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5 février 2011, par Rédaction de reveiltunisien.org
Tunis Envoyée spéciale - Le bureau des plaintes se situe à deux niveaux : au troisième étage, on accueille les familles des "martyrs" de la révolution tunisienne ; au deuxième, les victimes de la corruption. Plus haut, au quatrième, il y a ceux qui réfléchissent, autour du juriste Yadh Ben Achour, ancien membre du Conseil constitutionnel, aux réformes électorales nécessaires pour les futures élections présidentielle et législatives.
Rue Kheireddine Pacha, dans le quartier Montplaisir de Tunis, les trois (...)