Mon amie ne sait pas rediger un com sur un article. Du coup il voulais souligner par ce commentaire qu’il est ravi du contenu de ce blog internet.
je vous remercie
bourguiba abderrazak
I like to party, not look articles up online. You made it hpaepn.
On est mardi 1er novembre 2011, déjà neuf mois que ben ali s’est enfui et il est caché, comme un rat, en Arabie Saudite. Son collègue Gaddafi a été tué.
Après la lecture de cette lettre, tout cela parait être comme un cauchemar pour celles et ceux qui ne l’ont pas vécu personnellement. Cependant, le mal a sévi longtemps, beaucoup trop longtemps en Tunisie. Il est temps que ça change.
Tout un système policier qui s’effondre, la justice vient de renaître, certes encore fragile mais sera équitable insh’Allah.
Oui il a un fils qui est mon meilleur ami et croyez moi, même si son père et loin de lui sa ne fait pas de lui un mauvais père il s’occupe très bien de lui et Selim va le voir de temps en temps. Je suis au cœur de cette affaire et je peux donc savoir les ressentis de chacun...
ةcoutez quand on ne connait pas la personne on ne juge pas ! Je connais personnellement Monsieur Tebourski et je sais que c’est un homme bon, et je pense que si il a demander a rester en France c’est surtout pour son Fils !
Ne le jugez pas car vous ne le connaissez pas comme je le connais ! Je suis la meilleure amie de son fils Selim. Je sais qu’Adel est un homme bon alors arrêtez tous vos blabla et essayer donc de comprendre le fond de la chose. Merci et bonne soirée
the death of an African giant
Par : Y. Mérabet
En outre, contrairement à ce que pensent aujourd’hui de nombreux libyens, la chute de Kadhafi profite à tout le monde sauf à eux. Car, dans une Afrique où les pays de la zone subsaharienne riche en ressources minérales tournaient complètement le dos à la France pour aller vers la Chine, il fallait bien que monsieur Sarkozy trouve un autre terrain fertile pour son pays. La France n’arrive plus à vendre ses produits manufacturés ou de décrocher un marché en Afrique, elle risque de devenir un PSD C’est pour cela que l’on a vu une France prête à tout pour renverser ou assassiner Kadhafi ; surtout quand l’on sait que la Libye est l’une des premières réserves en Hydrocarbures d’Afrique et de Sebha est la capitale mondiale du trafic Franco-libyen de concentré d’uranium Nigérien. Egalement, l’on sait que jusqu’ici, les populations libyennes n’avaient rien à envier aux Français, ils vivaient richement mieux sans se suer. Puisque Kadhafi faisait tout son possible pour les mettre à l’abri du besoin. Il est donc temps pour les libyens de choisir pleinement futur partenaire occidental. Car si en cinquante ans de coopération la France n’a pu rien apporter à l’Afrique subsaharienne. Vat-elle apporter maintenant aux libyens un bonheur supérieur à celui que leur donnait leur Guide. Rien à offrir à ces ignorants de libyens, sauf des repas communs dans les poubelles de la ville Paris, en France c’est déjà la famine ? Lui, qui durant plusieurs décennies était l’un des faiseurs d’hommes les plus efficaces sur le continent Africain. De son existence, Kadhafi était le leader le plus généreux d’Afrique. Pas un seul pays africain ne peut nier aujourd’hui n’avoir jamais gouté un seul pétro –Dinar du guide Libyen. Aveuglement, et motivé par son projet des Etats-Unis d’Afrique, Kadhafi de son existence a partagé l’argent du pétrole libyen avec de nombreux pays africains, qu’ils soient Francophones, Anglophones ou Lusophones. Au sein même de l’union Africaine, le roi des rois d’Afrique s’était presque érigé en un bailleur de fond très généreux. Jusqu’à l’heure actuelle, il existe sur le continent de nombreux présidents qui ont été portés au pouvoir par Kadhafi. Mais, curieusement, même pas un seul de ces élèves de Kadhafi n’a jusqu’ici eu le courage de lui rendre le moindre hommage.Au lendemain du vote de la résolution 1973 du conseil de sécurité de l’ONU, certains pays membres de l’union africaine sous l’impulsion de Jacob Zuma ont tenté d’apporter un léger soutien au guide libyen. Un soutien qui finalement s’est éteint totalement sans que l’on ne sache pourquoi. Même l’union africaine qui au départ conditionnait avec amertume la prise du pouvoir libyen par un groupe de terroristes et la reconnaissance du CNT libyen constitués de traitres, s’est finalement rétracté de façon inexplicable. Et curieusement, jusqu’aujourd’hui, aucun gouvernement consensuel n’a été formé en Libye. Depuis l’annonce de l’assassinat de Mouammar Kadhafi, cette union africaine dont Mouammar Kadhafi était pourtant l’un des principaux défenseurs et ayant assuré le dernier mandat, n’a encore délivré aucun message officiel de condoléance à ses proches ou de regret. Egalement, même ceux qui hier tentaient de le soutenir n’ont pas eu le moindre courage de lever leur petit doigt pour rendre hommage à leur mentor. Jusqu’à l’heure actuel, seul l’ancien archevêque sud-africain et prix Nobel de paix Desmond TUTU a regretté cet acte ignoble. Même le président Abdoulaye Wade que l’on sait pourtant proche des révoltés libyens n’a pas encore salué la mort de l’homme qu’il souhaitait tant. Le lendemain de sa mort, un vendredi pas un musulman n’a prié pour lui ?.. A ce jour, sur le continent Africain, seul l’homme de la rue et les medias ont le courage de parler de cette assassina crapuleux du guide libyen. Mais, cette attitude des dirigeants africains ne surprend personne, dans la mesure où l’on sait que chaque président a peur de se faire remarquer par un Nicolas Sarkozy qui est capable de tout si la tête d’un président africain ou d’un arabe l’énerve.
Conclusion La Libye et l’Afrique toute entière viennent de tourner une page d’or avec la perte de Mouammar .
Traitre et maudit que je sois, si j’étais un libyen ?
Journaliste indépendant (Algérian Society for International Relations)
119, Rue Didouche Mourad
Alger centre
J’ai écrit un livre qui mérite d’être lu :
TOUT EST POSSIBLE - L’AVENIR DE LA TUNISIE
Vous pouvez télécharger le livre sur mon site Internet :
http://www.go4tunisia.de
Dr. Jamel Tazarki
Allemagne
Ma mére Térésa oui notre mére je suis abderrazak bourguiba le frére de mon meilleur ami Farouk .
vous peut etre me connait mais je pense pas que nous avont eu l’occasion de vous voir .
je suis désolé pour ce qui a passé pour mon frére Farouk .
Omar etait un homme exeptionnel un vrai homme j’ai passé avec lui 6 mois dans le prison nous étions plus que deux fréres.
soyez fiére de Farouk
et que la paradi soit pour lui
La Monarchie Constitutionnelle est l’avenir est la garantie des droits et libertés pour la Tunisie, la Libye et toute l’Afrique du Nord. Le Roi est l’âme du peuple, Il est porteur du sentiment d’unité nationale et du patrimoine historique du peuple. LA MONARCHIE CONSTITUTIONNELLE EST LE PLUS SUR MOYEN POUR EVITER QU’UN PRESIDENT FINISSE UN JOUR EN DICTATEUR (voyez le cas du roi d’Espagne, sauveur des libertés après le Franquisme).
Bonjour Mesdames, Messieurs,
Je souhaite attirer votre attention sur le faite que ce Barbouze comme vous le dites, a retourné sa veste à l’instant où il s’est assuré du départ définitif du ZABA plus exactement le 18 Janvier 2011.
Mais encore ce dernier qui détient pas un seul titre comme auprès du RCD mais aussi faison parti de plusieurs association et surout la chambre Franco-Tunisienne de marseille ou il a volé récemment le portfolio pour se faire une nouvelle peau et une nouvelle virginité auprès de la Tunisie, avec un pseudo symposium tenue au pôle technologique sis à la Gazelle (Ariana).
Rappel du passé : Khaled Néji représentant de l’office de l’huile près du consulat générale de Tunisie à Marseille a été victime de sa (Stoufida).
Monsieur Kahled Néji a été limogé de son poste, radié de ses fonctions, décédés suite à une attaque cardiaque après avoir visité les prisons Tunisiennes
Je souhaite que cette personne n’intervienne plus sur le sol Tunisien afin de crée des réseaux encore pire qu’avant et revenir au pouvoir par la fenêtre.
Aidez moi à dire la vérité sur ce malheureux de la Sbikha (kairouan) qui fout la honte à son peuple.
Ce Virus, qui trompe sa femme sans scrupule ni honte. A trahit ce que nos ancêtres ont essayé de bâtir, bravour, fraternité dévouement, sincérité.
Il est et il sera toujours à l’antipode des Tunisiens , lèches botes et au plurielles
Vive la Tunisie sans hypocrites
bonjour je suis tres heureuse que mr tlili soit libere mais je n arrive pas avoir de nouvelles precises je tiens a dire que c est un MONSIEUR exceptionnel et qu il ne merite vraiment pas ce qu il a endure j aimerai pouvoir lui exprimer tte ma sympathie
Voilà quatre ans se sont écoulés et votre combat a porté ses fruits. J’aurais pas osé signer ces quelques mots par mon nom réel si vous n’avez pas milité pour ’ma’ liberté. Reconnaissante et le mot ne peut résumer ce que je ressens et tout le respect que je vous porte.
Merci...
Lilia Weslaty
Les petits cons s’amusent à faire leurs graffitis imbéciles même sur les statues couvertes de prestige et d’histoire de Carthage ; on en a maintenant fini avec Ben Ali, avec la censure et l’étouffement des idées et de coeur opéré par son régime. Mais on en finira jamais avec l’idiotie des fondamentalistes islamiques qui promenent leurs femmes en burka, parce que c’est la seule façon par laquelle savent voir une femme : comme une bête dangeureuse. On en finira pas facilement, terrible dictature, avec ceux qui demandent maintenant de couper les mains, les jambes et les bras, suivant l’obsolète loi coranique, sans se faire aucun souci de l’Homme. Jésus, le Christ en est le plus grand champion, le Rédempteur de l’humanité, Lui qui a porté la Croix pour nous TOUS ; quant à la mafia et à al-Capone, nous les plaçerons comme un héritage historique de cet islam que tant s’acharnent à défendre par l’ignorance (mafia vient de l’arabe dialectal anciene "mafiah", c’est-à-dire "protection", la mafia est nait et c’est culturellement radiquée dans une ancienne terre d’islam, la Sicile)
j’ai aimé ce que vous pensé . suis de ton coté. tu me trouvera a l’appui
Informations diffusées par le Comité de soutien de Jalel Zoghlami
Jalel Zoghlami et ses camarades victimes d’un procès monté de toutes pièces ou quand le ridicule ne tue plus
Jalel et ses camarades comparaissent devant le Tribunal de Première Instance de Tunis le 28 octobre 2004 pour répondre aux allégations, basées sur des accusations aléatoires et des témoignages contradictoires et imprécis déformant totalement les faits et les interprétant en fonction des besoins de l’accusation.
En effet, Jalel et ses camarades sont des militants de la gauche révolutionnaire, ils ont été membres de l’Organisation des Communistes Révolutionnaires et ont été également des membres actifs dans la rédaction du journal de gauche, KAWS El KARAMA non reconnu en Tunisie et dont Jalel était le directeur.
Le pouvoir tunisien s’est évertué à les présenter comme des délinquants en cumulant les accusations les plus fantaisistes.
En examinant les accusations, on constate l’acharnement du pouvoir tunisien contre eux, et on en conclue que les dossiers sont montés de toutes pièces. Le Code pénal tunisien a été fouillé afin de les charger de toutes les inculpations possibles.
L’arsenal juridique :
Premier dossier n°32600 : chefs d’inculpation :
Article 282 du code pénal : ‘refus de payer des boissons ou des aliments’
Article 218 : ‘violence avec coup et blessures’
Article 59cp : ‘toute tentative est punissable’ (veut dire que si on ne prouve pas que l’acte incriminé n’a pas été commis, la tentative seule suffit à la punition)
Article 304cp : ‘dommage a la propriété d’autrui’
Deuxième dossier n°32601 : chefs d’inculpation :
Article 258cp : ‘vol et autres faits assimilés’
Article264cp : ‘la peine infligée aux voleurs’
Article 304 : ‘dommages divers a la propriété d’autrui’
Article 218 : ‘violence avec coup et blessures’
Troisième dossier n°32602 : chefs d’inculpation
Article 226 bis cp : ‘outrage public a la pudeur’
Article223 : ‘menace d’autrui a l’aide d’une arme’
Article 315 : ‘infractions relatives a l’autorité publique’
Article316 : ‘infraction relative à la sûreté ou à la tranquillité publique’
Article 317 : ‘infraction relative a la morale publique’
Articles 6_15_20_21de la loi n° 33-1969(12 juin)
L’examen des différents dossiers met en évidence plusieurs points communs :
ط des témoignages relatant les faits sont contradictoires ;
ط les présumés aveux de Jalel et son frère Néjib n’étaient pas signés par les accusés ;
ط les supposés aveux étant exactement les mêmes pour les deux frères (du mot à mot) bien que faits séparément.
ط le plus ridicule est que d’après cette version des présumés aveux, Jalel et ses deux camarades sont présentés comme des bandits, entrain de casser, d’agresser et de semer la terreur délibérément. << Ils étaient tous les trois à la poursuite d’une dizaine de personnes du café/bar jusqu’à la pizzeria >> (située à une quinzaine de mètres du dit café) !! Rappelons que le poids des deux camarades de Jalel réunis ne dépasse pas les 80 kilos (il faudrait qu’ils nous renseignent sur ce qu’ils mangent ou bien quel art martial ils pratiquent !!!) :en résumé et d’après la police Jalel,Néjib et Lumamba auraient sans motif apparent tout cassé dans un café/bar, auraient poursuivi une douzaine d’individus pesant chacun environ 100kg seraient ensuite passés a la pizzeria d’a coté pour de nouveau tout casser (un scénario de série C de mauvais goût et de peu de crédibilité,mais comme le ridicule ne tue plus ils ne risquent rien n’est ce pas ?)
LE JOUR DU PROCES DE JALEL ET DE SES CAMARADES LE POUVOIR AVOUE ENFIN QUE C’EST UN PROCES POLITIQUE ,IL FAIT ENCERCLER LE TRIBUNAL PAR LA POLICE POLITIQUE ET LES BARBOUZES DE TOUT GENRE AFIN D’EMPECHER LES AMIS ET CAMARADES DE JALEL D’Y ACCEDER
Le 28 octobre 04 avant 9h du matin heure de debut des séances, le tribunal de première instance de Tunis était encerclé par un nombre effarant de policiers en civil aux mines malheureusement si reconnaissable dans notre pays.
Ils étaient placés en cercles concentriques autour du tribunal et empêchaient tout le monde d’acceder au tribunal mis à part ceux qui étaient porteurs de convocations (ceux qui avaient un procès).Les militants nombreux mais arrivant en petits groupes sépares ont étés repoussés et des qu’ils ont manifesté leur protestation ou leur refus , ils ont subit intimidations, humiliations et agressions :Nabil MONTASSAR(militant syndicaliste) a été sommé de rester sur place(sans bouger) dans la rue et a attendu un bon quart d’heure que le chef de district de la police veuille bien le laisser partir ,Mongia Hedfi (militante ,membre du bureau national de l’organisation des femmes démocrates) a été interpellée par le même chef de district,Nizar Amami(militant syndicaliste et ancien membre du journal Kaws El Karama) a été interpellé, d’autres militants ainsi que des syndicalistes ont été interpelles , Hamma Hammami (porte parole du POCT) et Radhia Nasraoui (avocate et militante des droits humains ) ont été agressés.
Devant cet appareil répressif aucun militant n’a pu pénètre l’enceinte du tribunal.seuls les avocats et les membres de la famille de Jalel ,Nejib et Lumamba ont pu entrer.
La repression était organisée mais la défense était présente il y avait plus d’une vingtaine d’avocats ,quatres observateurs qui essaient tous les quatres avocats :
- Houcine Bardi :pour la FIDH et le CRLDHT
-Noureddine Benissad :pour la ligue Algérienne des droits de l’homme
-Ahmine Noureddine : LADDH
-Dehamnia Bakhta : barreau de Batna
Les avocats ont plaidé pendant environ trois heures apres que le juge ait menacé Jalel de le renvoyer en geôle car il jetait entrain d’expliquer l’acharnement du pouvoir contre lui.
Jusqu’à present le jugement n’a pas été prononcé et nous attendons tous un jugement qui ne sera pas le résultat des plaidoiries mais d’une décision émanant de la présidence que nous tenons responsable de tout ce qui pourra être décidé.
AFFAIRE Zoghlami L’ambassadeur de Tunisie interpellé
Une délégation algérienne, composée de journalistes et d’un représentant de la Ligue algérienne de défense des droits de l’homme (LADDH), s’est rendue hier à l’ambassade tunisienne à Alger, afin de demander la libération sans condition de l’opposant tunisien Jalal Zoghlami, fondateur du mensuel (clandestin) Kaws El Karama (l’arc de la dignité), et de son frère Néjib.
N’ayant pu être reçus par aucun responsable, les huit membres de la délégation ont néanmoins déposé une requête accompagnée d’une pétition au bureau d’ordre de l’ambassade. Les signataires, qui condamnent les méthodes utilisées par le pouvoir tunisien pour « contrer tous ceux qui expriment des opinions différentes aux siennes », demandent l’annulation de toutes les poursuites contre eux. Les deux mis en cause sont poursuivis pour « destruction de biens d’autrui », « port d’armes blanches » et « violence ».
Les frères Zoghlami ont été arrêtés le 22 septembre suite à une altercation dans un café du centre-ville de Tunis. Selon le Collectif algérien pour la libération des deux frères Zoghlami, ceux-ci ont été « provoqués » par des « éléments suspects » qui les ont agressés verbalement et physiquement. « Le pouvoir tunisien est depuis longtemps familier de cette pratique qui consiste à fabriquer des affaires de droit commun aux militants politiques, aux syndicalistes et aux défenseurs des droits de l’homme.
Cette pratique lui permet de prétendre qu’il ne les juge pas pour leurs idées ou leurs activités », indique le collectif, qui demande le jugement des agresseurs, lesquels n’ont pas du tout été inquiétés.
(Source : le journal algérien El Watan du 27 octobre 2004 )
Pétition à Monsieur l’ambassadeur de la République de Tunisie à Alger
Alger, le 26 octobre 2004
A Monsieur l’ambassadeur de la République de Tunisie à Alger
Objet : pétition
Monsieur
Veuillez trouver sous ce pli les noms des journalistes, avocats et animateurs de la société civile, premiers signataires d’une pétition demandant la libération de Jalel et Nejib Zoghlami, injustement emprisonnés. Veuillez y trouver également le texte de la pétition.
Les représentants des signataires
P O U R L A L I B E R A T I O N D E J A L E L ET N E J I B Z O G H L A M I
PETITION
Le mercredi 22 septembre 2004, la police tunisienne a arrêté le directeur de la revue « Kaws el Karama », Jalel Zoghlami ainsi que son frère Nejib. Alors que Jalel, Nejib et leur ami Loumoumba Mohseni se trouvaient dans un café, des éléments suspects ont tenté de les provoquer. Ces éléments les ont agressés verbalement e physiquement et les ont poursuivis jusque dans un restaurant mitoyen du café où ils se trouvaient.
La police a accusé Jalel et Nejib Zoghlami de « dégradation des biens d’autrui », de « port d’armes blanches », de « refus de payer ses consommations » et, enfin, d’« atteinte aux bonnes mœurs ». Le ministère public a délivré contre eux un mandat de dépôt. Ils sont actuellement incarcérés à la prison civile de Tunis et seront déférés devant le tribunal de première instance le 28 octobre 2004.
Le pouvoir tunisien est depuis longtemps familier de cette pratique qui consiste à fabriquer des affaires de droit commun aux militants politiques, aux syndicalistes et aux défenseurs des droits de l’homme. Cette pratique lui permet de prétendre qu’il ne les juge pas pour leurs idées ou leurs activités. Pour lui, elle présente l’avantage de dégrader leur image aux yeux de l’opinion en les faisant passer pour des criminels de droit commun.
Le pouvoir tunisien a déjà fait juger Jalel Zoghlami pour appartenance à l’OCR. En 2000, Jalel a été emprisonné pour « agression contre agent de l’ordre » alors que c’était lui qui, avec d’autres militants, avait été victimes d’agressions physiques et verbales. Dans une autre affaire que le pouvoir tunisien a monté de toutes pièces contre lui, où il a été accusé d’avoir brisé le feu arrière du véhicule d’un fonctionnaire du ministère de l’Intérieur, accusation pour laquelle il a été condamné par contumace à 4 mois d’emprisonnement.
Les signataires de la présente pétition :
condamnent les méthodes utilisées par le pouvoir tunisien pour contrer tous ceux qui expriment des opinions différentes des siennes ;
demandent la libération inconditionnelle de Jalel et Nejib Zoghlami, l’annulation de toutes les poursuites dans le cadre de cette affaire et le jugement des éléments suspects qui les ont agressés ;
rappellent le droit de toutes les Tunisiennes et de tous les Tunisiens à l’exercice de leurs droits fondamentaux.
PREMIERS SIGNATAIRES
Hocine Zehouane
Vice-président de la Ligue algérienne de défense des droits de l’homme (LADDH)
Ali Bey Boudoukha
Journaliste
Yassine Temlali
Journaliste
Boudjemâa Medjkoune
Journaliste
Daïkha Dridi
Journaliste
Djemâa Maâzouzi
Journaliste
Farida Kébri
Journaliste
Ihsane El Kadi
Journaliste
Mustapha Benfodhil
Ecrivain
Sofiane Hadjadj
Ecrivain
Selma Hellal
Editrice
Ghania Cherif
Journaliste (Rédactrice en chef adjointe à la chaîne 3 de la Radio nationale algérienne)
Hakim Addad
Secrétaire général de l’Association Rassemblement Action jeunesse (RAJ)
Abdennour Haouchiche
Président de l’association « Project-heurts »
Brahim Tayeb
Auteur-compositeur
Kamel Aïssat
Membre du bureau national du Conseil national des enseignants du supérieur (CNES)
Khadija Chouit
Journaliste
Chawki Salhi
Porte-parole du Parti socialiste des travailleurs (PST)
Mahmoud Rachedi
Membre de la direction nationale du Parti socialiste des travailleurs (PST)
Mohamed Kamel Almi
Journaliste
Mourad Fenzi
Secrétaire général de rédaction
Nasser Jabi
Sociologue, enseignant (université d’Alger)
Nadir Jermoune
Enseignant (université de Blida)
Soumia Salah
Présidente de l’Association pour l’émancipation de la femme (AEF)
Redouane Osmane
Secrétaire général du syndicat des lycées d’Alger (CLA)
Saïd Benmerad
Enseignant (université d’Alger)
Saïd Djaâfar
Journaliste
Rabah Moulla
Journaliste
Belalloufi Hocine
Journaliste
Samir Bendjaâfar
Journaliste
Samir Larabi
Journaliste (Radio nationale algérienne)
Sid Ahmed Semiane
Journaliste
Nacer Eddine Douadi
Administrateur (Alger Républicain)
Zahia Hamiti
Médecin
Zine Cherfaoui
Journaliste
Zoubir Beroual
Syndicaliste de l’enseignement secondaire
Najia Fouzache
Journaliste (Radio nationale algérienne)
Hakima Kamal
Journaliste (Radio nationale algérienne)
Mourad Aït Ouarab
Journaliste
Ghania Amariout
Journaliste
Sami Belattar
Journaliste
Adel Abderezzak
Enseignant (université de Constantine)
Mohamed Redouane Zizi
Journaliste
Louiza Ammi
Photographe de presse (Liberté)
Kramdi Ryad
photographe de presse
Ouamrane Fadéla
photographe de presse
Hassan Moali
Journaliste (Liberté)
Abdelkrim Ghezali
Journaliste (directeur de la rédaction de La Tribune)
Marzouk Hamiane
Journaliste
Salah Ibrahimi
Avocat
Abderrezak Dourari
Professeur (université d’Alger)
Mohamed Noureddine Houssinat
Avocat agréé à la Cour suprême et au conseil d’Etat
Brahim Hadj Slimane
Journaliste
Metref Younès
Journaliste
Fayçal Métaoui
Journaliste (El Watan)
Collectif Nedjma
association des étudiants de la faculté de Bouzeréah
Samia Chaala
Réalisatrice
Hamid Kloufi
Militant du Front des forces socialistes (FFS, Algérie)
Karima Souami
Ingénieur
Mohamed Yefsah
Etudiant
Abdennour Ziani
Militant du Mouvement culturel berbère (MCB)
Habiba Djahnine
Militante des droits des femmes
Bourebaba Omar
Etudiant
Rachid Khitmène
Etudiant
Ahmed Halfaoui
Cadre
Hicham Ferhi
opérateur PAO
Nasreddine Khalfallah
opérateur PAO
Youcef Kaced
Etudiant
Chabane Naït Mbarek
Etudiant
Kader Lâaki
Etudiant
Cherif Ammour
Employé
Nadia Amour
Employé
Samia Ammour
Militante associative
Lilia Djermane
Correctrice
Hamid Arab
Correctrice