Mon amie ne sait pas rediger un com sur un article. Du coup il voulais souligner par ce commentaire qu’il est ravi du contenu de ce blog internet.
je vous remercie
bourguiba abderrazak
I like to party, not look articles up online. You made it hpaepn.
On est mardi 1er novembre 2011, déjà neuf mois que ben ali s’est enfui et il est caché, comme un rat, en Arabie Saudite. Son collègue Gaddafi a été tué.
Après la lecture de cette lettre, tout cela parait être comme un cauchemar pour celles et ceux qui ne l’ont pas vécu personnellement. Cependant, le mal a sévi longtemps, beaucoup trop longtemps en Tunisie. Il est temps que ça change.
Tout un système policier qui s’effondre, la justice vient de renaître, certes encore fragile mais sera équitable insh’Allah.
Oui il a un fils qui est mon meilleur ami et croyez moi, même si son père et loin de lui sa ne fait pas de lui un mauvais père il s’occupe très bien de lui et Selim va le voir de temps en temps. Je suis au cœur de cette affaire et je peux donc savoir les ressentis de chacun...
ةcoutez quand on ne connait pas la personne on ne juge pas ! Je connais personnellement Monsieur Tebourski et je sais que c’est un homme bon, et je pense que si il a demander a rester en France c’est surtout pour son Fils !
Ne le jugez pas car vous ne le connaissez pas comme je le connais ! Je suis la meilleure amie de son fils Selim. Je sais qu’Adel est un homme bon alors arrêtez tous vos blabla et essayer donc de comprendre le fond de la chose. Merci et bonne soirée
the death of an African giant
Par : Y. Mérabet
En outre, contrairement à ce que pensent aujourd’hui de nombreux libyens, la chute de Kadhafi profite à tout le monde sauf à eux. Car, dans une Afrique où les pays de la zone subsaharienne riche en ressources minérales tournaient complètement le dos à la France pour aller vers la Chine, il fallait bien que monsieur Sarkozy trouve un autre terrain fertile pour son pays. La France n’arrive plus à vendre ses produits manufacturés ou de décrocher un marché en Afrique, elle risque de devenir un PSD C’est pour cela que l’on a vu une France prête à tout pour renverser ou assassiner Kadhafi ; surtout quand l’on sait que la Libye est l’une des premières réserves en Hydrocarbures d’Afrique et de Sebha est la capitale mondiale du trafic Franco-libyen de concentré d’uranium Nigérien. Egalement, l’on sait que jusqu’ici, les populations libyennes n’avaient rien à envier aux Français, ils vivaient richement mieux sans se suer. Puisque Kadhafi faisait tout son possible pour les mettre à l’abri du besoin. Il est donc temps pour les libyens de choisir pleinement futur partenaire occidental. Car si en cinquante ans de coopération la France n’a pu rien apporter à l’Afrique subsaharienne. Vat-elle apporter maintenant aux libyens un bonheur supérieur à celui que leur donnait leur Guide. Rien à offrir à ces ignorants de libyens, sauf des repas communs dans les poubelles de la ville Paris, en France c’est déjà la famine ? Lui, qui durant plusieurs décennies était l’un des faiseurs d’hommes les plus efficaces sur le continent Africain. De son existence, Kadhafi était le leader le plus généreux d’Afrique. Pas un seul pays africain ne peut nier aujourd’hui n’avoir jamais gouté un seul pétro –Dinar du guide Libyen. Aveuglement, et motivé par son projet des Etats-Unis d’Afrique, Kadhafi de son existence a partagé l’argent du pétrole libyen avec de nombreux pays africains, qu’ils soient Francophones, Anglophones ou Lusophones. Au sein même de l’union Africaine, le roi des rois d’Afrique s’était presque érigé en un bailleur de fond très généreux. Jusqu’à l’heure actuelle, il existe sur le continent de nombreux présidents qui ont été portés au pouvoir par Kadhafi. Mais, curieusement, même pas un seul de ces élèves de Kadhafi n’a jusqu’ici eu le courage de lui rendre le moindre hommage.Au lendemain du vote de la résolution 1973 du conseil de sécurité de l’ONU, certains pays membres de l’union africaine sous l’impulsion de Jacob Zuma ont tenté d’apporter un léger soutien au guide libyen. Un soutien qui finalement s’est éteint totalement sans que l’on ne sache pourquoi. Même l’union africaine qui au départ conditionnait avec amertume la prise du pouvoir libyen par un groupe de terroristes et la reconnaissance du CNT libyen constitués de traitres, s’est finalement rétracté de façon inexplicable. Et curieusement, jusqu’aujourd’hui, aucun gouvernement consensuel n’a été formé en Libye. Depuis l’annonce de l’assassinat de Mouammar Kadhafi, cette union africaine dont Mouammar Kadhafi était pourtant l’un des principaux défenseurs et ayant assuré le dernier mandat, n’a encore délivré aucun message officiel de condoléance à ses proches ou de regret. Egalement, même ceux qui hier tentaient de le soutenir n’ont pas eu le moindre courage de lever leur petit doigt pour rendre hommage à leur mentor. Jusqu’à l’heure actuel, seul l’ancien archevêque sud-africain et prix Nobel de paix Desmond TUTU a regretté cet acte ignoble. Même le président Abdoulaye Wade que l’on sait pourtant proche des révoltés libyens n’a pas encore salué la mort de l’homme qu’il souhaitait tant. Le lendemain de sa mort, un vendredi pas un musulman n’a prié pour lui ?.. A ce jour, sur le continent Africain, seul l’homme de la rue et les medias ont le courage de parler de cette assassina crapuleux du guide libyen. Mais, cette attitude des dirigeants africains ne surprend personne, dans la mesure où l’on sait que chaque président a peur de se faire remarquer par un Nicolas Sarkozy qui est capable de tout si la tête d’un président africain ou d’un arabe l’énerve.
Conclusion La Libye et l’Afrique toute entière viennent de tourner une page d’or avec la perte de Mouammar .
Traitre et maudit que je sois, si j’étais un libyen ?
Journaliste indépendant (Algérian Society for International Relations)
119, Rue Didouche Mourad
Alger centre
J’ai écrit un livre qui mérite d’être lu :
TOUT EST POSSIBLE - L’AVENIR DE LA TUNISIE
Vous pouvez télécharger le livre sur mon site Internet :
http://www.go4tunisia.de
Dr. Jamel Tazarki
Allemagne
Ma mére Térésa oui notre mére je suis abderrazak bourguiba le frére de mon meilleur ami Farouk .
vous peut etre me connait mais je pense pas que nous avont eu l’occasion de vous voir .
je suis désolé pour ce qui a passé pour mon frére Farouk .
Omar etait un homme exeptionnel un vrai homme j’ai passé avec lui 6 mois dans le prison nous étions plus que deux fréres.
soyez fiére de Farouk
et que la paradi soit pour lui
La Monarchie Constitutionnelle est l’avenir est la garantie des droits et libertés pour la Tunisie, la Libye et toute l’Afrique du Nord. Le Roi est l’âme du peuple, Il est porteur du sentiment d’unité nationale et du patrimoine historique du peuple. LA MONARCHIE CONSTITUTIONNELLE EST LE PLUS SUR MOYEN POUR EVITER QU’UN PRESIDENT FINISSE UN JOUR EN DICTATEUR (voyez le cas du roi d’Espagne, sauveur des libertés après le Franquisme).
Bonjour Mesdames, Messieurs,
Je souhaite attirer votre attention sur le faite que ce Barbouze comme vous le dites, a retourné sa veste à l’instant où il s’est assuré du départ définitif du ZABA plus exactement le 18 Janvier 2011.
Mais encore ce dernier qui détient pas un seul titre comme auprès du RCD mais aussi faison parti de plusieurs association et surout la chambre Franco-Tunisienne de marseille ou il a volé récemment le portfolio pour se faire une nouvelle peau et une nouvelle virginité auprès de la Tunisie, avec un pseudo symposium tenue au pôle technologique sis à la Gazelle (Ariana).
Rappel du passé : Khaled Néji représentant de l’office de l’huile près du consulat générale de Tunisie à Marseille a été victime de sa (Stoufida).
Monsieur Kahled Néji a été limogé de son poste, radié de ses fonctions, décédés suite à une attaque cardiaque après avoir visité les prisons Tunisiennes
Je souhaite que cette personne n’intervienne plus sur le sol Tunisien afin de crée des réseaux encore pire qu’avant et revenir au pouvoir par la fenêtre.
Aidez moi à dire la vérité sur ce malheureux de la Sbikha (kairouan) qui fout la honte à son peuple.
Ce Virus, qui trompe sa femme sans scrupule ni honte. A trahit ce que nos ancêtres ont essayé de bâtir, bravour, fraternité dévouement, sincérité.
Il est et il sera toujours à l’antipode des Tunisiens , lèches botes et au plurielles
Vive la Tunisie sans hypocrites
bonjour je suis tres heureuse que mr tlili soit libere mais je n arrive pas avoir de nouvelles precises je tiens a dire que c est un MONSIEUR exceptionnel et qu il ne merite vraiment pas ce qu il a endure j aimerai pouvoir lui exprimer tte ma sympathie
Voilà quatre ans se sont écoulés et votre combat a porté ses fruits. J’aurais pas osé signer ces quelques mots par mon nom réel si vous n’avez pas milité pour ’ma’ liberté. Reconnaissante et le mot ne peut résumer ce que je ressens et tout le respect que je vous porte.
Merci...
Lilia Weslaty
Les petits cons s’amusent à faire leurs graffitis imbéciles même sur les statues couvertes de prestige et d’histoire de Carthage ; on en a maintenant fini avec Ben Ali, avec la censure et l’étouffement des idées et de coeur opéré par son régime. Mais on en finira jamais avec l’idiotie des fondamentalistes islamiques qui promenent leurs femmes en burka, parce que c’est la seule façon par laquelle savent voir une femme : comme une bête dangeureuse. On en finira pas facilement, terrible dictature, avec ceux qui demandent maintenant de couper les mains, les jambes et les bras, suivant l’obsolète loi coranique, sans se faire aucun souci de l’Homme. Jésus, le Christ en est le plus grand champion, le Rédempteur de l’humanité, Lui qui a porté la Croix pour nous TOUS ; quant à la mafia et à al-Capone, nous les plaçerons comme un héritage historique de cet islam que tant s’acharnent à défendre par l’ignorance (mafia vient de l’arabe dialectal anciene "mafiah", c’est-à-dire "protection", la mafia est nait et c’est culturellement radiquée dans une ancienne terre d’islam, la Sicile)
j’ai aimé ce que vous pensé . suis de ton coté. tu me trouvera a l’appui
Sommaire :
Partie arabe : (Al Jazeera, Al Quds Al Arabi) :
Jérusalem de notre correspondante
Une semaine après avoir été élu à la tête du Parti travailliste israélien, Amram Mitzna commence à endosser les habits de candidat au poste de premier ministre. Cravate bleu électrique, veste ajustée, barbe rangée, le maire d’Haïfa a rodé ses thèmes de campagne devant la presse étrangère réunie à Jérusalem, lundi 25 novembre. Sans se départir d’une tranquille assurance, le principal adversaire de la droite aux élections générales du 28 janvier 2003 en a profité pour muscler son discours, notamment sur le terrain de la sécurité, et tenter de rallier les voix du centre qui lui font défaut.
S’il s’est prononcé pour la reprise des discussions avec les Palestiniens "dès qu’-il sera- élu premier ministre", M. Mitzna n’en a pas moins attaqué de front le président de l’Autorité palestinienne, Yasser Arafat.
Soucieux de dépasser l’image de pacifiste ancré à gauche, qui l’a clairement démarqué de ses adversaires au sein du Parti travailliste, M. Mitzna a par ailleurs affiché des positions fermes sur la lutte contre le terrorisme. Les opérations militaires en cours dans les territoires occupés, à la suite du dernier attentat-suicide à Jérusalem, ne le choquent pas. "J’aurais fait la même chose", a déclaré, sans hésiter, le candidat de la gauche. "Nous devons combattre le terrorisme avec tous les moyens dont nous disposons. En refusant de lutter contre les terroristes, les dirigeants palestiniens actuels se rendent responsables de cette situation. Et je leur dis : "Faites quelque chose pour restaurer la confiance des Israéliens." Car l’intérêt d’Israël passe par la création d’un Etat palestinien."
ہ L’INSTAR D’ITZHAK RABIN
Pas question pour autant d’apparaître comme un clone du Likoud d’Ariel Sharon, l’actuel premier ministre. Pour marquer sa différence avec la politique suivie par le gouvernement, M. Mitzna reprend à son compte un principe édicté par l’ancien premier ministre travailliste Itzhak Rabin et envisage de "négocier comme s’il n’y avait pas de terrorisme et de lutter contre le terrorisme comme s’il n’y avait pas de négociations". Il poursuivrait également la construction de la clôture en cours entre Israël et les territoires palestiniens. "La haine et la méfiance nous obligent à ériger une frontière et, par endroits, un mur entre nous et les Palestiniens."
Le programme du candidat travailliste, centré sur "l’évacuation immédiate et sans conditions des colonies de Gaza" et le "désengagement" d’Israël de Cisjordanie et de Jérusalem, avec ou sans accord avec les Palestiniens, se heurte naturellement aux intérêts des colons. Là encore, dans un souci d’apaisement, M. Mitzna n’a pas hésité à affirmer qu’il "appréciait la plupart d’entre eux", les enjoignant néanmoins à faire preuve de "patriotisme" et à "revenir en Israël". "Nous avons besoin d’eux dans le Néguev ou en Galilée", a osé le chef du Parti travailliste. Il envisage de consacrer "toute l’énergie et tous les moyens financiers", actuellement dépensés dans les territoires occupés à la relance de l’économie israélienne et au règlement des problèmes sociaux.
Partisan de l’unité nationale, M. Mitzna n’a pas rejeté l’idée d’une nouvelle coalition avec la droite, même s’il juge qu’un nouveau gouvernement mené par le Likoud serait "une mauvaise chose" pour Israël. "Il faudrait voir ce qui peut nous unir. Mais je répète que notre désengagement des territoires est le point essentiel de mon programme." Convaincu qu’un "vent nouveau" souffle sur le pays depuis son élection à la tête de l’opposition, le maire d’Haïfa veut, pour l’instant, croire que les Israéliens choisiront l’alternative Mitzna.
Stéphanie Le Bars
II Sida :
http://www.lemonde.fr/article/0,5987,3210—299673-,00.html
Déjà hors de contrôle en Afrique subsaharienne, l’épidémie mondiale de sida pourrait devenir immaîtrisable dans deux autres régions du monde : l’Asie et l’ensemble "Europe orientale et Asie centrale". En publiant son rapport annuel, mardi 26 novembre, l’Onusida n’a pas caché son inquiétude. Près d’un million de nouvelles contaminations par le VIH ont eu lieu en 2002 en Asie du Sud et de l’Est et 250 000 personnes de plus ont contracté le virus du sida en Europe orientale et en Asie centrale. L’Inde, la Chine, la Russie sont de véritables bombes à retardement où l’épidémie croît à des vitesses vertigineuses.
Dans le monde.
A la fin 2002, le nombre de personnes infectées par le virus du sida dans le monde s’élève à 42 millions, soit 2 millions de plus qu’il y a un an. Les femmes représentant désormais la moitié des adultes touchés. L’Afrique subsaharienne compte 29,4 millions de séropositifs. L’Asie et le Pacifique constituent la deuxième région la plus touchée, avec 7,2 millions de porteurs du VIH, contre 1,2 million pour l’Europe orientale et l’Asie centrale. Le nombre de nouvelles infections n’a en rien diminué : 5 millions de personnes ont contracté le VIH en 2002, autant qu’en 2001 et là encore, les femmes sont particulièrement touchées avec 2 millions de nouveaux cas, soit 200 000 de plus qu’en 2001. Le bilan des décès s’est lui aussi accru : 3,1 millions de morts, soit 100 000 de plus que l’année dernière.
"Les chances de maîtriser l’épidémie de VIH en Asie s’amenuisent rapidement", indique l’Onusida. Vingt pour cent des nouvelles infections annuelles ont lieu dans cette région et 2,1 millions de jeunes de 15 à 24 ans y sont porteurs du virus. Le nombre de décès s’élevant à un demi-million de personnes pour 2002.
Inde.
Le chiffre officiel de 1 % d’adultes vivant avec le VIH en Inde "est peu indicatif de la gravité de la situation dans laquelle se trouve le pays", précise l’Onusida. Manière diplomatique de dire qu’il sous-estime fortement l’importance des dégâts. Près de 4 millions de personnes en Inde vivent avec le virus, le total le plus élevé au monde après l’Afrique du Sud (quasiment 5 millions de séropositifs). De plus, la situation indienne est celle de fortes disparités selon les Etats pour la diffusion de l’épidémie comme pour les actions de prévention.
Chine.
"L’épidémie en Chine ne montre aucun signe de fléchissement ", constate l’Onusida. Environ 1 million de Chinois étaient infectés par le virus du Sida au milieu de l’année 2002. Ce nombre pourrait atteindre 10 millions - l’équivalent de la population de la Belgique - d’ici à la fin de la décennie, si rien de vient endiguer la progression. Les statistiques officielles chiinoises font état d’une augmentation de 17 % des nouveaux cas, mais ce taux pourrait s’envoler s’inquiète l’Onusida, en raison des disparités socio-économiques et d’une importante migration : 100 millions de Chinois vivraient temporairement ou en permanence loin de leur domicile officiel. La maladie se propage dans trois provinces au moins (Yunnan, Guangxi et Guangdong). Dans l’ensemble de l’Asie le fléau touche particulièrement les usagers de drogues injectables, mais "la plus grande partie de la région ne dispose pas des services minimum suceptibles de protéger ces personnes de l’infection à VIH", note l’agence des Nations unies.
Russie.
"L’épidémie continue à se propager rapidement dans la plupart des pays" de la région "Europe orientale et Asie centrale". C’est dans cette partie du monde que le sida a la croissance la plus rapide. "Ces dernières années, la Fédération de Russie a connu une augmentation exceptionnellement forte des infections à VIH notifiées", constate l’Onusida. L’agence précise : Jusqu’à 90 % des cas relevés ont été officiellement attribués à la consommation de drogues injectables". Un phénomène qui touche avant tout les jeunes : 80 % des nouveaux malades enregistrés dans la Communauté des Etats Indépendants (ex-URSS), ont moins de 29 ans. Dans la Fédération de Russie, près de 11 000 infections avaient été notifiées en 1998. Cette estimation était montée à 200 000 au milieu de l’année 2002. Une hausse pour beaucoup imputable à l’injection de drogues. Une étude réalisée parmi des lycéens de Moscou a révélé que 4 % d’entre eux avaient déjà consommé de la drogue par intraveineuse.
Afrique.
Face à cette croissance impressionnante des infections en Asie et en Europe orientale, la stabilité du nombre des nouvelles infections en Afrique pourrait faussement rassurer. Outre que les chiffres sur les personnes vivant avec le virus (29,4 millions) et sur les décès pour l’année 2002 (2,4 millions) donnent l’ampleur de cette catastrophe continentale, cette constation cache des tendances différentes selon les pays. Des efforts de prévention, en Afrique du Sud et en Ethiopie notamment, ont permis de diminuer la prévalence de l’infection par le VIH chez les jeunes femmes, et le Sénégal comme le Mali, par exemple, continuent de connaître des taux de l’ordre de 1 à 2 % de porteurs du VIH. En revanche, en Afrique australe, au Botswana, Lesotho, Swaziland et Zimbabwe, la prévalence du VIH chez l’adulte dépasse les 30 %.
Si rien n’est fait, met en garde l’Onusida, les projections pour plus d’une centaines d’Etats à faible ou moyen revenu font redouter 45 millions de nouvelles contaminations d’ici à 2010, dont plus de 40 % en Asie et dans le Pacifique. Evoquant l’Afrique, l’Organisation constate que "le monde s’est contenté de rester sans rien faire alors que le VIH balayait ces pays. Il est inadmissible de fermer les yeux sur une épidémie qui continue à se propager dans certaines des régions et des pays les plus peuplés de la planète."
Paul Benkimoun
VIH et crise humanitaire
Dans son rapport 2002, l’Onusida insiste sur le rôle que joue l’épidémie de VIH dans les crises humanitaires et appelle à les combattre simultanément. Face aux conflits armés, à la perte de récoltes ou aux catastrophes naturelles, les stratégies traditionnelles d’adaptation, affaiblies par le sida, sont inefficaces. C’est le cas en particulier avec la crise alimentaire que connaît l’Afrique australe. A la fin de l’année 2002, on estime que 14,4 millions de personnes sont exposées à la famine au Lesotho, Malawi, Mozambique, Swaziland, Zambie et Zimbabwe, six pays de la région la plus touchée par le VIH. Les institutions de l’ONU ont lancé un appel commun en faveur des populations menacées d’Afrique australe pour récolter 600 millions de dollars, dont 507 millions pour l’aide alimentaire distribuée par le Programme alimentaire mondial.
Débat à l’OMC sur l’accès au traitement
L’ombre des chiffres de la pandémie de sida va planer sur le Conseil des aspects des droits de propriété intellectuelle relatifs au commerce (Adpic).
Cette structure de l’Organisation mondiale du commerce (OMC) est réunie pour trois jours depuis lundi 25 novembre afin de résoudre un certain nombre de problèmes en suspens, à commencer par celui de l’accès aux traitements.
La rencontre interministérielle de Doha, il y a un an, a donné mandat au Conseil pour qu’il trouve une "solution rapide" avant la fin de l’année 2002 au problème des pays ne disposant pas de capacités de production de médicaments génériques. Un accord a été esquissé à Sidney mais la Chine le trouve trop peu favorable aux pays pauvres.
Prévu à l’ordre du jour de lundi, ce point a été reporté par le Conseil des Adpic sans qu’une nouvelle date soit fixée pour son examen.
III Liberté de la presse :
http://www.lemonde.fr/dh/0,5987,3208—11173381,00.html
IV Algérie :
http://www.lemonde.fr/article/0,5987,3210—299679-,00.html
Ali Benhadj ne veut pas être libéré avant l’expiration de sa peine. Dans une lettre publiée, dimanche 24 novembre, par la presse algérienne, le numéro deux de l’ex-Front islamique du salut (FIS) refuse par avance toute grâce présidentielle qui viendrait écourter la peine de douze ans de prison qu’il finit de purger à Blida, à quelques dizaines de kilomètres de la capitale. "Je refuse le pardon tel que souhaité par les vrais décideurs ; il n’y a de pardon que celui accordé par le Dieu tout puissant", écrit-il dans la lettre transmise à sa famille et destinée à l’opinion publique.
Celui que la presse occidentale avait surnommé au début des années 1990 le "Savonarole algérien" à cause de son engagement passionné récuse toute grâce, car, sa détention touchant à son terme, "le pardon devient un slogan pour la consommation et le marchandage". Aujourd’hui âgé de 46 ans, l’ancien imam, quoique d’une santé fragile, ne veut pas non plus d’une libération que le pouvoir justifierait par des raisons humanitaires. Pourquoi les "décideurs" se soucieraient-ils, "après un si long silence", de sa santé ? "Où donc était le pouvoir lorsque je combattais la mort dans le cachot qui m’était réservé ?" demande-t-il.
La rumeur d’une libération anticipée du numéro deux de l’ex-FIS a refait surface, il y a un peu plus d’une semaine, lorsqu’un quotidien arabophone, citant une source anonyme "sûre", a affirmé que l’armée, le pilier du régime, ne s’opposerait pas à une libération d’Ali Benhadj. Une date butoir était même avancée : le 6 décembre, jour de la fête de l’Aïd-el-Fitr, qui marque la fin du ramadan. De son côté, la famille du détenu a affirmé que la libération du "prisonnier d’opinion" allait intervenir le 27e jour du ramadan, soit le 2 décembre.
LE VOTE ISLAMISTE
Ali Benhadj arrive au terme de la peine qui lui a été infligée (ainsi qu’à Abassi Madani, le chef du FIS), le 15 juillet 1992 par un tribunal militaire. Sa libération, l’été 2003, n’est donc plus qu’une question de mois. L’année suivante aura lieu, en principe, l’élection présidentielle. Candidat probable à sa propre succession, mais réputé en froid avec les "décideurs"de l’armée, le président Bouteflika "a intérêt à gracier Benhadj pour récupérer le moment venu une partie du vote islamiste", analyse l’avocat des dirigeants du FIS, Me Abdennour Ali Yahia.
Minoritaire au sein de l’opinion publique mais très actif, un autre courant pousse le raisonnement plus loin et n’hésite pas à accuser le chef de l’Etat de vouloir libérer son "complice". Un article récent publié par Leila Aslaoui, ancienne ministre sous le président Zeroual, dont l’époux a été assassiné par les islamistes, donne le ton du procès d’intention intenté au président Bouteflika. "La libération du commanditaire du terrorisme islamique, écrit-elle, ne sera pas une surprise (...) lorsqu’on sait que les autres émirs sanguinaires ont bénéficié de l’impunité grâce à leur bienfaiteur Bouteflika. Après les tueurs, voici venu le tour des commanditaires du crime d’être anoblis par leur président."
La présidence s’est gardée de tout commentaire. C’est à peine si, dans l’entourage du chef de l’Etat, on évoque les pressions qui s’exercent d’ores et déjà pour maintenir en prison l’ancien tribun du FIS, même une fois sa peine purgée. Libérer Ali Benhadj par anticipation est une hypothèse qui soulève les passions à Alger. "On pourrait songer à améliorer ses conditions de détention", suggère un conseiller du chef de l’Etat. C’est ce qui a été fait pour Abassi Madani - septuagénaire - dont la réclusion a été transformée, depuis plusieurs années, en mise en résidence surveillée.
Selon l’un de ses proches, Ali Benhadj a proposé une autre solution. Il est disposé à être rejugé, mais "en présence des chefs de l’armée qui étaient en poste lors de son arrestation", en juin 1991.
Jean-Pierre Tuquoi
V Foot tunisien ? :
http://www.tunishebdo.com.tn/article.php?idchron=27
Stop
LEMERRE N’EST PAS PAPA NOثL !!!
Disons-le d’emblée : nous avons été un peu choqués par la médiatisation extrême de « la rentrée » de Lemerre à la tête de l’Equipe Nationale.
Jamais un sélectionneur national n’a eu droit à tant d’éloges, de qualificatifs prestigieux, de tambours et trompettes.
Jamais la personnalisation d’une telle fonction n’ a été poussée de manière aussi forte et, à la limite, indécente.
L’Equipe Nationale elle-même a été reléguée au second plan, seul Lemerre faisait la « une » , l’actualité.
Et certains, pris par un élan incontrôlé, avaient décortiqué tous les faits et gestes de Lermerre pour aboutir (déjà !) à la conclusion qu’avec lui « tout a changé », que « la révolution est en marche », que « notre football vit une ère nouvelle » !.
Que d’excès ! Que de commentaires exagérés !
Attention : nous n’avons rien contre Lemerre, un entraîneur dont la carte de visite seule suffit pour faire prévaloir sa compétence. Mais nous sommes contre la personnalisation, contre la surdimension de sa fonction. Il est entraîneur, pas magicien. Et ce n’est pas parce qu’il est reconnu qu’il va réussir.
Nous connaissons notre football, ses qualités et ses limites : il ne faut pas trop rêver et croire au père Noël.
Puis Lemerre est, avant tout, un homme, donc sensible, et s’il va entendre et lire tous les jours qu’il est le messie, le surhomme, il risque bien de nous regarder d’un peu trop haut, d’user (et d’abuser) de la carte blanche qui lui a été donnée.
De même en le plaçant au-dessus de tout, nous lui rendons un mauvais service car nous allons lui demander trop. En passant à l’autre extrême et l’attendre au tournant dès le premier faux- mouvement.
D’ores et déjà, et après « le retour sur terre » au lendemain du « très amical » Tunisie-Egypte, certains ont commencé à chuchoter que le choix de certains joueurs n’était pas convaincant, que les règles strictes imposées à la presse l’étaient trop, que l’Equipe Nationale ne jouait pas comme… la France !
Alors de grâce, laissons Lemerre travailler en paix, il n’est ni ange, ni démon, tout ce dont il a besoin, c’est de calme et de temps…
Fathi EL MOULDI
A demain