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Une action en hommage à Zouhair Yahyaoui
18 juillet 2014, par jectk79

Mon amie ne sait pas rediger un com sur un article. Du coup il voulais souligner par ce commentaire qu’il est ravi du contenu de ce blog internet.


Pourquoi aller tracer partout pour faire établir des évaluations de d’assurances familiales alors qu’existent des portails tels que Sherpa-mutuelle.fr proposant de rapprocher les propositions avec un comparateur mutuelle sophistiqué en restant votre demeure ? site => mutuelle obligatoire


Abderrazek Bourguiba condamné à 25 mois de prison
15 novembre 2011, par Bourguiba

je vous remercie
bourguiba abderrazak



Quelques points marquant contre l’environnement en Tunisie
6 novembre 2011, par xZNRpEkXvbSPvAf

I like to party, not look articles up online. You made it hpaepn.



Et puis y a eu la Révolution :)
1er novembre 2011, par liliopatra

On est mardi 1er novembre 2011, déjà neuf mois que ben ali s’est enfui et il est caché, comme un rat, en Arabie Saudite. Son collègue Gaddafi a été tué.
Après la lecture de cette lettre, tout cela parait être comme un cauchemar pour celles et ceux qui ne l’ont pas vécu personnellement. Cependant, le mal a sévi longtemps, beaucoup trop longtemps en Tunisie. Il est temps que ça change.
Tout un système policier qui s’effondre, la justice vient de renaître, certes encore fragile mais sera équitable insh’Allah.



Va chialer ailleurs ( reponse)
30 octobre 2011, par Maud

Oui il a un fils qui est mon meilleur ami et croyez moi, même si son père et loin de lui sa ne fait pas de lui un mauvais père il s’occupe très bien de lui et Selim va le voir de temps en temps. Je suis au cœur de cette affaire et je peux donc savoir les ressentis de chacun...



Va chialer ailleurs ( reponse)
30 octobre 2011, par Maud

ةcoutez quand on ne connait pas la personne on ne juge pas ! Je connais personnellement Monsieur Tebourski et je sais que c’est un homme bon, et je pense que si il a demander a rester en France c’est surtout pour son Fils !
Ne le jugez pas car vous ne le connaissez pas comme je le connais ! Je suis la meilleure amie de son fils Selim. Je sais qu’Adel est un homme bon alors arrêtez tous vos blabla et essayer donc de comprendre le fond de la chose. Merci et bonne soirée



> Une pétition de 86 prisonniers tunisiens
30 octobre 2011, par Moussa

the death of an African giant

Par : Y. Mérabet
En outre, contrairement à ce que pensent aujourd’hui de nombreux libyens, la chute de Kadhafi profite à tout le monde sauf à eux. Car, dans une Afrique où les pays de la zone subsaharienne riche en ressources minérales tournaient complètement le dos à la France pour aller vers la Chine, il fallait bien que monsieur Sarkozy trouve un autre terrain fertile pour son pays. La France n’arrive plus à vendre ses produits manufacturés ou de décrocher un marché en Afrique, elle risque de devenir un PSD C’est pour cela que l’on a vu une France prête à tout pour renverser ou assassiner Kadhafi ; surtout quand l’on sait que la Libye est l’une des premières réserves en Hydrocarbures d’Afrique et de Sebha est la capitale mondiale du trafic Franco-libyen de concentré d’uranium Nigérien. Egalement, l’on sait que jusqu’ici, les populations libyennes n’avaient rien à envier aux Français, ils vivaient richement mieux sans se suer. Puisque Kadhafi faisait tout son possible pour les mettre à l’abri du besoin. Il est donc temps pour les libyens de choisir pleinement futur partenaire occidental. Car si en cinquante ans de coopération la France n’a pu rien apporter à l’Afrique subsaharienne. Vat-elle apporter maintenant aux libyens un bonheur supérieur à celui que leur donnait leur Guide. Rien à offrir à ces ignorants de libyens, sauf des repas communs dans les poubelles de la ville Paris, en France c’est déjà la famine ? Lui, qui durant plusieurs décennies était l’un des faiseurs d’hommes les plus efficaces sur le continent Africain. De son existence, Kadhafi était le leader le plus généreux d’Afrique. Pas un seul pays africain ne peut nier aujourd’hui n’avoir jamais gouté un seul pétro –Dinar du guide Libyen. Aveuglement, et motivé par son projet des Etats-Unis d’Afrique, Kadhafi de son existence a partagé l’argent du pétrole libyen avec de nombreux pays africains, qu’ils soient Francophones, Anglophones ou Lusophones. Au sein même de l’union Africaine, le roi des rois d’Afrique s’était presque érigé en un bailleur de fond très généreux. Jusqu’à l’heure actuelle, il existe sur le continent de nombreux présidents qui ont été portés au pouvoir par Kadhafi. Mais, curieusement, même pas un seul de ces élèves de Kadhafi n’a jusqu’ici eu le courage de lui rendre le moindre hommage.Au lendemain du vote de la résolution 1973 du conseil de sécurité de l’ONU, certains pays membres de l’union africaine sous l’impulsion de Jacob Zuma ont tenté d’apporter un léger soutien au guide libyen. Un soutien qui finalement s’est éteint totalement sans que l’on ne sache pourquoi. Même l’union africaine qui au départ conditionnait avec amertume la prise du pouvoir libyen par un groupe de terroristes et la reconnaissance du CNT libyen constitués de traitres, s’est finalement rétracté de façon inexplicable. Et curieusement, jusqu’aujourd’hui, aucun gouvernement consensuel n’a été formé en Libye. Depuis l’annonce de l’assassinat de Mouammar Kadhafi, cette union africaine dont Mouammar Kadhafi était pourtant l’un des principaux défenseurs et ayant assuré le dernier mandat, n’a encore délivré aucun message officiel de condoléance à ses proches ou de regret. Egalement, même ceux qui hier tentaient de le soutenir n’ont pas eu le moindre courage de lever leur petit doigt pour rendre hommage à leur mentor. Jusqu’à l’heure actuel, seul l’ancien archevêque sud-africain et prix Nobel de paix Desmond TUTU a regretté cet acte ignoble. Même le président Abdoulaye Wade que l’on sait pourtant proche des révoltés libyens n’a pas encore salué la mort de l’homme qu’il souhaitait tant. Le lendemain de sa mort, un vendredi pas un musulman n’a prié pour lui ?.. A ce jour, sur le continent Africain, seul l’homme de la rue et les medias ont le courage de parler de cette assassina crapuleux du guide libyen. Mais, cette attitude des dirigeants africains ne surprend personne, dans la mesure où l’on sait que chaque président a peur de se faire remarquer par un Nicolas Sarkozy qui est capable de tout si la tête d’un président africain ou d’un arabe l’énerve.
Conclusion La Libye et l’Afrique toute entière viennent de tourner une page d’or avec la perte de Mouammar .
Traitre et maudit que je sois, si j’étais un libyen ?

Journaliste indépendant (Algérian Society for International Relations)
119, Rue Didouche Mourad
Alger centre



Liberté pour le Docteur Sadok Chourou
29 octobre 2011, par Dr. Jamel Tazarki

J’ai écrit un livre qui mérite d’être lu :
TOUT EST POSSIBLE - L’AVENIR DE LA TUNISIE
Vous pouvez télécharger le livre sur mon site Internet :
http://www.go4tunisia.de
Dr. Jamel Tazarki
Allemagne



DECES D’OMAR CHLENDI
28 octobre 2011, par bourguiba

Ma mére Térésa oui notre mére je suis abderrazak bourguiba le frére de mon meilleur ami Farouk .
vous peut etre me connait mais je pense pas que nous avont eu l’occasion de vous voir .

je suis désolé pour ce qui a passé pour mon frére Farouk .
Omar etait un homme exeptionnel un vrai homme j’ai passé avec lui 6 mois dans le prison nous étions plus que deux fréres.

soyez fiére de Farouk
et que la paradi soit pour lui



Projet libéral pour une nouvelle monarchie démocratique et laïque en Tunisie
22 octobre 2011, par Victor Escroignard

La Monarchie Constitutionnelle est l’avenir est la garantie des droits et libertés pour la Tunisie, la Libye et toute l’Afrique du Nord. Le Roi est l’âme du peuple, Il est porteur du sentiment d’unité nationale et du patrimoine historique du peuple. LA MONARCHIE CONSTITUTIONNELLE EST LE PLUS SUR MOYEN POUR EVITER QU’UN PRESIDENT FINISSE UN JOUR EN DICTATEUR (voyez le cas du roi d’Espagne, sauveur des libertés après le Franquisme).



> Lotfi Hamdi, une Barbouze qui se voit ministrable
4 octobre 2011, par Anti Lotfi Hamdi

Bonjour Mesdames, Messieurs,

Je souhaite attirer votre attention sur le faite que ce Barbouze comme vous le dites, a retourné sa veste à l’instant où il s’est assuré du départ définitif du ZABA plus exactement le 18 Janvier 2011.

Mais encore ce dernier qui détient pas un seul titre comme auprès du RCD mais aussi faison parti de plusieurs association et surout la chambre Franco-Tunisienne de marseille ou il a volé récemment le portfolio pour se faire une nouvelle peau et une nouvelle virginité auprès de la Tunisie, avec un pseudo symposium tenue au pôle technologique sis à la Gazelle (Ariana).

Rappel du passé : Khaled Néji représentant de l’office de l’huile près du consulat générale de Tunisie à Marseille a été victime de sa (Stoufida).
Monsieur Kahled Néji a été limogé de son poste, radié de ses fonctions, décédés suite à une attaque cardiaque après avoir visité les prisons Tunisiennes

Je souhaite que cette personne n’intervienne plus sur le sol Tunisien afin de crée des réseaux encore pire qu’avant et revenir au pouvoir par la fenêtre.

Aidez moi à dire la vérité sur ce malheureux de la Sbikha (kairouan) qui fout la honte à son peuple.

Ce Virus, qui trompe sa femme sans scrupule ni honte. A trahit ce que nos ancêtres ont essayé de bâtir, bravour, fraternité dévouement, sincérité.

Il est et il sera toujours à l’antipode des Tunisiens , lèches botes et au plurielles

Vive la Tunisie sans hypocrites



Blog dédié à la défense du prisonnier politique Abderrahmane TLILI
4 octobre 2011, par bechim

bonjour je suis tres heureuse que mr tlili soit libere mais je n arrive pas avoir de nouvelles precises je tiens a dire que c est un MONSIEUR exceptionnel et qu il ne merite vraiment pas ce qu il a endure j aimerai pouvoir lui exprimer tte ma sympathie



> Tunisie, l’agression abjecte sur Samia Abbou par les voyous de Ben Ali
26 septembre 2011, par Liliopatra

Voilà quatre ans se sont écoulés et votre combat a porté ses fruits. J’aurais pas osé signer ces quelques mots par mon nom réel si vous n’avez pas milité pour ’ma’ liberté. Reconnaissante et le mot ne peut résumer ce que je ressens et tout le respect que je vous porte.

Merci...

Lilia Weslaty



> Les procès de l’ignorance et les progrés de l’Homme
24 septembre 2011, par a posteriori, l’auteur Nino Mucci

Les petits cons s’amusent à faire leurs graffitis imbéciles même sur les statues couvertes de prestige et d’histoire de Carthage ; on en a maintenant fini avec Ben Ali, avec la censure et l’étouffement des idées et de coeur opéré par son régime. Mais on en finira jamais avec l’idiotie des fondamentalistes islamiques qui promenent leurs femmes en burka, parce que c’est la seule façon par laquelle savent voir une femme : comme une bête dangeureuse. On en finira pas facilement, terrible dictature, avec ceux qui demandent maintenant de couper les mains, les jambes et les bras, suivant l’obsolète loi coranique, sans se faire aucun souci de l’Homme. Jésus, le Christ en est le plus grand champion, le Rédempteur de l’humanité, Lui qui a porté la Croix pour nous TOUS ; quant à la mafia et à al-Capone, nous les plaçerons comme un héritage historique de cet islam que tant s’acharnent à défendre par l’ignorance (mafia vient de l’arabe dialectal anciene "mafiah", c’est-à-dire "protection", la mafia est nait et c’est culturellement radiquée dans une ancienne terre d’islam, la Sicile)



que dieu te glorifie.
23 août 2011, par adyl

j’ai aimé ce que vous pensé . suis de ton coté. tu me trouvera a l’appui



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Décès du père de Zouhair Yahyaoui 21 juillet (...)

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Bibliothèque > Revue de presse > RdP d’Ahmed Fouednejm
Revue de presse n°255
par Ahmed Fouednejm
16 octobre 2002
La Revue de Presse (RDP) est publiée quotidiennement sur le site www.reveiltunisien.org

Vous êtes désormais 145 personnes à recevoir quotidiennement la RDP.
N’hésitez pas à la transférer à vos amis.

fouednejm@hotmail.com


La revue de presse, ce sont les meilleurs articles des principaux quotidiens européens ainsi que les infos de dernière minute des agences de presse choisis pour vous en toute subjectivité par Ahmed fouednejm. Les URL de quelques articles du site de la télévision qatarie El Jazira (en arabe) et d’Al Quds Al Arabi (journal panarabe édité à Londres) seront également donnés.


Sommaire :

Partie arabe : (Al Quds Al Arabi) :

  1. Les Israéliens libèrement les marins égyptiens qui étaient à bord du Karine A. http://www.alquds.co.uk/display.asp?fname=/alquds/articles/data/2002/10/10-16/g29.htm 
  2. Les mosquées australiennes sont sous haute surveillance, par peur de représailles contre la communauté musulmane, suite à l’attentat de Bali http://www.alquds.co.uk/display.asp?fname=/alquds/articles/data/2002/10/10-16/g28.htm
  3. L’excellent Atwan décrit sa déception suite aux dernières déclarations de Amr Moussa, S.G. de la Ligue Arabe http://www.alquds.co.uk/display.asp?fname=/alquds/articles/data/2002/10/10-16/g25.htm

Partie Française : (Le Monde, Le Soir, Libération, AFP) :

Au sommaire aujourd’hui 5 articles et dépèches du Monde (édition du 17 octobre sauf indication contraire), de Libération, du Soir et de l’AFP.

  1. Référendum en Irak : Saddam a 100% des 100% de votants ! (AFP, Le Soir, Libé.) 
  2. Du danger d’être journaliste au Pérou (Le Monde, édition du 15 octobre)
  3. Les RG utilisent, eux aussi, les SMS (Le Monde)
Achevée aujourd’hui à 17 H 55 GMT.

 Bonne lecture !


 
I Irak :
 
 
Saddam a 100% des 100% de votants
 
Seul Saddam Hussein pouvait faire mieux que les 99,96% de la dernière fois : il est réélu avec 100%. C’est plus rond. Surtout que le taux de participation a été de 100%. Non seulement il n’y a pas d’opposant, mais personne n’était malade, hier, en Irak.

Le président Saddam Hussein, 65 ans, a été réélu avec « 100% » des voix pour un mandat de sept ans, selon des résultats officiels annoncés mercredi, alors qu’un débat public sur l’Irak s’ouvre au Conseil de sécurité de l’ONU, toujours divisé sur un éventuel recours à la force contre ce pays.

Le président irakien a été réélu à l’issue d’un référendum mardi, avec 100% des voix et un taux de participation de 100%, selon le numéro deux du régime et président de la commission électorale, Ezzat Ibrahim. « Le président Saddam Hussein, que Dieu le garde, a remporté 100% des voix », a dit M. Ibrahim au cours d’une conférence de presse, précisant que le taux de participation était également de « 100% ». Selon lui, « au total 11.445.638 (bien 11.445.638) personnes ont dit oui à Saddam Hussein ».

Les électeurs irakiens étaient appelés à répondre par oui ou par non à la question : « Etes-vous d’accord pour que Saddam Hussein reste président ? » « Le peuple irakien a concrétisé l’allégeance que leurs grands pères et leurs pères avaient prêtée (...) à leur Prophète Mahomet », a affirmé M. Ibrahim, en félicitant les Irakiens pour ce « oui courageux, pieux et sacré ». « Les Irakiens ont préféré la lumière et la foi à l’obscurité, la civilisation à la barbarie, la victoire à la défaite », a déclaré M. Ibrahim, également vice-président du Conseil de commandement de la révolution, la plus haute instance dirigeante du pays. Saddam Hussein était le seul candidat à sa succession. Il réalise un meilleur score que lors du précédent référendum, en 1995 : il avait alors été élu avec 99,96% de « oui ». Les médias officiels irakiens ont présenté cette consultation comme « la réponse des Irakiens aux menaces américaines et sionistes ».

Ce référendum n’est « pas sérieux », a estimé mardi soir la Maison Blanche. Un débat public sur l’Irak doit commencer mercredi devant le Conseil de sécurité de l’ONU, toujours divisé sur la question d’un éventuel recours automatique à la force en cas de désobéissance de l’Irak sur la question de son désarmement, une exigence des Etats-Unis. « Il semblerait qu’il soit demandé aux Nations Unies de déclarer la guerre à l’Irak. Si cela était exact, ce serait en contradiction avec le premier paragraphe de la Charte des Nations Unies », a déclaré mardi soir au siège de l’ONU l’ambassadeur sud-africain Dumisani Kumalo, président en exercice du mouvement des non-alignés, qui regroupe 114 pays. « Le Conseil de sécurité apparaît sur le point d’entrer en territoire inconnu et cela concerne tous les 191 membres des Nations Unies. Une décision aussi importante ne doit pas être laissée aux seuls 15 membres du Conseil » de sécurité, a-t-il ajouté.

Washington étudie de nouvelles « idées » françaises pour parvenir à un renforcement des conditions du désarmement irakien et sortir l’ONU de l’impasse dans laquelle elle se trouve, a déclaré le secrétaire d’Etat américain Colin Powell. La France et la Russie refusent d’inscrire dans une nouvelle résolution la possibilité d’un recours à la force automatique en cas de désobéissance de Bagdad, comme l’exigent Londres et Washington. Sans exclure une guerre, Paris veut que cette perspective n’intervienne que dans un second temps et soit du seul ressort de l’ONU.

Le président américain George W. Bush a répété lundi soir qu’une intervention militaire contre l’Irak serait son « dernier recours » et réclamé de nouveau une nouvelle résolution de l’ONU qui menacera le régime de Saddam Hussein de « conséquences » s’il ne supprime pas ses armes prohibées. Le secrétaire général de l’ONU, Kofi Annan, en visite à Pékin, s’est dit convaincu qu’un consensus serait bientôt trouvé au sein du Conseil de sécurité. La Chine a appelé à une solution pacifique de la crise.

Sur le plan militaire, des avions américains ont bombardé mardi un centre de communications situé au sud-est de Bagdad, en réponse à des attaques de missiles sol-air et d’artillerie, a annoncé l’armée américaine. L’Irak a affirmé qu’un Irakien avait été blessé dans des bombardements aériens américano-britanniques dans la province d’Al-Kout, dans le sud du pays. Se préparant déjà aux conséquences d’un conflit militaire, l’Iran prévoit l’ouverture de camps pouvant accueillir jusqu’à 700.000 réfugiés irakiens, mais seulement de l’autre côté de sa frontière, a indiqué le ministère de l’Intérieur.

AFP

 

Saddam Hussein, entre Staline et Saladin

PORTRAIT

AGNبS GORISSEN

Le « fonceur », ou le « bagarreur ». Les parents Hussein n’imaginent sans doute pas, en appelant Saddam leur fils né le 28 avril 1937, à quel point ledit rejeton va traduire dans les faits la signification de son prénom.

Peut-être est-ce dû à son enfance difficile : la vie est misérable dans le village d’Owja, près de Takrit (à 150 km de Bagdad), où il n’y a ni eau courante, ni électricité ; et le jeune Saddam, orphelin de père à 9 ans, est à peine scolarisé et va longtemps pieds nus il en a été à ce point marqué, selon le journaliste palestino-américain Saïd Aburish, qu’il amasse aujourd’hui les chaussures italiennes de qualité.

Peut-être aussi peut-on attribuer son évolution au héros qu’il s’est choisi : Staline Saddam lira au cours de sa vie à peu près tout ce qui s’est écrit sur le « Petit père des peuples ».

En tout cas, l’homme montre très tôt un tempérament effectivement « fonceur » et « bagarreur » : il participe en 1959 à un attentat (raté) contre le général Kassem. Après un exil de quelques années, il revient au pays après le renversement de Kassem. Et prend part, en juillet 1968, au coup d’Etat qui porte le parti Baas au pouvoir. S’il n’est officiellement que le numéro deux du président al-Bakr, c’est Saddam qui tire les ficelles. Discrètement d’abord, puis ouvertement lorsqu’il « démissionne » al-Bakr en 1979.

Il laisse alors sa brutalité, déjà bien connue, s’exprimer sans retenue. A peine autoproclamé président, il élimine tous ceux, parmi les officiels, qui se sont opposés à sa prise de pouvoir. Y compris son ami le plus proche. Ministre abattu d’une balle dans la tête en plein conseil, village rasé, opposants raflés et torturés : il n’y a pas de limite à une cruauté encore accentuée par une paranoïa aiguë.

Pas plus d’ailleurs qu’à l’absolutisme de son pouvoir, concentré dans les mains d’une poignée de membres du clan et garanti par les polices secrètes. Ou au culte de la personnalité qu’il instaure le « Grand Oncle Saddam » est présent partout, de la télé aux posters géants en passant par les cadrans de montre. Logique, quand on se compare à Nabuchodonosor, le roi de Babylone qui conquit Jérusalem, ou à Saladin, vainqueur des Croisés.

Malgré ces excès, Saddam Hussein séduit depuis toujours les Arabes : la modernisation du pays et son programme de lutte (bien réelle) contre l’illettrisme les font rêver ; et ils admirent cet homme qui tient tête aux Etats-Unis. Et les Occidentaux, intéressés par le pétrole irakien et le rempart que représente le régime baassiste face à l’Iran, l’ont soutenu militairement... jusqu’à l’invasion du Koweït, en 1990.

Des points faibles, Saddam Hussein ? On ne lui connaît guère que de graves problèmes de dos, pour lesquels il s’est imposé un régime sévère, perdant dix kilos en quelques mois. Régime que son entourage a été prié de suivre lui aussi...·

http://www.liberation.fr/page.php?Article=59270

« Ici, même les bébés votent pour Saddam »
Plébiscite attendu pour un nouveau mandat du raïs irakien.

Par Jean-Pierre PERRIN
Bagdad envoyé spécial

Efazidane al-Hamideh, une femme élégante de 38 ans, tient à voter avec son sang. Il lui faudra se percer l’index de plusieurs coups d’aiguille pour qu’une goutte finisse par perler. Avec ce sang, elle rougit l’une des deux cases ­ l’une pour le « oui », l’autre pour le « non » ­ du bulletin qu’elle ira ensuite déposer dans l’urne. Elle lance ensuite avec conviction : « J’ai voté oui. Oui au président Saddam Hussein. Oui à celui qui a attaqué Israël (en envoyant des missiles Scud sur l’Etat hébreu pendant la guerre du Golfe, ndlr). Oui à celui qui boit l’eau du Tigre (Saddam est né à Takrit, à une centaine de kilomètres de Bagdad, sur les rives de ce fleuve, ndlr). » Elle ajoute : « Ici, même les bébés votent pour Saddam Hussein ! » Derrière elle, sur le mur du bureau de vote, on aperçoit effectivement un dessin au crayon représentant un nourrisson en couche-culotte qui rampe jusqu’à une urne en brandissant un bulletin sur lequel on peut lire « Naham » (« oui » en arabe).

Hier, l’Irak était invité, par référendum, à donner un nouveau mandat de sept ans au président Saddam Hussein, au pouvoir depuis 1979. En 1995, lors du précédent scrutin, qui fut le premier de ce genre, le raïs avait été plébiscité par 99,96 % des Irakiens, selon les chiffres officiels. Cette fois, il devrait faire encore mieux. L’actuel référendum est en effet placé sous le signe du patriotisme face aux menaces américaines qui pèsent sur l’Irak. On peut ainsi lire ce slogan sur certaines banderoles : « Faisons en sorte que le référendum soit une riposte aux mensonges de l’administration américaine. »

Témoignage d’amour. A la différence du précédent scrutin, les autorités ne demandent pas seulement aux 11,5 millions d’électeurs irakiens de se prononcer en faveur d’un nouveau mandat, d’ailleurs renouvelable sans limite, au raïs, mais aussi de lui témoigner leur « amour ». Aussi, bouquets de fleurs et dessins d’enfants ont-ils envahi les bureaux de vote de Bagdad, aux côtés des innombrables portraits du Président. Chaque bulletin est assimilé à un coeur dont on fait don à Saddam en le déposant dans l’urne. Comme le dit une banderole : « Nous sommes des coeurs qui seront à jamais dans cette boîte. » Comme le souligne un diplomate, Saddam Hussein fait en sorte que sa personne soit totalement identifiée à son pays : « L’Irak, c’est le raïs, et le raïs, c’est l’Irak. »

Dans ce quartier de l’est de Bagdad, habité par les classes moyennes, le bureau de vote est installé dans une immense pièce du lycée Al-Methumezine, un des huit établissements scolaires réservés aux « surdoués » que compte la capitale irakienne. L’atmosphère y est joyeuse. On distribue des gâteaux. Informée de la présence d’un journaliste, une des scrutatrices, Nahala Khamis, se met à chanter : « Toutes les roses d’Irak sont pour Saddam Hussein. » Les autres femmes l’accompagnent en poussant des « youyous ». Au milieu de la pièce trône l’urne, décorée par un bouquet de fleurs en plastique. Sur les parois ont été collées des photos du président irakien. Il y a aussi un dessin représentant là encore des petits coeurs sur lequel il est écrit « Oui », et qui volent, à la manière d’angelots, autour d’une urne en forme de gros coeur, où l’on a inscrit le même mot.

Immense soleil. Auparavant, les électeurs doivent passer par l’isoloir. Sur celui-ci est accrochée une affiche représentant Saddam Hussein invitant les peuples d’Irak à aller voter. Immense soleil, qui semble jaillir de l’urne, le dôme doré du Rocher, symbolisant Jérusalem, troisième lieu saint de l’islam, illumine la scène. On peut aussi lire cette phrase : « Du sud au nord, tout l’Irak va fleurir grâce à lui. »

Jolie jeune fille aux yeux clairs, Namis Khader a coché trois fois la case du « oui » de son bulletin pour bien montrer qu’elle aime son Président. Soha Yamine, plus âgée, l’appelle « notre père, notre commandeur, celui qui est cher à notre coeur ». Les hommes ne sont pas en reste : « Je l’aime parce qu’il est le plus fort des Présidents. Il représente l’Irak, son peuple, son esprit. Que Dieu le garde ! » déclare Mohammed Khaled, un étudiant de 19 ans.

Dans le quartier très populaire de Cheikh Ali, où Saddam Hussein, alors fugitif, se cacha un temps en octobre 1959 après sa tentative d’attentat contre le général Kacem, dictateur alors au pouvoir, on se déclare encore plus amoureux du raïs. Dans le bureau de vote, les hommes dansent en scandant : « Par notre sang, par notre âme, nous te défendrons, ô Saddam. » Un homme veut aussi signer un bulletin avec son sang. Le responsable du bureau, Kamel al-Salim, n’exclut pas pourtant que les résultats obtenus par le Président soient inférieurs à ceux du précédent référendum. « Il devrait obtenir entre 95 et 99 % des suffrages. Mais certainement pas 100 %», dit-il. Pourtant, il est impossible de trouver le moindre électeur ayant refusé sa voix au « Président dirigeant ». Ce même responsable n’en connaît pas. Pas davantage les autres électeurs interrogés. « Tous nos parents, nos amis, nos connaissances votent pour lui », affirme l’un d’eux.

Patriotisme. Pendant toutes ces dernières semaines, Saddam Hussein a mis en avant la menace américaine sur l’Irak, jouant sur le patriotisme des Irakiens. Il a ainsi prétendu récemment qu’il n’avait pas « choisi la mission qui lui avait été confiée et qui est de défendre l’intégrité et l’indépendance de l’Irak, qui ne sera jamais le valet des puissances étrangères ». Banderoles et slogans reflètent cette nouvelle donne. « Oui à Saddam et la mort pour l’Amérique et les sionistes », dit l’une d’elles. Le régime a aussi trouvé un jeu de mots qui permet d’assimiler Bush (le président américain) à « Bosh », qui veut dire en arabe une chose de peu de valeur et est aujourd’hui beaucoup utilisé par les Irakiens. Parallèlement, cette montée des périls contre le régime a permis, souligne un diplomate, « de durcir encore son contrôle sur la population », mais ajoute-t-il, « cela n’a pas suffi à ressouder les liens entre les Irakiens et Saddam Hussein ».

II Pérou :

http://www.lemonde.fr/article/0,5987,3236—294115-,00.html

Le journaliste Alvaro Vargas Llosa continue à vivre caché

Sa condamnation à la prison pour diffamation témoigne de la pression exercée sur les médias au Pérou.

Lima de notre envoyé spécial

L’écrivain et journaliste Alvaro Vargas Llosa, fils du romancier péruvien Mario Vargas Llosa, se cache depuis près de huit mois, quelque part au Pérou. Condamné par contumace le 25 juillet, il fait l’objet d’un mandat d’arrêt, à la suite d’une plainte déposée contre lui pour " diffamation" et " atteinte à l’honneur" par Adam Pollack, un homme d’affaires proche du président Alejandro Toledo.

Le journaliste encourt une peine de trois ans de prison et une amende de 1 million de dollars. Il vit aujourd’hui comme un proscrit, séparé de sa femme et de ses deux enfants, âgés de six et trois ans, qu’il n’a vus qu’à deux reprises ces derniers mois. Aussi provocateur que bien informé, Alvaro Vargas Llosa, trente-six ans, s’est fait depuis longtemps un prénom dans son pays et à l’étranger. Il y a deux ans, dans un Pérou en lutte contre Alberto Fujimori, il avait rejoint Alejandro Toledo qui incarnait alors le "renouveau démocratique", devenant l’un de ses proches collaborateurs. Il devait être le ministre des affaires étrangères du nouveau gouvernement démocratique, mais il a rompu avec l’ancien candidat quelques semaines avant la fin du premier tour en 2001, et s’est converti en l’un de ses plus féroces critiques.

Alvaro Vargas Llosa parle avec animation ; sa voix laisse ressentir une véritable fatigue au moins égale à sa volonté de convaincre. Il juge insensé que l’on puisse "envoyer un journaliste en prison pour diffamation". Après la victoire de M. Toledo, il publie, en novembre 2001, des informations sur des négociations secrètes portant sur l’achat de deux hélicoptères pour le président. Le thème est d’autant plus sensible que, pendant les années de gouvernement d’Alberto Fujimori (1990-2000), une grande partie de la corruption était liée aux achats d’armes.

Quelques semaines plus tard, le journaliste obtient de nouvelles informations, relatives à une négociation avec le consortium aéronautique européen EADS portant sur la modernisation et l’entretien de la flotte de Mig-29 des forces aériennes péruviennes. "J’ai simplement révélé l’existence de cette négociation et dénoncé l’absence de contrôle de l’Etat", explique le journaliste.

Pendant ce temps, le président Toledo a vendu six avions Tucano à l’Angola par l’intermédiaire d’une société fantôme basée aux îles Vierges (Caraïbes), sans que le conseil des ministres ou le Parlement soient informés. Là encore, Alvaro Vargas Llosa publie l’information et déplore que, malgré " le changement démocratique intervenu, les pratiques héritées des noires années perdurent".

Le journaliste fait alors l’objet de plaintes en diffamation ; il conteste la forme et la légitimité des procédures engagées contre lui, lorsqu’en décembre un juge prononce son interdiction de sortie du territoire. En février, la justice délivre un mandat d’amener à son encontre, mais il refuse de répondre aux convocations du juge et décide de se cacher.

Il se dit certain que ses ennuis ne sont "que le résultat de la vengeance du président Toledo", qui n’a pas accepté sa défection lors de l’électionde de 2001 ni ses critiques. Les dirigeants de l’opposition péruvienne, Alan Garcia et Rafael Rey, ont dénoncé "la persécution politique inacceptable" dont fait l’objet Alvaro Vargas Llosa.

Dans une lettre adressée, fin juillet, aux autorités judiciaires de Lima, le secrétaire général de Reporters sans frontières (RSF), Robert Ménard, écrit que "l’arrestation d’Alvaro Vargas Llosa créerait un dangereux précédent pour la liberté de la presse au Pérou". Il leur demande "de tout mettre en œuvre pour que le mandat d’arrêt soit annulé et que le journaliste ne soit condamné à aucune peine de prison".

De son côté, le journaliste a fait appel de sa condamnation et déposé un recours auprès de la Commission interaméricaine de défense des droits de l’homme, qui devrait statuer prochainement.

Alain Abellard

III France : Les RG utilisent les SMS :

 
Le ventre de "une"
Pour ne pas être écoutés, les RG raffolent des Texto

ON LES croyait réservés aux carrés d’amis ou aux duos amoureux. Mais les SMS ou les Texto sont aussi un outil de travail, notamment pour la police et les enquêteurs. Et servent, pour leurs qualités de discrétion, aux truands en tout genre et... aux renseignements généraux.

Le commando Erignac s’est trahi par ses portables. Des histoires de trafic de puces ont traîné dans les prisons et les dépositions. Depuis, les mœurs ont évolué avec les options des téléphones. Les messages envoyés, avant de mourir, par des passagers des Boeing détournés par Al-Qaida, le 11 septembre 2001 ont donné de précieux indices au FBI. Et si un SMS n’a pas empêché Jean-Christophe Marcelli et son ami d’être assassinés, le 21 août 2001, sur une plage de Moriani, près de Cervione, en Corse, le crime ne devrait pas rester impuni. Avant d’être criblée de balles et brûlée, la victime a eu le temps de tapoter sur son portable, dans le coffre de la voiture où elle était enfermée. "Jac, Manconi, Kimbo", disait un message. "Struffi peut être traître" et "faire guet-apens à Cervione", racontaient les autres. "Kimbo" et "Struffi" sont interpellés, et Jacques Mariani, fils de Francis Mariani, l’un des piliers de la Brise de mer, mis en examen pour assassinat.

Les Texto ont une autre vertu : ils ne peuvent pas être écoutés. "On peut lire que deux numéros de téléphone ont établi un lien et sont entrés en contact, mais on ne peut pas lire le contenu du message écrit", confirme-t-on chez SFR. Pour les bandits de petits ou de grands chemins, le Texto est un instrument d’avenir. Comme pour les fonctionnaires des RG, qui ont déjà adopté ce nouveau mode d’échange. "C’est un outil de travail très pratique, explique l’un d’eux. Le Texto est discret : pas besoin de s’éloigner de l’événement que vous suivez pour le commenter. Pour rendre compte aux autorités, c’est bref : "Bien reçu votre message." On peut aussi recevoir en réunion des infos liées à l’ordre du jour sans faire sonner le téléphone. Et puis, on est sûr de ne pas être écouté", ajoute ce grand consommateur.

"On en utilise, comme tout le monde", tempère en souriant Bernard Squarcini, numéro deux des RG. "Avec le relief, c’est souvent le seul moyen de passer en force, avec une restitution presque immédiate."Il reconnaît néanmoins que les SMS sont "plus discrets qu’un coup de fil". Mais, parce qu’on n’est jamais assez prudent, il préfère quand même les envoyer "en codé. Par précaution".

Ariane Chemin

A demain





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