avait été formellement reconnu par Mme Z. - Tunisienne vivant en France depuis 1997 et dont le mari est un opposant tunisien - comme étant le policier qui avait pratiqué sur elle des actes de torture et de barbarie en Tunisie en 1996. En mai 2001, Mme Z. avait déposé plainte contre le "diplomate" tunisien, qui n’a fait l’objet d’un mandat d’arrêt international, délivré par un juge d’instruction à Strasbourg qu’en février 2002. Dans l’intervalle, Khaled Ben Saïd avait regagné la Tunisie fin 2001 et il avait été affecté pendant plusieurs semaines aux services de sécurité de l’aéroport Tunis-Carthage, avant de rejoindre un poste sans doute plus discret.
Le 5 février 2004, l’avocat de Mme Z., Maître Eric Plouvier a adressé, au nom de celle-ci, un courrier au Président Jacques Chirac lui demandant "que les obligations réciproques prévues par la Convention relative à l’entraide judiciaire en matière pénale soient pleinement exécutées".
Dans le même temps, la FIDH et la LDH ont relancé cette affaire en affirmant leur préoccupation "qu’aucune suite ne semble avoir été donnée à ce jour par les autorités tunisiennes à la demande de commission rogatoire internationale délivrée le 2 juillet dernier par le juge strasbourgeois contre l’ancien vice-consul tunisien à Strasbourg, Khaled Ben Said pour actes de tortures commis alors qu’il était fonctionnaire de police en Tunisie".
Compte tenu de l’importance de cette affaire dans la prise de conscience de la nécessité de lutter, sur le terrain judiciaire, contre l’impunité, nous reproduisons ci-dessous le communiqué de la FIDH, LDH du 5 février 2004
Le communiqué FIDH- LDH du 5 février 2004
Affaire Ben SAID / Compétence universelle Les autorités tunisiennes doivent coopérer avec la justice française à propos de crimes de torture commis en Tunisie
Paris, le 5 février 2004 - La FIDH et la LDH sont préoccupées qu’aucune suite ne semble avoir été donnée à ce jour par les autorités tunisiennes à la demande de commission rogatoire internationale délivrée le 2 juillet dernier par le juge strasbourgeois contre l’ancien vice-consul tunisien à Strasbourg, Khaled Ben Said pour actes de tortures commis alors qu’il était fonctionnaire de police en Tunisie.
En effet et bien qu’une information judiciaire ait été ouverte en France depuis le 16 janvier 2002, les autorités tunisiennes n’ont pas donné suite à la demande française de coopération judiciaire qui permettrait d’établir les responsabilités dans les actes de torture infligés à Madame Z, plaignante en France.
La FIDH avait dénoncé la fuite de M. Ben Saïd, (http://www.fidh.org/communiq/2002/t...) qui avait conduit le juge strasbourgeois à délivrer le 15 février 2002 un mandat d’arrêt international contre lui. Selon les informations de la FIDH et de la LDH ce dernier aurait, une fois de retour en Tunisie, été affecté pendant plusieurs semaines au Services Sécurité de l’aéroport Tunis Carthage.
La FIDH et la LDH rappellent qu’il s’agit du premier mandat d’arrêt international, fondé sur le principe de compétence universelle, délivré contre un tortionnaire tunisien. Hier, Mme Z interpellait le Président de la République française, en tant que garant du respect des traités, en vertu de l’article 5 de la Constitution, à intervenir auprès des autorités tunisiennes afin de permettre la poursuite de l’enquête.
La FIDH et la LDH soutiennent l’appel de Mme Z. auprès du Président de la République française et demandent aujourd’hui aux autorités tunisiennes de mettre enfin en conformité leurs déclarations d’intention et leurs actes en coopérant de façon inconditionnelle et immédiate avec le juge d’instruction français afin que ces crimes ne restent pas impunis.
Rappel des faits et de la procédure
Le 11 octobre 1996, Madame Z., de nationalité tunisienne fut interpellée par des agents de la DST tunisienne et retenue pendant deux jours au commissariat de Jendouba où elle victime d’actes de torture et d’humiliation. L’objet de cette arrestation était, semble-t-il, d’obtenir des informations relatives à plusieurs individus suspectés d’appartenir à un cercle religieux dont son mari qui a obtenu l’asile en France en 1996.
Courant avril 2001, Madame Z. apprend que son tortionnaire, Khaled Ben Said, serait en poste sur le territoire français comme vice-consul au Consulat de Tunisie à Strasbourg. Le 4 février 2002, la Ligue française des droits de l’Homme et du Citoyen (LDH) et la Fédération Internationale des Ligues des droits de l’Homme (FIDH) décident alors de se constituer parties civiles aux côtés de Madame Z. Incriminé par l’article 222-1 du Code pénal français, le fait de soumettre une personne à des tortures ou des actes de barbarie, est passible de 15 années de réclusion et l’article 689-1 du Code de procédure pénale français dispose, qu’en application de la Convention contre la torture, l’auteur de tels faits peut être poursuivi et jugé par les juridictions françaises, s’il se trouve en France, même si le fait a été commis en dehors du territoire de la République.
De plus, la Convention de Vienne sur les relations consulaires ne confère ne prévoit aucune immunité au regard des faits criminels en cause. Contacts : FIDH : 01 43 55 25 18 / LDH : 01 56 55 51 09
2. INFORMATIONS SUR LES PRISONNIERS POLITIQUES
LES 4 EMMURES DE LA PRISON DE BORJ EL AMRI METTENT UN TERME A LEUR GREVE DE LA FAIM ENTAMEES LE 15 DECEMBRE 2003
Très éprouvés par plus de 50 jours de grève de la faim, les 4 grévistes de la faim ont mis un terme à leur mouvement. Nous reprenons ci-dessous l’information que nous avions consacrée à cette grève dans le Flash infos du 29 janvier 2004 qui n’a pu être diffusé.
"Les quatre grévistes de la faim, prisonniers islamistes de Borj El Amri (Abdelhamid Jlassi, Habib Ellouz, Sahbi Atig et Bouraoui Makhlouf) (cf., Flash info du 26 janvier 2004) poursuivent leur grève dans des conditions particulièrement alarmantes.
Au 48eme jour de cette grève de la faim entamée le 15 décembre 2003, le CRLDHT réitère ses appels pressants pour que les interventions et les pressions se multiplient afin d’amener les autorités tunisiennes à rompre avec la cynique et criminelle attitude qu’elles ont adoptée face à ce mouvement des protestations. Les grévistes de la faim réclament qu’il soit mis un terme à l’isolement cellulaire qui leur est imposé depuis près de 13 ans et la possibilité de bénéficier des soins médicaux les plus élémentaires dont ils sont privés.
Une dizaine de membres des familles des grévistes (Mme Atig et ses deux enfants, Mme Jlassi et sa fille, Mme Makhlouf , son fils et ses deux filles, ainsi que les trois s½urs et le frère de Bouraoui Makhlouf) ont entamé une grève de la faim de solidarité et pour alerter l’opinion sur le sort de leurs proches emmurés à Borj El Amri.
Enfin, la famille de Habib Ellouz est sans nouvelles de lui depuis son transfert, il y a près de deux semaines à la prison civile du 9 avril à Tunis.
De son côté, M. Hédi Triki, ancien prisonnier politique en grève de la faim depuis le 13 janvier 2004 (Cf., Flash info du 26/01) a décidé de suspendre sa grève de la faim après la fermeture par la police du local commercial dans lequel il faisait grève".
De son coté, l’association "Agir Ensemble pour les Droits de l’Homme" (Lyon) avait adressé le 30 janvier 2004 une lettre à Monsieur Dominique de Villepin, ministre français des affaires étrangères lui demandant de bien vouloir intervenir d’urgence auprès des autorités tunisiennes (cf. Tunisnews).
Enfin, à l’initiative de l’association "Solidarité Tunisienne", plusieurs associations dont le CRLDHT ont effectué auprès du ministère français des affaires étrangères une démarche dans le même sens (cf. Tunisnews).
GREVE DE LA FAIM DE MM. ABDELATIF MEKKI ET JALAL AYED
Ayant épuisé toutes les voies de recours en vue de terminer leurs études en médecine, MM. Abdelatif Mekki et Jalal Ayed, anciens détenus politiques, ont décidé d’entamer le 7 février 2004 une grève de la faim en vue d’obtenir le droit de terminer leurs études largement entamées avant leur arrestation en 1991 (cf. Flash infos du CRLDHT). M. Abdelatif Mekki, ancien secrétaire général de l’UGTE a été libéré il y a deux ans et demi au terme de 10 ans de détention.
Les deux anciens prisonniers islamistes ont rendu public le 7 février un communiqué dans lequel ils expliquent les raisons de leur légitime mouvement. L’AISPP a publié le 8 février 2004 un communiqué d’information et de soutien et Maître Samir Ben Amor, "avocat des deux médecins grévistes" s’est chargé, en accord avec les intéressés de coordonner toutes les initiatives de solidarité à leur égard (tél. Fax 00 216 71 324 887).
Le CRLDHT réaffirme sa totale solidarité avec MM. Mekki et Ayed et a pris contact avec la FIDH et le REMDH pour une concertation sur les interventions auprès des mécanismes des Nations Unies, ceux de l’Union Européenne mais aussi ceux de l’UNESCO.
¢Communiqué du CNLT
Dans un communiqué en date du 30 janvier 2004, le CNLT a évoqué la poursuite du harcèlement judiciaire à l’égard de l’ex prisonnier politique Hedi TRIKI qui a comparu le 30 janvier 2004 devant le tribunal de première instance de Mahdia pour non respect d’une mesure d’assignation à résidence.
Le même communiqué fait état de la grave dégradation de l’état de santé de M. Habib ELLOUZ, l’un des 4 grévistes de la faim de Borj El Amri.
Enfin, le communiqué évoque l’abus de pouvoir dont à été l’objet le porte parole du Conseil de la part des services municipaux qui ont tenté de pénétrer par la force dans sa propriété. A signaler que sa voiture a été vandalisée par des "inconnus" alors qu’elle se trouvait à quelques mètres des voitures de police qui stationnent en permanence devant le siège du CNLT !
Le CRLDHT dénonce ces actes inadmissibles de harcèlement.
3- L’AFFAIRE DES INTERNAUTES DE ZARZIS RENVOYEE AU 2 MARS
Les 5 jeunes internautes de Zarzis arrêtés depuis un an ont comparu le 3 février 2004 devant le tribunal de première instance de Tunis. Leur crime avait été de naviguer sur la toile et d’avoir accéder à un certain nombre de sites jugés subversifs ! Accusés d’avoir eu accès notamment à un site proposant la mise au point d’explosif, les 5 jeunes internautes - le 6ème étant en fuite - ( cf. Flash Infos précédents), ont été déférés pour "constitution d’une bande ayant pour objectif la préparation et la réalisation d’attentats sur les personnes et les biens dans le but de semer le trouble et la panique ; mise à la disposition d’un local de réunion ; tenue de réunion non autorisée, vol, détention, transport et fabrication d’explosifs, détention d’équipement et de matière entrant dans la fabrication d’explosif" !!
Poursuivis donc pour crimes virtuels, les jeunes internautes de Zarzis ont vécu une véritable année de cauchemar dans des conditions de détention très éprouvantes. L’affaire a été reportée au 2 mars 2004 pour l’examen quant au fond, le tribunal rejetant les requêtes sur la forme présentées par la défense.
Le CNLT a publié le 5 février un communiqué sur cette tragique farce policière et judiciaire. Une pétition en ligne en faveur des internautes de Zarzis a recueilli plusieurs centaines de signatures (cf. Flash infos du CRLDHT).
4. LE PARLEMENT EUROPEEN MARQUE A NOUVEAU SES DISTANCES A L’EGARD DU GOUVERNEMENT TUNISIEN
Dans une importante résolution adoptée à une très large majorité par le Parlement européen le mercredi 28 janvier 2004 sur la politique méditerranéenne de l’Union européenne, les députés européens ont, à nouveau, marqué leur défiance à l’égard du gouvernement tunisien dans le paragraphe 10 de la résolution qui "constate à ce propos que la Tunisie continue de bloquer les financements des projets approuvés dans le cadre de l’initiative européenne pour la démocratie et les droits de l’homme- IEDDH- dont bénéficient des ONG indépendantes, et notamment la Ligue tunisienne pour les droits de l’homme, et regrette que ce même pays ait empêché la participation à la conférence de Sanaâ (à laquelle est consacré un autre paragraphe de la résolution) à plusieurs représentants de la société civile."
En décidant de faire pression sur les autorités yéménites pour qu’elles n’accordent pas de visas à Maître Mokhtar Trifi, à Maître Alya Chérif Chammari et à Madame Khédija Chérif et en ayant choisi comme représentants de la société civile tunisienne M. Hédi Baccouche, ancien premier ministre et M. Habib Jenhani, un universitaire vassal du RCD, l’Etat-parti tunisien a pris le risque, une fois de plus, de se voir condamné pour son intolérance et son esprit de fermeture.
A la réaction de l’Observatoire pour la protection des défenseurs (Cf., Flash info du 26/01) se sont ainsi ajoutées les critiques et les condamnations du Parti radical transnational italien (qui a joué un grand rôle dans la tenue de la conférence de Sanaâ) et celles du Parlement européen.
Signalons la remarquable lettre de protestation envoyée par Mokhtar Trifi aux autorités tunisiennes et yéménites à la suite de cette affaire
5. LTDH
Dans le précédent flash info, l’annonce a été faite de la publication de la déclaration de la LTDH sur la loi adoptée à Tunis le 10 décembre (!) 2003 sur le "Soutien des efforts internationaux de lutte contre le terrorisme et la répression du blanchiment d’argent." Dans l’intervalle, cette importante déclaration a été publiée sur le site de la Ligue : www.ltdh.org Signalons l’article consacré à cette même loi et publié par Maître Anouar El Kousri, vice président de la LTDH dans le journal Al Mawqaf, organe du PDP (N° 248) et repris par Tunisnews du 28 /01 : www.tunisnews.net .
Dans son "info express" du 31 janvier 2004, la LTDH évoque l’occupation de l’usine Hotrifa à Moknine (cf. ci-dessous), le renvoi au 2 mars 2004 de l’affaire intentée contre la Ligue concernant la création d’une deuxième section à Sfax, l’affaire Hédi Triki, le communiqué du 24 janvier 2004 sur les grèves de la faim des prisonniers politiques et celui du 20 janvier 2004 concernant les exactions à l’égard des avocats et notamment le "cambriolage" du cabinet de Maître Ayachi Hammami (cf. www.ltdh.org).
La section de Bizerte a rendu public le 5 février 2004 une lettre ouverte au chef de l’état à propos de l’acharnement des autorités municipales de Bizerte à l’égard des 37 propriétaires de charrettes de trait privés de leur gagne pain.
6. DROITS ECONOMIQUES ET SOCIAUX : LA SPIRALE DES DEPOTS DE BILANS ET DES FERMETURES D’ENTREPRISES
L’affaire des 200 ouvrières de l’usine Hotrifa de Moknine qui ont décidé d’occuper, depuis le 5 janvier 2004, leur usine afin de parer à toute tentative de leur employeur de déménager à leur insu les machines et les équipements a suscité un élan de sympathie sans précédent. Les ouvrières réclament outre la sauvegarde de leur outil de production, l’annulation de la décision de leur licenciement collectif et le règlement de leur salaire du mois d e décembre et de leur prime de fin d’année. Ce mouvement social a suscité nombres de réactions syndicales, mais aussi une active réaction de l’association Raid-Attac Tunisie (cf. communiqués du 31 janvier et du 1er février) et de la LTDH qui a constitué un comité de soutien animé par Abderrahmane Hedhili, membre du Comité directeur de la LTDH, (cf. Infos express de la LTDH du 31 janvier 2004).
L’hebdomadaire "Ech-Chaab" organe du syndicat UGTT a publié dans sa livraison du 31 janvier (n° 746 page 8) un éloquent tableau relatif aux 21 entreprises ayant fermé leurs portes ou sur le point de le faire depuis le début de l’année, entraînant les licenciements de 1641 ouvriers et employés. Ces entreprises concernent pour 15 d’entre elles le secteur des manufactures du textile, de l’habillement et des chaussures, les 6 autres entreprises concernent l’alimentation, le tourisme et le bâtiment.
Les coûts sociaux du démantèlement des barrières douanières se font ainsi douloureusement sentir. Cela était d’autant plus prévisible que les financements MEDA de l’Union Européenne pour la "mise à niveau" destinée à permettre aux industries tunisiennes à mieux affronter la concurrence internationale ont été, pour une large, part dilapidés dans des conditions pour le moins opaques et auprès de bureau d’études le plus souvent créés pour la circonstance afin de capter et de détourner cette manne européenne.
7. BREVES…BREVES…BREVES
" M. Mhamed Ali Bedoui en France
Assigné à résidence, pour la troisième fois et de la façon la plus arbitraire qui soit, il y a quatre semaines ; M. Mhamed Ali Bedoui, frère du docteur Moncef Marzouki et membre du CNLT et du CPR, est parvenu à sortir de la Tunisie. Arrivé en France, il compte y demander l’asile politique en se prévalant des détentions, des harcèlements et des persécutions dont il a été l’objet depuis 1994. Ayant obtenu son passeport et un visa pour la France, il s’était vu quand même interdire la sortie du territoire national depuis quatre mois et après sa nouvelle mise en résidence, il n’a eu d’autre choix que de prendre le risque d’une évasion de son pays où il était pris en otage dans une grande prison sans barreaux. Le CRLDHT lui réitère l’_expression de sa solidarité agissante.
" La Cour africaine des droits de l’Homme est officiellement née
Dans une longue dépêche de l’AFP datée du 25 janvier 2004 et reprise par tunisnews du 27 /01, l’annonce a été faite de l’entrée en vigueur de la Cour africaine des droits de l’Homme et des peuples de l’Union africaine (UA). Nous aurons l’occasion de revenir sur ce nouveau mécanisme régional mais il convient de signaler que la Tunisie n’a pas signé le protocole portant création de cette Cour et qu’elle ne semble pas prête à la faire, illustrant ainsi une fois de plus l’énorme décalage entre les discours démagogiques sur les droits de l’Homme et la pratique qui en est faite du côté du Palais de carthage.
" Un demandeur d’asile, incarcéré en Allemagne, est renvoyé en Tunisie
Dans le Flash infos du 29 janvier 2004 que nous n’avions pas pu diffuse, nous faisions état de l’incarcération en Allemagne de M. Fethi Zitouni. Arrivé le 30 décembre 2003 à l’aéroport de Francfort en provenance de Tunisie, M. Fethi Zitouni a demandé l’asile mais le refus d’entrée sur le territoire allemand qu’il lui a été opposé a été confirmé par le Tribunal de Francfort le 22 janvier. Ayant refusé d’être reconduit en Tunisie ou de choisir un autre pays d’exil, il aurait été, selon une information de L. Toscane, écroué à la prison de Wiesbaden. Ancien fonctionnaire du ministère de l’Intérieur, il a été victime d’un interdit professionnel à la suite de sa démission. Frère de M. Adel et Lassad Zitouni, exclus du petit parti libéral tunisien et persécutés en Tunisie avant l’obtention de l’asile politique en France, M. Fethi Zitouni risque des poursuites judiciaires à son retour en Tunisie. Une semaine plus tard, M. Zitouni a été extradé vers la Tunisie où sa situation suscite de légitimes préoccupations.
" La chaîne ALRAY TV est suspendue de diffusion
La chaîne Alray TV qui a succédé à Zitouna TV, animée par des militants du mouvement islamiste En Nahdah, vient de faire l’objet d’une mesure de suspension de diffusion à la suite des pressions qui ont été exercées sur la société émettrice à la suite d’une plainte déposée par la Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme (LICRA). En l’état actuel de nos informations, tout porte à croire qu’il s’agit d’une opération d’intimidation qui a débouché sur cette mesure arbitraire à laquelle En Nahdah a décidé de donner des suites judiciaires. Une pétition de protestation a été mise en ligne : alraytv@yahoo.com
" Effraction
L’appartement à Nanterre de Nourredine Ben N’Ticha et Imen Derwiche a fait l’objet d’une effraction dans la nuit du mardi 3 au mercredi 4 février 2004. Les "visiteurs nocturnes" ont fouillé l’appartement de fond en comble, grappillant au passage quelques menus objets et s’intéressant à l’évidence aux documents du couple d’opposants démocrates qui ont déposé plainte et qui ont publié un communiqué dans lequel ils privilégient l’hypothèse d’une intervention policière tunisienne. Le CRLDHT qui leur réitère l’_expression de son soutien, espère que l’enquête permettra de démasquer les coupables de ce forfait.
" JORT
La loi n° 2003-75 du 10 décembre 2003 relative "au soutien des efforts internationaux de lutte contre le terrorisme et à la répression du blanchiment d’argent" est parue au JORT du 12 décembre 2003 (n° 99). Cette loi a renforcé l’arsenal liberticide de la législation tunisienne et son adoption au parlement n’a malheureusement pas suscité de levée de bouclier des députés non gouvernementaux puisque seuls 5 d’entre eux, selon le compte rendu officiel, se sont abstenus lors du vote sur l’article 6 relatif aux crimes "d’incitation à la haine, au racisme ou à l’extrémisme religieux".
" Projet de loi sur le harcèlement sexuel
Le conseil des ministres a examiné le 6 février 2004 un projet de loi portant sur "la répression des attentats aux bonnes m½urs et le harcèlement sexuel". Il s’agit d’une cause juste et importante mais les commentaires qui ont accompagné la présentation de ce projet sont révélateurs des intentions d’instrumentalisation de l’Etat-RCD. C’est ainsi qu’on a pu lire dans la presse enchaînée : "plus qu’un nouveau recours, la loi en question va réellement consacrer une avancée qualitative d’importance qui viendra consolider le long processus de renforcement des droits de l’Homme entamé sous l’impulsion du Président Zine El Abidine Ben Ali au lendemain du Changement, et dont les mesures audacieuses du 13 août 1992 ont constitué l’une des pierres angulaires". Fermez le ban ! A quand une loi contre le harcèlement de la propagande destourienne !!
" Reporters sans frontières propose à l’Union Européenne de faire des économies
Dans une lettre ouverte au président Romano Prodi, Reporters sans frontières interpelle la Commission européenne sur le financement d’un programme d’appui aux médias tunisiens (2,5 millions d’euros) qui vise, selon les autorités européennes, à " renforcer la presse dans un contexte d’approfondissement des liens entre les médias et la société civile en Tunisie ". "Nous sommes à la fois émerveillés par cette langue de bois et abasourdis par tant de cynisme. A croire que les concepteurs d’un tel " programme " ne savent rien des médias tunisiens. Presse, radio, télévision, tout le paysage médiatique est aux ordres, soumis au bon vouloir du prince. Internet est sous surveillance. Dans les cybercafés, des centaines de sites sont inaccessibles. La douzaine de fournisseurs d’accès au réseau sont tous contrôlés par le pouvoir ou ses proches. Quant aux journalistes qui tentent de faire entendre un autre son de cloche, ils sont harcelés en permanence, réduits au silence, contraints à l’exil ou encore, tout simplement dégoûtés de ce métier qu’ils ne peuvent décidément pas exercer. Deux d’entre eux croupissent en prison .Ce programme d’appui aux médias fera rire jaune tous ceux qui sont un tant soit peu attentifs au sort des libertés sous le règne de Monsieur Ben Ali Est-ce à dire que rien ne peut être fait pour aider les journalistes tunisiens ? Evidemment non. D’ailleurs, pendant des années, cette même Europe a aidé Reporters sans frontières à venir au secours des victimes de M. Ben Ali. Les noms de Taoufik Ben Brick, de Sihem Bensedrine ou de Zouhair Yahyaoui sont dans toutes les têtes. Bruxelles avait alors le goût - et le courage - de faire la différence entre la Tunisie et le régime tunisien, les succès d’une nation et les turpitudes d’une famille qui a mis ce pays en coupe réglée. Faudra-t-il bientôt parler au passé de ces audaces qui faisaient de l’Europe le meilleur défenseur des démocrates tunisiens ? Faut-il se résigner à voir les Quinze s’aligner sur un Jacques Chirac plaidant la cause du "démocrate" Ben Ali ? On est enclin à le penser", a écrit Robert Ménard, secrétaire général de Reporters sans frontières dans cette lettre. " Reste dans l’immédiat une seule porte de sortie honorable. Qu’on raye d’un trait de plume ces quelque deux millions de subsides. En ces temps de rigueur budgétaire, personne ne devrait trouver à y redire. Pour une fois, les économies rimeraient avec la morale ", a conclu Robert Ménard. Reporters sans frontières avait déjà proposé aux instances européennes une autre approche de " cet appui aux médias ", qui excluait les organes de propagande et proposait de venir en aide - au nom d’une ingérence médiatique - aux quelques journaux ou télévisions qui, depuis l’étranger, tentent de diffuser une autre information.
" Grève de la faim de l’étudiant Anis Ben Fraj
Etudiant en 2ème année français à la faculté des lettres et des sciences humaines de Sfax, Anis Ben Fraj, militant de l’UGET a été renvoyé dans des conditions illégales de l’université. Ayant épuisé toutes les voies de recours, il a entamé le 20 janvier 2004 une grève de la faim de protestation. (information mise en ligne par Adel Thabet sur la liste de discussion Maghreb Droits Humains). Le CPR a pris position, par la voix de son président le Dr Moncef Marzouki en faveur du gréviste de la faim auquel le CRLDHT exprime son soutien.
" Le PDP et le monopole de l’information
Maître Néjib Chebbi a annoncé au cours d’une conférence de presse le 9 février 2004 que son parti (Parti Démocratique et Progressiste) avait décidé de lancer une campagne appelée à se développer jusqu’à la prochaine échéance électorale d’octobre 2004 (présidentielle et législative) pour la liberté de la presse "condition nécessaire pour des élections libres et démocratiques". Le PDP a adressé une lettre d’information au ministre de l’intérieur pour l’organisation d’un rassemblement d’une heure devant l’Etablissement public de la radio télévision tunisienne (ERTT) pour alerter sur la "situation dramatique du secteur de l’information".