Mon amie ne sait pas rediger un com sur un article. Du coup il voulais souligner par ce commentaire qu’il est ravi du contenu de ce blog internet.
je vous remercie
bourguiba abderrazak
I like to party, not look articles up online. You made it hpaepn.
On est mardi 1er novembre 2011, déjà neuf mois que ben ali s’est enfui et il est caché, comme un rat, en Arabie Saudite. Son collègue Gaddafi a été tué.
Après la lecture de cette lettre, tout cela parait être comme un cauchemar pour celles et ceux qui ne l’ont pas vécu personnellement. Cependant, le mal a sévi longtemps, beaucoup trop longtemps en Tunisie. Il est temps que ça change.
Tout un système policier qui s’effondre, la justice vient de renaître, certes encore fragile mais sera équitable insh’Allah.
Oui il a un fils qui est mon meilleur ami et croyez moi, même si son père et loin de lui sa ne fait pas de lui un mauvais père il s’occupe très bien de lui et Selim va le voir de temps en temps. Je suis au cœur de cette affaire et je peux donc savoir les ressentis de chacun...
ةcoutez quand on ne connait pas la personne on ne juge pas ! Je connais personnellement Monsieur Tebourski et je sais que c’est un homme bon, et je pense que si il a demander a rester en France c’est surtout pour son Fils !
Ne le jugez pas car vous ne le connaissez pas comme je le connais ! Je suis la meilleure amie de son fils Selim. Je sais qu’Adel est un homme bon alors arrêtez tous vos blabla et essayer donc de comprendre le fond de la chose. Merci et bonne soirée
the death of an African giant
Par : Y. Mérabet
En outre, contrairement à ce que pensent aujourd’hui de nombreux libyens, la chute de Kadhafi profite à tout le monde sauf à eux. Car, dans une Afrique où les pays de la zone subsaharienne riche en ressources minérales tournaient complètement le dos à la France pour aller vers la Chine, il fallait bien que monsieur Sarkozy trouve un autre terrain fertile pour son pays. La France n’arrive plus à vendre ses produits manufacturés ou de décrocher un marché en Afrique, elle risque de devenir un PSD C’est pour cela que l’on a vu une France prête à tout pour renverser ou assassiner Kadhafi ; surtout quand l’on sait que la Libye est l’une des premières réserves en Hydrocarbures d’Afrique et de Sebha est la capitale mondiale du trafic Franco-libyen de concentré d’uranium Nigérien. Egalement, l’on sait que jusqu’ici, les populations libyennes n’avaient rien à envier aux Français, ils vivaient richement mieux sans se suer. Puisque Kadhafi faisait tout son possible pour les mettre à l’abri du besoin. Il est donc temps pour les libyens de choisir pleinement futur partenaire occidental. Car si en cinquante ans de coopération la France n’a pu rien apporter à l’Afrique subsaharienne. Vat-elle apporter maintenant aux libyens un bonheur supérieur à celui que leur donnait leur Guide. Rien à offrir à ces ignorants de libyens, sauf des repas communs dans les poubelles de la ville Paris, en France c’est déjà la famine ? Lui, qui durant plusieurs décennies était l’un des faiseurs d’hommes les plus efficaces sur le continent Africain. De son existence, Kadhafi était le leader le plus généreux d’Afrique. Pas un seul pays africain ne peut nier aujourd’hui n’avoir jamais gouté un seul pétro –Dinar du guide Libyen. Aveuglement, et motivé par son projet des Etats-Unis d’Afrique, Kadhafi de son existence a partagé l’argent du pétrole libyen avec de nombreux pays africains, qu’ils soient Francophones, Anglophones ou Lusophones. Au sein même de l’union Africaine, le roi des rois d’Afrique s’était presque érigé en un bailleur de fond très généreux. Jusqu’à l’heure actuelle, il existe sur le continent de nombreux présidents qui ont été portés au pouvoir par Kadhafi. Mais, curieusement, même pas un seul de ces élèves de Kadhafi n’a jusqu’ici eu le courage de lui rendre le moindre hommage.Au lendemain du vote de la résolution 1973 du conseil de sécurité de l’ONU, certains pays membres de l’union africaine sous l’impulsion de Jacob Zuma ont tenté d’apporter un léger soutien au guide libyen. Un soutien qui finalement s’est éteint totalement sans que l’on ne sache pourquoi. Même l’union africaine qui au départ conditionnait avec amertume la prise du pouvoir libyen par un groupe de terroristes et la reconnaissance du CNT libyen constitués de traitres, s’est finalement rétracté de façon inexplicable. Et curieusement, jusqu’aujourd’hui, aucun gouvernement consensuel n’a été formé en Libye. Depuis l’annonce de l’assassinat de Mouammar Kadhafi, cette union africaine dont Mouammar Kadhafi était pourtant l’un des principaux défenseurs et ayant assuré le dernier mandat, n’a encore délivré aucun message officiel de condoléance à ses proches ou de regret. Egalement, même ceux qui hier tentaient de le soutenir n’ont pas eu le moindre courage de lever leur petit doigt pour rendre hommage à leur mentor. Jusqu’à l’heure actuel, seul l’ancien archevêque sud-africain et prix Nobel de paix Desmond TUTU a regretté cet acte ignoble. Même le président Abdoulaye Wade que l’on sait pourtant proche des révoltés libyens n’a pas encore salué la mort de l’homme qu’il souhaitait tant. Le lendemain de sa mort, un vendredi pas un musulman n’a prié pour lui ?.. A ce jour, sur le continent Africain, seul l’homme de la rue et les medias ont le courage de parler de cette assassina crapuleux du guide libyen. Mais, cette attitude des dirigeants africains ne surprend personne, dans la mesure où l’on sait que chaque président a peur de se faire remarquer par un Nicolas Sarkozy qui est capable de tout si la tête d’un président africain ou d’un arabe l’énerve.
Conclusion La Libye et l’Afrique toute entière viennent de tourner une page d’or avec la perte de Mouammar .
Traitre et maudit que je sois, si j’étais un libyen ?
Journaliste indépendant (Algérian Society for International Relations)
119, Rue Didouche Mourad
Alger centre
J’ai écrit un livre qui mérite d’être lu :
TOUT EST POSSIBLE - L’AVENIR DE LA TUNISIE
Vous pouvez télécharger le livre sur mon site Internet :
http://www.go4tunisia.de
Dr. Jamel Tazarki
Allemagne
Ma mére Térésa oui notre mére je suis abderrazak bourguiba le frére de mon meilleur ami Farouk .
vous peut etre me connait mais je pense pas que nous avont eu l’occasion de vous voir .
je suis désolé pour ce qui a passé pour mon frére Farouk .
Omar etait un homme exeptionnel un vrai homme j’ai passé avec lui 6 mois dans le prison nous étions plus que deux fréres.
soyez fiére de Farouk
et que la paradi soit pour lui
La Monarchie Constitutionnelle est l’avenir est la garantie des droits et libertés pour la Tunisie, la Libye et toute l’Afrique du Nord. Le Roi est l’âme du peuple, Il est porteur du sentiment d’unité nationale et du patrimoine historique du peuple. LA MONARCHIE CONSTITUTIONNELLE EST LE PLUS SUR MOYEN POUR EVITER QU’UN PRESIDENT FINISSE UN JOUR EN DICTATEUR (voyez le cas du roi d’Espagne, sauveur des libertés après le Franquisme).
Bonjour Mesdames, Messieurs,
Je souhaite attirer votre attention sur le faite que ce Barbouze comme vous le dites, a retourné sa veste à l’instant où il s’est assuré du départ définitif du ZABA plus exactement le 18 Janvier 2011.
Mais encore ce dernier qui détient pas un seul titre comme auprès du RCD mais aussi faison parti de plusieurs association et surout la chambre Franco-Tunisienne de marseille ou il a volé récemment le portfolio pour se faire une nouvelle peau et une nouvelle virginité auprès de la Tunisie, avec un pseudo symposium tenue au pôle technologique sis à la Gazelle (Ariana).
Rappel du passé : Khaled Néji représentant de l’office de l’huile près du consulat générale de Tunisie à Marseille a été victime de sa (Stoufida).
Monsieur Kahled Néji a été limogé de son poste, radié de ses fonctions, décédés suite à une attaque cardiaque après avoir visité les prisons Tunisiennes
Je souhaite que cette personne n’intervienne plus sur le sol Tunisien afin de crée des réseaux encore pire qu’avant et revenir au pouvoir par la fenêtre.
Aidez moi à dire la vérité sur ce malheureux de la Sbikha (kairouan) qui fout la honte à son peuple.
Ce Virus, qui trompe sa femme sans scrupule ni honte. A trahit ce que nos ancêtres ont essayé de bâtir, bravour, fraternité dévouement, sincérité.
Il est et il sera toujours à l’antipode des Tunisiens , lèches botes et au plurielles
Vive la Tunisie sans hypocrites
bonjour je suis tres heureuse que mr tlili soit libere mais je n arrive pas avoir de nouvelles precises je tiens a dire que c est un MONSIEUR exceptionnel et qu il ne merite vraiment pas ce qu il a endure j aimerai pouvoir lui exprimer tte ma sympathie
Voilà quatre ans se sont écoulés et votre combat a porté ses fruits. J’aurais pas osé signer ces quelques mots par mon nom réel si vous n’avez pas milité pour ’ma’ liberté. Reconnaissante et le mot ne peut résumer ce que je ressens et tout le respect que je vous porte.
Merci...
Lilia Weslaty
Les petits cons s’amusent à faire leurs graffitis imbéciles même sur les statues couvertes de prestige et d’histoire de Carthage ; on en a maintenant fini avec Ben Ali, avec la censure et l’étouffement des idées et de coeur opéré par son régime. Mais on en finira jamais avec l’idiotie des fondamentalistes islamiques qui promenent leurs femmes en burka, parce que c’est la seule façon par laquelle savent voir une femme : comme une bête dangeureuse. On en finira pas facilement, terrible dictature, avec ceux qui demandent maintenant de couper les mains, les jambes et les bras, suivant l’obsolète loi coranique, sans se faire aucun souci de l’Homme. Jésus, le Christ en est le plus grand champion, le Rédempteur de l’humanité, Lui qui a porté la Croix pour nous TOUS ; quant à la mafia et à al-Capone, nous les plaçerons comme un héritage historique de cet islam que tant s’acharnent à défendre par l’ignorance (mafia vient de l’arabe dialectal anciene "mafiah", c’est-à-dire "protection", la mafia est nait et c’est culturellement radiquée dans une ancienne terre d’islam, la Sicile)
j’ai aimé ce que vous pensé . suis de ton coté. tu me trouvera a l’appui
Après la dénonciation au niveau mondial du non respect de la liberté de la presse en Tunisie, le régime s’empresse de diffuser les justifications suivantes.
Il s’agit de statistiques officielles copiées et collées dans une dépêche et de reprise d’articles de loi en réponse (méprisante) à l’avalanche de reproches faits au régime du Président Ben Ali, reproches et accusations faits par des ONG, associations, journalistes et certains pays pourtant partenaires de ce régime.
Quand on sait la manière dont sont traités les chiffres officiels en Tunisie, il y a de quoi sourire à découvrir les justifications du régime. Quand on sait comment est bafoué le droit en Tunisie, il y a de quoi pleurer en découvrant les citations des articles de loi dans l’article suivant. Je me permets de les faire suivre des dernières alertes d’un site international d’échanges sur la liberté d’expression. Juste un effet miroir ...
Quand on sait qu’il est impossible de se connecter depuis la Tunisie sur les médias d’opposition, quand on sait encore que des livres sont interdits, des sites censurés, des journaux empêchés de paraitre, on voit que la mascarade, la vitrine démocratique de Ben Ali, n’est qu’une hypocrisie qui vole en éclat avec les différents articles, rapports et témoignages publiés aujourd’hui par reveiltunisien.org.
La Presse en Tunisie : faits et Chiffres
Tunisia Online (Tunis)
Publié sur le web le 3 Mai 2004
Tunis
On compte aujourd’hui en Tunisie 973 journalistes professionnels (contre 639 en 1990) , dont 35% sont des femmes, 53% diplômés universitaires et près de la moitié ont moins de quarante ans. Les journalistes et les directeurs de journaux ont leurs propres organisations.
Cadre légal et constitutionnel
La liberté d’opinion et d’expression est garantie par la Constitution tunisienne. Depuis le 7 novembre 1987, différentes mesures juridiques ont été prises en vue de promouvoir le pluralisme dans les médias et sauvegarder les droits des journalistes. Le Code de la Presse a été amendé en 1955, 1993 et 2001.
Les amendements les plus récents ont annulé l’accusation de " diffamation de l’ordre public". Aucun journal ne peut être suspendu sans une décision du tribunal. Depuis le 7 novembre 1987, pas un seul journal ou magazine n’a été suspendu. De même aucun journaliste n’a été détenu pour ses activités journalistiques.
La Constitution tunisienne invite les partis politiques à éviter toute forme de fanatisme, de racisme et de discrimination (article 8). La loi tunisienne interdit les appels à la haine, et toutes les formes d’incitation à commettre des actes terroristes. L’incitation à commettre des crimes ou des actes de fanatisme religieux ou éthnique est considérée par la loi comme étant elle-même un acte de terrorisme.(Lois de 1993 et 2003)
publicité publique.
Tous les journaux et magazines, y compris les publications de l’opposition et les autres journaux indépendants bénéficient de la publicité publique. La publicité privée n’est pas réglementée et constitue environ 75% des revenus publicitaires des médias.
Soutien aux journaux de l’opposition
Outre les subventions publiques accordées directement à leurs partis respectifs, tous les journaux de l’opposition bénéficient d’un mécanisme leur permettant de récupérer 60% des frais déboursés pour l’achat de papier journal. La presse dans son ensemble bénéficie de nombreuses aides indirectes sous forme d’exonérations douanières touchant l’ensemble des matériaux intervenant dans l’impression. L’Etat supporte aussi une part importante du coût des messageries de presse vers l’étranger. En moyenne, l’aide garantie par l’Etat à l’opposition couvre les coûts de production et d’impression d’une revue hebdomadaire diffusée à 15.000 exemplaires.
Le président tunisien Zine El Abidine Ben Ali n’a cessé d’encourager les journalistes à être plus entreprenants. Il a appelé les médias à " oser davantage " et à s’assurer que les " différents sujets sont traités de façon impartiale, avec audace et responsabilité ".
La presse écrite
Il y a actuellement en Tunisie 245 journaux et magazines (contre 91 en 1987). La plupart de ces publications appartiennent aux privés et déterminent librement leur propre ligne éditoriale. Les partis de l’opposition publient leurs propres journaux. De nombreuses organisations et associations professionnelles ont également leurs propres publications (dont l’Union générale tunisienne du travail "UGTT", qui publie un hebdomadaire).
Radios et TV privées
"Radio Mosaïque", la première radio privée en Tunisie a commencé à émettre en novembre 2003. Une chaîne de TV privée va bientôt démarrer. Il est prévu également que d’autres chaînes de radio et de télévision privées vont voir le jour dans l’avenir. La création de chaînes de radio et de télévision privées est venue après l’annonce faite par le Président Ben Ali" d’ouvrir l’espace médiatique au secteur privé" et d’élargir les prérogatives du Conseil supérieur de la communication pour inclure l’examen des demandes relatives à l’ouverture de chaînes de radio et de télévision privées.
Diversité de la diffusion radio et privée
La radio et la télévision traitent des différentes préoccupations des Tunisiens. Les débats parlementaires sont diffusés en direct à la télévision. Des dossiers télévisés en direct retransmettent les opinions des représentants de l’opposition. Outre les programmes des radios et télévisons publiques, cinq chaînes régionales couvrent les diverses régions du pays. Des chaînes de radio et de télévision spéciales sont destinées aux jeunes auditoires (TV21 et Radio Jeunesse).
Les corrspondants étrangers en Tunsie [1]
Des centaines de correspondants étrangers visitent chaque année la Tunisie alors qu’environ 70 sont accrédités en permanence à Tunis. Tous les correspondants et envoyés spéciaux bénéficient des conditions adéquates pour le libre exercice de leur profession.
Accès aux médias étrangers
Environ 865 publications et journaux étrangers sont diffusés dans le pays (contre 450 en 1987). Pratiquement, tous les ménages tunisiens ont accès à la radio et à la télévision. Environ la moitié des foyers tunisiens sont équipés de paraboles. Deux sociétés de télévision étrangères fournissent un accès par abonnement aux programmes étrangers, notamment en français anglais.
Diversité linguistique des médias
Trois des neuf quotidiens sont publiés en français. Les autres sont en arabe. Les hebdomadaires sont publiés en arabe, français, anglais et italien. Les programmes des radio et TV sont retransmis en grande partie en arabe et des journaux télévisés quotidiens sont diffusés en français et en anglais. La chaîne internationale de la radio tunisienne diffuse en français, anglais, allemand, italien et espagnol.
Tunisie - 14 AVR. 2004 Huit internautes condamnés sans preuve ; accusés de terrorisme, ils écopent de peines allant jusqu’à 26 ans de prison
Tunisie - 30 MARS 2004 Le président Ben Ali réprime une nouvelle fois une manifestation en faveur de la liberté de la presse
Tunisie - 01 MARS 2004 Le journaliste emprisonné Abdallah Zouari en grève de la faim depuis un mois
Tunisie - 06 FةV. 2004 RSF propose à l’Union européenne de faire des économies en annulant le financement d’un programme d’appui aux médias
Tunisie - 15 JAN. 2004 Les autorités tunisiennes empêchent la publication du journal indépendant "Kalima"
TUNISIE : LA FIJ SUSPEND L’ASSOCIATION DES JOURNALISTES DE TUNISIE APRبS QUE CELLE-CI EUT DةCERNة AU PRةSIDENT BEN ALI UN PRIX DE LA LIBERTة DE LA PRESSE
La Fédération internationale des journalistes (FIJ) a décidé de suspendre de ses rangs l’Association des journalistes tunisiens (AJT) et a recommandé son expulsion. Le Comité de direction de la FIJ avait fait part de sa consternation à la suite de la présentation, par l’Association, de sa « Plume d’Or » de la liberté de la presse au Président Zine le-Abidine Ben Ali lors d’une cérémonie à la fin de l’année dernière.
DES MEMBRES DE L’IFEX FONT PRESSION SUR BUSH AU SUJET DE LA FICHE DE LA TUNISIE EN MATIبRE DE LIBRE EXPRESSION
Tandis que le président de la Tunisie, Zine al-Abidine Ben Ali, s’apprête à visiter les ةtats-Unis cette semaine, Human Rights Watch et le Comité pour la protection des journalistes (CPJ) pressent le président des ةtats-Unis, George W. Bush, d’exprimer son inquiétude devant la sombre situation de la libre expression dans ce pays d’Afrique du Nord.
(20 février 2004)
TUNISIE : LES AUTORITةS SONT PRIةES INSTAMMENT DE LIBةRER LES JOURNALISTES
Les projecteurs se sont braqués sur les conditions d’exercice de la liberté de la presse en Tunisie, la semaine dernière, lorsque le Comité pour la protection des journalistes (CPJ), Reporters sans frontières (RSF) et la Fédération internationale des journalistes (FIJ) ont demandé aux autorités tunisiennes de libérer de prison les deux derniers journalistes encore incarcérés.
(11 février 2003)
TUNISIE : LA POLICE AGRESSE UN RةDACTEUR EN CHEF EN PLEIN TRIBUNAL TANDIS QU’ةTAIT CONFIRMةE SA PEINE DE NEUF ANS DE PRISON
Human Rights Watch (HRW) qualifie de "parodie de tribunal" et de "déni de justice" les conditions dans lesquelles la police a enlevé le rédacteur en chef du journal "El Badil" Hamma Hammani et l’a passé à tabac en plein tribunal, après que celui-ci eut sorti de sa cachette afin de tenter d’obtenir un nouveau procès pour une condamnation antérieure. Hammani, qui dirige également le Parti communiste des travailleurs de Tunisie, parti interdit, avait été condamné par contumace en août 1999 à neuf ans de prison en raison de ses activités politiques, rappelle HRW.
(12 février 2002)
TUNISIE : LE GOUVERNEMENT POURSUIT UNE STATION DE TةLةVEN LANGUE ARABE INSTALLةE ہ LONDRES
Le gouvernement tunisien du président Ben Ali utilise les tribunaux britanniques pour museler les voix qui s’élèvent pour critiquer ses violations des droits de la personne, affirme Reporters sans frontières (RSF) à la suite de l’ouverture par un juge tunisien d’un recours judiciaire contre "Al-Mustaquilla", une station de télévision en langue arabe installée à Londres.
(28 août 2001)
TUNISIE : UNE "TRبS LARGE MOBILISATION" OBTIENT LA REMISE EN LIBERTة D’UNE JOURNALISTE
Reporters sans frontières (RSF) rapporte que la journaliste et militante des droits de la personne Sihem Bensedrine a été libérée le 11 août, après six semaines de prison. La libération de Bensedrine n’est que temporaire, et elle prévoit être appelée à son procès en octobre ou novembre. La journaliste a dit que sa libération "surprise" était le "fruit d’une très large mobilisation qui a pesé sur la décision du pouvoir". Rédactrice en chef de l’hebdomadaire "Kalima", secrétaire générale de l’Observatoire pour la défense de la liberté de la presse, de l’édition et de la création (OLPEC) et porte-parole du Conseil national pour les libertés en Tunisie (CNLT), Bensedrine était détenue depuis le 26 juin, après avoir tenu certains propos sur la corruption en Tunisie sur les ondes de la station de télévision "Al Mustaquilla", diffusée à partir de Londres. [Mise à jour du "Communiqué" 10-26 de l’IFEX.]
(14 août 2001)
TUNISIE : UN JOURNALISTE EST ARRتTة POUR AVOIR CRITIQUة LE RةGIME ; RSF OCCUPE LE BUREAU DU TOURISME TUNISIEN ہ PARIS
Reporters sans frontières (RSF) et le Comité pour la protection des journalistes (CPJ) rapportent que la journaliste et militante des droits de la personne Sihem Bensedrine a été arrêtée après avoir critiqué le régime tunisien sur les ondes de la chaîne de télévision Al Mustaquilla, basée à Londres. Bensedrine, directrice du magazine en ligne "Kalima", secrétaire générale de l’Observatoire pour la défense de la liberté de la presse, de l’édition et de la création (OLPEC) et porte-parole du Conseil national pour les libertés en Tunisie (CNLT), a été interpellée à l’aéroport de Tunis le 26 juin alors qu’elle arrivait de France. Son arrestation fait suite à une intervention sur la chaîne Al Mustaquilla, au cours de laquelle elle a soulevé la question de la corruption en Tunisie, précise RSF. Bensedrine est poursuivie pour "atteinte à l’institution judiciaire" et pour avoir diffusé "de fausses nouvelles destinées à troubler l’ordre public", précise le CPJ.
(03 juillet 2001)
TUNISIE : NEUF ORGANISATIONS PRESSENT L ?UNION EUROPةENNE D’EXIGER DES PROGRبS EN MATIبRE DE DROITS DE LA PERSONNE
Neuf organisations internationales de défense des droits de la personne,dont Reporters sans frontières (RSF) et Human Rights Watch (HRW), qui sontmembres de l’IFEX, ont fait parvenir aux autorités de l’Union européenne unelettre les priant instamment de réclamer l’amélioration de la situationgénérale des droits de la personne en Tunisie et d’instaurer des mécanismespour surveiller la situation. Parmi les autres signataires de la lettreouverte du 29 mars, on note Amnistie Internationale, Avocats sansfrontières, Euro-Med Human Rights Network, la Fédération internationale desdroits de l’homme, le Service international des droits de l’homme, l’Observatoire pour la protection des défenseurs des droits de la personne etl’Organisation mondiale contre la torture.
(10 avril 2001)
TUNISIE : LES REPRةSENTANTS DE RSF SONT EXPULSةS ; ESCALADE DES ATTAQUES CONTRE LA LIBERTة DE LA PRESSE
En Tunisie, les attaques contre la liberté de la presse s’aggravent, soutiennent Reporters sans frontières (RSF) et la Fédération professionnelle des journalistes du Québec (FPJQ). Lors de l’incident le plus récent, le 21 février, quatre représentants de RSF ont été brutalisés par la police tunisienne après avoir tenté de distribuer le journal "Kaws el Karama", interdit de publication. Deux membres de la délégation, dont le secrétaire général Robert Ménard, ont par la suite été expulsés du pays.
(27 février 2001)
TUNISIE : UN NOUVEAU RAPPORT MET EN LUMIبRE LA SITUATION PةNIBLE DE LA LIBERTة DE LA PRESSE
"La liberté de la presse est inexistante en Tunisie", affirme Reporters sans frontières (RSF). "Depuis la destitution du président Habib Bourguiba par Zine El-Abdine Ben Ali le 7 novembre 1987, le régime cherche à contrôler la circulation de l’information, et il y est parvenu", conclut RSF dans un rapport sur la mission qu’il a menée à Tunis du 14 au 19 juin dernier. Il est clair que la presse tunisienne subit l’influence du gouvernement et est assujettie à la censure. "Tous les quotidiens, sans exception, publient chaque matin une photo du président Ben Ali à la une." Le rapport décrit en détail les conditions dans lesquelles doivent travailler les journalistes. "Depuis plus de dix ans, dit RSF, les journalistes indépendants subissent toutes sortes de pressions : congédiements abusifs, surveillance policière, écoute électronique, perquisitions de domicile, harcèlement administratif, coupures des lignes téléphoniques et de télécopieurs, refus d’accréditation, congédiement du conjoint ou de proches, confiscation du passeport, réévaluation fiscale, etc." selon RSF, "la presse étrangère est également soumise à des contrôles stricts, et toute publication qui critique le régime est interdite : quatorze numéros du quotidien français ’Le Monde’ et sept de ’Libération’, qui contenaient des articles sur les droits de la personne en Tunisie ont été censurés entre janvier et juin 1999 (quarante numéros de ces deux quotidiens, ont connu le même sort en 1998)." Le rapport intégral a été publié comme alerte de l’IFEX (12 juillet 1999).
(06 juillet 1999)
TUNISIE : DIX ANS APRبS SON ARRIVةE AU POUVOIR, LE PRةSIDENT A COMPLبTEMENT MUSELة LA PRESSE
Le Comité pour la protection des journalistes (CPJ) rapporte que depuis son arrivée au pouvoir en 1987, le Président Zine Abdine Ben Ali a fait de la presse tunisienne l’une des plus opaques du monde arabe, en même temps qu’il mettait en place l’un des ةtats policiers les plus raffinés de la région. Le CPJ, qui a inscrit le nom de Ben Ali sur sa liste des dix pires "Ennemis de la presse", affirme que les journalistes tunisiens qui s’étaient battus sous le régime précédent pour préserver leur indépendance, "ont vu leurs espoirs anéantis sous le règne autoritaire de Ben Ali. ةtranglée par la peur, la presse est entravée par l’autocensure et dénuée d’informations de quelque substance. Même s’il existe des journaux indépendants, ils évitent tout commentaire social ou politique, par crainte de promptes représailles." Les journalistes qui "ont déjà fait des reportages sur des questions délicates comme les droits de la personne et les activités ou les points de vue de l’opposition ont été congédiés, ont perdu leur accréditation ou ont été empêchés de sortir du pays." Le gouvernement bloque aussi la publicité dans les journaux qu’il n’aime pas, les privant ainsi de recettes. Les correspondants étrangers non plus ne sont pas à l’abri des pressions, dit le CPJ, qui fait remarquer que quatre d’entre eux ont été expulsés du pays depuis 1991. En outre, les publications étrangères sont censurées. On trouvera des documents supplémentaires sur la répression des médias en Tunisie en communiquant avec Joel Campagna, au CPJ, 330 Seventh Ave., New York, NY 10001, U.S.A., téléphone : +1 212 465 1004 ; télécopieur : +1 212 465 9568 ; adresse électronique : jcampagna@cpj.org ; site web : http://www.cpj.org/.
(18 mai 1999)