Mon amie ne sait pas rediger un com sur un article. Du coup il voulais souligner par ce commentaire qu’il est ravi du contenu de ce blog internet.
je vous remercie
bourguiba abderrazak
I like to party, not look articles up online. You made it hpaepn.
On est mardi 1er novembre 2011, déjà neuf mois que ben ali s’est enfui et il est caché, comme un rat, en Arabie Saudite. Son collègue Gaddafi a été tué.
Après la lecture de cette lettre, tout cela parait être comme un cauchemar pour celles et ceux qui ne l’ont pas vécu personnellement. Cependant, le mal a sévi longtemps, beaucoup trop longtemps en Tunisie. Il est temps que ça change.
Tout un système policier qui s’effondre, la justice vient de renaître, certes encore fragile mais sera équitable insh’Allah.
Oui il a un fils qui est mon meilleur ami et croyez moi, même si son père et loin de lui sa ne fait pas de lui un mauvais père il s’occupe très bien de lui et Selim va le voir de temps en temps. Je suis au cœur de cette affaire et je peux donc savoir les ressentis de chacun...
ةcoutez quand on ne connait pas la personne on ne juge pas ! Je connais personnellement Monsieur Tebourski et je sais que c’est un homme bon, et je pense que si il a demander a rester en France c’est surtout pour son Fils !
Ne le jugez pas car vous ne le connaissez pas comme je le connais ! Je suis la meilleure amie de son fils Selim. Je sais qu’Adel est un homme bon alors arrêtez tous vos blabla et essayer donc de comprendre le fond de la chose. Merci et bonne soirée
the death of an African giant
Par : Y. Mérabet
En outre, contrairement à ce que pensent aujourd’hui de nombreux libyens, la chute de Kadhafi profite à tout le monde sauf à eux. Car, dans une Afrique où les pays de la zone subsaharienne riche en ressources minérales tournaient complètement le dos à la France pour aller vers la Chine, il fallait bien que monsieur Sarkozy trouve un autre terrain fertile pour son pays. La France n’arrive plus à vendre ses produits manufacturés ou de décrocher un marché en Afrique, elle risque de devenir un PSD C’est pour cela que l’on a vu une France prête à tout pour renverser ou assassiner Kadhafi ; surtout quand l’on sait que la Libye est l’une des premières réserves en Hydrocarbures d’Afrique et de Sebha est la capitale mondiale du trafic Franco-libyen de concentré d’uranium Nigérien. Egalement, l’on sait que jusqu’ici, les populations libyennes n’avaient rien à envier aux Français, ils vivaient richement mieux sans se suer. Puisque Kadhafi faisait tout son possible pour les mettre à l’abri du besoin. Il est donc temps pour les libyens de choisir pleinement futur partenaire occidental. Car si en cinquante ans de coopération la France n’a pu rien apporter à l’Afrique subsaharienne. Vat-elle apporter maintenant aux libyens un bonheur supérieur à celui que leur donnait leur Guide. Rien à offrir à ces ignorants de libyens, sauf des repas communs dans les poubelles de la ville Paris, en France c’est déjà la famine ? Lui, qui durant plusieurs décennies était l’un des faiseurs d’hommes les plus efficaces sur le continent Africain. De son existence, Kadhafi était le leader le plus généreux d’Afrique. Pas un seul pays africain ne peut nier aujourd’hui n’avoir jamais gouté un seul pétro –Dinar du guide Libyen. Aveuglement, et motivé par son projet des Etats-Unis d’Afrique, Kadhafi de son existence a partagé l’argent du pétrole libyen avec de nombreux pays africains, qu’ils soient Francophones, Anglophones ou Lusophones. Au sein même de l’union Africaine, le roi des rois d’Afrique s’était presque érigé en un bailleur de fond très généreux. Jusqu’à l’heure actuelle, il existe sur le continent de nombreux présidents qui ont été portés au pouvoir par Kadhafi. Mais, curieusement, même pas un seul de ces élèves de Kadhafi n’a jusqu’ici eu le courage de lui rendre le moindre hommage.Au lendemain du vote de la résolution 1973 du conseil de sécurité de l’ONU, certains pays membres de l’union africaine sous l’impulsion de Jacob Zuma ont tenté d’apporter un léger soutien au guide libyen. Un soutien qui finalement s’est éteint totalement sans que l’on ne sache pourquoi. Même l’union africaine qui au départ conditionnait avec amertume la prise du pouvoir libyen par un groupe de terroristes et la reconnaissance du CNT libyen constitués de traitres, s’est finalement rétracté de façon inexplicable. Et curieusement, jusqu’aujourd’hui, aucun gouvernement consensuel n’a été formé en Libye. Depuis l’annonce de l’assassinat de Mouammar Kadhafi, cette union africaine dont Mouammar Kadhafi était pourtant l’un des principaux défenseurs et ayant assuré le dernier mandat, n’a encore délivré aucun message officiel de condoléance à ses proches ou de regret. Egalement, même ceux qui hier tentaient de le soutenir n’ont pas eu le moindre courage de lever leur petit doigt pour rendre hommage à leur mentor. Jusqu’à l’heure actuel, seul l’ancien archevêque sud-africain et prix Nobel de paix Desmond TUTU a regretté cet acte ignoble. Même le président Abdoulaye Wade que l’on sait pourtant proche des révoltés libyens n’a pas encore salué la mort de l’homme qu’il souhaitait tant. Le lendemain de sa mort, un vendredi pas un musulman n’a prié pour lui ?.. A ce jour, sur le continent Africain, seul l’homme de la rue et les medias ont le courage de parler de cette assassina crapuleux du guide libyen. Mais, cette attitude des dirigeants africains ne surprend personne, dans la mesure où l’on sait que chaque président a peur de se faire remarquer par un Nicolas Sarkozy qui est capable de tout si la tête d’un président africain ou d’un arabe l’énerve.
Conclusion La Libye et l’Afrique toute entière viennent de tourner une page d’or avec la perte de Mouammar .
Traitre et maudit que je sois, si j’étais un libyen ?
Journaliste indépendant (Algérian Society for International Relations)
119, Rue Didouche Mourad
Alger centre
J’ai écrit un livre qui mérite d’être lu :
TOUT EST POSSIBLE - L’AVENIR DE LA TUNISIE
Vous pouvez télécharger le livre sur mon site Internet :
http://www.go4tunisia.de
Dr. Jamel Tazarki
Allemagne
Ma mére Térésa oui notre mére je suis abderrazak bourguiba le frére de mon meilleur ami Farouk .
vous peut etre me connait mais je pense pas que nous avont eu l’occasion de vous voir .
je suis désolé pour ce qui a passé pour mon frére Farouk .
Omar etait un homme exeptionnel un vrai homme j’ai passé avec lui 6 mois dans le prison nous étions plus que deux fréres.
soyez fiére de Farouk
et que la paradi soit pour lui
La Monarchie Constitutionnelle est l’avenir est la garantie des droits et libertés pour la Tunisie, la Libye et toute l’Afrique du Nord. Le Roi est l’âme du peuple, Il est porteur du sentiment d’unité nationale et du patrimoine historique du peuple. LA MONARCHIE CONSTITUTIONNELLE EST LE PLUS SUR MOYEN POUR EVITER QU’UN PRESIDENT FINISSE UN JOUR EN DICTATEUR (voyez le cas du roi d’Espagne, sauveur des libertés après le Franquisme).
Bonjour Mesdames, Messieurs,
Je souhaite attirer votre attention sur le faite que ce Barbouze comme vous le dites, a retourné sa veste à l’instant où il s’est assuré du départ définitif du ZABA plus exactement le 18 Janvier 2011.
Mais encore ce dernier qui détient pas un seul titre comme auprès du RCD mais aussi faison parti de plusieurs association et surout la chambre Franco-Tunisienne de marseille ou il a volé récemment le portfolio pour se faire une nouvelle peau et une nouvelle virginité auprès de la Tunisie, avec un pseudo symposium tenue au pôle technologique sis à la Gazelle (Ariana).
Rappel du passé : Khaled Néji représentant de l’office de l’huile près du consulat générale de Tunisie à Marseille a été victime de sa (Stoufida).
Monsieur Kahled Néji a été limogé de son poste, radié de ses fonctions, décédés suite à une attaque cardiaque après avoir visité les prisons Tunisiennes
Je souhaite que cette personne n’intervienne plus sur le sol Tunisien afin de crée des réseaux encore pire qu’avant et revenir au pouvoir par la fenêtre.
Aidez moi à dire la vérité sur ce malheureux de la Sbikha (kairouan) qui fout la honte à son peuple.
Ce Virus, qui trompe sa femme sans scrupule ni honte. A trahit ce que nos ancêtres ont essayé de bâtir, bravour, fraternité dévouement, sincérité.
Il est et il sera toujours à l’antipode des Tunisiens , lèches botes et au plurielles
Vive la Tunisie sans hypocrites
bonjour je suis tres heureuse que mr tlili soit libere mais je n arrive pas avoir de nouvelles precises je tiens a dire que c est un MONSIEUR exceptionnel et qu il ne merite vraiment pas ce qu il a endure j aimerai pouvoir lui exprimer tte ma sympathie
Voilà quatre ans se sont écoulés et votre combat a porté ses fruits. J’aurais pas osé signer ces quelques mots par mon nom réel si vous n’avez pas milité pour ’ma’ liberté. Reconnaissante et le mot ne peut résumer ce que je ressens et tout le respect que je vous porte.
Merci...
Lilia Weslaty
Les petits cons s’amusent à faire leurs graffitis imbéciles même sur les statues couvertes de prestige et d’histoire de Carthage ; on en a maintenant fini avec Ben Ali, avec la censure et l’étouffement des idées et de coeur opéré par son régime. Mais on en finira jamais avec l’idiotie des fondamentalistes islamiques qui promenent leurs femmes en burka, parce que c’est la seule façon par laquelle savent voir une femme : comme une bête dangeureuse. On en finira pas facilement, terrible dictature, avec ceux qui demandent maintenant de couper les mains, les jambes et les bras, suivant l’obsolète loi coranique, sans se faire aucun souci de l’Homme. Jésus, le Christ en est le plus grand champion, le Rédempteur de l’humanité, Lui qui a porté la Croix pour nous TOUS ; quant à la mafia et à al-Capone, nous les plaçerons comme un héritage historique de cet islam que tant s’acharnent à défendre par l’ignorance (mafia vient de l’arabe dialectal anciene "mafiah", c’est-à-dire "protection", la mafia est nait et c’est culturellement radiquée dans une ancienne terre d’islam, la Sicile)
j’ai aimé ce que vous pensé . suis de ton coté. tu me trouvera a l’appui
Sommaire :
Partie arabe : (Al Quds Al Arabi, Al Jazeera) :
Le Site d’Al Quds Al Arabi vient d’être remodelé. Il est beaucoup plus rapide. Les articles sont plus faciles à trouver.
Bonne lecture !
Jérusalem de notre correspondant
Ancien journaliste du Maariv, pilier de la colonisation dans les années 1970 et 1980 et fondateur de Yesha, l’organisation représentative des colons de Cisjordanie et de Gaza, Israël Harel dirige aujourd’hui le centre consacré au sionisme religieux à l’Institut Shalom-Hartman, à Jérusalem.
Pensez-vous que la colonisation des territoires palestiniens occupés sera le sujet central de la prochaine campagne électorale ?
Oui, à coup sûr, ce sera le cheval de bataille du Parti travailliste.
Ne pensez-vous pas que les violences qui ont opposé au cours des dernières semaines les colons à l’armée ou bien la question du financement des colonies soient de nature à faire évoluer la perception de l’opinion publique ?
La couverture des médias israéliens de l’évacuation de Havat Gilad [un point de colonisation "illégal" de Cisjordanie]était très exagérée. Les médias ont toujours un regard biaisé sur le sujet, on peut le prouver. Cette évacuation a été décidée par [Benyamin] Ben Eliezer [l’ancien ministre de la défense, chef du Parti travailliste]simplement pour des raisons politiques. En Israël, on n’aime pas voir l’armée mise en difficulté, mais c’est le ministre de la défense qui avait décidé de l’engager dans une querelle politique. La majorité des Israéliens a de la sympathie pour les colons, ils voudraient les voir en sécurité. Ils ne pensent plus que ces colons remplissent une mission sacrée et c’est pourquoi ils sont prêts à accepter le démantèlement d’implantations, mais ils n’accepteront pas qu’ils soient stigmatisés.
Qui sera leur meilleur porte-parole, parmi les partis politiques israéliens, pendant la campagne électorale ?
Sans doute le Likoud. Aujourd’hui, le Likoud est un parti du centre. Son chef, Ariel Sharon, parle d’Etat palestinien et de concessions douloureuses ! C’était inimaginable il y a vingt ans. Tout évolue, il faut en tenir compte. En gagnant le soutien d’un parti désormais au centre, nous serions débarrassés de notre étiquette d’extrémistes, ce qui serait considérable.
En qui avez-vous le plus confiance, en Ariel Sharon ou bien en Benyamin Nétanyahou ?
La presse exagère toujours la proximité entre Sharon et les colons. Je n’ai jamais oublié, et je n’oublierai jamais, que Sharon m’a évacué de Yamit [la principale colonie du Sinaï démantelée après les accords de Camp David] en 1982. Sharon est guidé par l’émotion mais il peut bâtir tout autant que détruire, et cela inquiète beaucoup. Je l’ai écouté récemment réciter un poème de Nathan Alterman, l’un de nos grands écrivains du temps de l’occupation britannique. Le texte exhortait à la lutte et à la résistance.
Sharon était sincère en le déclamant, mais je sais qu’il peut faire tout le contraire avec la même passion. Nétanyahou, c’est un autre problème. Lui aussi peut réciter des textes d’Alterman, mais il ne croit pas un traître mot de ce qu’il peut dire.
Si le Likoud l’emporte, à quoi vous attendez-vous ?
Si les sondages sont pertinents et si le Likoud l’emporte, le Parti travailliste restera sans doute dans l’opposition. Dans ce cas, les colons n’auront rien à redouter.
S’il y avait un nouveau gouvernement de coalition, en revanche, il y aurait un gel de la colonisation et ce serait problématique. Je ne vois aucun intérêt à ce que des jeunes s’installent sur des collines. Cela ne change pas les choses en profondeur. Ce qui compte, en revanche, c’est la taille des grosses implantations. Si la mienne, Ofrah, comptait aujourd’hui 10 000 habitants et non pas 3 000, comme aujourd’hui, son avenir serait assuré. Supprimer Ofrah ne serait pas un avortement mais un assassinat. Barak avait bien compris qu’il était impossible d’évacuer de grandes implantations. Impossible.
La seule crainte peut venir d’un changement de politique des Palestiniens. S’ils mettent fin à la terreur, des négociations reprendront, et Israël sera obligé de faire des concessions territoriales. S’il y a un jour une proposition de paix présentée par Sharon — le seul crédible au Likoud –, avec à la fin un référendum, il y aura une majorité en Israël pour accepter des concessions sur les implantations.
Propos recueillis par Gilles Paris
Cinq tués, dont deux enfants, dans un kibboutz
Cinq Israéliens, dont une mère de famille et ses deux enfants âgés de 4 et 6 ans, ont été tués dans la nuit de dimanche à lundi par un Palestinien qui s’est infiltré dans le kibboutz Metzer, situé à 10 kilomètres au nord de Tulkarem. Plusieurs autres personnes ont en outre été blessées durant l’attaque. Selon le commandant en chef de la police israélienne, Schlomo Aharonochki, "l’attentat a apparemment été perpétré par un terroriste isolé qui a réussi à prendre la fuite et n’a toujours pas été repéré, en dépit de la chasse à l’homme lancée pour le retrouver".
Un correspondant anonyme se réclamant des Brigades des martyrs d’Al-Aqsa, groupe armé lié au Fatah, le mouvement du président Yasser Arafat, a revendiqué cet attentat dans un appel téléphonique à l’Agence France-Presse. Auparavant, deux kamikazes palestiniens avaient péri, dimanche, dans les champs de ce kibboutz de 200 personnes, en actionnant les explosifs qu’ils portaient sur eux après avoir été repérés par la police. Selon les autorités, les deux kamikazes étaient également membres des Brigades des martyrs d’Al-Aqsa. – (AFP.)
http://fr.news.yahoo.com/021111/202/2uc6s.html
lundi 11 novembre 2002, 18h29
Israël prépare sa riposte à un attentat sanglant
JERUSALEM (AFP) - Israël préparait sa riposte lundi à un attentat palestinien qui a coûté la vie à cinq civils dont deux enfants la veille, tandis qu’un émissaire américain entreprenait une nouvelle mission de paix dans la région.
Israël s’apprête a "riposter durement" à l’attaque palestinienne dans le kibboutz de Metzer (nord d’Israël) a déclaré un haut responsable de la Défense, non identifié, cité par la radio militaire. Selon les analystes militaires, cette riposte devrait prendre la forme d’une nouvelle opération d’envergure dans les tous prochains jours.
Le Premier ministre Ariel Sharon, le nouveau ministre de la Défense Shaoul Mofaz et des membres de l’état-major ont tenu des consultations lundi après-midi pour décider de la nature de la riposte. C’est la première fois que le gouvernement Sharon, désormais sous la direction exclusive de la droite nationaliste, est confronté à un tel choix, depuis le départ le 30 octobre de ses six ministres travaillistes considérés comme un facteur de modération.
"Cet acte horrible prouve que les terroristes ne font pas la différence entre Israéliens, qu’ils vivent dans des villes, des villages, des kibboutzim ou des colonies (de Cisjordanie ou de la bande de Gaza)", a déclaré M. Sharon à la presse, lors d’une visite au kibboutz Metzer. Le gouvernement israélien a accusé l’Autorité palestinienne d’être responsable de l’attentat et le chef de la diplomatie Benjamin Netanyahu a de nouveau appelé à se débarrasser de son président Yasser Arafat.
M. Arafat a quant à lui condamné l’attentat —comme il le fait en général pour des attaques en Israël même— et a annoncé la création d’une commission d’enquête. Il a laissé entendre que l’attaque, revendiquée par les Brigades des martyrs d’Al-Aqsa, groupe lié à son mouvement Fatah, avait été menée pour saboter les efforts de réconciliation du Fatah avec le Hamas.
Le ministre palestinien de l’Information Yasser Abed Rabbo a pour sa part qualifié publiquement l’attentat d’"acte criminel", affirmant qu’il visait à torpiller tout dialogue avec le "camp de la paix" israélien.
Israël a réagi au cours des derniers mois à des attentats palestiniens, qu’ils soient commis par le Fatah ou le Hamas, en s’attaquant au QG du président Arafat à Ramallah (Cisjordanie), en détruisant presque tous les bâtiments et en imposant des sièges prolongés.
Dimanche soir, un Palestinien est entré dans la chambre à coucher d’une famille du kibboutz (village collectiviste) Metzer, et a mitraillé à bout portant une mère et ses deux petits garçons. Il a aussi tué une autre femme et le secrétaire du kibboutz, avant de s’enfuir. Quelques heures auparavant, deux Palestiniens avaient péri dans les champs du kibboutz Metzer, jouxtant la Cisjordanie, en actionnant des ceintures d’explosifs après avoir été repérés par la police.
Un responsable du département d’Etat américain, David Satterfield, est par ailleurs arrivé lundi après-midi en Israël d’où il se rendra ensuite dans les territoires palestiniens pour promouvoir une initiative de paix.
M. Satterfield doit avoir des entretiens avec les responsables des deux bords à propos de la "feuille de route" du "quartette" (USA, Russie, UE, ONU) qui fi
xe les étapes permettant de créer un Etat palestinien provisoire l’an prochain, dont les frontières sont censées être définies d’ici 2005. Il doit également effectuer une visite de deux jours en Jordanie avant de regagner les territoires palestiniens samedi, pour achever ensuite sa mission dimanche au Caire.
L’émissaire américain pour le Proche-Orient William Burns avait discuté de cette "feuille de route" avec les gouvernements arabes lors d’une tournée en octobre. Les Palestiniens et Israël ont accepté cette formule en principe, tout en entendant y apporter des modifications. Israël a différé sa réponse définitive après les élections primaires du parti Likoud (droite) le 28 novembre qui opposent M. Sharon à son chef de la diplomatie Benjamin Netanyahu, tous deux ayant des points de vue divergents à ce sujet. Ces primaires doivent les départager pour la direction du parti de droite Likoud en vue des élections législatives prévues le 28 janvier.
II Irak :
http://infos.netscape.fr/info/NDepeche?id=101606&cat_id=3
Une commission du Parlement irakien recommande le rejet de la résolution
III Convention sur les armes biologiques :
http://fr.news.yahoo.com/021111/202/2ubzr.html
lundi 11 novembre 2002, 16h12
Opération de sauvetage pour la Convention sur les armes biologiques
GENEVE (AFP) - Les 146 pays signataires de la Convention de l’ONU interdisant les armes biologiques se sont retrouvés lundi à Genève pour une conférence qui devrait déboucher sur un simple calendrier pour de nouvelles discussions, alors que les experts soulignent l’urgence d’inspecter de manière efficace les stocks de bacilles et de virus.
La Convention de 1972 interdit la mise au point, la fabrication et le stockage de ces armes. Mais elle ne prévoit pas de vérification internationale, contrairement aux traités sur les armes nucléaires et chimiques.
Il y a un an, la Conférence d’examen de la convention avait buté sur le refus des Etats-Unis de laisser inspecter leurs laboratoires.
Washington s’était justifié en accusant six pays signataires (Corée du Nord, Irak, Iran, Libye, Soudan, Syrie) de violer la Convention et en invoquant la nécessité de protéger ses découvertes en biotechnologie.
A l’ouverture lundi de cette nouvelle session de la Conférence, l’ambassadeur hongrois Tibor Toth, qui la préside, a proposé un projet de déclaration qu’il a comparé à une "opération de sauvetage".
Ce projet envisage une nouvelle réunion chaque année jusqu’en 2006 pour étudier des mesures nationales de contrôle. Il s’agirait de prendre des sanctions pénales contre les individus cherchant à se procurer virus ou toxines, d’améliorer la sécurité des laboratoires et la surveillance épidémiologique, et d’élaborer un "code de bonne conduite" pour les scientifiques.
Mais on ne parle plus dans ce texte de vérification internationale et obligatoire. Rouvrir ce débat "pourrait être contreproductif", a expliqué M. Toth en référence implicite au véto américain.
"Ce qui importe, c’est que les Etats-Unis continuent de participer à la discussion en cours", a renchéri le secrétaire général adjoint de l’ONU pour le désarmement Jayantha Dhanapala, en parlant de "résultat modeste".
M. Toth a souligné que sa proposition reprenait des idées avancées par le président George Bush en novembre 2001 et qu’"il sera difficile pour les Etats-Unis de ne pas être d’accord". Pour l’instant, a-t-il précisé, aucune délégation ne s’est déclaré opposée au texte.
Selon des diplomates, outre Washington, des pays comme la Chine, le Pakistan, l’Iran, l’Irak, Cuba ou la Corée du Nord ne souhaitent pas des inspections indépendantes.
Les travaux ont été suspendus jusqu’à mardi après-midi pour laisser aux représentants des Etats parties le temps d’en référer à leurs capitales.
Au moment où s’ouvrait la conférence, une coalition d’organisations non gouvernementales lançait un Programme de prévention des armes biologiques (Bioweapons prevention project).
Ce nouveau lobby du désarmement veut informer le public sur le respect de la convention et s’assurer que les avancées de la biotechnologie ne fournissent pas aux Etats une nouvelle panoplie d’armes.
Parmi ces ONG figurent BASIC (British American Security Information Council), la Fédération des scientifiques américains (FAS), le Center for Conflict Resolution (CCR) sud-africain et le département d’études sur la paix de l’université de Bradford (Grande Bretagne).
Pour Ian Davis, de BASIC, "il y a un problème aux Etats-Unis aujourd’hui mais ce n’est pas une raison pour que les autres pays s’en lavent les mains".
Selon le professeur Malcolm Dando de l’université de Bradford, il y a un risque que "le meilleur de la biotechnologie finisse par se retrouver dans des programmes d’armement offensifs", notamment en ce qui concerne l’immunologie.
"On assiste à une révolution dans les techniques pour découvrir des médicaments", explique Barbara Rosenberg, de la FAS, qui cite parmi les sous-produits indésirables de ces recherches des substances modifiant le comportement.
Un comité scientifique américain vient de reconnaître que les Etats-Unis avaient tenté de développer de telles armes il y a quinze ans avant d’y renoncer.
IV : Le 15 février :
http://www.lesoir.be/articles/a_0322B0.asp
Les organisateurs de la manifestation qui a rassemblé plusieurs centaines de milliers de personnes à Florence samedi pour protester contre une guerre en Irak et les excès de la mondialisation ont appelé dimanche à marcher contre la guerre en Irak le 15 février dans toute l’Europe.
« Nous espérons une participation totale de 10 millions de personnes », a déclaré Claudio Jampaglia, porte-parole du Forum social européen, organisateur de la manifestation de samedi.
Le mouvement n’a pas encore décidé quelles villes seraient concernées le 15 février.
La manifestation de samedi a réuni entre 500.000 et 1 million de personnes, selon la police ou les organisateurs. Les participants rentraient chez eux dimanche, quittant Florence par milliers, au soulagement des autorités qui ont craint jusqu’au bout des émeutes dans ce précieux décor Renaissance, bien que les manifestants, venus de toute l’Europe, aient été tenus à l’écart du coeur historique.
Le Forum social européen fait partie du Forum social mondial qui se réunit chaque année à Porto Alegre, au Brésil.
AP
A demain