En réponse à :
18 février 2004
Le problème de gouvernance revient à occuper le devant des préoccupations. Le sujet a dépassé le plan interne pour devenir un sujet de préoccupation internationale et particulièrement pour certains partenaires étrangers. L’autocratie, le pouvoir absolu, La dépréciation de l’autorité par la corruption généralisée des institutions et l’effondrement des bases de sa légitimité ne sont pas particuliers à la Tunisie. Le monde arabe s’est révélé l’homme malade par excellence du début de ce millénaire. Le terrorisme (...)