En réponse à :
27 avril 2005, par Luiza Toscane
L’hémorragie provoquée par la vague de répression déclenchée au début des années quatre-vingt-dix se prolonge : après l’exode massif des militants, sympathisants, ou présumés tels, du mouvement interdit de la Nahdha et du syndicat estudiantin dissous, l’Union Générale Tunisienne des Etudiants, qui ont représenté jusque dans une période très récente l’écrasante majorité des demandeurs d’asile tunisiens en France et dans le monde, il y eut les demandes déposés par les militants ou sympathisants du PCOT, de l’UGET, (...)