En réponse à :
20 mars 2004, par nour
Moi je rêve, je crois, d’un pays ouvert sur l’hédonisme économique, apaisé et sans certitude aucune, exsangue de vie, de volupté et de bonheurs partagés, pour que le doute nous maintienne debout, vigilant sur nos acquis et nos libertés ; un pays où les hommes seront vraiment libres et égaux, où exulter de l’être et de l’avoir, faire et défaire les choses, ne blesse pas l’intime conviction ni ne prétendent à soudoyer mon peuple, ma nation, par la violence des dérives, des dérives sans noms, des dérives (...)