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18 janvier 2011, par Rédaction de reveiltunisien.org
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Les Tunisiens découvrent la première des libertés d’une démocratie : celle de critiquer leurs dirigeants. Et ils ne s’en privent pas : à peine formé, le gouvernement de transition subit les foudres des opposants. Le Premier ministre Mohammed Ghannouchi a annoncé lundi à Tunis la formation d’une équipe "d’union nationale" marquée par l’entrée de trois chefs de l’opposition au régime du président déchu Zine El Abidine Ben Ali... mais dans lequel l’équipe sortante conserve les postes clés. Le nouvel (...)