En réponse à :
28 mai 2003, par Malek Limam
Au quatrième jour d’isolement dans un cachot d’un mètre carré à Mornag, le matin tôt le gardien m’a fait sortir pour me laver le sang qui avait séché et collé partout sur ma peau ; je ne pouvais ni me lever ni marcher à cause des plaies ouvertes et des douleurs ; je n’avais aucune énergie, je tremblais de froid et de faim ; une visite médicale et des soins auraient été vraiment nécessaires, hélas je n’avais le droit à rien.
Les instructions étaient : interdiction absolue d’avoir des contacts avec qui que ce (...)