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22 octobre 2003, par angelica
Peut-on encore compter, tenir l’inventaire de toutes ces grèves de vie qui sont lancées comme des bouteilles à la mer, messages désespérés et privation de la vie pour demander à vivre ? Des prisonniers, des familles de prisonniers, des opprimés, tous ceux qui n’en peuvent plus d’étouffer.
L’année passée, Radhia Nasraoui elle-même protestait pour sauver la vie de son mari et de sa famille avec une grève de la faim. Faut-il rappeler qu’une grève de la faim, c’est un fil du rasoir avec la mort ?
Au premier (...)