Mon amie ne sait pas rediger un com sur un article. Du coup il voulais souligner par ce commentaire qu’il est ravi du contenu de ce blog internet.
je vous remercie
bourguiba abderrazak
I like to party, not look articles up online. You made it hpaepn.
On est mardi 1er novembre 2011, déjà neuf mois que ben ali s’est enfui et il est caché, comme un rat, en Arabie Saudite. Son collègue Gaddafi a été tué.
Après la lecture de cette lettre, tout cela parait être comme un cauchemar pour celles et ceux qui ne l’ont pas vécu personnellement. Cependant, le mal a sévi longtemps, beaucoup trop longtemps en Tunisie. Il est temps que ça change.
Tout un système policier qui s’effondre, la justice vient de renaître, certes encore fragile mais sera équitable insh’Allah.
Oui il a un fils qui est mon meilleur ami et croyez moi, même si son père et loin de lui sa ne fait pas de lui un mauvais père il s’occupe très bien de lui et Selim va le voir de temps en temps. Je suis au cœur de cette affaire et je peux donc savoir les ressentis de chacun...
ةcoutez quand on ne connait pas la personne on ne juge pas ! Je connais personnellement Monsieur Tebourski et je sais que c’est un homme bon, et je pense que si il a demander a rester en France c’est surtout pour son Fils !
Ne le jugez pas car vous ne le connaissez pas comme je le connais ! Je suis la meilleure amie de son fils Selim. Je sais qu’Adel est un homme bon alors arrêtez tous vos blabla et essayer donc de comprendre le fond de la chose. Merci et bonne soirée
the death of an African giant
Par : Y. Mérabet
En outre, contrairement à ce que pensent aujourd’hui de nombreux libyens, la chute de Kadhafi profite à tout le monde sauf à eux. Car, dans une Afrique où les pays de la zone subsaharienne riche en ressources minérales tournaient complètement le dos à la France pour aller vers la Chine, il fallait bien que monsieur Sarkozy trouve un autre terrain fertile pour son pays. La France n’arrive plus à vendre ses produits manufacturés ou de décrocher un marché en Afrique, elle risque de devenir un PSD C’est pour cela que l’on a vu une France prête à tout pour renverser ou assassiner Kadhafi ; surtout quand l’on sait que la Libye est l’une des premières réserves en Hydrocarbures d’Afrique et de Sebha est la capitale mondiale du trafic Franco-libyen de concentré d’uranium Nigérien. Egalement, l’on sait que jusqu’ici, les populations libyennes n’avaient rien à envier aux Français, ils vivaient richement mieux sans se suer. Puisque Kadhafi faisait tout son possible pour les mettre à l’abri du besoin. Il est donc temps pour les libyens de choisir pleinement futur partenaire occidental. Car si en cinquante ans de coopération la France n’a pu rien apporter à l’Afrique subsaharienne. Vat-elle apporter maintenant aux libyens un bonheur supérieur à celui que leur donnait leur Guide. Rien à offrir à ces ignorants de libyens, sauf des repas communs dans les poubelles de la ville Paris, en France c’est déjà la famine ? Lui, qui durant plusieurs décennies était l’un des faiseurs d’hommes les plus efficaces sur le continent Africain. De son existence, Kadhafi était le leader le plus généreux d’Afrique. Pas un seul pays africain ne peut nier aujourd’hui n’avoir jamais gouté un seul pétro –Dinar du guide Libyen. Aveuglement, et motivé par son projet des Etats-Unis d’Afrique, Kadhafi de son existence a partagé l’argent du pétrole libyen avec de nombreux pays africains, qu’ils soient Francophones, Anglophones ou Lusophones. Au sein même de l’union Africaine, le roi des rois d’Afrique s’était presque érigé en un bailleur de fond très généreux. Jusqu’à l’heure actuelle, il existe sur le continent de nombreux présidents qui ont été portés au pouvoir par Kadhafi. Mais, curieusement, même pas un seul de ces élèves de Kadhafi n’a jusqu’ici eu le courage de lui rendre le moindre hommage.Au lendemain du vote de la résolution 1973 du conseil de sécurité de l’ONU, certains pays membres de l’union africaine sous l’impulsion de Jacob Zuma ont tenté d’apporter un léger soutien au guide libyen. Un soutien qui finalement s’est éteint totalement sans que l’on ne sache pourquoi. Même l’union africaine qui au départ conditionnait avec amertume la prise du pouvoir libyen par un groupe de terroristes et la reconnaissance du CNT libyen constitués de traitres, s’est finalement rétracté de façon inexplicable. Et curieusement, jusqu’aujourd’hui, aucun gouvernement consensuel n’a été formé en Libye. Depuis l’annonce de l’assassinat de Mouammar Kadhafi, cette union africaine dont Mouammar Kadhafi était pourtant l’un des principaux défenseurs et ayant assuré le dernier mandat, n’a encore délivré aucun message officiel de condoléance à ses proches ou de regret. Egalement, même ceux qui hier tentaient de le soutenir n’ont pas eu le moindre courage de lever leur petit doigt pour rendre hommage à leur mentor. Jusqu’à l’heure actuel, seul l’ancien archevêque sud-africain et prix Nobel de paix Desmond TUTU a regretté cet acte ignoble. Même le président Abdoulaye Wade que l’on sait pourtant proche des révoltés libyens n’a pas encore salué la mort de l’homme qu’il souhaitait tant. Le lendemain de sa mort, un vendredi pas un musulman n’a prié pour lui ?.. A ce jour, sur le continent Africain, seul l’homme de la rue et les medias ont le courage de parler de cette assassina crapuleux du guide libyen. Mais, cette attitude des dirigeants africains ne surprend personne, dans la mesure où l’on sait que chaque président a peur de se faire remarquer par un Nicolas Sarkozy qui est capable de tout si la tête d’un président africain ou d’un arabe l’énerve.
Conclusion La Libye et l’Afrique toute entière viennent de tourner une page d’or avec la perte de Mouammar .
Traitre et maudit que je sois, si j’étais un libyen ?
Journaliste indépendant (Algérian Society for International Relations)
119, Rue Didouche Mourad
Alger centre
J’ai écrit un livre qui mérite d’être lu :
TOUT EST POSSIBLE - L’AVENIR DE LA TUNISIE
Vous pouvez télécharger le livre sur mon site Internet :
http://www.go4tunisia.de
Dr. Jamel Tazarki
Allemagne
Ma mére Térésa oui notre mére je suis abderrazak bourguiba le frére de mon meilleur ami Farouk .
vous peut etre me connait mais je pense pas que nous avont eu l’occasion de vous voir .
je suis désolé pour ce qui a passé pour mon frére Farouk .
Omar etait un homme exeptionnel un vrai homme j’ai passé avec lui 6 mois dans le prison nous étions plus que deux fréres.
soyez fiére de Farouk
et que la paradi soit pour lui
La Monarchie Constitutionnelle est l’avenir est la garantie des droits et libertés pour la Tunisie, la Libye et toute l’Afrique du Nord. Le Roi est l’âme du peuple, Il est porteur du sentiment d’unité nationale et du patrimoine historique du peuple. LA MONARCHIE CONSTITUTIONNELLE EST LE PLUS SUR MOYEN POUR EVITER QU’UN PRESIDENT FINISSE UN JOUR EN DICTATEUR (voyez le cas du roi d’Espagne, sauveur des libertés après le Franquisme).
Bonjour Mesdames, Messieurs,
Je souhaite attirer votre attention sur le faite que ce Barbouze comme vous le dites, a retourné sa veste à l’instant où il s’est assuré du départ définitif du ZABA plus exactement le 18 Janvier 2011.
Mais encore ce dernier qui détient pas un seul titre comme auprès du RCD mais aussi faison parti de plusieurs association et surout la chambre Franco-Tunisienne de marseille ou il a volé récemment le portfolio pour se faire une nouvelle peau et une nouvelle virginité auprès de la Tunisie, avec un pseudo symposium tenue au pôle technologique sis à la Gazelle (Ariana).
Rappel du passé : Khaled Néji représentant de l’office de l’huile près du consulat générale de Tunisie à Marseille a été victime de sa (Stoufida).
Monsieur Kahled Néji a été limogé de son poste, radié de ses fonctions, décédés suite à une attaque cardiaque après avoir visité les prisons Tunisiennes
Je souhaite que cette personne n’intervienne plus sur le sol Tunisien afin de crée des réseaux encore pire qu’avant et revenir au pouvoir par la fenêtre.
Aidez moi à dire la vérité sur ce malheureux de la Sbikha (kairouan) qui fout la honte à son peuple.
Ce Virus, qui trompe sa femme sans scrupule ni honte. A trahit ce que nos ancêtres ont essayé de bâtir, bravour, fraternité dévouement, sincérité.
Il est et il sera toujours à l’antipode des Tunisiens , lèches botes et au plurielles
Vive la Tunisie sans hypocrites
bonjour je suis tres heureuse que mr tlili soit libere mais je n arrive pas avoir de nouvelles precises je tiens a dire que c est un MONSIEUR exceptionnel et qu il ne merite vraiment pas ce qu il a endure j aimerai pouvoir lui exprimer tte ma sympathie
Voilà quatre ans se sont écoulés et votre combat a porté ses fruits. J’aurais pas osé signer ces quelques mots par mon nom réel si vous n’avez pas milité pour ’ma’ liberté. Reconnaissante et le mot ne peut résumer ce que je ressens et tout le respect que je vous porte.
Merci...
Lilia Weslaty
Les petits cons s’amusent à faire leurs graffitis imbéciles même sur les statues couvertes de prestige et d’histoire de Carthage ; on en a maintenant fini avec Ben Ali, avec la censure et l’étouffement des idées et de coeur opéré par son régime. Mais on en finira jamais avec l’idiotie des fondamentalistes islamiques qui promenent leurs femmes en burka, parce que c’est la seule façon par laquelle savent voir une femme : comme une bête dangeureuse. On en finira pas facilement, terrible dictature, avec ceux qui demandent maintenant de couper les mains, les jambes et les bras, suivant l’obsolète loi coranique, sans se faire aucun souci de l’Homme. Jésus, le Christ en est le plus grand champion, le Rédempteur de l’humanité, Lui qui a porté la Croix pour nous TOUS ; quant à la mafia et à al-Capone, nous les plaçerons comme un héritage historique de cet islam que tant s’acharnent à défendre par l’ignorance (mafia vient de l’arabe dialectal anciene "mafiah", c’est-à-dire "protection", la mafia est nait et c’est culturellement radiquée dans une ancienne terre d’islam, la Sicile)
j’ai aimé ce que vous pensé . suis de ton coté. tu me trouvera a l’appui
Sommaire :
Partie arabe : (Al Quds Al Arabi) :
Bonne lecture !
<?XML:NAMESPACE PREFIX = O /><O:P></O:P></STRONG></FONT></FONT></SPAN><!--mstheme--><!--mstheme--></DIV>
<P class=MsoTitle align=left><cleaned_tag="mso-fareast-language: FR"><FONT face=Verdana><STRONG><SMALL><O:P><FONT size=2>Lecteur Assidu<O:P></O:P></FONT></SMALL></STRONG></FONT></SPAN></P>
<P class=MsoSubtitle align=left><cleaned_tag="FONT-WEIGHT: normal; mso-fareast-language: FR"><FONT face=Verdana>Chaque fois que je pense à Zouhaïer Yahyaoui, alias Ettounsi, c'est la figure d'<I>Ibn-Al-Balad </I>qui me revient à l'esprit. <I>Ibn-Al-Balad, </I>littéralement « l'enfant du pays », est ce personnage imaginé par le poète égyptien engagé Ahmed Foued Nejm et qui est censé représenter l'ami attachant, sympathique, toujours prêt à donner un coup de main et même à se sacrifier pour vous, si vous le lui demandez. Cette image n'est pas forcément celle du militant politique aguerri, convaincu de la justesse de la cause qu'il défend et prêt à en payer le prix. N'empêche, elle sied à merveille à mon ami Zouhaïer.<O:P></O:P></FONT></SPAN></P>
<P class=MsoSubtitle align=left><cleaned_tag="FONT-WEIGHT: normal; mso-fareast-language: FR"><FONT face=Verdana>Inclassable politiquement, ayant pour seules armes son clavier et un courage à la limite de l'inconscience, Ettounsi a dérangé. Par ses écrits sarcastiques qui ne connaissent pas de lignes rouges, par ses parodies grotesques qui n'épargnent personne et par ses caricatures délirantes qui ont fait perdre leur sommeil aux dirigeants tunisiens, Zouhaïer a prouvé qu'on pouvait faire de la politique autrement. ةcrivant ses satires en dialecte tunisien et en français, il a su conquérir une jeunesse avide de liberté, de fantaisie et de…folie.<O:P></O:P></FONT></SPAN></P>
<P class=MsoSubtitle align=left><cleaned_tag="FONT-WEIGHT: normal; mso-fareast-language: FR"><O:P><FONT face=Verdana>Sa manière de tourner en ridicule les dirigeants du pays, ses dialogues imaginés avec Ben Ali (appelé plus simplement par son acronyme, ZABA), ses échanges loufoques avec les conseillers et les ministres de ce dernier ont fini par exaspérer le pouvoir.<O:P></O:P></FONT></SPAN></P>
<P class=MsoSubtitle align=left><cleaned_tag="FONT-WEIGHT: normal; mso-fareast-language: FR"><O:P><FONT face=Verdana>Les (jeunes) Tunisiens, malgré la censure du site <I>TUNeZINE,</I> ont découvert un jeune homme intrépide, parlant leur langage, ne connaissant aucun tabou, parfois vulgaire et cruel mais jamais méchant. C'est qu'Ettounsi évite les phrases toutes faites. Il n'en a cure de l'article 2 de l'Accord d'Association entre la Tunisie et l'Union Européenne.</FONT></SPAN><cleaned_tag="mso-footnote-id: ftn1" name=_ftnref1 href="http://www.kalimatunisie.com/num10/lecteur.htm#_ftn1"><SPAN class=MsoFootnoteReference><cleaned_tag="FONT-WEIGHT: normal"><cleaned_tag="mso-special-character: footnote"><FONT face=Verdana>[1]</FONT></SPAN></SPAN></SPAN></A><cleaned_tag="FONT-WEIGHT: normal; mso-fareast-language: FR"><FONT face=Verdana> Il déteste l'unanimité et aime briser le consensus.<O:P></O:P></FONT></SPAN></P>
<P class=MsoSubtitle align=left><cleaned_tag="FONT-WEIGHT: normal; mso-fareast-language: FR"><FONT face=Verdana>Certains Islamistes le trouvent « trop à gauche ». Quelques gauchistes estiment qu'il possède une fibre islamiste. Aux premiers, il oppose son sens inné de la liberté et de l'indépendance d'esprit et leur crie, comme jadis Auguste Blanqui, : <I>« Ni dieu, ni maître » !</I> Aux seconds, il reproche d'être plus intéressés par les « vertus de la bouteille » que par l'éducation de leur progéniture.<O:P></O:P></FONT></SPAN></P>
<P class=MsoSubtitle align=left><cleaned_tag="FONT-WEIGHT: normal; mso-fareast-language: FR"><FONT face=Verdana> </FONT><O:P></SPAN><cleaned_tag="FONT-SIZE: 12pt; mso-fareast-language: FR"><FONT face=Verdana>ہ l'été 2001, les férus d'Internet découvrent un nouveau site présenté par son auteur comme étant <I>« un magazine électronique tunisien, fendu</I></FONT></SPAN><cleaned_tag="mso-footnote-id: ftn2" name=_ftnref2 href="http://www.kalimatunisie.com/num10/lecteur.htm#_ftn2"><SPAN class=MsoFootnoteReference><cleaned_tag: normal"><cleaned_tag="FONT-SIZE: 12pt; mso-bidi-font-size: 10.0pt"><cleaned_tag="mso-special-character: footnote"><FONT face=Verdana>[2]</FONT></SPAN></SPAN></I></SPAN></A><cleaned_tag="FONT-SIZE: 12pt; mso-fareast-language: FR"><FONT face=Verdana><I> par Ettounsi le 2 juillet 2001 et défendu depuis par des bénévoles anonymes qui œuvrent en faveur du respect des droits inaliénables de l'être tunisien. Son action s'appuie essentiellement sur la collecte et la divulgation de l'information censurée en Tunisie et la rédaction et la publication d'articles ou toute autre forme d'exercice du droit à la liberté d'expression. TUNeZINE est indépendante</I> [sic]<I> de tout organe gouvernemental, de toute entité économique, de toute tendance politique ou croyance religieuse (…)».<O:P></O:P></I></FONT></SPAN></P>
<P class=MsoSubtitle align=left><O:P><cleaned_tag="FONT-WEIGHT: normal; mso-fareast-language: FR"><FONT face=Verdana>Ainsi, <I>TUNeZINE</I> arrivait sur le Web tunisien à point nommé. D'un côté, l'expérience de l'équipe de <I>Takriz</I> (« ras-les-couilles »)</FONT></SPAN><cleaned_tag="mso-footnote-id: ftn3" name=_ftnref3 href="http://www.kalimatunisie.com/num10/lecteur.htm#_ftn3"><SPAN class=MsoFootnoteReference><cleaned_tag="FONT-WEIGHT: normal"><cleaned_tag="mso-special-character: footnote"><FONT face=Verdana>[3]</FONT></SPAN></SPAN></SPAN></A><cleaned_tag="FONT-WEIGHT: normal; mso-fareast-language: FR"><FONT face=Verdana> venait de prendre fin en raison de querelles internes entre ses rédacteurs de plus en plus stressés par la perspective d'être démasqués par la police de l'Internet. De l'autre, le forum de discussion du <I>Conseil National pour les Libertés en Tunisie</I></FONT></SPAN><cleaned_tag="mso-footnote-id: ftn4" name=_ftnref4 href="http://www.kalimatunisie.com/num10/lecteur.htm#_ftn4"><SPAN class=MsoFootnoteReference><cleaned_tag="FONT-WEIGHT: normal"><cleaned_tag="mso-special-character: footnote"><FONT face=Verdana>[4]</FONT></SPAN></SPAN></SPAN></A><cleaned_tag="FONT-WEIGHT: normal; mso-fareast-language: FR"><FONT face=Verdana>, très populaire en 2000 et 2001, cessait d'exister, victime de son propre succès. <I>TUNeZINE</I> venait ainsi combler un vide : celui de l'expression alternative de la jeunesse tunisienne.<O:P></O:P></FONT></SPAN></P>
<P class=MsoSubtitle align=left><cleaned_tag="FONT-WEIGHT: normal; mso-fareast-language: FR"><O:P><FONT face=Verdana>Grâce à ses deux forums de discussion, il permet des échanges entre des intervenants, généralement anonymes, représentant les différents courants de l'opposition tunisienne. Son <I>E-magazine</I> regroupe les contributions les plus intéressantes, dont les articles d'Ettounsi et d'« Omar Khayyâm ». <O:P></O:P></FONT></SPAN></P>
<P class=MsoSubtitle align=left><cleaned_tag="FONT-WEIGHT: normal; mso-fareast-language: FR"><FONT face=Verdana>Empruntant son pseudonyme à celui d'un célèbre poète perse ayant vécu aux XI<SUP>e</SUP> et XII<SUP>e</SUP><cleaned_tag="mso-spacerun: yes"> </SPAN>siècles et surtout connu pour ses quatrains, Omar (celui de <I>TUNeZINE</I>) écrit des satires extravagantes dans lesquelles s'entremêlent les hommes politiques tunisiens. C'est ainsi qu'il imagine Moncef Marzouki et Sihem Ben Sedrine invités à une émission de la télévision tunisienne (!) ou qu'il traduit « de la langue de bois » certains articles de <I>La Presse de Tunisie. </I>Par ailleurs<I>, </I>Omar<I> </I>Khayyâm, qui maîtrise six langues, offre aux lecteurs de TUNeZINE d'excellentes traductions d'articles parus dans la presse espagnole, italienne ou allemande.<O:P></O:P></FONT></SPAN></P>
<P class=MsoSubtitle align=left><cleaned_tag="FONT-WEIGHT: normal; mso-fareast-language: FR"><O:P><FONT face=Verdana>Voyant la contestation s'élargir aux jeunes, le pouvoir a décidé de frapper, en arrêtant Ettounsi le 4 juin 2002 et en le faisant condamner à 2 années de prison ferme. Mal lui en pris puisque le site, effacé par la police pendant quelques heures, a pu non seulement être rétabli, mais a vu son audience s'élargir. Depuis juillet 2002, 351 personnes en moyenne visitent quotidiennement le forum censuré. Avant cette date, elles n'étaient « que » 296.<O:P></O:P></FONT></SPAN></P>
<P class=MsoSubtitle align=left><cleaned_tag="FONT-WEIGHT: normal; mso-fareast-language: FR"><FONT face=Verdana>Non modéré <I>a priori</I> (les messages ne sont pas filtrés avant leur publication), le forum <I>TUNeZINE</I> permet aux internautes de suivre en direct les péripéties des procès politiques et des agressions contre les défenseurs des droits de l'Homme. C'est ainsi que le 2 février 2002, les lecteurs de <I>TUNeZINE</I> ont « assisté » au procès de Hamma Hammai et de ses camardes. Ils ont même eu droit au verdict avant l'Agence France-Presse (AFP) ! C'est encore sur <I>TUNeZINE</I> que les personnes intéressées ont pu connaître en détail les agressions policières subies par certaines figures de la société civile, le 13 décembre 2002.<O:P></O:P></FONT></SPAN></P>
<P class=MsoSubtitle align=left><cleaned_tag="FONT-WEIGHT: normal; mso-fareast-language: FR"><FONT face=Verdana>Les attaques informatiques perpétrées quotidiennement contre le forum dissident sont autant de preuves du caractère dérangeant du travail réalisé par les animateurs du site. Un travail qu'Ettounsi résume bien en prônant <I>« le rire pour combattre la dictature ».</I></FONT></SPAN><cleaned_tag="FONT-WEIGHT: normal; FONT-SIZE: 12pt; mso-fareast-language: FR"><FONT face=Verdana> </FONT><O:P></SPAN></P>
<cleaned_tag="TEXT-ALIGN: left" align=left><cleaned_tag="mso-fareast-language: FR"><FONT face=Verdana><STRONG>Lecteur Assidu<O:P></O:P></STRONG></FONT></SPAN></P>
<cleaned_tag="TEXT-ALIGN: left" align=left><cleaned_tag="mso-fareast-language: FR"><FONT face=Verdana><STRONG>Noyau dur de la TNA (TUNeZINE News Agency)<O:P></O:P></STRONG></FONT></SPAN></P>
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<DD><!--msthemeseparator-->
<P align=left><FONT face=Verdana></FONT></P>
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<P class=MsoFootnoteText> </P></DIV></DD>
<DD>
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<P class=MsoFootnoteText><cleaned_tag="mso-footnote-id: ftn1" name=_ftn1 href="http://www.kalimatunisie.com/num10/lecteur.htm#_ftnref1"><SPAN class=MsoFootnoteReference><SPAN lang=FR><cleaned_tag="mso-special-character: footnote"><FONT face=Verdana>[1]</FONT></SPAN></SPAN></SPAN></A><cleaned_tag="mso-fareast-language: FR"><FONT face=Verdana> Il s'agit de l'article qui oblige les ةtats contractants à respecter les droits de l'Homme.<O:P></O:P></FONT></SPAN></P></DIV></DD></DIV>
<DD>
<cleaned_tag="TEXT-ALIGN: justify; mso-element: footnote" align=left><cleaned_tag="mso-footnote-id: ftn2" name=_ftn2 href="http://www.kalimatunisie.com/num10/lecteur.htm#_ftnref2"><SPAN class=MsoFootnoteReference><SPAN lang=FR><cleaned_tag="mso-special-character: footnote"><FONT face=Verdana>[2]</FONT></SPAN></SPAN></SPAN></A><cleaned_tag="mso-fareast-language: FR"><FONT face=Verdana> <I>NDLR : nous pouvons affirmer, pour lui avoir déjà posé la question, que Zouhaïer ne commet pas ici une faute d'orthographe et que le choix du terme « fendu » correspond à un calembour totalement voulu.</I><O:P></O:P></FONT></SPAN></P>
<cleaned_tag="mso-element: footnote" align=left><cleaned_tag="mso-footnote-id: ftn3" name=_ftn3 href="http://www.kalimatunisie.com/num10/lecteur.htm#_ftnref3"><SPAN class=MsoFootnoteReference><SPAN lang=FR><cleaned_tag="mso-special-character: footnote"><FONT face=Verdana>[3]</FONT></SPAN></SPAN></SPAN></A><FONT face=Verdana><cleaned_tag="mso-fareast-language: FR"> <B><cleaned_tag="mso-spacerun: yes"> </SPAN></B></SPAN><cleaned_tag="mso-bidi-font-weight: normal"><SPAN lang=FR><A href="http://www.takriz.com/"><cleaned_tag="FONT-WEIGHT: normal; mso-fareast-language: FR">www.takriz.com</SPAN></A></SPAN></B><cleaned_tag="mso-fareast-language: FR"><O:P></O:P></SPAN></FONT></P>
<cleaned_tag="mso-element: footnote"><cleaned_tag="mso-footnote-id: ftn4" name=_ftn4 href="http://www.kalimatunisie.com/num10/lecteur.htm#_ftnref4"><SPAN class=MsoFootnoteReference><SPAN lang=FR><cleaned_tag="mso-special-character: footnote"><FONT face=Verdana>[4]</FONT></SPAN></SPAN></SPAN></A><FONT face=Verdana><cleaned_tag="mso-fareast-language: FR"> CNLT, </SPAN><cleaned_tag="mso-bidi-font-weight: normal"><SPAN lang=FR><A href="http://www.cnlt98.org/"><cleaned_tag="FONT-WEIGHT: normal; mso-fareast-language: FR">www.cnlt98.org</SPAN></A></SPAN></B></FONT></O:P></O:P></O:P></O:P></O:P></O:P></O:P></O:P></FONT></FONT></FONT><FONT face=Arial size=2><FONT size=2></P></DD></DIV></DIV></DIV></DIV>
<DIV>
<cleaned_tag="PADDING-TOP: 6px">
<P><FONT face=Arial size=3><STRONG>II Irak :</STRONG></FONT></P>
<P><FONT face=Arial color=#0000ff><FONT color=#000000><FONT color=#800080><U><A href="http://infos.netscape.fr/info/NDepeche?id=121518&cat_id=3">http://infos.netscape.fr/info/NDepeche?id=121518&cat_id=3</U></A></FONT></FONT></FONT></P>
<P><FONT face=Arial color=#0000ff><FONT color=#000000><FONT color=#800080><FONT color=#000000>4 février, 16h22</FONT><BR><FONT color=#000000><STRONG>Colin Powell: une présentation de 90 minutes devant le Conseil de sécurité</STRONG> </FONT></P>
<DIV><FONT color=#000000></FONT></DIV>
<P></FONT></FONT><FONT color=#000000>La présentation du secrétaire d'Etat américain Colin Powell devant le Conseil de sécurité de l'Onu mercredi durera une heure et demie, a appris mardi l'AFP de sources diplomatiques à l'Onu. <BR>M. Powell, a indiqué un diplomate américain sans vouloir confirmer la longueur de l'intervention, fera une présentation "multi-média" utilisant des projections d'images. <BR>Ce diplomate n'a pu confirmer ou démentir si, comme certaines informations de presse américaine la semaine dernière le suggéraient, M. Powell présenterait le témoignage d'Irakiens ayant fait défection. <BR>Colin Powell a promis lundi de faire une démonstration "convaincante" devant l'Onu que l'Irak a toujours des armes de destruction massive. <BR>Le secrétaire d'Etat américain était attendu mardi en début d'après-midi à New York, où il devait avoir un premier entretien avec le ministre chinois des Affaires étrangères, Tang Jiaxuan. <BR>M. Powell, selon des sources diplomatiques aux Nations Unies, rencontrera en tête-à-tête mercredi matin son homologue russe Igor Ivanov, et dans l'après-midi le ministre britannique Jack Straw. <BR></FONT></P>
<P><FONT color=#000000><FONT size=3><STRONG>III Palestine :</STRONG></FONT></FONT></P>
<P><FONT color=#000000><A href="http://www.lemonde.fr/article/0,5987,3210--307958-,00.html">http://www.lemonde.fr/article/0,5987,3210--307958-,00.html</A></FONT></P><FONT color=#000000>
<cleaned_tag="PADDING-TOP: 6px"><STRONG>Des intellectuels français scandalisés par les conditions de vie des Palestiniens</STRONG></DIV>
<cleaned_tag="PADDING-TOP: 6px">
<P><B>Jérusalem</B> <I>de notre correspondante</I></P>
<P>Après une visite de six jours qui les a menés de Jérusalem à Ramallah, en passant par Gaza, Nazareth et Tel-Aviv, une douzaine d'intellectuels français juifs et non juifs, venus confronter leur connaissance du conflit israélo-palestinien à la réalité du terrain, ont quitté Israël, lundi 3 février, déterminés à témoigner de leur expérience dès leur retour en France. Ces militants de la paix, parmi lesquels d'anciens résistants comme Raymond Aubrac, ont tenu à se démarquer des institutions juives de France.</P>
<P>Ils ont fait part du <I>"choc" </I>ressenti en découvrant <I>in situ </I>les conditions de vie des Palestiniens et la politique de colonisation du gouvernement israélien. <I>"La situation des habitants de Gaza est scandaleuse, incompatible avec les droits de l'homme et la civilisation démocratique</I>", a jugé Stéphane Hessel, ancien ambassadeur de France. <I>"Nous avons observé dans les territoires tous les signes d'une occupation intolérable, qui explique bien des violences"</I>, a renchéri le scientifique Jean-Jacques Salomon.</P>
<P>Des images et des paroles emmagasinées, chacun a retenu ce qui l'a le plus révolté. <I>"J'ai été submergé par des termes que je ne connaissais que dans les livres d'histoire, tels que transfert, déportation, illégalité"</I>, s'est indigné le producteur Sacha Goldman. Pour Annick Weiner, universitaire, la vision des habitations palestiniennes détruites par l'armée israélienne s'est superposée, de manière choquante, à celle des <I>"splendides maisons en haut des collines"</I>, celles des colons. Les avancées de la présence israélienne dans les territoires occupés les ont particulièrement marqués. <I>"J'ai été frappé par le génie de la colonisation autour de Jérusalem"</I>, a souligné le docteur Mathieu de Brunhoff, évoquant le réseau routier que développent les Israéliens pour couper la ville du reste de la Cisjordanie.</P>
<P>Optimistes par nature, ces partisans de la paix n'ont pu masquer un certain pessimisme. <I>"La méfiance, le racisme partagé, sont contraires à ce qui serait souhaitable pour une solution à court terme"</I>, a estimé M. Salomon. <I>"Côté palestinien, il n'y a plus de matrice pour une société ; la police, la justice, les prisons ont été détruites"</I>, a rappelé M. Goldman. Leur rapide visite au quartier général dévasté de Yasser Arafat n'a fait qu'amplifier ce sentiment. <I>"J'ai perçu la faiblesse de l'Autorité palestinienne, écrasée par Israël et rongée de l'intérieur par une crise de légitimité"</I>, a témoigné M. Salomon. <I>"Nous avons eu le sentiment qu'aucune solution ne peut venir de l'intérieur ; une intervention internationale est essentielle"</I>, a estimé le chercheur Gérard Toulouse.</P>
<P>Pour eux, le manque de réaction de la majeure partie de la société israélienne demeure incompréhensible. <I>"Il est paradoxal deconstater que, face à la litanie des violations des droits élémentaires, si peu de gens soient choqués"</I>, s'est étonné Martin Hirsch, président d'Emmaüs France. Leur admiration pour leurs hôtes, les pacifistes israéliens, n'en est que renforcée.</P>
<P><B>Stéphanie Le Bars</B></P>
<P><A href="http://www.lesoir.be/articles/a_037BE4.asp">http://www.lesoir.be/articles/a_037BE4.asp</A></P>
<P class=titre><STRONG>Arafat condamné pour destructions de bus</STRONG></P>
<P class=soustitre></P>
<P class=chapeau><!-- START CHAPEAU --><!-- END CHAPEAU --></P><!-- START ARTICLE -->
<P>Un tribunal de Tel-Aviv a condamné le président de l'Autorité palestinienne, Yasser Arafat, à payer la somme de 52 millions de shekels (environ 9 millions d'euros) à la société israélienne de transports Eged, en compensation des dommages causés à la société par des attentats palestiniens, a annoncé mardi le quotidien israélien 'Ma'ariv'. </P>
<P>Eged a subi une perte de 164 millions de shekels (près de 28 millions d'euros) à cause des attentats suicide et d'autres actions armées de Palestiniens dans les régions à l'ouest du Jourdain et dans la bande de Gaza, selon les avocats de la société de transport. </P>
<P>Le tribunal de Tel-Aviv a estimé que Yasser Arafat, en tant que leader de l'Autorité palestinienne, était co-responsable des dizaines d'attentats commis sur des bus Eged, et qu'il devait pour cela dédommager la société financièrement. Eged avait proposé de faire une saisie sur les comptes de l'Autorité. De son côté, le gouvernement israélien a versé lundi 280 millions de shekels (quelque 53 millions d'euros) à l'Autorité palestinienne, a annoncé mardi le journal "Haaretz". C'est la somme la plus importante qu'Israël ait rendue à l'Autorité palestinienne depuis le début de la seconde intifada, à l'automne 2000. Il s'agit de retards de reversement de recettes fiscales et d'avoirs palestiniens qui avaient été gelés par Israël.</P>
<P><B>AFP</B></P><!-- END ARTICLE -->
<P><STRONG><FONT size=3>IV sommet arabe : </FONT></STRONG></P>
<P><A href="http://infos.netscape.fr/info/NDepeche?id=121490&cat_id=3">http://infos.netscape.fr/info/NDepeche?id=121490&cat_id=3</A></P>
<P>4 février, 14h13</P>
<P><STRONG>Un sommet arabe urgent, ultime tentative de prévenir la guerre</STRONG> </P>
<P><I>par Michel SAILHAN</I><BR>Dans ce qui pourrait être une ultime tentative de prévenir une guerre en Irak, aux redoutables conséquences pour ses voisins, les dirigeants de la région se concertent pour organiser d'urgence un sommet arabe, qui aurait lieu début mars au Caire. <BR>"Il faut absolument que le sommet arabe se tienne, n'importe où, en raison de l'importance d'une décision arabe commune face à la grave situation que traverse la région, que ce soit en Palestine ou en Irak", a déclaré le secrétaire général de la Ligue arabe, Amr Moussa, dans l'édition de mardi du quotidien Al Akhbar, sans cependant confirmer ni lieu ni date. <BR>M. Moussa a, quelques heures plus tard, exprimé son "extrême pessimisme", lors d'une réunion à la Ligue arabe, soulignant qu'une guerre entraînerait "plusieurs dizaines de milliards de dollars" de pertes pour la région, sans parler des "répercussions morales, sécuritaires et sociales". <BR>Des contacts diplomatiques sont en cours depuis plusieurs jours pour avancer de quelques semaines le sommet arabe initialement prévu le 24 mars à Bahrein, du fait de l'accélération des échéances dans le dossier irakien, a indiqué à l'AFP un diplomate arabe dans la capitale égyptienne. <BR>Avant ce sommet, qui aurait lieu début mars au Caire, se tiendra le 16 février, également au Caire, une "réunion urgente" des ministres arabes des Affaires étrangères sur la crise irakienne. <BR>L'Irak, qui reproche aux dirigeants de la région leur manque de solidarité, insiste pour la tenue rapide d'un sommet, afin, selon le quotidien Babel, dirigé par le fils aîné de Saddam Hussein, Oudaï, de lancer "aux partisans de la guerre et des tueries, le signal fort que la nation arabe -peuples et gouvernements- s'oppose aux menaces américaines et soutient le grand Irak". <BR>Mais les observateurs attendent peu de ces réunions, ministérielle ou au sommet, du fait des divergences arabes et de la passivité qui s'est emparée tant des dirigeants que des opinions publiques, face au caractère apparemment inéluctable d'une guerre menée par les Etats-Unis. <BR>Le roi Abdallah II de Jordanie avait donné le ton au forum économique de Davos le 26 janvier, estimant qu'il était désormais "trop tard pour une solution diplomatique" dans la crise irakienne. <BR>La position de plusieurs régimes arabes a d'ailleurs évolué au fil des mois, de la mise en garde aux Etats-Unis contre les conséquences régionales catastrophiques d'un conflit, aux critiques de plus en plus marquées du régime irakien, dénotant une acceptation progressive de la politique américaine. <BR>Déjà à Istanbul le 23 janvier, six pays du Moyen-Orient, dont cinq voisins de l'Irak plus l'Egypte, s'étaient, tout en rappelant leur opposition à une guerre, tournés non vers Washington mais vers Bagdad, demandant à l'Irak plus de coopération avec l'Onu sur son désarmement. <BR>Nombre de régimes arabes sont en effet enclins à s'aligner in fine sur la position américaine, du fait de dépendances économique, politique ou sécuritaire, à divers degrés, à l'égard de Washington. <BR>Tel est le cas notamment du Koweit, du Qatar ou de Bahrein, qui acceptent sans publicité d'accueillir les forces américaines susceptibles d'envahir l'Irak, et d'autres pays liés aux Etats Unis, tels que l'Arabie saoudite, la Jordanie ou l'Egypte. <BR>La presse égyptienne s'emploie ainsi depuis plusieurs jours à préparer l'opinion à une nouvelle guerre du Golfe, par des critiques répétées contre Saddam Hussein, qui, rappelle le journal gouvernemental Akhbar Al-Youm, a "commis des crimes contre son peuple, notamment la liquidation de ses opposants et l'utilisation de gaz contre les Kurdes, en 1988". <BR></P>
<P><FONT size=3><STRONG>V Mecca Cola :</STRONG></FONT></P>
<P><A href="http://www.lemonde.fr/article/0,5987,3230--307984-,00.html">http://www.lemonde.fr/article/0,5987,3230--307984-,00.html</A></P>
<cleaned_tag="PADDING-TOP: 6px"><STRONG>Les combats de Mecca Cola</STRONG></DIV>
<cleaned_tag="PADDING-TOP: 20px">Derrière l'étonnant succès du Mecca Cola, premier produit engagé de consommation de masse, se dissimulent un militant et son rêve : créer une télévision arabe en Europe. </DIV>
<cleaned_tag="PADDING-TOP: 6px">
<P>La boucherie musulmane du boulevard de la Villette, dans le vieux Belleville, à Paris, en stocke plusieurs dizaines, juste au-dessus des gondoles de viande hallal.<I>"C'est le même prix que le Coke. Alors, si on peut éviter de donner notre flouze à Bush pour qu'il aille encore attaquer des Arabes, autant le faire, non ? C'est ce que je dis à mes clients en tout cas..." </I>De Belleville à Casablanca, de Barbès à Tripoli, Amsterdam, Berlin, Bruxelles et bientôt en Arabie saoudite, dans les Emirats du Golfe persique, au Pakistan, au Bangladesh, en Indonésie et ailleurs encore, c'est partout la même histoire. Comme dit Tawfik Mathlouthi, <I>"ils veulent tous mon Mecca Cola..."</I></P>
<P>Trois millions de bouteilles d'un litre et demi vendues en quelques mois, 16 autres millions en commande, <I>"entre 250 millions et 300 millions d'ici la fin de l'année"</I>, espère l'inventeur. Voici l'incroyable histoire d'un produit de consommation qui n'existait pas l'été passé, qui fut lancé par un homme seul, fauché, et qui semble sur le point de conquérir le monde musulman, voire au-delà, puisqu'un gros commerçant américain de Californie vient à son tour de passer commande. Quel est ce miracle ?</P>
<P>Qu'y a-t-il donc dans ce "sirop typhon" qu'on s'arrache ? Réponse : à l'intérieur de la bouteille, rien. Ou plutôt si, il y a le triste mélange habituel des sodas : de l'eau gazéifiée, du sucre, du sirop de glucose-fructose, un peu de caféine, un zeste d'acide phosphorique et une dose d'un colorant caramel poétiquement dénommé E150D. Adeptes du bio, s'abstenir. En réalité, la martingale que semble avoir découverte Tawfik Mathlouthi, improbable et nouveau "seigneur des bulles" sur un marché bien encombré, n'est pas à l'intérieur du récipient. Elle est collée dessus et elle tient en six mots : <EM>"Ne buvez plus idiot, buvez engagé."</EM></P>
<P>Le coup de génie du papa de Mecca Cola est tout entier dans ce slogan publicitaire et ses déclinaisons politiques subliminales qu'a très bien comprises notre épicier de Belleville. <I>"Pas un sou pour les guerres de Bush !"</I> Le breuvage, on l'a compris, ressemble à du Coca-Cola - son étiquette rouge à grandes lettres blanches pourrait même s'apparenter à une sorte de plagiat de l'estampille <I>"real thing"</I>, il a presque le même goût que le Coca-Cola ou le Pepsi-Cola - en moins sucré -, et il coûte le même prix que le fameux brouet américain.</P>
<P>La différence entre l'ancien et le nouveau est ailleurs. Dans la répartition des profits surtout. Chez Mecca, c'est écrit sur l'étiquette, et une "Fondation Mecca Cola" qui détient un cinquième du capital <I>"le garantit"</I>. Parole de Tawfik Mathlouthi, 10 % iront à des œuvres caritatives européennes, <I>"dont celle de l'abbé Pierre"</I>, précise-t-il, et dix autres pour cent seront réservés à des œuvres charitables qui aident l'enfance palestinienne. Qui ne souscrirait à une consommation plus "éthique"? En ces temps d'antiaméricanisme virulent dans les pays musulmans où l'on regarde chaque soir avec rage et mauvaise conscience les <I>"frères palestiniens"</I> combattre et se faire tuer chez eux par l'armée et les colons d'Israël avec l'apparent assentiment et les armes de l'Amérique, le boycottage des produits <I>made in USA</I> est un phénomène en pleine ascension. McDonald's, Coca et les autres admettent tous une baisse d'activité dans ces régions.</P>
<P>Vint alors le premier "produit de consommation politique de masse" pour le nouveau siècle. Nul ne peut dire si sa carrière sera longue ou éphémère, mais pour les tsars du marketing, son envol à la verticale est déjà un cas d'école. "Culture Pub", l'émission spécialisée de M6 prépare un dossier sur le sujet. Toutes les grandes chaînes télévisuelles, de France et d'ailleurs, de BBC-TV à CNN en passant bien sûr par Al-Jazira, ont diffusé des reportages sur Mecca Cola, <I>"premier produit anti-impérialiste du millénaire"</I>.</P>
<P>On a vu la bonne bouille ronde, les lunettes cerclées et la barbe taillée au cordeau de M. Tawfik Mathlouthi partout, dans les news magazines comme dans les quotidiens les plus réputés : du <I>New York Times</I> à la <I>Stampa</I> en passant par <I>Le Figaro</I>, plusieurs gazettes pakistanaises, quelques saoudiennes, les principaux journaux du Golfe. Et désormais <I>Le Monde</I>. Un budget publicitaire de rêve, entièrement gracieux. Dans la presse, on résiste rarement à une <I>"bonne histoire"</I>.</P>
<P><EM>"Tout commence en mai dernier" </EM>se souvient notre homme.<EM>"A la suite du massacre de Jénine en Palestine occupée"</EM> plus précisément. Militant propalestinien <I>"depuis</I> <EM>sa</EM> p<I>lus tendre enfance en Tunisie"</I>, quand l'OLP de Yasser Arafat y était encore bannie, Tawfik Mathlouthi entend l'appel au boycottage lancé après Jénine par de nombreux comités de défense spécialisés. Il se met à chercher le moyen d'embrayer le mouvement en France. Des similis cocas, il en existe déjà une bonne trentaine de par le monde.</P>
<P>Elle-même accusée en son temps d'avoir un peu copié sa célèbre - et toujours secrète - recette sur un produit français de la fin du XIX<SUP>e </SUP>siècle qu'on appelait <I>"le vin Mariani"</I>, la firme d'Atlanta ne l'ignore pas. Et ne bouge pas. Le plus célèbre de ces succédanés s'appelle "Zamzam Cola". Il a été créé en 1979 en Iran pour remplacer <I>"the real thing"</I>, décrétée <I>non grata</I> en république islamique. Zamzam, c'est le nom d'une célèbre source sacrée à La Mecque. Et La Mecque, en anglais, se dit "Mecca". Mais n'anticipons pas.</P>
<P>Tawfik Mathlouthi appelle Zamzam à Téhéran. Une fois, deux fois, dix fois, <I>"impossible d'obtenir un responsable"</I> jure-t-il. "<I> Moi, tout ce que je voulais, c'était devenir leur représentant en France et populariser le produit." </I>Agent local de firmes internationales est un job que notre homme, juriste de formation et consultant agréé de plusieurs grands<I> "groupes internationaux"</I>, connaît bien. A la fin des années 1990, avant de prendre la mesure du <I>"caractère sanglant du régime Ben Ali"</I> et d'entrer dans l'opposition tunisienne, il avait obtenu de la société américaine de courrier rapide, DHL International, l'exclusivité de sa représentation en Tunisie. Il est d'ailleurs en procès là-bas avec l'un des gendres du président qui lui a soufflé la place<I>, "en toute illégalité"</I>.</P>
<P>Bref, sans réponse idoine des Iraniens, lesquels n'arrivent déjà plus à fournir une demande qui a décuplé depuis l'an dernier, notamment en Arabie saoudite, Tawfik Mathlouthi, naturalisé français en 1998, né le 10 octobre 1956 à Kalâa Kebira en Tunisie, fils aîné et <I>"unique immigré"</I> d'une famille de neuf enfants élevés par un père enseignant et imam de sa mosquée, décide de se lancer tout seul dans l'aventure. Il invente l'appellation, se jette sur Internet, trouve la composition de son produit et se met en quête d'un producteur. Il découvre vite que <I>"sur les 22 fabricants français de soda, 18 appartiennent à Coca et Pepsi"</I>. L'un des quatre derniers indépendants accepte de lui faire confiance. L'homme d'affaires emprunte alors, <I>"à droite, à gauche"</I>, la somme de 22 000 euros. Ce sera, dit-il, tout son viatique.</P>
<P>Il dépose sa marque, commande 160 000 bouteilles et crée un site - mecca-cola.com - pour populariser son produit. Bingo ! Le 27 septembre, <I>Le Point</I> rédige un petit papier sur la nouveauté. C'est parti. Le 10 octobre, le fabricant remet les premiers échantillons. Le 27, il livre la commande. Dix jours après, <I>"tout était vendu"</I>. La suite est connue. Le siège de Mecca Cola à Saint Denis, dans la banlieue parisienne, occupe désormais 18 m2 de bureau et 8 personnes à plein temps. Ce n'est qu'un début. Des partenaires ont été trouvés dans le Golfe et en Asie, quatre usines sont en construction là-bas pour fabriquer le Mecca sous licence. Tawfik Mathlouthi a lancé les dés, il a gagné.</P>
<P>Ce n'est pas son premier essai, mais la chance n'a pas toujours été au rendez-vous.<I> "Ce type a énormément d'estomac, il vous sort une idée à la minute et il n'a peur de rien,</I> s'ébahit un de ses amis. <I>Le problème, c'est qu'il se disperse."</I> Outre ses différents mandats de consultant (pour le Port de Marseille, Air Corse, Al Amri International Group, etc.), l'inventeur de Mecca Cola a fondé plusieurs sociétés aux destins divers : un magazine de business, bien revendu, deux stations de radio, quelques associations, un prix international pour l'enfance, et même, en 2001, une formation politique - le Parti de la France plurielle, aujourd'hui en sommeil.</P>
<P>Grand "tchatcheur" devant l'Eternel, l'homme est un passionné de communication. En 1995, il ne s'en cache pas, il a même été conseiller d'Omar Bongo pour la présidentielle du Gabon. Autant, dira-t-on, pour le combat ardemment revendiqué par lui <I>"contre toutes les dictatures et pour la démocratie..."</I> Narcissique et généreux, agaçant et séduisant, chaleureux et calculateur, l'inventeur de Mecca Cola apparaît comme un homme rusé et pétri de contradictions. Il peut, dans le même battement de cils, vous citer Napoléon et Gandhi.</P>
<P>Sur Radio Méditerranée, une petite station "beur" qu'il a fondée et dirige depuis 1992 (en FM, 88,6 MHz) avec un succès mitigé, il peut agonir <I>"le régime criminel et barbare de Saddam Hussein"</I> et conduire lui-même à Bagdad quatre délégations d'opposants à la guerre comprenant notamment son<I> "vieil ami"</I> le professeur Léon Schwartzenberg. Ces voyages ont fait naître une méchante rumeur sur d'éventuels subsides irakiens ? Il rit : <I>"Si les Irakiens me finançaient, franchement, je ne serais pas obligé de courir après les fonds comme je le fais."</I></P>
<P>Tawfik Mathlouthi est un type un peu énigmatique. Il se reconnaît lui-même<I> "un peu mégalo, un peu prétentieux peut-être"</I>. C'est quelqu'un qui revendique <I>"de laisser une trace sur terre". </I>En tout cas, il se voit un destin. <I>"J'ai une ambition illimitée"</I>, dit-il. <EM>"Pas commerçant", </EM>il refuse l'étiquette mercantile et jure que sa démarche <I>"est cent pour cent politique"</I>. Mais il admet chercher désespérément de l'argent pour mettre sur pied le grand projet de sa vie, <I>"une véritable idée fixe"</I> intitulée "Télé-Liberté". Ce serait une sorte de nouvelle Al Jazira, inondant l'Europe en trois langues - arabe, français et anglais. Les statuts sont déjà déposés. A Londres, <I>"parce qu'il est impossible de le faire en France, où les esprits décideurs sont trop liés au sionisme"</I>.</P>
<P>Ah, le sionisme ! L'idéologie politique qui a créé Israël en Palestine en 1948 et dont se réclame toujours Ariel Sharon pour occuper la plus grande partie du dernier quart des territoires mandataires en principe réservés aux trois millions de Palestiniens, c'est la grande affaire, le grand ennemi de "Monsieur Mecca Cola". Sur les ondes de sa station, tous les dimanches, entre deux pubs pour ses bulles caramélisées, Tawfik Mathlouthi, ligne ouverte et phrasé saccadé, vitupère contre <I>"le criminel de guerre Sharon et sa soldatesque"</I>.</P>
<P>Fondateur l'an dernier d'une association, l'Observatoire national contre le racisme et l'antisémitisme à l'égard des Arabes et des musulmans (Onacram), il attaque bille en tête et souvent nommément ce qu'il appelle <I>"toutes les dérives prosionistes des pouvoirs et des hommes politiques en place"</I> dans ce pays. Cela lui vaut quelques ennuis. En décembre, Radio Méditerranée a été vandalisée, la porte défoncée et des étoiles de David peinturlurées sur les murs. Les sites Internet de l'extrême droite sioniste le mettent à l'honneur et l'agonisent d'insultes racistes.</P>
<P>Pour Tawfik Mathlouthi, il n'y a pas à sortir de là, <I>"le sionisme est une idéologie raciste anti-arabe"</I>qu'il convient de combattre. A ceux qui, comme Yasser Arafat et l'OLP, ont accepté l'existence d'Israël sur les trois quarts de la Palestine mandataire, et dont certains critiquent son radicalisme, il rétorque : <I>"Nous ne combattons pas pour la même Palestine." </I>Lui, souhaite ouvertement la disparition de ce qu'il n'appelle jamais que <I>"l'entité sioniste"</I>et son remplacement par un Etat arabe sur la totalité de la Palestine,<I>"étant entendu que les Juifs de la région pourraient évidemment y rester et y vivre"</I>. Le même homme qui annonce fièrement avoir pour principal chroniqueur politique <I>"un Juif non sioniste"</I>- il s'agit de Patrick Azoulay, fils du célèbre chanteur Lili Boniche -, le même qui coupe brutalement l'antenne à un auditeur quand il le sent déraper de l'antisionisme à l'antisémitisme, partage, sur le sort d'Israël, exactement la même position que le Hamas.</P>
<P>Un brin islamiste, le Rastignac de Kebira ? Rien ne le met plus en colère.<I>"Je suis un Arabe, un musulman croyant et fier de l'être, qui ne va pas assez à la mosquée. Mais je suis aussi un Français, un républicain et un laïque."</I> L'intégrisme, <I>"c'est le repli sur soi, le contraire de moi"</I>. La semaine dernière, après le Pakistan et le Golfe, Tawfik Mathlouthi est passé à Londres. Il annonce des partenaires sérieux pour "Télé-Liberté". A suivre ?</P>
<P><B>Patrice Claude</B></P>
<P><STRONG></STRONG> </P>
<P><STRONG>VI Mickael Jackson :</STRONG></P>
<P><A href="http://infos.netscape.fr/info/NDepeche?id=121519&cat_id=3">http://infos.netscape.fr/info/NDepeche?id=121519&cat_id=3</A></P>
<P>4 février, 16h20</P>
<P><STRONG>Les défenseurs de l'enfance mettent en cause l'attitude de Michael Jackson</STRONG> </P>
<P><I>par Catherine FAY DE LESTRAC</I><BR>Les confidences de Michael Jackson, qui a révélé qu'il partageait souvent son lit avec des enfants, neuf ans après avoir été soupçonné de pédophilie, ont provoqué mardi les protestations des organisations de protection de l'enfance et des commentaires critiques dans la presse. <BR>Dans un documentaire qui lui est consacré, diffusé lundi sur ITV, la star, âgée de 44 ans, a avoué aimer dormir avec de jeunes garçons dans son lit, et l'avoir souvent fait. <BR>S'évertuant d'ordinaire à vivre à l'abri des regards, le chanteur a laissé un interviewer britannique, célèbre pour avoir obtenu un entretien historique avec la princesse Diana, le suivre dans son quotidien pendant huit mois. <BR>"Bambi" lui a raconté avoir entretenu une relation étroite avec un adolescent de 12 ans prénommé Gavin, atteint d'un cancer, qui a régulièrement passé la nuit dans son ranch californien de "Neverland". <BR>Michael Jackson affirme avoir toujours dormi sur le sol quand le garçon était dans sa chambre, mais reconnaît avoir partagé le lit de plusieurs enfants. <BR>"Ce n'était pas sexuel. Nous allions dormir", raconte-t-il. "C'est ce que le monde entier devrait faire". <BR>"La chose la plus affectueuse est de partager son lit avec quelqu'un. C'est une chose magnifique. C'est très correct. C'est très affectueux. Qu'y a-t-il de mal à partager un amour ?", affirme Michael Jackson. <BR>En 1993, Michael Jackson avait été accusé d'avoir abusé sexuellement d'un garçon de 13 ans, Jordan Chandler, lorsque celui-ci passait la nuit dans son ranch. Les parents avaient abandonné les poursuites après avoir conclu avec la star un accord de plusieurs millions de dollars. <BR>Le Times estime que le documentaire, qui sera diffusé vendredi aux Etats-Unis sur la chaîne ABC, pourrait ouvrir la voie à de nouvelles procédures judiciaires. <BR>"Nous allons regarder ce programme avec attention", a indiqué un porte-parole de Tom Sneddon, représentant du ministère public aux Etats-Unis, déjà impliqué dans le dossier Chandler, cité par le Times. <BR>Même si ses intentions sont innocentes, "son comportement peut être utilisé comme justification par des gens qui veulent faire du mal ou abuser sexuellement des enfants", a relevé la Société nationale pour la prévention des sévices infligés aux enfants (NSPCC). <BR>L'organisation britannique de défense des enfants Barnado's a jugé "totalement déplacé pour un homme adulte de partager un lit ou une chambre avec un enfant qui n'est pas le sien". <BR>Barnado's relève que si un cas similaire était signalé aux autorités locales britanniques, une enquête serait ouverte. "On doit se demander si une fortune considérable protège les adultes, mais pas nécessairement les enfants", relève l'organisation. <BR>Le documentaire dévoile également la vie étrange que mènent les trois enfants de Michael Jackson, Prince Michael I, Prince Michael II et Paris, qui ne sortent en public que la tête recouverte d'un voile ou de masques pour ne pas être reconnus. <BR>Il entend démontrer ses talents de père en nourrissant le bébé au biberon, le maintenant de la tête aux pieds sous un voile. <BR>Michael Jackson révèle que Prince Michael II est né d'une mère porteuse : "Elle ne me connaît pas et je ne la connais pas", indique le chanteur, qui confie comment lui-même est resté traumatisé par la violence de son père, si nerveux que lorsqu'il était enfant, il vomissait en sa présence. <BR>Son ancienne épouse Debbie Rowe, mère des deux premiers enfants, n'a pas non plus accès à eux, parce qu'elle "ne peut pas s'en occuper", affirme-t-il. <BR>En novembre dernier, "Bambi" avait déjà choqué en tenant ce bébé d'une seule main, au dessus du vide, alors qu'il saluait ses fans depuis le balcon de sa chambre d'hôtel, au cinquième étage, et avait semblé perdre un moment le contrôle de la situation. <BR></P></FONT></FONT></DIV></DIV></DIV></DIV>
<cleaned_tag="PADDING-TOP: 6px" align=left><FONT color=#808080><FONT face=Arial size=6>A demain</FONT></FONT></DIV></FONT></FONT></FONT></DIV></DIV></div>