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21 juin 2006, par Luiza Toscane
Mohammed Abbou est toujours sujet aux tracasseries de ses geôliers à la prison du Kef. Il ne reçoit pas les lettres de sa famille, ne peut parler au juge d’exécution des peines sans une présence collante et démesurée de gardiens chargés d’écouter, etc... Seules les visites ont repris un cours plus "normal" : un quart d’heure chaque jeudi et Samia Abbou ne rencontre plus de barrages sur le parcours Tunis-Le Kef.
Reste que l’existence de cette dernière est devenue un calvaire ces derniers mois. Son (...)