Mon amie ne sait pas rediger un com sur un article. Du coup il voulais souligner par ce commentaire qu’il est ravi du contenu de ce blog internet.
je vous remercie
bourguiba abderrazak
I like to party, not look articles up online. You made it hpaepn.
On est mardi 1er novembre 2011, déjà neuf mois que ben ali s’est enfui et il est caché, comme un rat, en Arabie Saudite. Son collègue Gaddafi a été tué.
Après la lecture de cette lettre, tout cela parait être comme un cauchemar pour celles et ceux qui ne l’ont pas vécu personnellement. Cependant, le mal a sévi longtemps, beaucoup trop longtemps en Tunisie. Il est temps que ça change.
Tout un système policier qui s’effondre, la justice vient de renaître, certes encore fragile mais sera équitable insh’Allah.
Oui il a un fils qui est mon meilleur ami et croyez moi, même si son père et loin de lui sa ne fait pas de lui un mauvais père il s’occupe très bien de lui et Selim va le voir de temps en temps. Je suis au cœur de cette affaire et je peux donc savoir les ressentis de chacun...
ةcoutez quand on ne connait pas la personne on ne juge pas ! Je connais personnellement Monsieur Tebourski et je sais que c’est un homme bon, et je pense que si il a demander a rester en France c’est surtout pour son Fils !
Ne le jugez pas car vous ne le connaissez pas comme je le connais ! Je suis la meilleure amie de son fils Selim. Je sais qu’Adel est un homme bon alors arrêtez tous vos blabla et essayer donc de comprendre le fond de la chose. Merci et bonne soirée
the death of an African giant
Par : Y. Mérabet
En outre, contrairement à ce que pensent aujourd’hui de nombreux libyens, la chute de Kadhafi profite à tout le monde sauf à eux. Car, dans une Afrique où les pays de la zone subsaharienne riche en ressources minérales tournaient complètement le dos à la France pour aller vers la Chine, il fallait bien que monsieur Sarkozy trouve un autre terrain fertile pour son pays. La France n’arrive plus à vendre ses produits manufacturés ou de décrocher un marché en Afrique, elle risque de devenir un PSD C’est pour cela que l’on a vu une France prête à tout pour renverser ou assassiner Kadhafi ; surtout quand l’on sait que la Libye est l’une des premières réserves en Hydrocarbures d’Afrique et de Sebha est la capitale mondiale du trafic Franco-libyen de concentré d’uranium Nigérien. Egalement, l’on sait que jusqu’ici, les populations libyennes n’avaient rien à envier aux Français, ils vivaient richement mieux sans se suer. Puisque Kadhafi faisait tout son possible pour les mettre à l’abri du besoin. Il est donc temps pour les libyens de choisir pleinement futur partenaire occidental. Car si en cinquante ans de coopération la France n’a pu rien apporter à l’Afrique subsaharienne. Vat-elle apporter maintenant aux libyens un bonheur supérieur à celui que leur donnait leur Guide. Rien à offrir à ces ignorants de libyens, sauf des repas communs dans les poubelles de la ville Paris, en France c’est déjà la famine ? Lui, qui durant plusieurs décennies était l’un des faiseurs d’hommes les plus efficaces sur le continent Africain. De son existence, Kadhafi était le leader le plus généreux d’Afrique. Pas un seul pays africain ne peut nier aujourd’hui n’avoir jamais gouté un seul pétro –Dinar du guide Libyen. Aveuglement, et motivé par son projet des Etats-Unis d’Afrique, Kadhafi de son existence a partagé l’argent du pétrole libyen avec de nombreux pays africains, qu’ils soient Francophones, Anglophones ou Lusophones. Au sein même de l’union Africaine, le roi des rois d’Afrique s’était presque érigé en un bailleur de fond très généreux. Jusqu’à l’heure actuelle, il existe sur le continent de nombreux présidents qui ont été portés au pouvoir par Kadhafi. Mais, curieusement, même pas un seul de ces élèves de Kadhafi n’a jusqu’ici eu le courage de lui rendre le moindre hommage.Au lendemain du vote de la résolution 1973 du conseil de sécurité de l’ONU, certains pays membres de l’union africaine sous l’impulsion de Jacob Zuma ont tenté d’apporter un léger soutien au guide libyen. Un soutien qui finalement s’est éteint totalement sans que l’on ne sache pourquoi. Même l’union africaine qui au départ conditionnait avec amertume la prise du pouvoir libyen par un groupe de terroristes et la reconnaissance du CNT libyen constitués de traitres, s’est finalement rétracté de façon inexplicable. Et curieusement, jusqu’aujourd’hui, aucun gouvernement consensuel n’a été formé en Libye. Depuis l’annonce de l’assassinat de Mouammar Kadhafi, cette union africaine dont Mouammar Kadhafi était pourtant l’un des principaux défenseurs et ayant assuré le dernier mandat, n’a encore délivré aucun message officiel de condoléance à ses proches ou de regret. Egalement, même ceux qui hier tentaient de le soutenir n’ont pas eu le moindre courage de lever leur petit doigt pour rendre hommage à leur mentor. Jusqu’à l’heure actuel, seul l’ancien archevêque sud-africain et prix Nobel de paix Desmond TUTU a regretté cet acte ignoble. Même le président Abdoulaye Wade que l’on sait pourtant proche des révoltés libyens n’a pas encore salué la mort de l’homme qu’il souhaitait tant. Le lendemain de sa mort, un vendredi pas un musulman n’a prié pour lui ?.. A ce jour, sur le continent Africain, seul l’homme de la rue et les medias ont le courage de parler de cette assassina crapuleux du guide libyen. Mais, cette attitude des dirigeants africains ne surprend personne, dans la mesure où l’on sait que chaque président a peur de se faire remarquer par un Nicolas Sarkozy qui est capable de tout si la tête d’un président africain ou d’un arabe l’énerve.
Conclusion La Libye et l’Afrique toute entière viennent de tourner une page d’or avec la perte de Mouammar .
Traitre et maudit que je sois, si j’étais un libyen ?
Journaliste indépendant (Algérian Society for International Relations)
119, Rue Didouche Mourad
Alger centre
J’ai écrit un livre qui mérite d’être lu :
TOUT EST POSSIBLE - L’AVENIR DE LA TUNISIE
Vous pouvez télécharger le livre sur mon site Internet :
http://www.go4tunisia.de
Dr. Jamel Tazarki
Allemagne
Ma mére Térésa oui notre mére je suis abderrazak bourguiba le frére de mon meilleur ami Farouk .
vous peut etre me connait mais je pense pas que nous avont eu l’occasion de vous voir .
je suis désolé pour ce qui a passé pour mon frére Farouk .
Omar etait un homme exeptionnel un vrai homme j’ai passé avec lui 6 mois dans le prison nous étions plus que deux fréres.
soyez fiére de Farouk
et que la paradi soit pour lui
La Monarchie Constitutionnelle est l’avenir est la garantie des droits et libertés pour la Tunisie, la Libye et toute l’Afrique du Nord. Le Roi est l’âme du peuple, Il est porteur du sentiment d’unité nationale et du patrimoine historique du peuple. LA MONARCHIE CONSTITUTIONNELLE EST LE PLUS SUR MOYEN POUR EVITER QU’UN PRESIDENT FINISSE UN JOUR EN DICTATEUR (voyez le cas du roi d’Espagne, sauveur des libertés après le Franquisme).
Bonjour Mesdames, Messieurs,
Je souhaite attirer votre attention sur le faite que ce Barbouze comme vous le dites, a retourné sa veste à l’instant où il s’est assuré du départ définitif du ZABA plus exactement le 18 Janvier 2011.
Mais encore ce dernier qui détient pas un seul titre comme auprès du RCD mais aussi faison parti de plusieurs association et surout la chambre Franco-Tunisienne de marseille ou il a volé récemment le portfolio pour se faire une nouvelle peau et une nouvelle virginité auprès de la Tunisie, avec un pseudo symposium tenue au pôle technologique sis à la Gazelle (Ariana).
Rappel du passé : Khaled Néji représentant de l’office de l’huile près du consulat générale de Tunisie à Marseille a été victime de sa (Stoufida).
Monsieur Kahled Néji a été limogé de son poste, radié de ses fonctions, décédés suite à une attaque cardiaque après avoir visité les prisons Tunisiennes
Je souhaite que cette personne n’intervienne plus sur le sol Tunisien afin de crée des réseaux encore pire qu’avant et revenir au pouvoir par la fenêtre.
Aidez moi à dire la vérité sur ce malheureux de la Sbikha (kairouan) qui fout la honte à son peuple.
Ce Virus, qui trompe sa femme sans scrupule ni honte. A trahit ce que nos ancêtres ont essayé de bâtir, bravour, fraternité dévouement, sincérité.
Il est et il sera toujours à l’antipode des Tunisiens , lèches botes et au plurielles
Vive la Tunisie sans hypocrites
bonjour je suis tres heureuse que mr tlili soit libere mais je n arrive pas avoir de nouvelles precises je tiens a dire que c est un MONSIEUR exceptionnel et qu il ne merite vraiment pas ce qu il a endure j aimerai pouvoir lui exprimer tte ma sympathie
Voilà quatre ans se sont écoulés et votre combat a porté ses fruits. J’aurais pas osé signer ces quelques mots par mon nom réel si vous n’avez pas milité pour ’ma’ liberté. Reconnaissante et le mot ne peut résumer ce que je ressens et tout le respect que je vous porte.
Merci...
Lilia Weslaty
Les petits cons s’amusent à faire leurs graffitis imbéciles même sur les statues couvertes de prestige et d’histoire de Carthage ; on en a maintenant fini avec Ben Ali, avec la censure et l’étouffement des idées et de coeur opéré par son régime. Mais on en finira jamais avec l’idiotie des fondamentalistes islamiques qui promenent leurs femmes en burka, parce que c’est la seule façon par laquelle savent voir une femme : comme une bête dangeureuse. On en finira pas facilement, terrible dictature, avec ceux qui demandent maintenant de couper les mains, les jambes et les bras, suivant l’obsolète loi coranique, sans se faire aucun souci de l’Homme. Jésus, le Christ en est le plus grand champion, le Rédempteur de l’humanité, Lui qui a porté la Croix pour nous TOUS ; quant à la mafia et à al-Capone, nous les plaçerons comme un héritage historique de cet islam que tant s’acharnent à défendre par l’ignorance (mafia vient de l’arabe dialectal anciene "mafiah", c’est-à-dire "protection", la mafia est nait et c’est culturellement radiquée dans une ancienne terre d’islam, la Sicile)
j’ai aimé ce que vous pensé . suis de ton coté. tu me trouvera a l’appui
Sommaire :
Partie arabe : (Al Quds Al Arabi) :
Bonne lecture !
Le premier ministre israélien a proposé jeudi au général de réserve Shaoul Mofaz le portefeuille de la défense, devenu vacant après la démission du numéro un travailliste Benyamin Ben Eliezer.
Le général Mofaz, 53 ans, a quitté l’uniforme en juillet dernier. C’est Benyamin Nétanyahou, ancien premier ministre, qui l’avait propulsé à la tête de l’armée en juillet 1998. Sans tenir compte du devoir de réserve, le général Mofaz a publiquement dénoncé les accords d’Oslo (1993) sur l’Autonomie palestinienne en les qualifiant de "pire erreur jamais commise par Israël".
Il a lancé en mars l’offensive "Mur de protection" en Cisjordanie, qui a abouti à la réoccupation de la plupart des secteurs autonomes de la région.
Le général Mofaz est né en Iran, et appartient au "clan des Perses", qui regroupe des personnalités telles que le président de l’Etat Moshé Katsav ou l’ex-chef de l’armée de l’air, le général Eytan Ben Elyahu, identifiées à la droite nationaliste.
Marié et père de quatre enfants, le prochain ministre de la défense est un parachutiste qui a commandé les régions militaires centre et sud d’Israël. Il a aussi été commandant en chef adjoint de l’unité d’élite des commandos de l’état-major et dirigé le département de la planification de l’armée.
Ce militaire a commencé sa carrière en 1966 et participé à la spectaculaire opération de sauvetage des otages d’un Airbus détourné en Ouganda en 1977.
Avant de présenter son ultime rapport militaire au gouvernement en juillet dernier, il avait à mots couverts fait part de ses ambitions en affirmant : "C’est la dernière fois que je suis présent ici en tant que chef d’état-major."
Selon un officiel israélien, qui a requis l’anonymat, le général Mofaz a accepté d’assumer cette fonction, mais il devra au préalable obtenir l’assentiment du gouvernement et de la Knesset (Parlement). Arnon Perlman, assistant de M. Sharon, affirme ne pas connaître les procédures, à savoir si la nomination de Shaoul Mofaz doit ou non être approuvée par la Knesset.
Selon le Jerusalem Post, le premier ministre aurait déclaré au président Katsav qu’il faisait un effort pour former un gouvernement qui puisse tenir au moins jusqu’à ce que le budget soit voté par la chambre en deuxième et troisième lectures. Il aurait également confié au président qu’il avait fait de son mieux pour préserver l’unité gouvernementale et qu’il avait été surpris de la démission du ministre de la défense, Benjamin Ben Eliezer. Ariel Sharon a finalement affirmé qu’il voulait former "un gouvernement différent d’une composition différente".
Sa première décision a donc été de nommer, jeudi, Shaoul Mofaz. Yasser Arafat, rapporte le Haaretz, a immédiatement réagi sur la chaîne de télévision Al-Jazira, en s’inquiétant : "Avec Mofaz d’un côté, Ya’alon [le chef d’état-major] de l’autre et Sharon au-dessus d’eux, qu’est-ce que vous imaginez qui puisse bien se passer dans la région ?"
De son côté, rapporte le quotidien israélien, Ben Eliezer est aussi critique : "Je pense que Mofaz devrait d’abord passer par une étape intermédiaire", a déclaré le ministre de la défense démissionnaire sur la radio de l’armée. "Dans ce rôle de ministre de la défense, a-t-il poursuivi, il est important d’être un ministre de la défense et non pas un chef militaire. Il était un très bon chef militaire, mais...pour entrer dans le monde de la politique, il faut de l’expérience."
Le premier ministre israélien devait aussi s’entretenir avec Avigdor Lieberman, le chef d’une coalition d’extrême droite comprenant sept députés, qui pourrait lui assurer une majorité de rechange de 62 députés sur 120 au Parlement, selon la radio publique israélienne. Au début de la semaine, M. Lieberman s’était dit opposé à l’entrée dans un gouvernement que les travaillistes auraient quitté en expliquant qu’il ne voulait pas jouer le rôle de "roue de secours d’Ariel Sharon".
Pourtant, son entourage, rapporte le Jerusalem Post, aurait affirmé hier soir qu’il pourrait changer d’avis, notamment sous la pression de ses partenaires.
Le député Benny Elon, un membre de la coalition d’extrême droite, s’est ainsi déclaré favorable à l’entrée dans le prochain gouvernement.
"M. Sharon, dont la marge de manœuvre ne sera plus limitée par les travaillistes, va pouvoir mener la politique qu’il souhaite et il n’y aucune raison que nous n’entrions pas dans ce gouvernement de droite", a affirmé M. Elon à la radio.
M. Sharon a toutefois proposé à Shimon Pérès, qui était opposé au départ des travaillistes du gouvernement, de rester aux affaires étrangères ou de devenir "un émissaire spécial du gouvernement israélien à l’étranger".
Selon la radio militaire, M. Sharon veut "à tout prix reporter le plus tard possible" des élections afin de pouvoir choisir le moment le plus opportun pour affronter l’ancien premier ministre Benyamin Nétanyahou lors de primaires au sein de leur parti, le Likoud. Selon les derniers sondages, M. Nétanyahou talonne M. Sharon pour la direction du grand parti de la droite israélienne.
Sylvie Chayette avec AFP
Un Palestinien tué en Cisjordanie
Un Palestinien a été tué, jeudi, en Cisjordanie, lors d’échanges de tirs avec un officier israélien près d’une colonie juive aux abords de Ramallah, tandis qu’à Gaza trois Palestiniens ont trouvé la mort lors d’une explosion d’origine indéterminée dans une maison appartenant à un activiste du mouvement radical Hamas.
Avec AFP
AU-DELہ des enjeux électoraux qu’entraîne la démission des ministres travaillistes du gouvernement israélien, le thème évoqué pour la justifier pose une question de fond à toute la société israélienne. Dans une situation de crise économique et sociale telle qu’Israël n’en a plus connue depuis les années 1950, quelles doivent être les priorités gouvernementales ? Relancer les investissements et l’emploi et protéger les plus démunis, ou favoriser l’expansion des colonies dans les territoires palestiniens occupés ? Ariel Sharon a tranché en faveur de la seconde option. C’est une décision profondément politique.
Le soutien financier des pouvoirs publics en Israël au développement des "implantations" n’est pas nouveau. Avec des hauts et des bas, il a été poursuivi par la totalité des gouvernements depuis 1967. Mais l’avènement d’Ariel Sharon à la tête d’un cabinet d’union nationale, dans lequel le "lobby" des colons est largement représenté, a accéléré ce phénomène. Un audit du ministère israélien de l’intérieur indique qu’au delà des remises d’impôts, prêts immobiliers avantageux et autres faveurs accordées aux habitants des colonies, ceux-ci ont bénéficié en 2001 de crédits publics quatre fois supérieurs à ceux des zones urbaines déshéritées à l’intérieur d’Israël. Dans le budget 2003, hormis les 400,8 millions de dollars (420 millions d’euros) alloués aux colonies, plusieurs dizaines, voire plusieurs centaines d’autres, leur sont dévolus, par le biais de l’Autorité domaniale, des budgets des transports, de la défense, de l’industrie, du logement, de l’agriculture, etc. Il n’est quasiment pas un ministère qui ne dispose de crédits dévolus aux implantations.
Le mouvement des colons peut crier victoire. Mais, jusqu’en son sein, beaucoup s’inquiètent de l’activité croissante d’une minorité importante d’extrémistes religieux violents, qui agressent régulièrement les Palestiniens et n’ont pas hésité récemment à affronter l’armée pour empêcher l’évacuation de la "colonie sauvage" Havat Gilad. Israël compte des dizaines de ces minuscules implantations non agréées par le gouvernement. Se fondant sur l’expérience du passé, qui est souvent celle de leurs parents, les colons fanatiques sont persuadés que "ce qui est illégal aujourd’hui sera légal demain". Le poids politique de cette minorité messianique violente dépasse de beaucoup sa représentation numérique. Elle a le soutien idéologique de rabbins écoutés, de députés et de ministres, et bénéficie d’un appui au moins tactique d’une partie de l’état-major, dans une situation où son apport à la "guerre" contre l’Intifada peut être jugé efficace.
Mais quelle est l’efficacité historique d’un tel soutien public aux colons ? Responsable du mouvement israélien La Paix maintenant, Dror Etkes résume ainsi ses craintes dans le quotidien de référence Haaretz : un jour, un Etat palestinien existera, les colonies seront démantelées et, "si cela n’arrive pas, nous deviendrons un mélange d’Iran et de l’ancienne Afrique du Sud".
II Radio France :
http://www.lemonde.fr/article/0,5987,3236—296409-,00.html
Les journalistes travaillant dans les stations de radio publiques de Radio France s’inquiètent des interventions politiques récentes de leur président, Jean-Marie Cavada, a révélé Libération dans son édition du 31 octobre. Selon le quotidien, M. Cavada aurait plaidé pour une couverture radiophonique plus appropriée de l’action gouvernementale à la suite d’ échanges entre Dominique Ambiel, le conseiller en communication du premier ministre Jean-Pierre Raffarin, et M. Cavada.
D’après nos informations, les journalistes de France Inter et France Info, principalement visés, fustigent, davantage qu’une reprise en mains dictée par Matignon, un excès de zèle du président de Radio France. "Nous conservons une grande liberté de ton dans le traitement de l’actualité politique mais le souci de détail exercé par Cavada, parfois de façon surprenante, nous inquiète", explique un journaliste politique de la Maison Ronde.
Deux tracts, l’un émanant de la Société des journalistes (SDJ), l’autre du Syndicat national des journalistes (SNJ) ont offciellement dénoncé les "pressions", selon le SNJ, la tentation de "la censure" selon la SDJ. Dans un tract daté du 30 septembre, la SDJ qui regroupe les journalistes des rédactions nationales de France Inter, France Info et France Culture notamment, explique que "le président est intervenu personnellement à plusieurs reprises pour peser sur les différentes antennes du groupe". Quelques jours plus tard, le SNJ dénonce à son tour dans son "Flash " d’octobre les "pressions" exercées par M. Cavada sur les journalistes. M. Cavada, actuellement en congés, n’a pas pu être joint.
Deux exemples ont été jugés significatifs par les rédactions. Le 21 septembre, lors de la commémoration de la catastrophe de l’usine AZF à Toulouse, le maire de la ville Philippe Douste-Blazy (UMP) fait un discours, pendant lequel il est sifflé par une partie du public. Sur l’antenne de France Info, la journaliste ouvre ses flashs par des sifflets. Après un "coup de fil à la rédaction" de France Info, la présentatrice, selon le SNJ, est sommée de moins insister sur les sifflets. Autre intervention dénoncée : un présentateur du journal du matin, en contrat à durée déterminée se serait vu reproché de ne pas avoir placé une actualité gouvernementale en tête de son "J T". Il aurait, alors, été déplacé vers une autre tâche. Enfin, un éditorialiste politique a, quant à lui, été convoqué dans le bureau de Jean-Marie Cavada pour se voir signifier le sujet de sa chronique du jour : elle aurait dû porter, au moment du déplacement de M. Raffarin dans le Gard, sur "les dédommagements perçus par les familles". Le journaliste, qui a refusé d’obtempérer, avait choisi une thématique plus politique.
RشLE INةDIT
Se référant aux pressions directes qui avaient été, en leur temps, exercées par Valéry Giscard d’Estaing ou juste après l’arrivée des socialistes au pouvoir en 1981, de nombreux journalistes s’indignent du rôle inédit joué par le président de Radio France qui, selon eux, n’aurait jamais caché ses ambitions politiques. "Au moment du remaniement, il nous a poursuivis pour être ministre de la Communication", a affirmé à Libération un "proche de Raffarin". "Jamais, un président n’a servi de relais aux pressions, s’indigne un journaliste. Quand elles ont eu lieu, celles-ci se sont toujours faites en contradiction avec la rédaction". "Nous ne sommes pas entrés en résistance, précise de son côté un journaliste de France Inter,nous sommes simplement prudents". "Je n’ai jamais eu aucune directive et je n’en accepterai jamais", explique Patrick Roger, rédacteur en chef des journaux du matin.
Les initiatives des syndicats visent à rappeler à l’ordre un président qui "se prend parfois pour un super-rédacteur en chef" en en oubliant que "sa fonction lui interdit les interventions intempestives dans les conférences de rédaction", explique un journaliste. "La rédaction de France Inter est transparente, il n’y a jamais eu et n’y aura jamais de relais pour quelque pression politique que ce soit, c’est notre force", affirme Patrice Bertin, le directeur général adjoint de France Inter, en charge de l’information.
Florence Amalou et José Barroso
III Sarkozy :
http://fr.news.yahoo.com/021031/5/2ttwd.html
jeudi 31 octobre 2002, 17h31
Nicolas Sarkozy à Tunis
TUNIS (AP) - Le ministre français de l’intérieur, Nicolas Sarkozy, est arrivé jeudi dans la matinée à Tunis pour une visite de deux jours.
Au cours de son séjour, il aura des entretiens avec les responsables tunisiens. Selon le ministère français de l’intérieur, M. Sarkozy évoquera avec ses interlocuteurs des questions relatives à la lutte contre le terrorisme et à la situation des étrangers en France. Selon les chiffres officiels, environ 350.000 Tunisiens résident sur le territoire français. Il sera également question de l’état d’avancement de la consultation des musulmans de l’Hexagone. Avec cinq millions d’adeptes, l’islam est la deuxième religion en France.
Peu après son arrivée, le ministre français de l’intérieur a eu une séance de travail avec son homologue tunisien, Hédi M’henni. Il doit être reçu vendredi par le président Zine El Abidine Ben Ali.
M. Sarkozy mettra à profit le long week-end de la Toussaint pour effectuer un séjour privé en famille dans les oasis du sud tunisien.
IV Ambassade US en Tunisie :
Etats-Unis — Immigration
Le visa plus cher, des mesures plus fermes
Le consulat des Etats-Unis a organisé hier une rencontre avec la presse pour faire le point sur les nouvelles mesures d’octroi des visas et les nouvelles réglementations sécuritaires appliquées par les services d’immigration américains.
Présidé par Mme Allison Lee (vice-consul) et M. Philip Breeden, directeur du centre culturel américain, le point de presse avait pour but principal d’expliquer les nouvelles mesures ou plutôt la déclaration consulaire concernant les demandes et l’octroi des visas pour les Etats-Unis.
Ainsi, à partir du 1er novembre 2002, les frais du visa international (non-immigrant) s’élèveront à 100 dollars, les frais actuellement étant de 65 dollars.
Les frais encourus, est-il expliqué, ont pour objet de couvrir les coûts pour la gestion des services relatifs au visa international (non-immigrant).
Base de données
Le deuxième point concerne les nouvelles réglementations sécuritaires qui sont résumées par l’acronyme Nseers — traduit en système d’enregistrement des entrées-sorties pour la sécurité nationale, qui comprend un ensemble de règles sécuritaires dont INS — service d’immigration et naturalisation.
L’objectif de ce programme, affirme-t-on, est de développer une base de données efficaces relative aux visiteurs des Etats-Unis d’Amérique. Des procédures similaires sont déjà largement utilisées dans le cas des services gouvernementaux, bancaires et autres aux Etats-Unis et en Europe.
Le système Nseers requiert la prise des empreintes digitales et de photos de certains visiteurs aux portes d’entrée dans les aéroports américains. Le visiteur identifié doit être enregistré lors de son arrivée et de son départ. Cet enregistrement requiert que le visiteur soit pris en photo. Le visiteur sera également tenu de déclarer le motif de son séjour ainsi que sa durée. La personne désirant rester aux Etats-Unis plus de 30 jours sera interrogée dans le district du service d’immigration et de naturalisation le plus proche ou par un bureau représentatif.
Le visiteur devra notifier au service d’immigration et de naturalisation dans un délai de dix jours, tout changement d’adresse de sa résidence, du lieu de son emploi ou de son établissement sécuritaire.
Deux à trois mois…
Le visiteur devra s’assurer que son départ est enregistré par le responsable du contrôle désigné par le service d’immigration et de naturalisation qui se trouve au niveau des portes d’entrée - sorties spécifiques dans les aéroports américains. La liste de ces portes est disponible dans les bureaux du service d’immigration et de naturalisation ou sur le site web.
Les nouvelles mesures, qui pourraient causer des désagréments, concernent tout le monde et non une population donnée, explique M. Breeden, ajoutant que l’objectif est de ne pas voir se répéter les événements horribles du 11 septembre 2001. Quant aux délais d’octroi de visa, la vice-consul nous apprend que tous les cas sont étudiés individuellement et qu’elle « est en contact permanent avec Washington pour résoudre ou réduire les délais d’attente… ». Il faut remarquer qu’aucun délai précis n’a été fourni durant le point de presse, mais « il vaut mieux s’y prendre le plus tôt possible pour présenter sa demande…deux à trois mois. C’est le délai moyen pour obtenir son visa, mais les cas différent… », conclut Mme Lee.
D’autre part, M. Breeden nous apprend qu’actuellement trois hauts responsables appartenant à de prestigieuses universités américaines sont en visite à Tunis.
Ces administrateurs américains auront l’occasion de s’entretenir avec leurs homologues tunisiens, des responsables de haut niveau dans le domaine de l’enseignement et de la coopération internationale ainsi que des étudiants et autres personnes chargées des programmes d’échanges internationaux.