Mon amie ne sait pas rediger un com sur un article. Du coup il voulais souligner par ce commentaire qu’il est ravi du contenu de ce blog internet.
je vous remercie
bourguiba abderrazak
I like to party, not look articles up online. You made it hpaepn.
On est mardi 1er novembre 2011, déjà neuf mois que ben ali s’est enfui et il est caché, comme un rat, en Arabie Saudite. Son collègue Gaddafi a été tué.
Après la lecture de cette lettre, tout cela parait être comme un cauchemar pour celles et ceux qui ne l’ont pas vécu personnellement. Cependant, le mal a sévi longtemps, beaucoup trop longtemps en Tunisie. Il est temps que ça change.
Tout un système policier qui s’effondre, la justice vient de renaître, certes encore fragile mais sera équitable insh’Allah.
Oui il a un fils qui est mon meilleur ami et croyez moi, même si son père et loin de lui sa ne fait pas de lui un mauvais père il s’occupe très bien de lui et Selim va le voir de temps en temps. Je suis au cœur de cette affaire et je peux donc savoir les ressentis de chacun...
ةcoutez quand on ne connait pas la personne on ne juge pas ! Je connais personnellement Monsieur Tebourski et je sais que c’est un homme bon, et je pense que si il a demander a rester en France c’est surtout pour son Fils !
Ne le jugez pas car vous ne le connaissez pas comme je le connais ! Je suis la meilleure amie de son fils Selim. Je sais qu’Adel est un homme bon alors arrêtez tous vos blabla et essayer donc de comprendre le fond de la chose. Merci et bonne soirée
the death of an African giant
Par : Y. Mérabet
En outre, contrairement à ce que pensent aujourd’hui de nombreux libyens, la chute de Kadhafi profite à tout le monde sauf à eux. Car, dans une Afrique où les pays de la zone subsaharienne riche en ressources minérales tournaient complètement le dos à la France pour aller vers la Chine, il fallait bien que monsieur Sarkozy trouve un autre terrain fertile pour son pays. La France n’arrive plus à vendre ses produits manufacturés ou de décrocher un marché en Afrique, elle risque de devenir un PSD C’est pour cela que l’on a vu une France prête à tout pour renverser ou assassiner Kadhafi ; surtout quand l’on sait que la Libye est l’une des premières réserves en Hydrocarbures d’Afrique et de Sebha est la capitale mondiale du trafic Franco-libyen de concentré d’uranium Nigérien. Egalement, l’on sait que jusqu’ici, les populations libyennes n’avaient rien à envier aux Français, ils vivaient richement mieux sans se suer. Puisque Kadhafi faisait tout son possible pour les mettre à l’abri du besoin. Il est donc temps pour les libyens de choisir pleinement futur partenaire occidental. Car si en cinquante ans de coopération la France n’a pu rien apporter à l’Afrique subsaharienne. Vat-elle apporter maintenant aux libyens un bonheur supérieur à celui que leur donnait leur Guide. Rien à offrir à ces ignorants de libyens, sauf des repas communs dans les poubelles de la ville Paris, en France c’est déjà la famine ? Lui, qui durant plusieurs décennies était l’un des faiseurs d’hommes les plus efficaces sur le continent Africain. De son existence, Kadhafi était le leader le plus généreux d’Afrique. Pas un seul pays africain ne peut nier aujourd’hui n’avoir jamais gouté un seul pétro –Dinar du guide Libyen. Aveuglement, et motivé par son projet des Etats-Unis d’Afrique, Kadhafi de son existence a partagé l’argent du pétrole libyen avec de nombreux pays africains, qu’ils soient Francophones, Anglophones ou Lusophones. Au sein même de l’union Africaine, le roi des rois d’Afrique s’était presque érigé en un bailleur de fond très généreux. Jusqu’à l’heure actuelle, il existe sur le continent de nombreux présidents qui ont été portés au pouvoir par Kadhafi. Mais, curieusement, même pas un seul de ces élèves de Kadhafi n’a jusqu’ici eu le courage de lui rendre le moindre hommage.Au lendemain du vote de la résolution 1973 du conseil de sécurité de l’ONU, certains pays membres de l’union africaine sous l’impulsion de Jacob Zuma ont tenté d’apporter un léger soutien au guide libyen. Un soutien qui finalement s’est éteint totalement sans que l’on ne sache pourquoi. Même l’union africaine qui au départ conditionnait avec amertume la prise du pouvoir libyen par un groupe de terroristes et la reconnaissance du CNT libyen constitués de traitres, s’est finalement rétracté de façon inexplicable. Et curieusement, jusqu’aujourd’hui, aucun gouvernement consensuel n’a été formé en Libye. Depuis l’annonce de l’assassinat de Mouammar Kadhafi, cette union africaine dont Mouammar Kadhafi était pourtant l’un des principaux défenseurs et ayant assuré le dernier mandat, n’a encore délivré aucun message officiel de condoléance à ses proches ou de regret. Egalement, même ceux qui hier tentaient de le soutenir n’ont pas eu le moindre courage de lever leur petit doigt pour rendre hommage à leur mentor. Jusqu’à l’heure actuel, seul l’ancien archevêque sud-africain et prix Nobel de paix Desmond TUTU a regretté cet acte ignoble. Même le président Abdoulaye Wade que l’on sait pourtant proche des révoltés libyens n’a pas encore salué la mort de l’homme qu’il souhaitait tant. Le lendemain de sa mort, un vendredi pas un musulman n’a prié pour lui ?.. A ce jour, sur le continent Africain, seul l’homme de la rue et les medias ont le courage de parler de cette assassina crapuleux du guide libyen. Mais, cette attitude des dirigeants africains ne surprend personne, dans la mesure où l’on sait que chaque président a peur de se faire remarquer par un Nicolas Sarkozy qui est capable de tout si la tête d’un président africain ou d’un arabe l’énerve.
Conclusion La Libye et l’Afrique toute entière viennent de tourner une page d’or avec la perte de Mouammar .
Traitre et maudit que je sois, si j’étais un libyen ?
Journaliste indépendant (Algérian Society for International Relations)
119, Rue Didouche Mourad
Alger centre
J’ai écrit un livre qui mérite d’être lu :
TOUT EST POSSIBLE - L’AVENIR DE LA TUNISIE
Vous pouvez télécharger le livre sur mon site Internet :
http://www.go4tunisia.de
Dr. Jamel Tazarki
Allemagne
Ma mére Térésa oui notre mére je suis abderrazak bourguiba le frére de mon meilleur ami Farouk .
vous peut etre me connait mais je pense pas que nous avont eu l’occasion de vous voir .
je suis désolé pour ce qui a passé pour mon frére Farouk .
Omar etait un homme exeptionnel un vrai homme j’ai passé avec lui 6 mois dans le prison nous étions plus que deux fréres.
soyez fiére de Farouk
et que la paradi soit pour lui
La Monarchie Constitutionnelle est l’avenir est la garantie des droits et libertés pour la Tunisie, la Libye et toute l’Afrique du Nord. Le Roi est l’âme du peuple, Il est porteur du sentiment d’unité nationale et du patrimoine historique du peuple. LA MONARCHIE CONSTITUTIONNELLE EST LE PLUS SUR MOYEN POUR EVITER QU’UN PRESIDENT FINISSE UN JOUR EN DICTATEUR (voyez le cas du roi d’Espagne, sauveur des libertés après le Franquisme).
Bonjour Mesdames, Messieurs,
Je souhaite attirer votre attention sur le faite que ce Barbouze comme vous le dites, a retourné sa veste à l’instant où il s’est assuré du départ définitif du ZABA plus exactement le 18 Janvier 2011.
Mais encore ce dernier qui détient pas un seul titre comme auprès du RCD mais aussi faison parti de plusieurs association et surout la chambre Franco-Tunisienne de marseille ou il a volé récemment le portfolio pour se faire une nouvelle peau et une nouvelle virginité auprès de la Tunisie, avec un pseudo symposium tenue au pôle technologique sis à la Gazelle (Ariana).
Rappel du passé : Khaled Néji représentant de l’office de l’huile près du consulat générale de Tunisie à Marseille a été victime de sa (Stoufida).
Monsieur Kahled Néji a été limogé de son poste, radié de ses fonctions, décédés suite à une attaque cardiaque après avoir visité les prisons Tunisiennes
Je souhaite que cette personne n’intervienne plus sur le sol Tunisien afin de crée des réseaux encore pire qu’avant et revenir au pouvoir par la fenêtre.
Aidez moi à dire la vérité sur ce malheureux de la Sbikha (kairouan) qui fout la honte à son peuple.
Ce Virus, qui trompe sa femme sans scrupule ni honte. A trahit ce que nos ancêtres ont essayé de bâtir, bravour, fraternité dévouement, sincérité.
Il est et il sera toujours à l’antipode des Tunisiens , lèches botes et au plurielles
Vive la Tunisie sans hypocrites
bonjour je suis tres heureuse que mr tlili soit libere mais je n arrive pas avoir de nouvelles precises je tiens a dire que c est un MONSIEUR exceptionnel et qu il ne merite vraiment pas ce qu il a endure j aimerai pouvoir lui exprimer tte ma sympathie
Voilà quatre ans se sont écoulés et votre combat a porté ses fruits. J’aurais pas osé signer ces quelques mots par mon nom réel si vous n’avez pas milité pour ’ma’ liberté. Reconnaissante et le mot ne peut résumer ce que je ressens et tout le respect que je vous porte.
Merci...
Lilia Weslaty
Les petits cons s’amusent à faire leurs graffitis imbéciles même sur les statues couvertes de prestige et d’histoire de Carthage ; on en a maintenant fini avec Ben Ali, avec la censure et l’étouffement des idées et de coeur opéré par son régime. Mais on en finira jamais avec l’idiotie des fondamentalistes islamiques qui promenent leurs femmes en burka, parce que c’est la seule façon par laquelle savent voir une femme : comme une bête dangeureuse. On en finira pas facilement, terrible dictature, avec ceux qui demandent maintenant de couper les mains, les jambes et les bras, suivant l’obsolète loi coranique, sans se faire aucun souci de l’Homme. Jésus, le Christ en est le plus grand champion, le Rédempteur de l’humanité, Lui qui a porté la Croix pour nous TOUS ; quant à la mafia et à al-Capone, nous les plaçerons comme un héritage historique de cet islam que tant s’acharnent à défendre par l’ignorance (mafia vient de l’arabe dialectal anciene "mafiah", c’est-à-dire "protection", la mafia est nait et c’est culturellement radiquée dans une ancienne terre d’islam, la Sicile)
j’ai aimé ce que vous pensé . suis de ton coté. tu me trouvera a l’appui
28 décembre 2004
Nous sommes tous blessés ….. Par la vie, par les autres, par nous-mêmes et surtout par ce qui se passe dans notre pays. Certains s’enferment dans leur souffrance intérieure. D’autres explosent en invectives. La douleur nous fait perdre la tête. On se met à s’en prendre à tous et au reste. On se trompe d’adversaire, on crie, on se débat dans sa propre colère en croyant débattre avec l’autre. Il n’y a qu’à lire ce qui s’écrit sur le net tunisien pour mesurer le degré de cette frustration nationale et généralisée.
Il est temps de se reprendre, de focaliser sur l’essentiel et de penser efficace.
Il nous faut sortir de la léthargie et du choc occasionnés par la pitoyable réussite de l’usurpateur le 24octobre et le pitoyable échec des oppositions lors de cette même épreuve.
Les données du problème sont évidentes : Illégitimité du régime, illégalité de la société civile, appauvrissement, violence institutionnalisée, corruption généralisée, peur diffuse, misère psychologique et spirituelle, désertification intellectuelle .
Ce sont là les caractéristiques du pays en 2004 et c’est là le bilan de 17 ans du règne d’un homme indigne de sa charge.
Or le maintien de l’usurpateur au pouvoir pour des années encore ne peut qu’aggraver chaque jour un peu plus toutes ces crises et donc précipiter le pays dans l’inconnu.
Face à ce diagnostic sur lequel tout le monde s’accorde, la stratégie des acteurs pour faire face est maintenant bien arrêtée.
Pour L’usurpateur et son gouvernement occulte de maffieux et de ripoux (les ministres, députés et autres docteurs en droit n’étant que du vent et du paravent ) la devise est : j’ y suis , j’y reste …….et pour toujours
L’homme et ses acolytes sont plus que jamais décidés à s’accrocher au pouvoir, à ne céder aucune réforme même la plus anodine, tout cela afin de garder le plus longtemps possible la clé du tiroir caisse et leurs crimes impunis.
Le peuple des sujets : sa devise est ’’wait and see’’. Il ne bougera probablement que pour la curée.
La jeunesse : la sienne est’’ silence on fuit’’
Les gouvernements occidentaux : Ils continueront à appuyer la dictature que ce soit à la Chirac (sans vergogne et sans état d’âme) ou à la Bush (en renâclant et en exigeant platoniquement le ravalement de la façade).
Les oppositions : Elles ne veulent que garder leur patente, leurs locaux, leur permis d’exister, attendre les pseudo élections pour les ’’ trois petits tours et puis s’en vont’’.
Croyez le ou pas, ils parlent déjà de se mettre aux élections législatives (afin d’élargir les espaces de liberté, de s’entraîner, de tenir des meetings dans les régions, de faire connaître leur voix, de confondre le pouvoir etc.)
Les chefs, sous-chefs - proto-chefs et méta- chefs de ces oppositions : Ils sont fermement décidés à ne laisser aucune tête dépasser la leur, à empêcher toute figure nationale de rassembler large contre la dictature, même si cela devait faire durer le régime jusqu’à la fin des temps.
Ce sont là des données intangibles et incontournables. Cela ne sert à rien de les ignorer, de les insulter ou de s’en plaindre. Cela ne sert à rien d’ânonner que le régime n’a qu’à se réformer. Il est irréformable …ou que les oppositions n’ont qu’à s’unir, elles ne s’uniront pas …..Ou pire : y’à qu’a s’entendre entre vous messieurs les chefs, y à qu’à faire ceci ou cela. En politique, comme dans la vie, on ne va pas loin avec le ’’ yaquisme’’.
Il y a d’autres données tout aussi intangibles : l’hémorragie de légitimité et de crédibilité d’un homme usé et déconsidéré,les changements lents mais réels dans l’équation internationale, la guerre des clans , l’atmosphère putride de fin de règne , l’indignation profonde de tous devant les prétentions successorales de Madame , la haine du peuple des sujets pour le régime et le mépris du peuple des citoyens ….. le ras -le bol généralisé.
Le fruit est plus mûr q’on le croit.
Voilà donc toutes les données objectives du problème en ce début de 2005.
Nous savons tous que le problème est d’une telle gravité qu’il n’accepte qu’une seule solution : la fin d’un régime illégitime et incompétent (sauf en matière d répression et de corruption) et la mise en place de l’Etat de droit.
Reste à savoir comment hâter une fin, de toutes les façons inéluctables, et empêcher la renaissance du même type de régime mais ’’ lifté’’ lors d’un autre misérable 38 octobre.
Résumons - nous :
Comment rassembler le peuple des citoyens de tendance islamistes ou laïques , éparpillés dans tous les partis illégaux ou autorisés , présents dans tous les échelons de l’administration , voire même de la police, pour initier des actions concrètes qui amèneront progressivement le pays à une solution à la Géorgienne ?
C’est de cela qu’il faut que le pays débatte, le reste n’étant que cris et chuchotements sans intérêt et sans lendemain.
les Mots passent, les Actions restent....
28-12-2004
source Tunezine.com par mokipasse Bonsoir. C’est un sujet trés sérieux proposé juste aux derniers jours de 2004. J’avais proposé sur ce forum, il y a deux jours de finir cette année dans l’amusement et le rire, sauf urgence. Eh bien, je pense que là, il s’agit en effet d’une urgene. Urgence de commencer effectivement à débattre d’un sujet aussi crutial qu’est le rassemblement d’une opposition émiettée. Une oppostion qui existe j’en suis certain dans toutes les couches de la société tunisienne. Une opposition latente, mais effective et réelle. Seulement, il faudrait une locomotive solide et neuve pour que le train de changement démocratique, que tout le peuple attend, soit tracté vers l’avant, vers la liberté. Les oppositions telle qu’elles se trouvent à l’heure actuelle ne sont aucunement crédible auprès du peuple. Elles sont même méprisé sur le même pied d’égalité du pouvoir lui-même. Ne sont elles pas elles même soit l’émanation du pouvoir soit accréditées par lui étant tallées à sa mesure ? le peuple voit et regarde ce qui se passe dans le monde. L’exemple de la Géorgie et celui, actuel de l’Ukraine frappe l’imagination de la grande majorité de notre peuple. Il se pose cette question : Si ces peuples peuvent changer le cours des choses, le cours de l’histoire chez eux, pourquoi pas nous ? Seulement en Géorgie et en Ukraine, il y a des volontés institutionalisées dans des rassemblents crédibles, efficace et non corrompu ne cherchant pas des miettes de pouvoir à l’ombre d’un des pouvoirs le plus abject, le plus rétrograde et le plus arriéré et ignorant de la planette. Donc, débattons et trouvons la solution. Mais surtout, une fois la solution trouvée, il nous faudraient avoir le courage d’aller de l’avant par l’action. Il faudrait avoir dans l’esprit et il faut être conscient que le pouvoir se prend dans la souffrance et l’incertitude...parce que les dictateurs ne lâchent et n’abandonnent jamais leurs privilèges les incantations et les supplications. Il faudrait que ce vampire du peuple soit jeté bas par de l’action certes non violente, mais néamoins énergique et volontariste.
les Actions restent....
28-12-2004
par Aziz
Je suis tout a fait d’accord avec toi mais mes amis ils ne faut pas se leurrer :
1 Le peuple Tunisien n’est pas pret a suivre un mouvement democratique puisque nous n’avons la maturite necessaire en tant que peuplepour l’instant.
2 Nous semblons negliger le pouvoir de l’armee qui soit dit en passant est forte en Tunisie et represente une force majeure pour tout changement . Ce pouvoir de l’armee a etet etouffe par le piuvoir qui l’as mis sous sa tutelle mais ce qu’il faut sa voir c’est qu’il y a une fronde qui s’est produite ( le crash de l’helicoptere regroupant de haut dirigeants de l’armee en est le plus bel exmple)
3 Force est admettre que -et ce avec tout le respect que je dois aux differents dirigeants et figure de l’opposition- aucun leader en tnat que tel aucun dirigeant rassembleur ne pointe sur l’horoizon opu selon moine soit capable d’avoir une vision REALISTE du contexte Tunisien et de pouvoir dans le futur diriger le payus d’une main FORTE du moins duramt le 1 er mandat afin de stabiliser le pays apres le CHANGEMENT dont on parle.
4 AUCUNS partis politique- a part peut etre le PDP -ne presente un projet de pays viable c’est ces resolutions qui nous manquent on focuse sur le fait de detrone le regime mais .. apres quels sont les scenarios.... un gouvernement provisoire comme l’a propose M. Marzouki qui reunira toutes les mouvances et elections ? MAis comment faire des elections QUAND EN FAIT LES PARTIS NE SONT PAS EN MESURE D"AMENER UN PLAN VIABLE > SUR QUOI SE BASERA LE TUNISIEN POUR FAIRE SON CHOIX DEMOCRATIQUE ???
5 LE RASSEMBLEMENT EST NECESSAIRE POUR COMBATTRE LE REGIME. Seul on arrive pas a grand choses et surtout amenera des confusions apres la chite du regime et le pays sera potentiel dans le CHAOS.
6 LA stabilite est un facteur crucila dans notre pays si on prend en compte le contexte international et regional. Et le pouvoir qui sera mis en place aura besoin du SOUTIEN INTERNATIONAL quelque choses que nous n’avons pas pour le moment parce que NON CERDIBLE.
NOUS CONTESTONS nous N"AGISSONS PAS en tant que opposition et tant que nous ne virerons pas notre veste nous resterons ..... opposition
La democratie,c’est le gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple.
Mon meilleur ennemi ! 28-12-2004
par Analyste Junior
Prenez un groupe de personne, mettez les dans un espace réduit et observez, vous remarquerez au bout d’un certain temps que la communication au sein de ce groupe tournera au vinaigre, c’est inéluctable. Si maintenant vous donnez à ce groupe une activité, un objectif, vous remarquerez que les relations seront beaucoup moins conflictuels ou du moins que les conflits seront beaucoup plus fructueux, l’ordre peut naître du désordre. Il en est de même pour ce qu’on appelle l’opposition, à force de tourner en rond on finit par avoir le tournis, à force de vide et d’inactivité, les mots ont finit par perdre leur sens premier, ainsi le terme opposition est-il presque devenu péjoratif. Faute de mieux, continuons à utiliser ce terme. Ainsi l’espace oppositionnelle tunisien à force de vide subit le même sort. Toute personne observant le net tunisien ou observant l’opposition d’une manière ou d’une autre peut s’en apercevoir. Il n’est donc plus nécessaire de s’étaler là dessus : les meilleurs amis finissent par devenir les pires ennemis à force de tourner en rond. Il faudrait revitaliser cet espace, toute sorte d’activités peuvent être proposées, j’entends par exemple souvent les gens parler de manière très nostalgique des club-ciné, alors pourquoi ne pas recréer un tel club à Tunis et si c’est impossible à Paris ou ailleurs. Organiser des expositions, des ateliers qui peuvent être consacrés à divers thèmes. Ce ne sont que des exemples mais le but étant de proposer des activités qui créent du lien social entre tunisiens, qui petit à petit perdront ce sentiment de peur et réapprendront à se parler sans tabous. Quand on observe le verrouillage effectué par le régime, l’apparent désintéressement des tunisiens pour la chose publique et le peu d’écoute qu’il accorde à l’opposition, les contraintes de la vie quotidienne, l’on pourrait décréter l’impossibilité d’agir, taxer toute personne qui voudrait bouger cette montagne de folie furieuse. vous faites l’état des lieux et vous êtes tenté de baisser les bras ? nous avons tout faux, nous sommes au même point sinon pire qu’il y’a dix sept ans. L’expérience, c’est la somme des erreurs commises. Vous avez essayé ? souvent essayé ? vous vous êtes souvent trompez ? vous avez beaucoup de chance, c’est que vous avez beaucoup d’expérience. L’un des obstacles insurmontables semble être cette quasi impossibilité d’accès aux citoyens, aux étudiants et à toutes les autres cibles que tout opposant au régime voudrait atteindre. La distance qui sépare tout opposant du peuple tunisien est égale à la distance qui le sépare d’un autre opposant. Au jour d’aujourd’hui personne n’a réussi, quelque soit la méthode à réaliser l’objectif suprême. Parce que cet objectif nécessite une attitude suprême : celle qui me pousse à tout encaisser, à rester humble sans que cela n’empêche d’être ambitieux pour la Tunisie. Celle qui me pousse à me dire je ne suis rien si je n’agis pas main dans la main avec mon adversaire (idéologique), face à Ben Ali mon adversaire est mon meilleur ennemi, celui grâce à qui j’avance. Le pire ennemi de tous c’est Ben Ali.
Une remarque à faire : 29-12-2004 0
source Tunezine.com par KMA
Tout celà ressemble à un procès ou mieux à une compétition pour savoir qui va endosser la vexation du 24 octobre dernier.
Je vous dit chers amis qu’il n y a pas eu d’echec le 24 octobre parcequ’il n y avait pas d’enjeu.
Marzouki a raison de dire qu’il y a un grand ras le bol en Tunisie. Les tunisens déchirés entre socialement, ethiquement, familialement sont des ZOMBIES.
Les hommes n’en sont plus par l’ingénierie sociale voulue programmée d’une machine qui les a émasculés.
Personne ne bougera sauf lorsque l’humiliation d’un peuple, collectivement, individuellement , émergera des vapeurs de l’égoisme et de la consommation même à crédit.
Ces hommes sont ainsi aliénés à ce qu’ils croient être le sens de leur vie mais c’est tout simplement l’hameçon tendu d’une main habile et accepté par une bouche rendu ainsi coupable.
Le sursaut n’est pas pour bientôt mais lorsqu’il viendra il sera dévastateur.
Abdo a raison d’en avoir assez de la littérature, tout le monde est en buffer overflow par la politocratie tunisienne.
Je l’ai dit il y a quelques jours : Personne ne lit plus vraiment la littérature politique et le meilleur passe inaperçu comme la dernière déclaration du congrès de l’ID.
Elle contient l’essentiel.
Les occidentaiux soutiennent BenAli car il n y a pas d’organisation politique crédible ... et benali le sait bien... et vous aussi.
Le peuple tunisien ne soutient pas l’opposition car il n’y croit pas.
Le peuple ne fera confiance à un processus de changement que si ce processus est crédible de tous les points de vue. C’est simple et ce n’est que ça.
Comment faire pour batir une organisation poltique crédible, c’est à dire qui ADHERE, au sens physique du terme, à la réalité ?
A chacun ses convictions et « ses cris et chuchottements ! »
Réaction à chaud à « l’Appel au débat » de Moncef Marzouki source Nawaat.org
Par Ouildbled
29 décembre 2004
Désolé de dire, moi qui ai pour M. MARZOUKI une vraie estime, que ce texte est indigeste. Franchement, pour un « un appel au débat national », ça manque de hauteur et de lucidité pour un trop plein de suffisance et de prétention. Sans doute un effet de « la frustration généralisée » que Mr Marzouki attribue …aux autres.
I-
« On se trompe d’adversaire, on crie, on se débat dans sa propre colère en croyant débattre avec l’autre. Il n’y a qu’à lire ce qui s’écrit sur le net tunisien pour mesurer le degré de cette frustration nationale et généralisée.. »
Ce jugement a sans doute quelques fondements objectifs. Je ne le discuterai pas en tant qu’il décrit la réalité. En revanche, la manière dont M. Marzouki se soustrait à tout çela, et le ton détaché dont il en parle, comme s’il était au dessus de la mêlée, sont parfaitement trompeurs.
Laissez moi vous rappeler Mr Marzouki que vous vous êtes dérobé au débat avec les forumiers de Nawaat, au mépris de la parole donnée, avant votre retour au pays. Dérobade incompréhensible, tout particulièrement pour les forumiers, dont je suis, qui apprécient et valorisent la fermeté de votre engagement et vos apports sur la question de la résistance à la dictature qui saigne notre peuple et notre pays. Si bien que je me demande et vous demande : qui, en l’occurrence, « se trompe d’adversaire » ?? … Quant à « la frustration », oui elle est générale, et il y a de quoi ! Ne l’êtes vous pas vous-même, frustré et même désemparé !?
Libre à vous, Monsieur, de choisir, vos interlocuteurs. Mais quand on décide d’ignorer des citoyens qui résistent à la dictature en exerçant leur plein droit à la liberté d’expression de leurs opinions sur la nature et les voies de cette résistance, sans visa ni allégeance préalables à tel « patron » ou telle « baronne » de « l’opposition » ; quand on décide d’ignorer ou de marginaliser ou d’exclure ou de dénigrer ses contradicteurs sur tout ou partie de l’analyse de nos problèmes -ce sur quoi convergent tous les partis de l’opposition médiatiques, y compris le votre parfois malheureusement-, eh bien on est peu crédible ou trop plein de suffisance, comme vous voulez, pour interpeller chaque tunisien et chaque tunisienne ou appeler au débat national ! A moins..., à moins que votre appel ne s’adresse à « l’opposition » dont vous avez pourtant asséné maintes fois qu’elle n’est pas votre affaire, disant et affichant que votre affaire à vous c’est la résistance !!! Je ne vois pas autrement à qui vous vous adressez !
Voyez-vous, M. Marzouki, je suis de ceux qui ont cru et croient à la pertinence conceptuelle et à la promesse politique de cette idée de résistance. Et il n’est que juste que je vous sois reconnaissant entre autres de cet apport décisif à notre lutte. J’aurais seulement souhaité que le discours et les pratiques concordent. Or, je crains que votre résistance ne soit, du moins pour le moment, qu’une autre opposition. Une opposition radicale certes, mais une opposition quand même, plus animée par la volonté de pouvoir que par l’esprit de la résistance.
a- A afficher comme les autres mépris et, au mieux, méfiance envers les anonymes du net, prétexte foireux pour se soustraire à la confrontation idéologique et politique, ne participez vous pas de cette volonté de contrôle qui prétend réduire au suivisme, dans des réseaux de loyauté partisanes et personnelles, les sensibilités et les oppositions qui s’expriment sur le net ! La secrétaire générale de votre parti n’en est-elle pas venue carrément à contester leur « liberté » et à douter de leur opposition à la dictature, comme si celle-ci avait pour critère et corollaire obligés le soutien à « l’opposition » et à ses icônes !
b- Avez-vous jamais prêté l’oreille, Monsieur Marzouki, aux gens qui disent ne rien comprendre à « la société civile », n’avoir rien à faire de « la démocratie » ? Un ami me disait hier encore que tout cela c’est de la « politique » ! Et « la politique », c’est bien connu, c’est pas « pour nous ». C’est leur affaire, là-bas, à Tunis, les gens du pouvoir et les candidats au pouvoir ! Je sais, je sais… C’est des « lâches » et c’est des « cons »… Il se trouve que j’en suis un, de « lâche et de con ». Et je vous dis : rien, vous ne pouvez rien faire sans ces « lâches » et ces « cons »…
II-
« Résumons - nous : Comment rassembler le peuple des citoyens de tendance islamistes ou laïques , éparpillés dans tous les partis illégaux ou autorisés , présents dans tous les échelons de l’administration , voire même de la police, pour initier des actions concrètes qui amèneront progressivement le pays à une solution à la Géorgienne ? »
a- Je ne suis pas preneur de ce « peuple de citoyens », ni conceptuellement : un peuple n’est pas réductible à une somme de citoyens ou, pour le dire autrement, une somme de citoyens ne forment pas nécessairement un peuple ; ni politiquement : l’exclusion de la masse qui ne serait pas consciente de sa citoyenneté est un pur produit de l’élitisme de nos élites. On y revient, aux « lâches » et aux « cons » ! Qu’avez vous fait Mr Marzouki de cette esquisse de projet de résistance où il était question comme vous le disiez vous même de se tourner vers la « société tout court » plutôt que de se focaliser sur une ainsi dite « société civile » ?
b- A se référer au peuple et à la société tout court, plutôt qu’à ces seules élites, êtes vous sûr que l’islamisme et le laicisme le divise à ce point que ça en devient notre problème majeur : celui dont « il faut que le pays débatte », nous dites vous, Mr Marzouki, impératif ? N’est ce pas là plutôt le problème microcosmique « des élites » ? Sinon un faux problème, du moins une difficulté hypertrophiée qui aveugle sur les vrais problèmes sociaux, économiques, politiques, culturels, ainsi que ceux de notre monde arabe et musulman face aux menées criminelles des américano-sionistes et à la normalisation rampante …
Je ne sais pas de quel type sera la solution à notre problème. Je sais seulement que rien de décisif ne se fera sans l’écoute de notre peuple, de sa misère et de ses espérances, de ses fibres identitaires arabes et musulmanes, à travers des pratiques de résistance et de désobéissance y compris clandestines, autour d’objectifs de luttes concrètes et de thématiques revendicatives…
A chacun ses convictions et « ses cris et chuchottements ! »
Le débat national des privilégiés : Basta, c’est assez !!! Par Abdo Maalaoui, Opposant Montréal, Canada
29 décembre 2004
Dr Marzouki, permettez moi de vous remercier de votre lettre qui nous invite au débat national. Nous avons assez de « débat national des privilégiés » ? Beaucoup d’opposants de la diaspora et de l’intérieur de la Tunisie ne peuvent plus se taire, nous vous disons : Basta, c’est assez !
Il fallait regarder ce qui se passe en Géorgie pour comprendre que le pouvoir n’est qu’une illusion, le pouvoir n’est que ce que nous « citoyens humiliés » veulent voir à l’intérieur de notre tête, dans notre cœur, le pouvoir est comme de la magie, on pense que c’est du vrai mais au fond ce n’est qu’une illusion et manipulation.
Je ne vous apprend rien, depuis des siècles que les révolutions se sont faites avec des leaders qui sont convaincu, ils ont une vision, ils ont su s’organiser et mobiliser avec eux, ceux et celles qui ont en assez de l’humiliation. Un jour, l’ordre était donné et la révolution s’est feue ! Par la suite les historiens et journalistes ont écrit n’importent quoi. La vérité est toute autre chose dans la rue ! Ceux que nous voyons sur la grande place en Géorgie, ils obéissent à nouveau genre de Parti politique, celui du cœur, de l’esprit et de la souffrance de la vie, leur programme politique se résume à une demie phrase : « Ils ont marre du pouvoir en place… » !!!
* Dr. Marzouki, SVP, vous avez assez parlé et écrit, soyez le Moise qui est capable de nous guider pour traverser ce « maudit désert ». Il y a beaucoup de gens qui sont prêts pour souffrir afin de vivre par la suite en Homme libre !
* Dr. Marzouki, SVP, arrêtez de nous rabâcher le même discours et de nous écrire les mêmes phrases, nous vous disons que nous sommes prêts !
* Dr. Marzouki, SVP, arrêtez de nous inviter encore à un autre débat national des privilégiés, s’il vous plait on ne peut plus, nos oreilles sont devenues bouchées par ce qu’on entend de tragédies humaines et nos gorges sont bloquées, les mots ne peuvent plus sortir tellement nous sommes prêts !
* Dr. Marzouki, SVP, arrêtez de nous emmerder, si vous êtes sérieux, mettez vous débout encore, nous marchons derrière vous, peut importe où nous sommes, je vous le confirme que nous sommes prêts !
* Dr. Marzouki, SVP, pensez vous que Martin Luther King, Gandhi, Mandela, ou le Ché ont attendu qu’il y a des millions d’hommes derrière eux. Absolument faux ! ils ont été une dizaine et après une centaine et après des milliers et après le régime était obligé de négocier ou de fuir. Le peuple savait qu’il était méprisé mais seulement quelques uns étaient prêts !
* Dr. Marzouki, SVP, assez de vouloir cracher sur les gens de votre bord, nous sommes des opposants à divers degré. Vous êtes un leader reconnu, arrêtez de nous faire « chier », je vous confirme que nous sommes prêts !
* Dr. Marzouki, ne cherchait pas qui je suis, si ça vous soulage, je fais partie d’un groupe silencieux, je suis un autre « trou de cul » qui en a assez ! Je vous le confirme que nous sommes prêts !
Vous nous appelez pour nous dire quoi ? vous voulez qu’on discute de quoi ? Vous voulez qu’on débatte quoi ? Je pense que tout a été dit ? Arrêtez de nous insulter, il est temps de nous écouter aussi. Nous ne sommes pas à Hollywood, le débat de quelques « stars politiques tunisiens », Dr Marzouki, en terme clair, je vous le dis, ça nous n’intéresse absolument pas. Depuis longtemps, ces « Judas » tunisiens sont connus, pour nous, ils resteront toujours des Judas. On souffre, on a marre et on a assez ! Je vous le confirme que nous sommes prêts ?
Nous sommes convaincus que vous êtes un homme sincère, nous sommes aussi des pacifistes mais des activistes convaincus, il faut lancer le mot d’ordre à la désobéissance civile, nous sommes prêts de marcher avec vous, à vos côtés et derrière vous. Nous sommes honnêtes avec vous.
Il vous reste cher Dr Marzouki, deux voies :
* La voie d’être le leader « le Moise tunisien » qui nous permet de marcher et de traverser ensemble le Sahara afin de libérer notre peuple des griffes de ses « bandits et maffiosos », qui se cachent derrière l’étique de la RCD, pour légitimer leurs crimes économiques et politiques.
* La voie de nous faire encore des discours que j’ai entendu depuis l’époque de Bourguiba et d’entendre encore que nous ne sommes pas encore PRETS … Alors frère Dr Marzouki, c’est mieux par respect à nous autres et à vous-même de se taire et de nous foutre la paix. ?
La vérité est amère mais ça se dit aussi !
Abdo Maalaoui, Opposant politique Montréal, Canada
maalaoui@yahoo.com
Lettre ouverte à Moncef Marzouki Par Derbali,
29 décembre 2004
Le degré de frustration, que ce soit sur le net ou autre part dont parle Moncef Marzouki, a atteint son paroxysme depuis longtemps, y compris et surtout dans la classe politique qui souvent se cherche des repères dans la surenchère et même dans la forfaiture, voire des fois dans la maladresse comme l’affaire de Moncef Marzouki sur Nawaat ou même cet appel à la mobilisation lancé d’une façon partisane et par une personne qui n’est pas pour beaucoup de militants, ni crédible ni recommandable.
(M. Derbali ayant réagi à l’appel de M. Marzouki son texte devait être cité. Son contenu réactionnaire nous conduit à orienter le lecteur intéressé à lire la suite sur la source citée plus haut. Nous ne souhaitons pas publier le texte in extenso sur notre site. La rédaction).