En réponse à :
19 octobre 2005, par Rédaction de reveiltunisien.org
A la suite de la publication par Réveil Tunisien de l’article « Walid Samaali ou la disproportion de la sanction », un avocat qui a tenu à garder l’anonymat nous a adressé un commentaire que nous reproduisons. Il porte sur la qualification des faits incriminés dans la première affaire, celle qui a valu à l’intéressé vingt ans d’emprisonnement. L’article pré cité avait mentionné cette objection soulevée alors par la défense qui avait contesté l’application de l’article 411 bis du code du commerce.
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