Mon amie ne sait pas rediger un com sur un article. Du coup il voulais souligner par ce commentaire qu’il est ravi du contenu de ce blog internet.
je vous remercie
bourguiba abderrazak
I like to party, not look articles up online. You made it hpaepn.
On est mardi 1er novembre 2011, déjà neuf mois que ben ali s’est enfui et il est caché, comme un rat, en Arabie Saudite. Son collègue Gaddafi a été tué.
Après la lecture de cette lettre, tout cela parait être comme un cauchemar pour celles et ceux qui ne l’ont pas vécu personnellement. Cependant, le mal a sévi longtemps, beaucoup trop longtemps en Tunisie. Il est temps que ça change.
Tout un système policier qui s’effondre, la justice vient de renaître, certes encore fragile mais sera équitable insh’Allah.
Oui il a un fils qui est mon meilleur ami et croyez moi, même si son père et loin de lui sa ne fait pas de lui un mauvais père il s’occupe très bien de lui et Selim va le voir de temps en temps. Je suis au cœur de cette affaire et je peux donc savoir les ressentis de chacun...
ةcoutez quand on ne connait pas la personne on ne juge pas ! Je connais personnellement Monsieur Tebourski et je sais que c’est un homme bon, et je pense que si il a demander a rester en France c’est surtout pour son Fils !
Ne le jugez pas car vous ne le connaissez pas comme je le connais ! Je suis la meilleure amie de son fils Selim. Je sais qu’Adel est un homme bon alors arrêtez tous vos blabla et essayer donc de comprendre le fond de la chose. Merci et bonne soirée
the death of an African giant
Par : Y. Mérabet
En outre, contrairement à ce que pensent aujourd’hui de nombreux libyens, la chute de Kadhafi profite à tout le monde sauf à eux. Car, dans une Afrique où les pays de la zone subsaharienne riche en ressources minérales tournaient complètement le dos à la France pour aller vers la Chine, il fallait bien que monsieur Sarkozy trouve un autre terrain fertile pour son pays. La France n’arrive plus à vendre ses produits manufacturés ou de décrocher un marché en Afrique, elle risque de devenir un PSD C’est pour cela que l’on a vu une France prête à tout pour renverser ou assassiner Kadhafi ; surtout quand l’on sait que la Libye est l’une des premières réserves en Hydrocarbures d’Afrique et de Sebha est la capitale mondiale du trafic Franco-libyen de concentré d’uranium Nigérien. Egalement, l’on sait que jusqu’ici, les populations libyennes n’avaient rien à envier aux Français, ils vivaient richement mieux sans se suer. Puisque Kadhafi faisait tout son possible pour les mettre à l’abri du besoin. Il est donc temps pour les libyens de choisir pleinement futur partenaire occidental. Car si en cinquante ans de coopération la France n’a pu rien apporter à l’Afrique subsaharienne. Vat-elle apporter maintenant aux libyens un bonheur supérieur à celui que leur donnait leur Guide. Rien à offrir à ces ignorants de libyens, sauf des repas communs dans les poubelles de la ville Paris, en France c’est déjà la famine ? Lui, qui durant plusieurs décennies était l’un des faiseurs d’hommes les plus efficaces sur le continent Africain. De son existence, Kadhafi était le leader le plus généreux d’Afrique. Pas un seul pays africain ne peut nier aujourd’hui n’avoir jamais gouté un seul pétro –Dinar du guide Libyen. Aveuglement, et motivé par son projet des Etats-Unis d’Afrique, Kadhafi de son existence a partagé l’argent du pétrole libyen avec de nombreux pays africains, qu’ils soient Francophones, Anglophones ou Lusophones. Au sein même de l’union Africaine, le roi des rois d’Afrique s’était presque érigé en un bailleur de fond très généreux. Jusqu’à l’heure actuelle, il existe sur le continent de nombreux présidents qui ont été portés au pouvoir par Kadhafi. Mais, curieusement, même pas un seul de ces élèves de Kadhafi n’a jusqu’ici eu le courage de lui rendre le moindre hommage.Au lendemain du vote de la résolution 1973 du conseil de sécurité de l’ONU, certains pays membres de l’union africaine sous l’impulsion de Jacob Zuma ont tenté d’apporter un léger soutien au guide libyen. Un soutien qui finalement s’est éteint totalement sans que l’on ne sache pourquoi. Même l’union africaine qui au départ conditionnait avec amertume la prise du pouvoir libyen par un groupe de terroristes et la reconnaissance du CNT libyen constitués de traitres, s’est finalement rétracté de façon inexplicable. Et curieusement, jusqu’aujourd’hui, aucun gouvernement consensuel n’a été formé en Libye. Depuis l’annonce de l’assassinat de Mouammar Kadhafi, cette union africaine dont Mouammar Kadhafi était pourtant l’un des principaux défenseurs et ayant assuré le dernier mandat, n’a encore délivré aucun message officiel de condoléance à ses proches ou de regret. Egalement, même ceux qui hier tentaient de le soutenir n’ont pas eu le moindre courage de lever leur petit doigt pour rendre hommage à leur mentor. Jusqu’à l’heure actuel, seul l’ancien archevêque sud-africain et prix Nobel de paix Desmond TUTU a regretté cet acte ignoble. Même le président Abdoulaye Wade que l’on sait pourtant proche des révoltés libyens n’a pas encore salué la mort de l’homme qu’il souhaitait tant. Le lendemain de sa mort, un vendredi pas un musulman n’a prié pour lui ?.. A ce jour, sur le continent Africain, seul l’homme de la rue et les medias ont le courage de parler de cette assassina crapuleux du guide libyen. Mais, cette attitude des dirigeants africains ne surprend personne, dans la mesure où l’on sait que chaque président a peur de se faire remarquer par un Nicolas Sarkozy qui est capable de tout si la tête d’un président africain ou d’un arabe l’énerve.
Conclusion La Libye et l’Afrique toute entière viennent de tourner une page d’or avec la perte de Mouammar .
Traitre et maudit que je sois, si j’étais un libyen ?
Journaliste indépendant (Algérian Society for International Relations)
119, Rue Didouche Mourad
Alger centre
J’ai écrit un livre qui mérite d’être lu :
TOUT EST POSSIBLE - L’AVENIR DE LA TUNISIE
Vous pouvez télécharger le livre sur mon site Internet :
http://www.go4tunisia.de
Dr. Jamel Tazarki
Allemagne
Ma mére Térésa oui notre mére je suis abderrazak bourguiba le frére de mon meilleur ami Farouk .
vous peut etre me connait mais je pense pas que nous avont eu l’occasion de vous voir .
je suis désolé pour ce qui a passé pour mon frére Farouk .
Omar etait un homme exeptionnel un vrai homme j’ai passé avec lui 6 mois dans le prison nous étions plus que deux fréres.
soyez fiére de Farouk
et que la paradi soit pour lui
La Monarchie Constitutionnelle est l’avenir est la garantie des droits et libertés pour la Tunisie, la Libye et toute l’Afrique du Nord. Le Roi est l’âme du peuple, Il est porteur du sentiment d’unité nationale et du patrimoine historique du peuple. LA MONARCHIE CONSTITUTIONNELLE EST LE PLUS SUR MOYEN POUR EVITER QU’UN PRESIDENT FINISSE UN JOUR EN DICTATEUR (voyez le cas du roi d’Espagne, sauveur des libertés après le Franquisme).
Bonjour Mesdames, Messieurs,
Je souhaite attirer votre attention sur le faite que ce Barbouze comme vous le dites, a retourné sa veste à l’instant où il s’est assuré du départ définitif du ZABA plus exactement le 18 Janvier 2011.
Mais encore ce dernier qui détient pas un seul titre comme auprès du RCD mais aussi faison parti de plusieurs association et surout la chambre Franco-Tunisienne de marseille ou il a volé récemment le portfolio pour se faire une nouvelle peau et une nouvelle virginité auprès de la Tunisie, avec un pseudo symposium tenue au pôle technologique sis à la Gazelle (Ariana).
Rappel du passé : Khaled Néji représentant de l’office de l’huile près du consulat générale de Tunisie à Marseille a été victime de sa (Stoufida).
Monsieur Kahled Néji a été limogé de son poste, radié de ses fonctions, décédés suite à une attaque cardiaque après avoir visité les prisons Tunisiennes
Je souhaite que cette personne n’intervienne plus sur le sol Tunisien afin de crée des réseaux encore pire qu’avant et revenir au pouvoir par la fenêtre.
Aidez moi à dire la vérité sur ce malheureux de la Sbikha (kairouan) qui fout la honte à son peuple.
Ce Virus, qui trompe sa femme sans scrupule ni honte. A trahit ce que nos ancêtres ont essayé de bâtir, bravour, fraternité dévouement, sincérité.
Il est et il sera toujours à l’antipode des Tunisiens , lèches botes et au plurielles
Vive la Tunisie sans hypocrites
bonjour je suis tres heureuse que mr tlili soit libere mais je n arrive pas avoir de nouvelles precises je tiens a dire que c est un MONSIEUR exceptionnel et qu il ne merite vraiment pas ce qu il a endure j aimerai pouvoir lui exprimer tte ma sympathie
Voilà quatre ans se sont écoulés et votre combat a porté ses fruits. J’aurais pas osé signer ces quelques mots par mon nom réel si vous n’avez pas milité pour ’ma’ liberté. Reconnaissante et le mot ne peut résumer ce que je ressens et tout le respect que je vous porte.
Merci...
Lilia Weslaty
Les petits cons s’amusent à faire leurs graffitis imbéciles même sur les statues couvertes de prestige et d’histoire de Carthage ; on en a maintenant fini avec Ben Ali, avec la censure et l’étouffement des idées et de coeur opéré par son régime. Mais on en finira jamais avec l’idiotie des fondamentalistes islamiques qui promenent leurs femmes en burka, parce que c’est la seule façon par laquelle savent voir une femme : comme une bête dangeureuse. On en finira pas facilement, terrible dictature, avec ceux qui demandent maintenant de couper les mains, les jambes et les bras, suivant l’obsolète loi coranique, sans se faire aucun souci de l’Homme. Jésus, le Christ en est le plus grand champion, le Rédempteur de l’humanité, Lui qui a porté la Croix pour nous TOUS ; quant à la mafia et à al-Capone, nous les plaçerons comme un héritage historique de cet islam que tant s’acharnent à défendre par l’ignorance (mafia vient de l’arabe dialectal anciene "mafiah", c’est-à-dire "protection", la mafia est nait et c’est culturellement radiquée dans une ancienne terre d’islam, la Sicile)
j’ai aimé ce que vous pensé . suis de ton coté. tu me trouvera a l’appui
En présence de plusieurs personnalités du mouvement politique et associatif tunisien, le PDP, a ouvert vendredi 4 février à Tunis, la Campagne Nationale pour l’Amnistie Générale. Plusieurs réunions sur le même thème doivent se tenir, ce week-end, dans les villes de Sousse, Sfax, Gabès, Gafsa, Sidi Bouzid et Kasserine.
Etaient présents à la réunion d’ouverture messieurs Nejib Chebbi (Secrétaire Général du PDP ), Mustapha Ben Jaafar (Secrétaire Général du FDTL), Hamma Hammami (Porte Parole du POCT), Ali Laaraïdh (Porte Parole du mouvement Ennahdha, récemment libéré après quatorze années de détention), Abderraouf Ayadi (Vice Président du CPR), Mokhtar Trifi (Président de la LTDH), Salah Hamzaoui (Président du Comité de Libération de Hamma Hammami et ses amis), Radhia Nasraoui ( Présidente de l’Association Tunisienne de Lutte Contre la Torture), Lotfi Hajji (Président du Syndicat des Journalistes Tunisiens), Saïda Akrmi ( Présidente de l’AISPP), Noureddine Behiri (signataire du Pacte National pour le mouvement Ennahdha), Lotfi Hidouri( membre du comité directeur du CNLT) ainsi que plusieurs anciens détenus politiques dont messieurs Hachmi Troudi et Abdellatif Mekki) et des membres du Comité Directeur de la LTDH.
Monsieur Rachid Khéchana, membre du Bureau Politique du PDP, a ouvert la réunion, il a rappelé l’importance de l’Amnistie Générale pour l’assainissement et la libéralisation de la vie politique avant de donner la parole aux deux conférenciers messieurs Khémaïs Chammari, figure de proue du mouvement démocratique tunisien et Mohammed Goumani, membre à la fois du Bureau Politique du PDP et du Comité Directeur de la Ligue Tunisienne des Droits de l’Homme.
Monsieur Khemaïs Chammari a consacré son intervention à la signification historique de la Campagne Justice et Vérité qui se déroule actuellement au Maroc. Il a rappelé qu’une telle campagne s’est déroulée dans 27 pays (Argentine, Chili, Afrique du Sud etc..) qui ont tous connu un changement de régime politique mais que le Maroc était le seul pays à vivre un évènement de cette ampleur sous le même régime voire avec l’aval du Roi et des pouvoirs publics.
Cette campagne se déroule dans 17 villes du pays, a-t-il rappelé et fait l’objet d’une transmission en direct par les médias nationaux. La commission en charge de cette campagne est constituée par une majorité d’anciens détenus politiques et a instruit 22 000 dossiers. Il a rappelé les principes qui gouvernent cette campagne, ni oubli ni vengeance, et ses quatre grands objectifs : le devoir de conservation de la mémoire, l’exigence de vérité, l’impératif de justice et l’obligation de réparation. Monsieur Chammari a fait le parallèle entre la situation au Maroc et en Tunisie pour conclure « n’est ni Démocrate ni de Gauche celui qui ne fait pas de la revendication d’une amnistie générale une question d’identité »
Monsieur Goumani a quant à lui consacré sa communication à la critique de la position gouvernementale qui nie jusqu’à l’existence même des prisonniers politiques en Tunisie . Analysant, en suite, les conséquences dévastatrices de la campagne de répression des années 1990, émaillée de tortures, de procès iniques, de lourdes condamnations, de conditions inhumaines de détention et de privation des anciens prisonniers politiques de leurs droits civiques et poilitiques de base il a conclu au caractère national de la revendication d’Amnistie Générale et à son urgence pour l’assainissement de la vie politique dans notre pays. Il a terminé son intervention par l’énumération des cinq principes directeurs dans la lutte pour l’amnistie : la réconciliation au sein de l’opposition elle-même, l’établissement d’une échelle des urgences en accordant la priorité à la libération des prisonniers, l’élaboration par l’opposition d’un projet de loi d’amnistie pour éviter les lois tronquées du passé, mettre à profit les facteurs favorables de la conjoncture internationale et enfin inscrire l’amnistie dans une perspective de réconciliation nationale.
Prenant la parole monsieur Hamma Hammami a rappelé que son parti a brandi la revendication d’amnistie générale dès 1992, un moment où cette revendication faisait peur. Il a déclaré que la répression ne faisait pas de distinction parmi ses victimes et a soutenu monsieur Chammari dans sa déclaration que l’amnistie constituait une question d’identité pour les hommes de Gauche.
Monsieur Bhiri a rappelé quant à lui que cinq cents prisonniers politiques croupissaient aujourd’hui dans les geôles du pouvoir dans des conditions inhumaines, il a notamment cité les cas de Sahbi Attig, Moheddine Ferjani, Sadok Chourou. Il a salué la mémoire de lotfi Idoudi, décédé le mois dernier, un an après sa sortie de prison, des suites de mauvais traitements. Il a évoqué le cas de Abdallah Zouari, actuellement en grève de la faim à cause du bannissement qu’il subit, dans le sud tunisien, loin de sa famille, après avoir purgé une peine de onze années de prison. Monsieur Bhiri a estimé que l’état de santé grave dans lequel se trouve l’exilé politique Salah Karkar était dû aux souffrances qu’il a subies des suites de son éloignement. Maître Bhiri a terminé son intervention en exhortant les partis politiques à redoubler d’efforts dans la lutte pour l’amnistie.
Lui succédant Abdellatif Mekki a rappelé le cas des étudiants, Ajmi Lourimi et Abdelkarim Harouni, condamnés à perpétuité et celui d’autres étudiants condamnés à des peines allant jusqu’à 22 ans de prison pour avoir pris part à de simples manifestations étudiantes. Il a insisté sur l’idée que la répression ne faisait pas de distinction parmi ses victimes et racontant une anecdote à ce propos, il dit « en arrivant en prison, en 1987, j’ai rencontré Abdelhamid Skhiri ancien haut responsable du ministère de l’intérieur, incarcéré à l’infirmerie. Un jour j’ai été transféré dans une chambrée bâtie pour cent prisonniers mais où croupissent aujourd’hui plus de 360 détenus. Me plaignant de cette punition à ma famille, je lui ai demandé de contacter Dr Moncef Marzouki, président de la LTDH pour le mettre au courant. Mais, sur le chemin du retour à ma chambrée, quelle ne fut pas ma surprise de rencontrer Moncef Marzouki, se rendant, lui-même à la visite de sa famille. En 2001, a-t-il ajouté, quittant la prison je suis tombé nez à nez avec mon geôlier de 1987, lui-même incarcéré. »
Abderraouf Ayadi a particulièrement fustigié les forces Internationales qui se taisent sur la situation des prisonniers en Tunisie, Hachmi Troudi et Laroussi Hani ont apporté quant à eux leurs témoignages d’ancien prisonnier et de père de l’exilé politique Abdelwahab Hani.
(Source : Le site du PDP, mis en ligne le samedi 5 février 2005)
Rencontre de 17 personnalités de différentes sensibilités démocratiques.
L’INITIATIVE KHEMAدS CHAMMARI
A l’initiative de monsieur Khemaïs Chammari, se sont réunies à son domicile à Tunis, vendredi 4 février, 17 personnalités de différentes sensibilités démocratiques.
Etaient présents à la Réunion,
Mesdames
Khédija Cherif, Sohaïr Belhassan ( deux figures influentes du mouvement associatif tunisien),
Neziha Rjiba (membre dirigeant du CPR)
et Messieurs
Nejib Chebbi ( Secrétaire Général du PDP),
Mustapha Ben Jaafar ( Secrétaire Général du FDTL),
Hamma Hammami ( Porte Parole du POCT),
Mohammed Charfi (ancien président de la LTDH, ancien ministre de l’éducation), Mohammed Ali Halwani (ancien candidat du mouvement Ettajdid aux élections présidentielles de 2004),
Hichem Sekik (membre du bureau politique du mouvement Ettajdid),
Aïachi Hammami (ancien porte parole de l’Initiative Démocratique),
Lotfi Hidouri ( du bureau du CNLT),
Hachemi Troudi (ancien prisonnier politique des années 1960),
Mongi Azzabou (Economiste),
Salem Rjeb (initiateur de Transparence Tunisie),
Hichem Gribaa (ancien membre du Comité Directeur de la LTDH),
Mohammed Salah Kheridji ( membre du Comité Directeur de la LTDH).
Toutes ces personnalités ont répondu à cette invitation à titre personnel.
Monsieur Chammari a expliqué d’entrée qu’il avait pris l’initiative d’inviter à une réunion informelle, chez lui, une trentaine de personnalités actives de la mouvance démocratique, pour entrevoir la possibilité de réaliser ensemble trois tâches urgentes :
la préparation du quarante neuvième anniversaire de l’indépendance de la Tunisie, le 20 mars prochain,
la constitution d’un cercle d’études économiques et sociales,
l’activation du projet de constitution d’une association Transparency Tunisie
et enfin la préparation du cinquantième anniversaire de la déclaration de Tanger en 2008 sur la construction du Grand Maghreb.
Une dizaine d’invités, absents pour des raisons personnelles, ont affirmé soutenir cette initiative.
Les échanges ont abouti à l’adoption de ces propositions et à la constitution de groupes de travail sous la présidence de trois coordinateurs.
Madame Souheir Belhassan a saisi cette occasion pour informer les présents de l’avancement des préparatifs du Sommet Mondial des Sciences de l’Information (SMSI) qui doit se tenir à Tunis l’automne prochain.
Les participants à la réunion ont écarté de leurs échanges les grandes questions qui divisent encore le mouvement démocratique tunisien et ont exprimé l’espoir que de tels contacts pourraient décrisper les relations et faciliter la coordination des efforts dans d’autres domaines.
(Source : Le site du PDP, mis en ligne le samedi 5 février 2005)
Lien web : http://pdpinfo.org/article.php3?id_...
CONSULTATIONS
Une délégation du Forum Démocratique pour le Travail et les Libertés (FDTL) a rencontré, à son siège, une délégation du Parti Démocrate Progressiste (PDP) présidée par son Secrétaire Général, maître Nejib Chebbi.
Les deux délégations ont passé en revue les relations bilatérales et l’état des relations entre les formations de l’opposition. Un large consensus s’est dégagé sur l’analyse de la situation politique née des dernières élections ainsi que sur les tâches qui attendent l’opposition démocratique dans la période à venir.
Les deux partis ont convenu de consulter leurs alliés au sein du Quartet ( le PCOT et le CPR) sur les initiatives à prendre au cours de l’année politique actuelle.
Une réunion du Quartet est prévue, à cet effet, mercredi 9 février. Des délégations des quatre partis (PDP, FDTL, POCT et CPR) doivent passer en revue la situation politique et arrêter à cette occasion le programme d’actions communes. Les relations avec l’Initiative Démocratique (ID) et la participation éventuelle aux municipales de 2005 sont à l’ordre du jour.
CONSEIL NATIONAL
Le Conseil National du PDP doit se réunir à l’hôtel « l’Orient » à Tunis, les samedi 12 et dimanche 13 février courant. A l’ordre du jour du Conseil : le bilan de la participation du Parti aux élections d’octobre 2004, le programme d’action pour 2005 et la participation éventuelle aux municipales de 2005.
Deux cents membres sont attendus à cette réunion, représentant les comités de sections et de fédérations ainsi que les membres du Comité Central et du Bureau Politique. Des représentants des partis politiques alliés( le Quartet), de l’Initiative Démocratique ainsi que plusieurs personnalités indépendantes sont attendues à la séance d’ouverture.
Des réunions préparatoires se déroulent dans les régions sous l’égide d’un Comité National présidé par Maya Jribi, membre du Bureau Politique.
CHAMMARI ET TRIFI RECOUVRENT LEURS PASSEPORTS
Les autorités tunisiennes ont finalement remis, samedi 5 février, à messieurs Khemaïs Chammari et Mokhtar Trifi (président de la LTDH) leurs passeports respectifs. Il est à signaler que les autorités ont mis un retard à la remise des passeports en vue d’empêcher Maître Trifi de prendre part au Forum Social de Porto Alegre et monsieur Chammari de présider une réunion Euro –Méditerranéenne à Londres.
Si les autorités ont pleinement atteint leur objectif en ce qui concerne la participation de maître Trifi, monsieur Chammari pourra quant à lui assister à la dernière partie de la réunion de Londres.
La campagne du PDP pour l’ Amnistie Générale s’étend aux régions
La campagne nationale pour l’Amnistie Générale lancée vendredi 4 février par le PDP s’est étendue aux régions.
UN MILLION DE SIGNATURES
Sous la présidence de son Secrétaire Général, monsieur Habib Chaïbi, la Fédération de Sousse du PDP a accueilli, samedi 5 février, une réunion au cours de la quelle le Bâtonnier Béchir Essid a donné une conférence sur l’Amnistie Générale en Droit et en Fait dans la Tunisie d’aujourd’hui. Etaient présentes à cette réunion plusieurs personnalités du monde syndical, associatif et politique de la région du Sahel. Auparavant, Mongi Ellouz, membre du Bureau Politique du Parti, a expliqué la signification historique de cette revendication et sa place dans le programme politique du PDP pour l’année 2005.
Un débat fructueux s’est engagé entre les participants au cours du quel les intervenants ont insisté sur trois idées principales : la nécessité d’opposer un front uni pour imposer l’adoption d’une loi d’amnistie, la nécessité de passer de la simple réclamation à l’action de terrain, notamment les rassemblements devant les prisons, pour exiger du gouvernement qu’il réponde favorablement à cette revendication et enfin la nécessité de lancer une pétition nationale et tendre à la faire signer par un million de citoyens pour soutenir cette revendication.
UN FRONT UNI
A Sfax, la Fédération du PDP a accueilli dimanche 6 février une réunion similaire à la quelle ont assisté plusieurs personnalités syndicales, du monde politique et associatif de la région du Centre.
Ouvrant la réunion le Secrétaire Général de la Fédération, monsieur Maher Hanin, a souhaité la bien venue aux participants et expliqué l’importance de l’Amnistie Générale dans l’assainissement du climat politique dans le pays avant de donner la parole au conférencier, monsieur Mohammed Goumani, membre du Comité directeur de la Ligue Tunisienne des Droits de l’Homme (LTDH) et membre du Bureau Politique du PDP.
Monsieur Goumani a vivement critiqué, au cours de sa conférence, la dénégation du problème dans la quelle se réfugie le gouvernement face aux pressions de l’opinion publique. Passant en revue les procès qui ont émaillé la décennie écoulée, la nature des accusations, la violation des droits de défense, la rigueur des peines prononcées, les conditions inhumaines de détention et la privation des anciens prisonniers de leurs droits civiques et politiques de base il s’interrogea « que faut-il encore pour que le gouvernement se convainque de l’existence de prisonniers politiques » et de rappeler que le gouvernement était seul à nier cette plaie dans le corps social face à l’unanimité dans l’opinion publique nationale et internationale qui réclame l’Amnistie Générale comme mesure urgente pour l’assainissement du climat politique en Tunisie.
D’anciens prisonniers politiques, de différentes générations et sensibilités, se sont succédés à la Tribune pour apporter leur témoignage et soutenir la revendication d’Amnistie Générale. Ainsi Ezzedine Hazgui, figure marquante du mouvement démocratique dans la région, Karraï Jerbi syndicaliste, Abderrahman Jebnoun (avocat de gauche) et Wahid Warda (islamiste) ont pris tout à tour la parole pour témoigner de leur expérience d’anciens prisonniers. Le témoignage de Wahid Warda a été particulièrement émouvant quant il a évoqué la mémoire de son frère et co-détenu, mort en prison des suites de mauvais traitements.
Une exposition sur l’histoire des procès politiques et de la revendication d’amnistie générale a été organisée dans le hall du siège de la Fédération.
L’ensemble des participants ont insisté sur la nécessité d’opposer un front uni pour obtenir la libération des prisonniers politiques, le retour des exilés et le rétablissement des anciens prisonniers dans leurs droits civiques et politiques.
UN CENTRE NATIONAL POUR L’AMNISTIE
A Gafsa, s’est tenue le même jour au siège de la Fédération du PDP, une réunion à la quelle ont participé les représentants des partis politiques dans la région du Sud-ouest, des syndicalistes et des militants des droits de l’Homme et du PDP.
Ouvrant la séance, monsieur Abderrazak Daï, Secrétaire Général de la Fédération, a salué les présents et a expliqué le sens de cette campagne dans l’activité du Parti avant de donner la parole à monsieur Abdelmajid Haouachi, membre du Bureau Politique, venu de Tunis pour présider à l’inauguration de cette campagne.
Maître Samir Dilou, avocat à Tunis et ancien prisonnier politique lui-même a donné une conférence sur le thème « l’Amnistie Générale, une revendication nationale ». Les participants ont insisté sur l’importance de mettre sur pied un Centre National Pour l’Amnistie Général » avec des sections dans les régions pour unir les efforts en vue d’arracher la libération des prisonniers et d’accélérer l’adoption d’une loi d’Amnistie.
Poète et avocat tunisien, Mohammed Jallali est venu de Sidi Bouzid égailler la réunion de ses beaux poèmes.
(Source : le site du PDP, le 5 février 2005)
lien web : www.pdpinfo.org