En réponse à :
6 mars 2003, par Salah Karker
Est-ce qu’on a besoin d’un front de salut national en Tunisie, regroupant le maximum des composantes de l’opposition tunisienne ?
Ou, en face de cette question, est-ce qu’une de ces composantes de l’opposition, qui soit importante en terme de poids et de crédibilité, serait capable de libérer le pays, toute seule, du joug de la dictature et d’instaurer une vraie alternative démocratique dans le pays ?
Aucune des formations de l’opposition n’est, à elle seule, capable d’accomplir cette mission. (...)