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13 novembre 2002, par Decepticus
Il y a quelques jours, au retour du travail et alors que s’élevait l’appel à la prière du « Maghreb » signifiant la rupture du jeûne, j’ai ressenti une force irrépressible me poussant à entrer faire la prière dans la mosquée près de chez moi. Il n’y avait là rien d’étonnant pour un musulman pratiquant, mais pour moi, ça voulait dire beaucoup. Il y avait douze ans que je n’y avais pas mis les pieds ! C’était un serment que j’avais fait : boycotter la « prière du vendredi » tant que durera le « calvaire ». Et du (...)