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6 juillet 2006, par Luiza Toscane
Mercredi 5 juillet, Mohammed Akrout aura eu cinquante-quatre ans ; ce 5 juillet, il l’aura passé, comme tous les autres depuis 1991, derrière les barreaux.
Mercredi 5 juillet, sa grève de la faim aura duré un mois, sans résultats. Ses revendications (soins, correspondance, visite, rapprochement des siens) relèvent de la simple application de la loi sur les prisons.
Arrêté en 1991 dans des conditions illégales , Mohammed Akrout, d’abord condamné à l’emprisonnement à perpétuité par le tribunal (...)