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9 novembre 2007, par hasni
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LE MONDE | 08.11.07 | 14h27
Au pays du président Zine El-Abidine Ben Ali, les rares, les très rares journalistes indépendants ou d’opposition sont surveillés et harcelés, leur liberté de mouvement est chaque jour un peu plus restreinte. Les journaux sont des décalques les uns des autres : mêmes photos, mêmes textes, fournis par une agence officielle qui prend ses ordres au palais de Carthage. Et personne, ou presque, n’y trouve à redire.
Sous prétexte qu’il est un "rempart contre la menace (...)