En réponse à :
3 novembre 2004, par Walid [eFighter]
Samedi 23 octobre dernier, nous nous sommes retrouvés en bande de copains, deux amis et moi, pour exercer notre droit premier et inaliénable : manger. A l’heure de rupture du jeûne nous étions assemblés autour d’une table, et à la façon tunisienne, nous nous apprétions à donner à cet instant sa plus haute dimension spirituelle : nous gaver de bons plats. Un festin « moch normal » pour un jour comme les autres.
De l’eau douce, quelques dattes, un verre de lben, un peu de mhammsa, bien sûr des briks, un (...)