En réponse à :
20 août 2007, par Adel
Au début, il ne voulait rien savoir. Il tenait sa plume à la façon d’une Kalachnikov pointée sur tout ce qui lui paraissait suspect. Il ne pouvait comprendre qu’on puisse devenir, si vite, aussi gras, aussi bête et méchant. Ainsi, Ayane Kilokhrine tirait à bout portant sur ceux qui, selon ses propres dires, avaient « vendu pour pas cher les feuilles d’automne au plus offrant d’entre les vents », faisant référence, sans doute, aux idéaux de la révolution de Novembre 1954 qu’il estimait trahis par une caste (...)