En réponse à :
7 juillet 2009, par Rédaction de reveiltunisien.org
Comité pour la sauvegarde de la liberté intellectuelle des chercheurs et enseignants-chercheurs de la fonction publique
Libération a donné hier la parole au fonctionnaire de défense du CNRS, qui de surcroît s’érige en victime et dit redouter pour sa sécurité (sic !) (pour lire l’interview cliquer ici).Quel paradoxe pour un général qui doit s’occuper de la sécurité des chercheurs au CNRS et des intérêts de la France !
Ainsi la liberté du chercheur, de l’universitaire et du citoyen est-elle mise de côté (...)