En réponse à :
7 décembre 2005, par Rédaction de reveiltunisien.org
Ce texte est la version longue d’un article paru dans le Le Gri-Gri international, n° 44, décembre 2005.
Ben Ali peut se frotter les mains. A chaque bombe qui explose à Djerba, Rabat, Madrid, Londres ou ailleurs, son pouvoir dictatorial se trouve renforcé.
Le terrorisme est désormais l’essence du régime tunisien, une essence, certes, de piètre qualité, mais un carburant mortifère qui lui permet de poursuivre sa course diabolique. A l’occasion de la première commémoration des attentats de New-York, (...)