Mon amie ne sait pas rediger un com sur un article. Du coup il voulais souligner par ce commentaire qu’il est ravi du contenu de ce blog internet.
je vous remercie
bourguiba abderrazak
I like to party, not look articles up online. You made it hpaepn.
On est mardi 1er novembre 2011, déjà neuf mois que ben ali s’est enfui et il est caché, comme un rat, en Arabie Saudite. Son collègue Gaddafi a été tué.
Après la lecture de cette lettre, tout cela parait être comme un cauchemar pour celles et ceux qui ne l’ont pas vécu personnellement. Cependant, le mal a sévi longtemps, beaucoup trop longtemps en Tunisie. Il est temps que ça change.
Tout un système policier qui s’effondre, la justice vient de renaître, certes encore fragile mais sera équitable insh’Allah.
Oui il a un fils qui est mon meilleur ami et croyez moi, même si son père et loin de lui sa ne fait pas de lui un mauvais père il s’occupe très bien de lui et Selim va le voir de temps en temps. Je suis au cœur de cette affaire et je peux donc savoir les ressentis de chacun...
ةcoutez quand on ne connait pas la personne on ne juge pas ! Je connais personnellement Monsieur Tebourski et je sais que c’est un homme bon, et je pense que si il a demander a rester en France c’est surtout pour son Fils !
Ne le jugez pas car vous ne le connaissez pas comme je le connais ! Je suis la meilleure amie de son fils Selim. Je sais qu’Adel est un homme bon alors arrêtez tous vos blabla et essayer donc de comprendre le fond de la chose. Merci et bonne soirée
the death of an African giant
Par : Y. Mérabet
En outre, contrairement à ce que pensent aujourd’hui de nombreux libyens, la chute de Kadhafi profite à tout le monde sauf à eux. Car, dans une Afrique où les pays de la zone subsaharienne riche en ressources minérales tournaient complètement le dos à la France pour aller vers la Chine, il fallait bien que monsieur Sarkozy trouve un autre terrain fertile pour son pays. La France n’arrive plus à vendre ses produits manufacturés ou de décrocher un marché en Afrique, elle risque de devenir un PSD C’est pour cela que l’on a vu une France prête à tout pour renverser ou assassiner Kadhafi ; surtout quand l’on sait que la Libye est l’une des premières réserves en Hydrocarbures d’Afrique et de Sebha est la capitale mondiale du trafic Franco-libyen de concentré d’uranium Nigérien. Egalement, l’on sait que jusqu’ici, les populations libyennes n’avaient rien à envier aux Français, ils vivaient richement mieux sans se suer. Puisque Kadhafi faisait tout son possible pour les mettre à l’abri du besoin. Il est donc temps pour les libyens de choisir pleinement futur partenaire occidental. Car si en cinquante ans de coopération la France n’a pu rien apporter à l’Afrique subsaharienne. Vat-elle apporter maintenant aux libyens un bonheur supérieur à celui que leur donnait leur Guide. Rien à offrir à ces ignorants de libyens, sauf des repas communs dans les poubelles de la ville Paris, en France c’est déjà la famine ? Lui, qui durant plusieurs décennies était l’un des faiseurs d’hommes les plus efficaces sur le continent Africain. De son existence, Kadhafi était le leader le plus généreux d’Afrique. Pas un seul pays africain ne peut nier aujourd’hui n’avoir jamais gouté un seul pétro –Dinar du guide Libyen. Aveuglement, et motivé par son projet des Etats-Unis d’Afrique, Kadhafi de son existence a partagé l’argent du pétrole libyen avec de nombreux pays africains, qu’ils soient Francophones, Anglophones ou Lusophones. Au sein même de l’union Africaine, le roi des rois d’Afrique s’était presque érigé en un bailleur de fond très généreux. Jusqu’à l’heure actuelle, il existe sur le continent de nombreux présidents qui ont été portés au pouvoir par Kadhafi. Mais, curieusement, même pas un seul de ces élèves de Kadhafi n’a jusqu’ici eu le courage de lui rendre le moindre hommage.Au lendemain du vote de la résolution 1973 du conseil de sécurité de l’ONU, certains pays membres de l’union africaine sous l’impulsion de Jacob Zuma ont tenté d’apporter un léger soutien au guide libyen. Un soutien qui finalement s’est éteint totalement sans que l’on ne sache pourquoi. Même l’union africaine qui au départ conditionnait avec amertume la prise du pouvoir libyen par un groupe de terroristes et la reconnaissance du CNT libyen constitués de traitres, s’est finalement rétracté de façon inexplicable. Et curieusement, jusqu’aujourd’hui, aucun gouvernement consensuel n’a été formé en Libye. Depuis l’annonce de l’assassinat de Mouammar Kadhafi, cette union africaine dont Mouammar Kadhafi était pourtant l’un des principaux défenseurs et ayant assuré le dernier mandat, n’a encore délivré aucun message officiel de condoléance à ses proches ou de regret. Egalement, même ceux qui hier tentaient de le soutenir n’ont pas eu le moindre courage de lever leur petit doigt pour rendre hommage à leur mentor. Jusqu’à l’heure actuel, seul l’ancien archevêque sud-africain et prix Nobel de paix Desmond TUTU a regretté cet acte ignoble. Même le président Abdoulaye Wade que l’on sait pourtant proche des révoltés libyens n’a pas encore salué la mort de l’homme qu’il souhaitait tant. Le lendemain de sa mort, un vendredi pas un musulman n’a prié pour lui ?.. A ce jour, sur le continent Africain, seul l’homme de la rue et les medias ont le courage de parler de cette assassina crapuleux du guide libyen. Mais, cette attitude des dirigeants africains ne surprend personne, dans la mesure où l’on sait que chaque président a peur de se faire remarquer par un Nicolas Sarkozy qui est capable de tout si la tête d’un président africain ou d’un arabe l’énerve.
Conclusion La Libye et l’Afrique toute entière viennent de tourner une page d’or avec la perte de Mouammar .
Traitre et maudit que je sois, si j’étais un libyen ?
Journaliste indépendant (Algérian Society for International Relations)
119, Rue Didouche Mourad
Alger centre
J’ai écrit un livre qui mérite d’être lu :
TOUT EST POSSIBLE - L’AVENIR DE LA TUNISIE
Vous pouvez télécharger le livre sur mon site Internet :
http://www.go4tunisia.de
Dr. Jamel Tazarki
Allemagne
Ma mére Térésa oui notre mére je suis abderrazak bourguiba le frére de mon meilleur ami Farouk .
vous peut etre me connait mais je pense pas que nous avont eu l’occasion de vous voir .
je suis désolé pour ce qui a passé pour mon frére Farouk .
Omar etait un homme exeptionnel un vrai homme j’ai passé avec lui 6 mois dans le prison nous étions plus que deux fréres.
soyez fiére de Farouk
et que la paradi soit pour lui
La Monarchie Constitutionnelle est l’avenir est la garantie des droits et libertés pour la Tunisie, la Libye et toute l’Afrique du Nord. Le Roi est l’âme du peuple, Il est porteur du sentiment d’unité nationale et du patrimoine historique du peuple. LA MONARCHIE CONSTITUTIONNELLE EST LE PLUS SUR MOYEN POUR EVITER QU’UN PRESIDENT FINISSE UN JOUR EN DICTATEUR (voyez le cas du roi d’Espagne, sauveur des libertés après le Franquisme).
Bonjour Mesdames, Messieurs,
Je souhaite attirer votre attention sur le faite que ce Barbouze comme vous le dites, a retourné sa veste à l’instant où il s’est assuré du départ définitif du ZABA plus exactement le 18 Janvier 2011.
Mais encore ce dernier qui détient pas un seul titre comme auprès du RCD mais aussi faison parti de plusieurs association et surout la chambre Franco-Tunisienne de marseille ou il a volé récemment le portfolio pour se faire une nouvelle peau et une nouvelle virginité auprès de la Tunisie, avec un pseudo symposium tenue au pôle technologique sis à la Gazelle (Ariana).
Rappel du passé : Khaled Néji représentant de l’office de l’huile près du consulat générale de Tunisie à Marseille a été victime de sa (Stoufida).
Monsieur Kahled Néji a été limogé de son poste, radié de ses fonctions, décédés suite à une attaque cardiaque après avoir visité les prisons Tunisiennes
Je souhaite que cette personne n’intervienne plus sur le sol Tunisien afin de crée des réseaux encore pire qu’avant et revenir au pouvoir par la fenêtre.
Aidez moi à dire la vérité sur ce malheureux de la Sbikha (kairouan) qui fout la honte à son peuple.
Ce Virus, qui trompe sa femme sans scrupule ni honte. A trahit ce que nos ancêtres ont essayé de bâtir, bravour, fraternité dévouement, sincérité.
Il est et il sera toujours à l’antipode des Tunisiens , lèches botes et au plurielles
Vive la Tunisie sans hypocrites
bonjour je suis tres heureuse que mr tlili soit libere mais je n arrive pas avoir de nouvelles precises je tiens a dire que c est un MONSIEUR exceptionnel et qu il ne merite vraiment pas ce qu il a endure j aimerai pouvoir lui exprimer tte ma sympathie
Voilà quatre ans se sont écoulés et votre combat a porté ses fruits. J’aurais pas osé signer ces quelques mots par mon nom réel si vous n’avez pas milité pour ’ma’ liberté. Reconnaissante et le mot ne peut résumer ce que je ressens et tout le respect que je vous porte.
Merci...
Lilia Weslaty
Les petits cons s’amusent à faire leurs graffitis imbéciles même sur les statues couvertes de prestige et d’histoire de Carthage ; on en a maintenant fini avec Ben Ali, avec la censure et l’étouffement des idées et de coeur opéré par son régime. Mais on en finira jamais avec l’idiotie des fondamentalistes islamiques qui promenent leurs femmes en burka, parce que c’est la seule façon par laquelle savent voir une femme : comme une bête dangeureuse. On en finira pas facilement, terrible dictature, avec ceux qui demandent maintenant de couper les mains, les jambes et les bras, suivant l’obsolète loi coranique, sans se faire aucun souci de l’Homme. Jésus, le Christ en est le plus grand champion, le Rédempteur de l’humanité, Lui qui a porté la Croix pour nous TOUS ; quant à la mafia et à al-Capone, nous les plaçerons comme un héritage historique de cet islam que tant s’acharnent à défendre par l’ignorance (mafia vient de l’arabe dialectal anciene "mafiah", c’est-à-dire "protection", la mafia est nait et c’est culturellement radiquée dans une ancienne terre d’islam, la Sicile)
j’ai aimé ce que vous pensé . suis de ton coté. tu me trouvera a l’appui
Sommaire :
Partie arabe : (Al Quds Al Arabi, Al Jazeera) :
Dans la foulée, les Américains ont rendu publique une « feuille de route » conçue avec l’Union européenne, la Russie et l’ONU, qui consiste à paver la route à un Etat palestinien en 2005 par une série d’avancées parallèles et graduelles, étalonnées dans un échéancier. Les Palestiniens, quoique frustrés par cette feuille de route, l’ont acceptée, faute de mieux. L’arrivée d’Abou Mazen entrait dans cette logique, puisque le texte du plan prévoyait cette réforme au sommet de l’Autorité palestinienne. En revanche, Israël s’est jusqu’à présent refusé à donner un aval officiel à la feuille de route, mais exige que les Palestiniens appliquent la donnée essentielle de la première phase qui les concerne : la fin des violences et l’annihilation des groupes armés qui les pratiquent.
Le Premier ministre Ariel Sharon a de bonnes raisons d’éluder l’obstacle de la feuille de route : son cabinet, composé de quatre partis, est dominé par la droite et la droite extrême (celle qui prône la déportation des Palestiniens), des hommes et des femmes politiques, donc, qui refusent les termes mêmes du plan international, à commencer par le démantèlement des colonies juives sauvages, le gel de la colonisation, etc.
Sharon avait, comme souvent, habilement manœuvré, donnant l’impression d’être prêt à de « douloureuses concessions », selon son _expression, évoquant même pour la première fois le retrait éventuel de certaines colonies dans une interview au « Haaretz » du 14 avril. Las ! mardi, il a démenti ses propres concessions de manière très claire au « Jerusalem Post ». Entre-temps, il est vrai, il a pu rencontrer l’Américain Colin Powell le week-end dernier, et s’apercevoir que, comme il le dit dorénavant, personne n’exerce de pressions sur Israël s’agissant des colonies. La répression israélienne d’ailleurs a encore pris de l’ampleur ces derniers jours.
Ariel Sharon verra George Bush pour la huitième fois en deux ans la semaine prochaine, et il se rend à Washington en toute confiance : la presse israélienne prédit que le président américain n’a déjà plus que sa réélection en tête, ce qui lui ôtera toute envie de mécontenter son électorat juif, si tant est qu’il en ait jamais eu l’envie, lui qui semble partager les vues manichéennes de Sharon sur le terrorisme, ses origines et son « traitement ».
Mais voilà : pour que la paix avance au Proche-Orient, il faut que les Palestiniens combattent le terrorisme - et qu’Abou Mazen en reçoive les moyens - et il faut que les Israéliens montrent aux Palestiniens qu’ils sont sérieux quand ils parlent d’une ère de paix possible. Cela suppose que le démantèlement des colonies sauvages soit effectif sans tarder, que le gel de la colonisation juive des territoires occupés soit décrété dans la foulée.
Sharon et sa majorité parlementaire s’y opposent. Seule l’Amérique peut les y obliger. Si elle en montre la volonté. Et le courage.·
BAUDOUIN LOOS
http://www.lemonde.fr/article/0,5987,3218—319804-,00.html
La révolte des colons de Shilo
Shilo de notre envoyé spécial
Ce dimanche matin 11 mai, Era Rapaport a envoyé une lettre au ministre israélien des affaires étrangères, Silvan Shalom. "Au cours de la dernière campagne électorale, il était venu ici, à Shilo, pour nous dire de belles paroles et je voulais le rappeler à ses devoirs", grince-t-il. Car depuis, le secrétaire d’Etat américain, Colin Powell, est arrivé en Israël pour promouvoir un nouveau plan de paix qui prévoit des concessions sur le dossier de la colonisation : tout d’abord le démantèlement des points de colonisation sauvage créés depuis mars 2001 et jugés "illégaux" par les autorités israéliennes elles-mêmes ainsi que le gel des implantations existantes (y compris leur "croissance naturelle"), puis plus tard une négociation sur le sort de toutes les colonies de Gaza et de Cisjordanie, dans le cadre d’un accord de paix définitif.
Cette perspective est jugée inacceptable par les habitants de Shilo, une colonie située entre les villes palestiniennes de Ramallah et de Naplouse. "Cette "feuille de route" est une foutaise et je reproche à mon gouvernement ne n’avoir pas répondu de la seule manière qui soit : cette terre est la nôtre, elle nous a été donnée par notre Dieu, point final." Membre par le passé d’un groupuscule extrémiste auteur de nombreux actes terroristes contre des Palestiniens, Era Rapaport a purgé plusieurs années de prison. Il produit aujourd’hui de l’huile d’olive et travaille ponctuellement comme guide pour les visiteurs qui partagent son idéologie du "Grand Israël".
Lorsque le premier ministre israélien, Ariel Sharon, a indiqué le 13 avril qu’il faudrait peut-être envisager un jour une évacuation de Shilo, le sang d’Era Rapaport n’a fait qu’un tour. "Quand Sharon dit que c’est une perspective douloureuse pour lui, qu’il sache simplement que cela l’est bien plus pour nous ! Et qu’il n’oublie pas une chose : tous les premiers ministres israéliens qui ont cédé des morceaux de notre terre ont échoué." En janvier, il avait pourtant voté pour le Likoud, le parti du premier ministre. "Je me souviens de Sharon nous autorisant à construire ici et disant que nous y resterions toujours. Il a changé en devenant premier ministre. Mais je suis sûr que le parti reste, lui, opposé à l’Etat palestinien", assure-t-il.
Comme Era Rapaport, l’un des fondateurs de Shilo, Shavah Stern, arrivé sur place il y a vingt-cinq ans, critique le lien établi entre la sécurité et des décisions à propos de la colonisation. "C’est un piège, peut-être que Sharon pense sincèrement que les Palestiniens ne renonceront jamais à la violence et qu’il n’aura jamais à céder quoi que ce soit. Mais si cela arrivait, la seule réponse est que nous sommes chez nous. Nous aurons la sécurité quand les Palestiniens l’auront enfin compris."
M. ABBAS "EST UN TERRORISTE"
Membre du comité central du Likoud depuis plus de quinze ans, Shavah Stern a accueillile président de la Knesset, Reuvin Rivlin, membre du même parti, pour inaugurer le chantier d’un nouveau quartier, quelques jours seulement après les propos de M. Sharon. Il s’agissait en fait selon des observateurs d’une manifestation symbolique à propos d’un projet déjà ancien, mais la colonie, qui compterait aujourd’hui 200 familles en aurait accueilli encore 15 nouvelles l’an passé.
"Malgré le terrorisme, il n’y a pas une seule maison de libre ici", ajoute Shavah Stern, qui précise que cinq membres de Shilo, dont des enfants, ont été tués au cours des trente et un derniers mois. Les deux hommes partagent la même hostilité à l’égard du nouveau premier ministre palestinien, Mahmoud Abbas (alias "Abou Mazen"), qui, selon Era Rapaport, "est un terroriste comme Arafat et ne mérite donc qu’un jugement et une exécution", et une défiance identique par rapport aux autorités israéliennes. Ils comptent sur le Likoud pour faire obstacle au projet d’Etat palestinien, qui, "rabâché jour après jour par les médias fait son chemin dans la tête des Israéliens." "Sharon veut peut-être entrer dans l’histoire en faisant la paix (...), mais nous ne le laisserons pas agir à nos dépens", prévient Shavah Stern.
Gilles Paris
http://infos.netscape.fr/info/NDepeche?id=154929&cat_id=3
16 mai, 16h04
Erakat, un avocat éloquent de la cause palestinienne
par Jean-Marc MOJON
Saëb Erakat, qui a annoncé vendredi sa démission du gouvernement palestinien, est un avocat éloquent de la cause palestinienne, ce qui lui a valu d’être en première ligne des pourparlers avec Israël depuis plus de dix ans.
Cet universitaire de 48 ans, qui s’exprime dans un anglais parfait, non dénué d’humour, a fait partie de toutes les équipes de négociateurs avec Israël, sauf la plus importante qui avait négocié secrètement les accords d’Oslo de 1993, actuellement au point mort.
C’est que ce Palestinien né à Jérusalem n’appartient ni au mouvement Fatah du président de l’Autorité palestinienne Yasser Arafat ni au sérail de ses compagnons de route, qui ont vécu avec lui en diaspora, notamment à Tunis.
Il a en outre publiquement dénoncé la corruption au sein de l’Autorité palestinienne, au risque de s’y faire des ennemis.
Il a provoqué vendredi une première crise gouvernementale en annonçant sa démission du cabinet, où il était chargé des négociations, à la veille d’une rencontre entre le Premier ministre palestinien Mahmoud Abbas et son homologue israélien Ariel Sharon.
M. Erakat n’a fourni aucune explication sur sa décision, mais a indiqué aux journalistes ne pas avoir reçu de réponse à sa démission présentée deux jours auparavant.
Selon une source officielle palestinienne, M. Erakat est mécontent de n’avoir pas été inclus dans la délégation qui va rencontrer samedi soir M. Sharon, et plus généralement pour la façon dont les contacts ont été menés avec Israël.
Qu’elle soit ou non effective, sa démission témoigne d’un malaise profond au sein la direction palestinienne, depuis l’investiture le 30 avril de M. Abbas, considéré comme un modéré largement imposé à M. Arafat par les Etats Unis, Israël et la communauté internationale.
Cette nomination n’a jusqu’à présent entraîné aucune baisse des violences ni une relance effective des négociations.
Les groupes armés palestiniens, plus ou moins autonomes, continuent leurs attaques contre des colons et des militaires dans les territoires occupés et leurs attentats suicide ainsi que leurs tirs de roquettes Qassam contre Israël.
Israël continue de son côté de mener des incursions meurtrières en zone autonome palestinienne, ainsi que des "opérations ciblées" de liquidations" d’activistes.
Sur le plan politique, la "feuille de route", un document international pour un règlement politique du conflit israélo-palestinien, a bien été publiée suite à la nomination de M. Abbas, mais n’a toujours pas connu un début d’application.
En présentant sa démission, M. Erakat semble donc en fait reprocher à M. Abbas d’avoir accepté une rencontre avec M. Sharon sans avoir en contrepartie obtenu l’assurance d’un geste de bonne volonté d’Israël.
En septembre 1999, un désaccord avec M. Arafat avait valu à M. Erakat de perdre la direction des négociations avec Israël sur l’application des accords de Wye Plantation.
Il avait en revanche joué un rôle important lors du sommet avorté de Camp David en juillet 2000, puis les mois suivants lors des négociations israélo-palestiniennes de Taba (Egypte) qui avaient sérieusement rapproché les positions des deux parties sans aboutir à un accord.
Ex-journaliste au quotidien indépendant Al-Qods de Jérusalem-est, ce politologue est docteur en polémologie d’une université britannique et a enseigné à l’université An-Najah de Naplouse (Cisjordanie) où il est titulaire d’une chaire.
Le poignard. Ce fameux poignard que Mohammed Cherif Moulay raconte avoir découvert dans sa maison à Alger, le lendemain d’une nuit où il a vu surgir "une unité de soldats parachutistes conduite par le lieutenant Le Pen", a agité un moment la 17e chambre correctionnelle du tribunal de Paris, jeudi 15 mai, lors d’une première journée d’audience.
Jean-Marie Le Pen y poursuit en diffamation Le Mondepour des articles parus les 4 mai et 4 juin 2002, avant le second tour de l’élection présidentielle et le premier tour des législatives. Ces articles font état de témoignages sur la participation du président du Front national à la torture en Algérie. A la barre, Mohammed Cherif Moulay a confirmé son récit publié dans Le Monde. Il a aujourd’hui 58 ans. Il en avait 12, le 2 mars 1957.
Cette nuit-là, selon Mohammed Cherif Moulay, une unité de parachutistes est arrivée dans sa maison, dans la casbah. Dans l’attestation écrite versée au dossier, il a tout consigné. "Ils sont arrivés par la terrasse et par la porte d’entrée, qu’ils ont défoncée à coups de pioche et de hache. Ils étaient dirigés par un homme blond, grand, fort, qui marchait au pas de course. Les autres l’appelaient "mon lieutenant". J’ai su plus tard qu’il s’appelait Le Pen."
Le père de Mohammed, Ahmed Moulay, était un haut responsable politico-militaire du Front de libération nationale (FLN), mais les paras cherchaient plutôt un de ses beaux-frères : le jeune Ahmed leur aurait dit qu’il n’était plus là. "Le lieutenant a fait un signe du doigt en le montrant aux paras. Mon père a été basculé du haut des escaliers et il a dégringolé jusqu’à la cour."
La suite, Mohammed affirme l’avoir vue depuis l’entresol, où il se trouvait avec sa mère et ses frères et sœurs. Son père déshabillé, attaché aux piliers de la cour, torturé à l’eau savonneuse (administrée de force dans la bouche). Emmené ensuite dans son magasin, à côté, pour un supplice à l’électricité. "On ne voyait plus ce qui se passait, on n’entendait que les cris", se souvient Mohammed. Puis le silence, et une rafale de mitraillette. Le corps retrouvé un peu plus loin, le ventre gonflé d’eau, "la poitrine et le visage troués de balles, les commissures des lèvres tailladées".
Le poignard, donc. Mohammed Cherif Moulay assure l’avoir trouvé le lendemain, dans "le couloir sombre qui menait à la cour", et l’avoir caché dans la boîte du compteur électrique. Il comptait le remettre au musée des Moudjahidine d’Alger. Sur le fourreau était écrit : "JM Le Pen 1er REP". La présidente de la 17e chambre, Edith Dubreuil, a interrogé à ce sujet Florence Beaugé, auteur des articles incriminés. "Savez-vous ce qu’est devenu ce poignard ?" a demandé la présidente. "Oui, je l’ai vu", a répondu la journaliste. "A-t-il été remis au musée ?" "Non... Il est là."
Murmures dans la salle. Me Yves Baudelot, avocat du Monde, a porté le poignard à la présidente. Me Wallerand de Saint-Just, pour Jean-Marie Le Pen, a examiné la pièce, un poignard du type de ceux des jeunesses hitlériennes, marqué au nom de Le Pen. "Autant charger la barque", a ironisé l’avocat.
A la barre, Florence Beaugé a expliqué n’avoir "jamais cherché ni voulu enquêter sur Jean-Marie Le Pen". Ni même sur la guerre d’Algérie. Chargée de couvrir l’actualité algérienne, elle a dû se rendre à l’évidence : le passé surgissait, indissociable du présent. Et avec lui, des noms. Celui de Le Pen revenait sans cesse. Le jeune député poujadiste, engagé volontaire en Algérie, y avait laissé des souvenirs aussi "terribles" que son séjour a été bref (de janvier à fin mars 1957, où il fut décoré de la croix de la valeur militaire par le général Massu). Pourquoi ? s’est-elle demandé : "Parce qu’il était devenu un homme politique connu et que son nom était associé à une très grande violence."
La journaliste a raconté comment, dès l’an 2000, son travail l’a conduite à recueillir les témoignages de victimes de la torture, puis de tortionnaires. Cela commence par le récit de Louisette Ighilahriz, torturée et violée au PC du général Massu. Viennent ensuite les révélations du général Massu sur la torture en Algérie, ses "regrets" que "les choses soient allées si loin" ; les dénégations du général Bigeard, qualifiant de "pur tissu de mensonge" le témoignage de Louisette Ighilahriz qu’avait validé Massu ; enfin les aveux du général Aussaresses, avant qu’il n’écrive son livre. Un nouveau contexte historique est créé. Où viennent s’inscrire de nombreux témoignages concordants - sans être identiques - sur le passé algérien de Jean-Marie Le Pen. Le Monde a rapporté le récit de cinq d’entre eux. Victimes ou témoins des exactions qu’aurait commises la section du lieutenant Le Pen, notamment cette nuit du 2 au 3 février 1957 dans la casbah. Florence Beaugé dit les avoir entendus plusieurs fois séparément. Deux d’entre eux sont venus témoigner à la barre, Mohammed Cherif Moulay et Abdelkader Ammour.
Jean-Marie Le Pen n’était pas présent jeudi à l’audience. Le tribunal a entendu son unique témoin, le général Louis Martin, qui était, au 1er régiment étranger de parachutistes (1er REP), capitaine de l’unité de Jean-Marie Le Pen. Il a affirmé que le comportement de son lieutenant, chef de section d’une compagnie d’appui chargée de l’exploitation du renseignement et des arrestations, avait "toujours été très militaire et très humain". La torture a sans doute existé, a-t-il dit, "mais pas dans ma compagnie".
"Je procédais moi-même à l’interrogatoire des détenus. J’étais le seul officier à le faire. Le lieutenant Le Pen n’a pas procédé au moindre interrogatoire", a précisé le général Martin. "Et les arrestations ?" a demandé la présidente. "Les chefs de section pouvaient avoir pour mission d’arrêter certains suspects, et mener une action psychologique vis-à-vis des détenus : les instruire au plan politique. -Jean-Marie Le Pen- prenait une dizaine de détenus à la fois. Il leur parlait amicalement, d’ailleurs." Le poignard, à nouveau : le général juge cette histoire "ridicule" et "invraisemblable". Il a examiné le poignard que lui montrait la présidente. "Ce n’est pas une arme militaire en service dans l’armée française, a-t-il conclu. Je trouve ça risible."
Me de Saint-Just a rappelé que la casbah, haut lieu de la résistance du FLN et où sont situés les témoignages contre M. Le Pen, était le secteur du colonel Bigeard et non celui du 1er REP, affecté au centre d’Alger. Dans Le Monde, où il opposait son "démenti total et formel"aux témoignages publiés, M. Le Pen avait déclaré n’avoir jamais été à la casbah. Une attestation du général Aussaresses, versée au dossier, est plus nuancée. "Quand une mission de leur régiment débordait dans le secteur autre que le leur, écrit-il, ce n’était pas un problème mais une affaire de camaraderie. Les territoires affectés étaient perméables. On dépassait les vanités personnelles pour donner la priorité au rendement. Les officiers du 1er REP pouvaient donc aller dans la casbah."
Le directeur de la rédaction du Monde, Edwy Plenel, a été entendu à son tour. Justifiant la publication de ces articles par le sérieux de l’enquête et "l’enjeu de mémoire", du point de vue de l’identité politique de Jean-Marie Le Pen, de l’histoire nationale, du rapport à l’humanité.
Il y eut aussi à l’audience deux témoins, deux des premiers à dénoncer dans le désert l’existence de la torture en Algérie. L’historien Pierre Vidal-Naquet et le journaliste Henri Alleg ont évoqué les exactions commises par le lieutenant Le Pen pendant la bataille d’Alger. Henri Alleg a rendu hommage au travail de Florence Beaugé, "non pas pour avoir découvert une vérité qui est connue", mais pour avoir montré aux Algériens que "tous les Français ne sont pas des Jean-Marie Le Pen, tous les Français n’admettent pas ce qui s’est passé dans leur pays et souhaitent pour les générations qui viennent une fraternité et une amitié qui n’auraient jamais dû disparaître".
Suite et fin du procès vendredi 16 mai.
Marion Van Renterghem
" La délégation CFDT a le sentiment ce soir d’avoir sauvé notre système de retraite par répartition", disait-il. Il lui restait encore à convaincre bien des récalcitrants dans sa propre organisation, d’où sans doute son émotion. Cela se passait peu avant le journal de 20 heures, comme si ce dernier représentait un butoir médiatique à ne pas dépasser.
François Fillon, qui avait brillé par son absence mardi, au soir des grandes manifestations hostiles à sa réforme, était cette fois présent au journal télévisé de France 2. Il citait dûment la déclaration de François Chérèque. On imaginait pendant ce temps Bernard Thibault et Marc Blondel affûtant leurs armes et concoctant leur riposte mais on ne les voyait pas. Ils laissaient leurs lieutenants s’exprimer à leur place, se réservant sans doute pour plus tard.
François Fillon, qui a probablement médité l’échec d’Alain Juppé en décembre 1995, s’en tenait au registre de la modestie. Alors, c’est gagné ? lui demandait Pujadas. Je ne dis pas cela, répondait-il, évitant de polémiquer avec la CGT et FO. Cela donnait des formules étonnantes de retenue, conforme au goût pour la litote déjà souvent manifesté par le ministre des affaires sociales.
"La CGT n’a pas beaucoup l’habitude d’accompagner les réformes jusqu’au bout", constatait-il. Ah que doucement ces choses-là sont dites ! Bref, le ministre était sûrement content d’avoir enfoncé son coin, mais il se serait fait tuer sur place plutôt que de se lancer dans une danse du scalp, ou d’entonner "On a gagné !" comme un supporteur un soir de victoire. Cela n’a d’ailleurs pas l’air, mais alors pas du tout, d’être le genre du personnage. Cette placidité troublait-elle Pujadas ? Toujours est-il que le présentateur de France 2 concluait l’entretien en donnant du "Monsieur le premier ministre" à François Fillon.
L’intéressé, interloqué, haussait un sourcil charbonneux mais ne bronchait pas. Il était resté de marbre face aux cortèges du 13 mai. Il n’allait pas se troubler pour si peu.
dominique dhombres
COLLECTIF DE LA COMMUNAUTE TUNISIENNE EN EUROPE
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<p class=MsoNormal style="MARGIN: 0cm 0cm 0pt; TEXT-ALIGN: center" align=center><b><font face=Arial>1, rue Cassini, 75014 Paris ; Tél. : 01 43 29 68 98 ; Mél : </font><a target="_blank" href="/ym/Compose?To=msfar@wanadoo.fr"><font face=Arial>msfar@wanadoo.fr</font></a><o:p></o:p></b></p>
<p class=MsoNormal style="MARGIN: 0cm 0cm 0pt"><b><o:p><font face=Arial> </font></o:p></b></p>
<p class=MsoNormal style="MARGIN: 0cm 0cm 0pt"><o:p><font face=Arial> </font></o:p></p>
<p class=MsoNormal style="MARGIN: 0cm 0cm 0pt"><font face=Arial>Important et Urgent :</font></p>
<p class=MsoNormal style="MARGIN: 0cm 0cm 0pt"><o:p><font face=Arial> </font></o:p></p>
<p class=MsoNormal style="MARGIN: 0cm 0cm 0pt"><b><span style="FONT-FAMILY: 'Courier New'"><o:p><font face=Arial></font></o:p></span></b></p>
<p class=MsoNormal style="MARGIN: 0cm 0cm 0pt; TEXT-ALIGN: center" align=center><span style="FONT-SIZE: 14pt"><font face=Arial><strong><font size=3>Communiqué :<o:p></o:p></font></strong></font></span></p>
<p class=MsoNormal style="MARGIN: 0cm 0cm 0pt; TEXT-ALIGN: center" align=center><span style="FONT-SIZE: 14pt"><o:p><font face=Arial size=3><strong> </strong></font></o:p></span></p>
<p class=MsoNormal style="MARGIN: 0cm 0cm 0pt; TEXT-ALIGN: center" align=center><span style="FONT-SIZE: 14pt"><font face=Arial><strong><font size=3>Affaire Ferchchi, demandeur d'asile en France :<o:p></o:p></font></strong></font></span></p>
<p class=MsoNormal style="MARGIN: 0cm 0cm 0pt; TEXT-ALIGN: center" align=center><span style="FONT-SIZE: 14pt"><o:p><font face=Arial size=3><strong> </strong></font></o:p></span></p>
<p class=MsoNormal style="MARGIN: 0cm 0cm 0pt; TEXT-ALIGN: center" align=center><span style="FONT-SIZE: 14pt"><font face=Arial><strong><font size=3>Demande d'enquête policière pour escroquerie<o:p></o:p></font></strong></font></span></p>
<pclass=MsoNormal style="MARGIN: 0cm 0cm 0pt"><o:p><font face=Arial> </font></o:p></p>
<p class=MsoNormal style="MARGIN: 0cm 0cm 0pt"><o:p><font face=Arial> </font></o:p></p>
<p class=MsoNormal style="MARGIN: 0cm 0cm 0pt"><font face=Arial>Suite au communiqué de Monsieur Omar Mestiri envoyé à TUNISNEWS le 13 Mai 2003 faisant état de l'imposture commise de la part de Tarek, frère de Béchir Ferchichi, qui s'est présenté sous la fausse identité de frère de « Maher Osmani », et suite à notre enquête à Paris, nous sommes arrivés à cette conclusion qu'il y a tout lieu de penser que nous avons été victimes d'une inqualifiable escroquerie de la part du dénommé Béchir Ferchichi qui aurait très vraisemblablement monté ce scénario de victime du régime tunisien et inventé le personnage de « Maher Osmani » pour prétendre qu'il est décédé suite à sa prétendue arrestation. </font></p>
<p class=MsoNormal style="MARGIN: 0cm 0cm 0pt"><font face=Arial><span style="mso-tab-count: 1"> </span></font></p>
<p class=MsoNormal style="MARGIN: 0cm 0cm 0pt"><font face=Arial><span style="mso-tab-count: 1"></span>Devant cette machination diabolique, nous demandons instamment aux autorités françaises - autant que tunisiennes - de diligenter une enquête judiciaire afin de mettre toute la lumière sur cette affaire et punir les coupables.</font></p>
<p class=MsoNormal style="MARGIN: 0cm 0cm 0pt"><font face=Arial><span style="mso-tab-count: 1"> </span></font></p>
<p class=MsoNormal style="MARGIN: 0cm 0cm 0pt"><font face=Arial><span style="mso-tab-count: 1"></span>Nous restons à la disposition de la justice pour en témoigner.</font></p>
<p class=MsoNormal style="MARGIN: 0cm 0cm 0pt"><o:p><font face=Arial> </font></o:p></p>
<p class=MsoNormal style="MARGIN: 0cm 0cm 0pt"><font face=Arial>Paris, le 16 mai 2003 </font></p>
<p class=MsoNormal style="MARGIN: 0cm 0cm 0pt"><o:p><font face=Arial> </font></o:p></p>
<p class=MsoNormal style="MARGIN: 0cm 0cm 0pt"><o:p></o:p><b><font face=Arial>Le Président :</font></b><b><o:p><font face=Arial> </font></o:p></b></p>
<p class=MsoNormal style="MARGIN: 0cm 0cm 0pt"><b><o:p></o:p></b><b><i><font face=Arial>Mondher Sfar<o:p></o:p></font></i></b></p>
<p class=MsoNormal style="MARGIN: 0cm 0cm 0pt"><o:p><font face=Arial> </font></o:p></p>
<p class=MsoNormal style="MARGIN: 0cm 0cm 0pt"><font face=Arial>Copies :</font></p>
<p class=MsoNormal style="MARGIN: 0cm 0cm 0pt"><font face=Arial>- Au Ministère de la Justice, Paris ;</font></p>
<p class=MsoNormal style="MARGIN: 0cm 0cm 0pt"><font face=Arial>-Au Ministère de l'Intérieur, DLPAJ, Paris ;</font></p>
<p class=MsoNormal style="MARGIN: 0cm 0cm 0pt"><font face=Arial>- Au Ministère des Affaires Etrangères, Paris ;</font></p>
<p class=MsoNormal style="MARGIN: 0cm 0cm 0pt"><font face=Arial>- A l'OFPRA,</font></p>
<p class=MsoNormal style="MARGIN: 0cm 0cm 0pt"><font face=Arial>- A l'Ambassade de Tunisie en France.</font></p></div>
<div class=art-txt align=justify><font face=Arial size=3></font> </div>
<div class=art-txt align=justify>
<div><font face=Arial><strong></strong></font> </div><font face=Arial></font></div><font face=Arial></font></div>
<div><font face=Arial size=3><strong></strong></font> </div>
<div><font face=Arial size=3><strong>VI Tennis :</strong></font></div>
<div><strong><font face=Arial size=3></font></strong> </div>
<div><font face=Arial></font> </div>
<div><font face=Arial><a target="_blank" href="http://www.sporever.be/Tennis/Tennis_Masculin/article_108824.shtml" >http://www.sporever.be/Tennis/Tennis_Masculin/article_108824.shtml</a></font></div>
<div><font face=Arial></font> </div>
<div><font face=Arial><strong><span class=sc1>TENNIS - UN GRAND CHAMPION QUITTE LA COMPETITION PROBABLEMENT DEFINITIVEMENT</span><br><span class=se11></span></strong></font></div>
<div><font face=Arial><strong><span class=se11>Sampras ne jouera plus en 2003</span><br><span class=se1></span></strong></font></div>
<div><font face=Arial><strong><span class=se1>16 mai 2003 - <a target="_blank" href="/ym/Compose?To=jean.rebuffat@lesoir.be">Jean Rebuffat</a></span></strong> </font></div>
<p align=justify><font face=Arial><strong>Pete Sampras, à la surprise générale, avait gagné en 2002 l'US Open. Depuis, il s'est fait invisible, ne faisant plus parler de lui que dans les rubriques people des magazines, avec la naissance de son premier enfant. En 2003, il ne reprendra pas la compétition et n'exclut pas un éventuel mais très hypothétique retour en 2004.</strong></font></p>
<p align=justify><font face=Arial>Pete Sampras, un monument du tennis avec ses quatorze victoires en Grand Chelem, vient de renoncer à Roland-Garros et à Wimbledon, et paraît, à 31 ans, prêt à abandonner le sport de haut niveau pour se consacrer à son nouveau rôle d'époux et de père. </font></p>
<p align=justify><font face=Arial>«J'ai déclaré forfait pour Wimbledon», a annoncé le champion américain, jeudi soir, en marge de la rencontre de NBA entre les Los Angeles Lakers et les San Antonio Spurs. «La retraite, je n'y suis pas encore totalement. Il existe encore une chance pour que je joue l'année prochaine», a-t-il dit.</font></p>
<p align=justify><font face=Arial> L'ancien numéro un mondial, qui n'a plus participé à un tournoi depuis sa victoire en septembre dernier à l'US Open, son 14e titre du Grand Chelem, s'est inscrit à plusieurs tournois depuis le début de l'année pour à chaque fois se retirer au dernier moment. «Je n'en suis pas encore à refermer la porte à 100 %. J'y verrai plus clair à la fin de l'année, a ajouté Sampras. Mais je sais ce qu'il en coûte pour être compétitif - l'entraînement, la préparation et une mobilisation sept jours sur sept - et ce n'est pas mon truc en ce moment». «Ce sera dur d'être assis à la maison et de regarder Wimbledon à la télévision, a reconnu Sampras. Je ne joue pas juste pour jouer. Je place la barre très haut et je veux être le meilleur». Son dernier Grand Chelem obtenu en septembre dernier avait ravivé l'éclat de ses glorieuses années 1990, après une période de huit mois de galère. Il avait battu Andre Agassi au terme de ce qu'on avait appelé la finale des trentenaires.</font></p>
<p align=justify><font face=Arial>Le joueur, d'origine grecque, a remporté 64 titres, dont sept fois Wimbledon, un record qu'il partage avec le Britannique William Renshaw, qui les obtint à une époque où le tournoi n'était pas international, cinq fois l'US Open et deux fois les Internationaux d'Australie. Seul Roland-Garros manque au palmarès du meilleur joueur mondial de l'histoire du tennis qui fut N.1 pendant 286 semaines, de 1993 à 1998. Il a gagné plus de 43,28 millions de dollars en prix au cours de sa carrière et détient un autre record, celui d'avoir gagné au moins un tournoi du Grand Chelem pendant huit années consécutives, de 1993 à 2000, à égalité avec le Suédois Bjorn Borg. Il est enfin, avec Ivan Lendl, l'Américain d'origine tchécoslovaque, le recordman des titres du Masters avec 5 trophées. Mais «Pistol Pete», depuis que son épouse, la comédienne Bridgette Wilson, a donné naissance à leur premier enfant Christian Charles, en novembre dernier, veut consacrer davantage de temps à sa famille.</font></p>
<p align=justify><font face=Arial><strong>(Avec AFP)</strong></font></p>
<div class=art-txt align=justify><font face=Arial><u><font color=#800080></font></u></font> </div>
<div class=art-txt align=justify><font face=Arial><strong></strong></font> </div></span>
<div align=justify><span style="FONT-SIZE: 10pt; FONT-FAMILY: 'Bookman Old Style'; mso-bidi-font-size: 9.0pt"><font face=Arial color=#800080></font></span> </div><font face=Arial size=2><font size=2><font size=2><font size=2><font size=2><font size=2><font size=2><font size=2><font size=2><font color=#000099><font color=#000000><font color=#800080><font color=#000000>
<div>
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<div align=left> </div>
<div align=left></font></font></font></font><font color=#808080><font size=6>A lundi</font></font></font></font></font></font></font></font></font></font></font></font></font></div></div></div></div></div></font></div></div>