En réponse à :
8 novembre 2006, par Térésa Chopin
Chère amie Samia , Depuis notre première rencontre nous avons mené le même combat Tu m’as soutenue et nous avons pleuré ensemble, devant les murs qui ont enfermé les êtres qui nous sont chers.
Aujourd’hui c’est du fond du cœur, que je t’adresse mon soutien ainsi qu’aux mères, femmes, soeurs de prisonniers, qui vivent le calvaire et l’agonie de la destruction de leur famille, dans la douleur et l’injustice.
Cette souffrance m’est très familière et elle restera gravée dans ma mémoire à jamais.
Il faut (...)