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22 octobre 2004, par Mkarriz
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« Personne n’a jamais accordé autant d’importance à ma voix autant que Ben Ali lui-même. ہ ma grande surprise, j’ai découvert que celui-là m’adorait, mais c’était uniquement après ma mort. Quand j’étais, si j’ose dire, vivant, certains me disaient que ma voix d’électeur ne servirait à rien que avec ou sans elle, les choses n’avanceraient jamais, que la démocratie et les élections transparentes relèvent de l’utopique. Pour les présidentielles auxquelles je n’ai (...)