En réponse à :
5 mai 2010, par Rédaction de reveiltunisien.org
On y trouve des sites de partage d’images ou de vidéo, comme Flickr ou Wat.tv. Mais aussi des blogs critiques et des sites de journaux, comme celui du Nouvel observateur. A l’approche des élections municipales, prévues le 9 mai, la liste des sites bloqués en Tunisie s’est allongée de manière spectaculaire.
La censure d’Internet est loin d’être une chose nouvelle en Tunisie, classée comme pays "ennemi d’Internet" par l’organisation Reporters sans frontières. Mais les blocages de sites et de pages se sont (...)