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26 novembre 2003, par Bourguiba
Depuis ma dernière promenade au centre-ville de Tunis, l’idée m’est venue de rédiger quelque chose sur le thème mentionné. Printemps 2003, saison exceptionnellement belle après un long et froid hiver. Juste derrière le Palmarium qui fut jadis l’un des plus charmants édifices de la ville coloniale, dans un coin se trouve une librairie. J’adore flâner ici et là et observer les tunisiens en action. Trop de flics et trop de gigolos. Une jeunesse désespérée qui s’offre à toutes les gammes de touristes qui (...)