Mon amie ne sait pas rediger un com sur un article. Du coup il voulais souligner par ce commentaire qu’il est ravi du contenu de ce blog internet.
je vous remercie
bourguiba abderrazak
I like to party, not look articles up online. You made it hpaepn.
On est mardi 1er novembre 2011, déjà neuf mois que ben ali s’est enfui et il est caché, comme un rat, en Arabie Saudite. Son collègue Gaddafi a été tué.
Après la lecture de cette lettre, tout cela parait être comme un cauchemar pour celles et ceux qui ne l’ont pas vécu personnellement. Cependant, le mal a sévi longtemps, beaucoup trop longtemps en Tunisie. Il est temps que ça change.
Tout un système policier qui s’effondre, la justice vient de renaître, certes encore fragile mais sera équitable insh’Allah.
Oui il a un fils qui est mon meilleur ami et croyez moi, même si son père et loin de lui sa ne fait pas de lui un mauvais père il s’occupe très bien de lui et Selim va le voir de temps en temps. Je suis au cœur de cette affaire et je peux donc savoir les ressentis de chacun...
ةcoutez quand on ne connait pas la personne on ne juge pas ! Je connais personnellement Monsieur Tebourski et je sais que c’est un homme bon, et je pense que si il a demander a rester en France c’est surtout pour son Fils !
Ne le jugez pas car vous ne le connaissez pas comme je le connais ! Je suis la meilleure amie de son fils Selim. Je sais qu’Adel est un homme bon alors arrêtez tous vos blabla et essayer donc de comprendre le fond de la chose. Merci et bonne soirée
the death of an African giant
Par : Y. Mérabet
En outre, contrairement à ce que pensent aujourd’hui de nombreux libyens, la chute de Kadhafi profite à tout le monde sauf à eux. Car, dans une Afrique où les pays de la zone subsaharienne riche en ressources minérales tournaient complètement le dos à la France pour aller vers la Chine, il fallait bien que monsieur Sarkozy trouve un autre terrain fertile pour son pays. La France n’arrive plus à vendre ses produits manufacturés ou de décrocher un marché en Afrique, elle risque de devenir un PSD C’est pour cela que l’on a vu une France prête à tout pour renverser ou assassiner Kadhafi ; surtout quand l’on sait que la Libye est l’une des premières réserves en Hydrocarbures d’Afrique et de Sebha est la capitale mondiale du trafic Franco-libyen de concentré d’uranium Nigérien. Egalement, l’on sait que jusqu’ici, les populations libyennes n’avaient rien à envier aux Français, ils vivaient richement mieux sans se suer. Puisque Kadhafi faisait tout son possible pour les mettre à l’abri du besoin. Il est donc temps pour les libyens de choisir pleinement futur partenaire occidental. Car si en cinquante ans de coopération la France n’a pu rien apporter à l’Afrique subsaharienne. Vat-elle apporter maintenant aux libyens un bonheur supérieur à celui que leur donnait leur Guide. Rien à offrir à ces ignorants de libyens, sauf des repas communs dans les poubelles de la ville Paris, en France c’est déjà la famine ? Lui, qui durant plusieurs décennies était l’un des faiseurs d’hommes les plus efficaces sur le continent Africain. De son existence, Kadhafi était le leader le plus généreux d’Afrique. Pas un seul pays africain ne peut nier aujourd’hui n’avoir jamais gouté un seul pétro –Dinar du guide Libyen. Aveuglement, et motivé par son projet des Etats-Unis d’Afrique, Kadhafi de son existence a partagé l’argent du pétrole libyen avec de nombreux pays africains, qu’ils soient Francophones, Anglophones ou Lusophones. Au sein même de l’union Africaine, le roi des rois d’Afrique s’était presque érigé en un bailleur de fond très généreux. Jusqu’à l’heure actuelle, il existe sur le continent de nombreux présidents qui ont été portés au pouvoir par Kadhafi. Mais, curieusement, même pas un seul de ces élèves de Kadhafi n’a jusqu’ici eu le courage de lui rendre le moindre hommage.Au lendemain du vote de la résolution 1973 du conseil de sécurité de l’ONU, certains pays membres de l’union africaine sous l’impulsion de Jacob Zuma ont tenté d’apporter un léger soutien au guide libyen. Un soutien qui finalement s’est éteint totalement sans que l’on ne sache pourquoi. Même l’union africaine qui au départ conditionnait avec amertume la prise du pouvoir libyen par un groupe de terroristes et la reconnaissance du CNT libyen constitués de traitres, s’est finalement rétracté de façon inexplicable. Et curieusement, jusqu’aujourd’hui, aucun gouvernement consensuel n’a été formé en Libye. Depuis l’annonce de l’assassinat de Mouammar Kadhafi, cette union africaine dont Mouammar Kadhafi était pourtant l’un des principaux défenseurs et ayant assuré le dernier mandat, n’a encore délivré aucun message officiel de condoléance à ses proches ou de regret. Egalement, même ceux qui hier tentaient de le soutenir n’ont pas eu le moindre courage de lever leur petit doigt pour rendre hommage à leur mentor. Jusqu’à l’heure actuel, seul l’ancien archevêque sud-africain et prix Nobel de paix Desmond TUTU a regretté cet acte ignoble. Même le président Abdoulaye Wade que l’on sait pourtant proche des révoltés libyens n’a pas encore salué la mort de l’homme qu’il souhaitait tant. Le lendemain de sa mort, un vendredi pas un musulman n’a prié pour lui ?.. A ce jour, sur le continent Africain, seul l’homme de la rue et les medias ont le courage de parler de cette assassina crapuleux du guide libyen. Mais, cette attitude des dirigeants africains ne surprend personne, dans la mesure où l’on sait que chaque président a peur de se faire remarquer par un Nicolas Sarkozy qui est capable de tout si la tête d’un président africain ou d’un arabe l’énerve.
Conclusion La Libye et l’Afrique toute entière viennent de tourner une page d’or avec la perte de Mouammar .
Traitre et maudit que je sois, si j’étais un libyen ?
Journaliste indépendant (Algérian Society for International Relations)
119, Rue Didouche Mourad
Alger centre
J’ai écrit un livre qui mérite d’être lu :
TOUT EST POSSIBLE - L’AVENIR DE LA TUNISIE
Vous pouvez télécharger le livre sur mon site Internet :
http://www.go4tunisia.de
Dr. Jamel Tazarki
Allemagne
Ma mére Térésa oui notre mére je suis abderrazak bourguiba le frére de mon meilleur ami Farouk .
vous peut etre me connait mais je pense pas que nous avont eu l’occasion de vous voir .
je suis désolé pour ce qui a passé pour mon frére Farouk .
Omar etait un homme exeptionnel un vrai homme j’ai passé avec lui 6 mois dans le prison nous étions plus que deux fréres.
soyez fiére de Farouk
et que la paradi soit pour lui
La Monarchie Constitutionnelle est l’avenir est la garantie des droits et libertés pour la Tunisie, la Libye et toute l’Afrique du Nord. Le Roi est l’âme du peuple, Il est porteur du sentiment d’unité nationale et du patrimoine historique du peuple. LA MONARCHIE CONSTITUTIONNELLE EST LE PLUS SUR MOYEN POUR EVITER QU’UN PRESIDENT FINISSE UN JOUR EN DICTATEUR (voyez le cas du roi d’Espagne, sauveur des libertés après le Franquisme).
Bonjour Mesdames, Messieurs,
Je souhaite attirer votre attention sur le faite que ce Barbouze comme vous le dites, a retourné sa veste à l’instant où il s’est assuré du départ définitif du ZABA plus exactement le 18 Janvier 2011.
Mais encore ce dernier qui détient pas un seul titre comme auprès du RCD mais aussi faison parti de plusieurs association et surout la chambre Franco-Tunisienne de marseille ou il a volé récemment le portfolio pour se faire une nouvelle peau et une nouvelle virginité auprès de la Tunisie, avec un pseudo symposium tenue au pôle technologique sis à la Gazelle (Ariana).
Rappel du passé : Khaled Néji représentant de l’office de l’huile près du consulat générale de Tunisie à Marseille a été victime de sa (Stoufida).
Monsieur Kahled Néji a été limogé de son poste, radié de ses fonctions, décédés suite à une attaque cardiaque après avoir visité les prisons Tunisiennes
Je souhaite que cette personne n’intervienne plus sur le sol Tunisien afin de crée des réseaux encore pire qu’avant et revenir au pouvoir par la fenêtre.
Aidez moi à dire la vérité sur ce malheureux de la Sbikha (kairouan) qui fout la honte à son peuple.
Ce Virus, qui trompe sa femme sans scrupule ni honte. A trahit ce que nos ancêtres ont essayé de bâtir, bravour, fraternité dévouement, sincérité.
Il est et il sera toujours à l’antipode des Tunisiens , lèches botes et au plurielles
Vive la Tunisie sans hypocrites
bonjour je suis tres heureuse que mr tlili soit libere mais je n arrive pas avoir de nouvelles precises je tiens a dire que c est un MONSIEUR exceptionnel et qu il ne merite vraiment pas ce qu il a endure j aimerai pouvoir lui exprimer tte ma sympathie
Voilà quatre ans se sont écoulés et votre combat a porté ses fruits. J’aurais pas osé signer ces quelques mots par mon nom réel si vous n’avez pas milité pour ’ma’ liberté. Reconnaissante et le mot ne peut résumer ce que je ressens et tout le respect que je vous porte.
Merci...
Lilia Weslaty
Les petits cons s’amusent à faire leurs graffitis imbéciles même sur les statues couvertes de prestige et d’histoire de Carthage ; on en a maintenant fini avec Ben Ali, avec la censure et l’étouffement des idées et de coeur opéré par son régime. Mais on en finira jamais avec l’idiotie des fondamentalistes islamiques qui promenent leurs femmes en burka, parce que c’est la seule façon par laquelle savent voir une femme : comme une bête dangeureuse. On en finira pas facilement, terrible dictature, avec ceux qui demandent maintenant de couper les mains, les jambes et les bras, suivant l’obsolète loi coranique, sans se faire aucun souci de l’Homme. Jésus, le Christ en est le plus grand champion, le Rédempteur de l’humanité, Lui qui a porté la Croix pour nous TOUS ; quant à la mafia et à al-Capone, nous les plaçerons comme un héritage historique de cet islam que tant s’acharnent à défendre par l’ignorance (mafia vient de l’arabe dialectal anciene "mafiah", c’est-à-dire "protection", la mafia est nait et c’est culturellement radiquée dans une ancienne terre d’islam, la Sicile)
j’ai aimé ce que vous pensé . suis de ton coté. tu me trouvera a l’appui
Sommaire :
Partie arabe : (Al Quds Al Arabi) :
Bonne lecture !
"Nous sommes proches de la fin d’une longue route. Nous avons essayé la diplomatie, les sanctions économiques et les embargos, les incitations positives comme le programme "Pétrole contre nourriture", les inspections sur le terrain, les frappes aériennes limitées. Toutes ces approches ont échoué et toutes les options sont épuisées." Sous-entendu, hormis la guerre. Ainsi parlait, le 20 janvier, à Washington, le secrétaire américain à la défense, Donald Rumsfeld, face aux dirigeants de l’Association des officiers de réserve dans les trois armées, à propos du "cas unique" que représente le désarmement de l’Irak pour les Etats-Unis.
Deux jours plus tôt, à Rome, le général Richard Myers, chef d’état-major interarmées, confiait à des diplomates américains que "les déploiements militaires sont là pour appuyer des démarches diplomatiques" et que "Bagdad n’est probablement pas un régime qui accepte spontanément une résolution de l’ONU sans pression exercée sur lui pour qu’il s’y soumette".
Le dispositif militaire que les Etats-Unis et la Grande-Bretagne sont en voie d’installer dans le Golfe, face à l’Irak de Saddam Hussein, se veut conforme à ces deux déclarations. A la mi-février, les armées de ces deux pays devraient avoir mobilisé, chacune, grosso modo la moitié des effectifs et des moyens qu’elles avaient réunis, fin 1990, avant de pouvoir déclencher les hostilités, le 17 janvier 1991.
Au sein de ce dispositif, la part la plus belle est réservée aux forces aéronavales, qui pourraient prendre l’Irak en tenaille depuis la Méditerranée et le Golfe. Ainsi, Américains et Britanniques sont davantage libres de leurs frappes éventuelles, suivies des opérations de débarquement qu’ils voudront entreprendre. Ils dépendent moins de pays alliés, dans la région, qui, tout en leur fournissant les infrastructures nécessaires, n’ont de cesse de leur demander de ne pas révéler l’ampleur des concessions opérationnelles qu’ils consentent.
De sorte que le dispositif actuel a d’abord été conçu pour intimider un adversaire qui traîne les pieds, en vue de l’amener, sous une pression militaire de plus en plus incisive, à coopérer. A chaque fois, il faut, comme l’admet le Pentagone, que les signaux envoyés à Bagdad soient le moins équivoques possible. Mais, ensuite, le dispositif combattant et logistique prend, de lui-même, son rythme de déploiement avec le recours à une panoplie sophistiquée, sans précédent en matière de guerre électronique, de nouvelles technologies et de combat à distance de sécurité.
C’est ce à quoi on assiste aujourd’hui, avec - en accompagnement des efforts proprement militaires - des "rendez-vous" plus politiques, tel le message que George Bush vient d’adresser par lettre aux présidents du Sénat et de la Chambre des représentants, au terme duquel il communique aux élus un dossier de 34 pages sur les "mensonges" de l’Irak, en inscrivant cette démarche dans le cadre des procédures vouées à obtenir, le jour venu, l’autorisation d’user de la force armée contre Bagdad.
Si la montée en puissance du dispositif militaire américano-britannique paraît très progressive, c’est aussi parce que les armées irakiennes ne sont probablement plus celles qu’elles furent en 1991, en dépit d’une résistance, à l’époque, moindre que prévu face à une coalition d’une trentaine de pays.
A ce jour, les analystes considèrent que Bagdad a perdu globalement 40 % à 60 % de ses capacités, selon le type d’unités impliquées. Mais la garde républicaine (six divisions) et la garde républicaine spéciale (quatre brigades) sont le fer de lance irakien, très présent autour de la capitale et dans les grandes villes, entraîné depuis peu au combat urbain et détenteur d’une large partie de l’arsenal biochimique qui sert d’épée de Damoclès au dessus de la tête de tout envahisseur.
FORTES CHALEURS
Feront-elles, comme en 1991, après cinq semaines de "matraquage" aérien et quatre jours de combats terrestres, "la grève de la guerre"parce que le président irakien, voulant les garder intactes pour la répression intérieure, les a sauvées du désastre ? Ou bien, par fidélité à Saddam Hussein, se battront-elles jusqu’au bout, au risque de provoquer en Irak une catastrophe écologique et économique, avec l’incendie des puits de pétrole, et une guerre civile difficile à maîtriser par des troupes d’occupation ? Les états-majors concernés outre-Atlantique et outre-Manche ne tranchent pas le débat. Du moins, pas sur la place publique.
En 1991, l’alliance anti-Saddam Hussein avait largué 250 000 munitions, dont le quart guidé avec plus ou moins de précision à l’impact. En Afghanistan, quelque 60 000 munitions, dont les trois quarts guidés avec précision, ont été consommés par les Américains, qui ont dû reconstituer leurs stocks.
Cette fois-ci, en Irak, pour des raisons d’efficacité technico-militaire et malgré les performances accrues des matériels, le scénario envisagé dès l’origine, à l’été 2002, plaidait en faveur de frappes en février ou mars, quand les nuits sont longues, sombres et qu’il fait frais la journée. Depuis, les péripéties diplomatiques et les circonstances internationales ont conduit les états-majors à nuancer leurs plans en les adaptant, aussi, à d’autres hypothèses. En mai, par exemple, les fortes chaleurs, les nuits écourtées et leur clarté, les tempêtes de sable, peuvent entraver des opérations et présenter, malgré tout, des risques accrus pour une coalition qui n’a pas faibli puisqu’elle continue de bombarder régulièrement des cibles en Irak.
A croire le général Myers et son subordonné direct au PC de Tampa (Floride), le général Tommy Franks, chargé des opérations, il ne s’agit plus là, désormais, d’obstacles insurmontables. "A tout moment, a confié le premier, des plans peuvent se défaire et se refaire, et rien n’est jamais irréversible."
Jacques Isnard
Vers un nouveau délai ?
Selon le Financial Times, le secrétaire d’Etat américain Colin Powell a laissé ouverte, au cours d’un entretien publié, samedi 25 janvier, par le quotidien londonien, la possibilité de conversations avec la France sur des propositions visant à donner un nouveau délai aux inspections en désarmement de l’ONU - en termes de semaines plutôt que de mois. Il aurait discuté de cette possibilité avec son homologue britannique, Jack Straw, cette semaine. Pour prendre une décision à propos de l’Irak, George W. Bush "attend de savoir ce qui se dira lundi -au Conseil de sécurité- et il effectuera de larges consultations de ses collègues chefs d’Etat et de gouvernement", a ajouté M. Powell, qui a reconnu que les Etats-Unis avaient tardé à "plaider leur cause" auprès de leurs partenaires.
A Washington, le porte-parole de la présidence, Ari Fleischer, a rappelé que ce lundi 27 janvier était "une date importante" mais que personne au sein de l’administration américaine ne l’avait qualifiée "de date finale ou d’échéance"en rapport avec une éventuelle offensive. - (AFP.)
http://infos.netscape.fr/info/NDepeche?id=118848&cat_id=3
25 janvier, 11h05
Incidents autour des inspecteurs de l’Onu en Irak
par Ramzi HAIDAR
= = Un Irakien s’est brièvement emparé samedi d’un véhicule de la mission d’inspection de l’Onu et un autre, armé de couteaux, a tenté d’entrer dans son QG alors que trois scientifiques irakiens devaient être interrogés par les experts en désarmement.
Un jeune homme âgé d’une vingtaine d’années, a bloqué le passage du convoi des inspecteurs à leur sortie du Canal Hotel, se jetant sur le capot d’une des voitures, la contraignant à s’arrêter, a constaté un correspondant de l’AFP.
Il a ouvert la portière du véhicule et pris la place du chauffeur qui en est sorti. "Sauvez-moi s’il vous plaît, sauvez-moi s’il vous plaît !", criait le jeune homme en anglais.
L’homme, barbe taillée et portant un cahier à la main, a refusé de se rendre aux gardes irakiens postés devant le Canal Hotel, exigeant l’intervention d’agents de la sécurité des Nations unies qui l’ont porté hors de la voiture.
Ils l’ont remis aux soldats irakiens chargés de la protection du Canal Hotel qui l’ont retenu dans le parc de stationnement à l’entrée de l’établissement où il s’est mis à crier "Allah Akbar" (Dieu est le plus grand).
Les mobiles de l’homme n’étaient pas connus dans l’immédiat. L’incident a duré une dizaine de minutes.
Peu auparavant, un autre Irakien, armé de couteaux, a tenté de pénétrer dans l’enceinte du QG du Canal Hotel, avant d’être arrêté par les gardes du bâtiment, a indiqué à l’AFP le porte-parole des inspecteurs Hiro Ueki.
"Un fonctionnaire irakien a tenté de pénétrer de force dans les locaux (du Canal Hotel) et il a été arrêté et fouillé", a déclaré M. Ueki.
"Des couteaux ont été trouvés sur lui", a-t-il affirmé, ajoutant que l’homme a été remis aux autorités irakiennes.
Aucun commentaire sur ces deux incidents n’a pas être obtenu de source officielle irakienne.
Il s’agit des premiers incidents du genre depuis le retour des inspecteurs en Irak le 25 novembre après quatre ans d’absence. Ils interviennent à deux jours de la remise par les chefs des experts Hans Blix et Mohamed ElBaradei au Conseil de sécurité d’un rapport crucial sur le déroulement de leur mission.
Un influent journal irakien a accusé samedi MM. Blix et ElBaradei de tenter "d’accommoder" Washington en jugeant insuffisante la coopération de l’Irak et les a appelés à revoir leur position.
"Certaines déclarations de MM. Blix et Elbaradei semblent malheureusement destinées à accommoder l’arrogance et le déchaînement américains, au lieu d’être l’expression d’une position objective et responsable", écrivait Babel, dirigé par le fils aîné du président Saddam Hussein, Oudaï.
"Les deux responsables internationaux ont fait des déclarations hâtives, transgressant notre droit et ignorant notre coopération constructive avec les inspecteurs", a ajouté le journal.
Selon lui, MM. Blix et ElBaradei devraient s’abstenir de faire de déclarations susceptibles "d’être exploitées par l’administration américaine et le gouvernement de (Tony) Blair", le Premier ministre britannique, pour lancer une guerre contre l’Irak.
Les inspecteurs devaient interroger dans la journée trois scientifiques irakiens, avait annoncé vendredi le ministère irakien des Affaires étrangères.
Des dizaines des journalistes étaient rassemblés dans la matinée devant l’hôtel Burj Al-Hayat à Bagdad, une information ayant circulé au centre de presse du ministère de l’Information que les interviews devaient y être menées.
Un Irakien a été conduit par des fonctionnaires irakiens jusqu’à l’hôtel où il a été précédé par des inspecteurs mais il n’a pas été possible de déterminer dans l’immédiat s’il s’agissait d’un des scientifiques, l’Onu et les autorités irakiennes observant un silence total sur cette question.
Sur le terrain, les experts ont entamé l’inspection de cinq sites à Bagdad et en province, selon le centre de presse irakien.
http://infos.netscape.fr/info/NDepeche?id=118877&cat_id=3
25 janvier, 13h40
Powell : une douzaine de pays participeraient à une attaque contre l’Irak
Par Christophe de ROQUEFEUIL
Le secrétaire d’Etat américain Colin Powell a affirmé samedi "qu’une douzaine de pays au moins" seraient aux côtés des Etats-Unis en cas d’attaque contre l’Irak, même sans nouvelle résolution de l’ONU sur l’usage de la force contre Bagdad.
M. Powell, qui s’adressait à des journalistes dans l’avion l’amenant au Forum économique mondial de Davos (est de la Suisse), où il est arrivé samedi matin, a assuré que les Etats-Unis "ne seront pas seuls" s’ils décidaient d’intervenir contre le régime de Saddam Hussein.
Il a refusé de donner une liste, laissant le soin aux pays concernés de se déclarer. La Maison Blanche a toutefois dores et déjà mentionné la Grande-Bretagne, l’Australie, l’Espagne et des pays d’Europe de l’est.
M. Powell doit prononcer dimanche au Forum un important discours sur la crise avec l’Irak, a indiqué le Département d’Etat.
Il aura samedi des entretiens bilatéraux centrés sur l’Irak avec diverses personnalités présentes à cette réunion annuelle de responsables politiques et économiques, selon des diplomates américains.
Il s’agit notamment du Premier ministre turc Abdullah Gul, dont le pays est voisin de l’Irak, et du chef de la diplomatie australienne Alexander Downer qui a promis la participation de l’Australie à une éventuelle opération militaire américaine contre Bagdad.
Il doit également avoir un entretien avec le chef de la diplomatie du Qatar, Hamad ben Jassem ben Jabr al-Thani, dont le pays accueille d’importantes forces américaines déployées dans le Golfe dans la perspective d’une attaque contre l’Irak.
Le chef de la diplomatie américaine a également assuré que Washington continuerait de procéder "avec patience" dans ce dossier, tout en répétant le mot d’ordre de l’administration américaine pour qui "le temps est compté" pour l’Irak.
Il a notamment indiqué qu’il ne fallait pas attendre du discours du président Bush sur l’état de l’Union, le 28 janvier, qu’il donne le coup d’envoi d’une opération militaire, mais qu’il devait plutôt "présenter soigneusement la position des Etats-Unis" dans ce dossier.
"Je suis sûr que le président parlera (de l’Irak) dans son discours, mais je ne m’attends pas à une quelconque annonce spectaculaire, si c’est cela que certains attendent", a-t-il affirmé.
Ce discours surviendra au lendemain d’un rapport très attendu des chefs des inspecteurs de l’Onu en Irak, Hans Blix et Mohamed ElBaradei, deux mois après le début de leur mission sur le terrain.
M. Powell a indiqué que le président Bush et lui-même allaient poursuivre leurs consultations dans la communauté internationale avant d’annoncer une décision. "Nous procédons de manière pesée, patiente, mais en fin de compte un moment viendra où la patience de la communauté internationale touchera à sa fin", a-t-il déclaré.
Le secrétaire d’Etat a également réfuté à mots couverts des informations du Los Angeles Times de vendredi, affirmant qu’il aurait envisagé avec son homologue britannique Jack Straw de donner quelques semaines de plus aux inspections afin de faciliter le ralliement de pays réticents à s’engager dans une opération militaire.
"Il ne s’agit pas d’un compte-rendu très exact de cet entretien" qu’il a eu jeudi à Washington avec M. Straw, a-t-il assuré.
II Palestine :
http://infos.netscape.fr/info/NDepeche?id=118849&cat_id=3
25 janvier, 11h13
Israël isole le nord de Gaza, avant les législatives
par Sakher ABOU EL-OUN
Israël a conforté samedi son contrôle du nord de la bande de Gaza à trois jours des législatives au moment où les Palestiniens débattaient au Caire d’une trêve éventuelle des attentats anti-israéliens.
L’armée israélienne a fait sauter quatre ponts routiers pour isoler la localité de Beit Hanoun de la ville de Gaza, et limiter ainsi les mouvements d’activistes palestiniens sur place, selon un porte-parole militaire.
"Cela nous permettra de mieux contrôler ce secteur (...) Nous pourrons ainsi protéger les localités israéliennes, dans la bande de Gaza et à l’extérieur" en territoire israélien, a précisé ce porte-parole dans un communiqué.
Il a aussi indiqué que "plus de trente roquettes Qassam et une centaine d’obus de mortier ont été tirés contre des objectifs israéliens l’an dernier à partir de Beit Hanoun".
Vendredi, des roquettes artisanales Qassam, du nom des Brigades Ezzedine al-Qassam, branche armée du mouvement radical palestinien Hamas, ont été tirées contre la ville de Sdérot, dans le sud d’Israël, sans faire de blessé.
Le Premier ministre israélien Ariel Sharon et son ministre de la Défense Shaoul Mofaz ont ensuite décidé de lancer l’opération à Beit Hanoun. Celle-ci devait "ébranler" le secteur et "porter atteinte aux infrastructures terroristes" palestiniennes, selon M. Mofaz.
Les soldats se sont heurtés à une forte résistance, notamment des tirs nourris d’armes automatiques, un tir de roquette anti-char, des jets de bouteilles incendiaires et la mise à feu de charges explosives, qui n’ont pas fait de blessé dans leurs rangs, selon l’armée.
Selon des témoins, l’armée a distribué des tracts à Beit Hanoun engageant la population locale à se désolidariser des "terroristes qui tirent des roquettes contre les enfants des écoles de Sdérot".
La direction palestinienne a de son côté publié samedi un communiqué faisant état de deux tués et 25 blessé palestiniens durant les combats à Beit Hanoun.
Ce texte a aussi indiqué que 13 maisons palestiniennes ont été endommagées dans la nuit nuit lors d’une opération de l’armée israélienne à Rafah, dans le sud de la bande de Gaza, près de la frontière avec l’Egypte.
"Cette escalade de l’agression prouve qu’Israël veut poursuivre sa guerre contre les Palestiniens, alors que nous déployons des efforts considérables pour mettre un terme aux confrontations", a ajouté le communiqué.
Le texte faisait allusion au dialogue interpalestinien qui s’est ouvert vendredi soir au Caire sur une trêve possible des attentats anti-israéliens.
L’Egypte, qui parraine le dialogue, envisage de proposer aux mouvements palestiniens de geler les opérations anti-israéliennes "pendant un an" pour relancer le processus de paix.
Douze factions participent à ce dialogue, dont le Fatah du dirigeant Yasser Arafat, mais les radicaux de Hamas, du Jihad islamique et des Brigades des martyrs d’Al-Aqsa ont affirmé vouloir poursuivre les attentats.
Les dirigeants israéliens se sont déclarés sceptiques sur une suspension des attentats à l’issue de ces discussions, dont la durée n’a pas été fixée.
Les services secrets israéliens ont même mis en garde contre une nouvelle vague d’attentats, avant les élections législatives de mardi, et à l’approche d’une éventuelle offensive militaire américaine en Irak.
Les sondages d’opinion ont unanimement prédit une victoire du Likoud, le grand parti de droite de M. Sharon, qui a promis de mener une "guerre sans merci au terrorisme" et d’oeuvrer après le scrutin à la création d’un nouveau cabinet d’union nationale avec le parti travailliste d’Amram Mitzna.
http://www.lemonde.fr/article/0,5987,3210—306843-,00.html
Porto Alegre de notre envoyé spécial
Certaines passerelles peuvent être glissantes. Celle que Luis Inacio Lula da Silva, ex-leader syndical et président du Brésil depuis le 1er janvier, s’apprête à jeter entre Porto Alegre, où se tient le 3e Forum social mondial, et Davos, siège du Forum économique mondial, présente, selon ses détracteurs, de sérieux risques de dérapages. En décidant de se rendre en Suisse après une escale dans la capitale du Rio Grande do Sul, le président brésilien a en effet semé le trouble, voire l’indignation, chez certains de ses partisans.
Vendredi 24 janvier, dans l’amphithéâtre du "Coucher du soleil" aménagé sur la berge du rio Guaiba, à Porto Alegre, Lula s’en est expliqué devant une foule considérable (estimée à 80 000 personnes) et très cosmopolite. "Bien des gens qui sont à Davos, a-t-il lancé, ne m’aiment pas sans me connaître". Dimanche 26 janvier, l’ancien ouvrier doit y prononcer un discours destiné aux représentants d’un système économique dont il a été, jusqu’à la dernière campagne électorale, un pourfendeur implacable. Son périple devrait prendre fin sur une visite officielle à Berlin (le 27), puis à Paris, le lendemain.
Au cours des deux précédentes éditions du Forum social, celui qui n’était encore que le candidat du Parti des travailleurs (PT) à la présidence incarnait, dans une ville administrée depuis quatorze ans par son parti, cet "autre monde possible" rêvé par les opposants à la mondialisation mercantiliste dont Davos est devenue la caricature. Elu, Lula estime désormais qu’il faut se garder des préjugés et savoir faire face aux critiques.
A cet égard, il a pris le temps de rappeler à ses sympathisants qu’il avait opté, durant la dictature militaire (1964-1985), pour l’engagement syndical malgré l’obéissance due - il risquait de passer pour un "jaune"- au code du travail hérité d’un corporatisme de type mussolinien. Puis qu’il avait fait la sourde oreille à ceux qui lui déconseillaient, sous prétexte qu’une formation politique ne pouvait, historiquement représenter une classe sociale au Brésil, de promouvoir la fondation, célébrée en 1980, du Parti des travailleurs. Le voyage à Davos s’inspire du même raisonnement forgé par l’expérience.
Que va-t-il y dire ? Qu’il est inconcevable de "perpétuer un système qui fait que certains mangent cinq fois par jour et que d’autres passent cinq jours sans manger" ; que "les enfants noirs ont autant le droit de se nourrir que ceux aux yeux bleus des pays nordiques" ; que "le monde n’a pas besoin de guerre mais de paix" et qu’il "serait plus heureux si les dépenses d’armements servaient à "tuer" la faim". Thème principal de ses dernières déclarations, l’éradication de la malnutrition, qui affecte, a-t-il précisé, 45 millions de Brésiliens, est la priorité première proclamée de son gouvernement.
PRESSION SUR LE REAL
Approuvée par José Bové, leader de la Confédération paysanne et figure de la réunion annuelle de Porto Alegre depuis son expulsion du Brésil, il y a trois ans, consécutive à l’arrachage d’un champ expérimental de soja transgénique, la décision du président brésilien de participer aux deux forums, généralement décrétés antagonistes, a cependant déclenché un violent tir de barrage chez nombre de personnalités locales ayant pris une part active à la création du Forum social.
Sociologue et collaborateur du Monde diplomatique, Emir Sader s’est ainsi récemment fait, dans une lettre ouverte, le porte-parole de leur désarroi. "Lula ne doit pas aller à ce banquet des responsables de la misère du monde ; il ne doit pas apporter son prestige à cette fête de banquiers responsables de politiques qui engendrent la faim en Afrique et en Asie, en Amérique latine et ici même au Brésil. Lula, clame-t-il, ne peut se trouver de l’autre côté de la barricade."
Président du conseil d’administration de Sadia, un colosse de l’agribusiness national, Luis Fernando Furlan, ministre brésilien du développement de l’industrie et du commerce, qui accompagne le président à Davos, est d’un tout autre avis. "Le principal dividende de ce voyage, dit-il, va être la formation d’un crédit qui pourra réduire le "risque-Brésil", atténuer les restrictions aux investissements étrangers et déboucher, par la suite, sur une baisse des taux d’intérêt." Dès l’ouverture du Forum économique, Anne Krueger, numéro 2 du Fonds monétaire international (FMI), s’est d’ailleurs félicitée de constater que le nouveau gouvernement, lié par un accord avec l’organisme multilatéral courant jusqu’à la fin de l’année, "s’en sort bien jusqu’ici".
Il n’en reste pas moins que la menace d’une guerre imminente en Irak et le reflux de capitaux qu’elle provoque sont en train de remettre la pression sur le real. Vendredi, en baisse de 2,80 %, à 3,62 reals pour un dollar, la devise brésilienne a atteint son plus bas niveau face au billet vert depuis l’élection de Lula.
Jean-Jacques Sévilla
IV Krasucki :
http://infos.netscape.fr/info/NDepeche?id=118731&cat_id=1
24 janvier, 17h31
Hommage de Raffarin à Henri Krasucki qui a "donné sa vie au dialogue social"
Le Premier ministre Jean-Pierre Raffarin a rendu hommage à Henri Krasucki, décédé vendredi à l’âge de 78 ans, saluant l’ancien secrétaire général de la CGT comme "une personnalité qui a donné sa vie au dialogue social et au combat syndical".
"Je respecte beaucoup ceux dont la vie est un engagement. Henri Krasucki a donné à beaucoup d’ouvriers de France de l’espoir, le sens du combat. C’est important dans une société, où finalement on ne peut pas se contenter d’être spectateur"", a déclaré M. Raffarin, en marge des assises des libertés locales à Port-Marly.
"Je ne partage pas forcément des engagements qu’il a eus tout au long de sa vie, mais c’est un homme respectable. Je respecte beaucoup la mémoire de ce grand militant", a ajouté le Premier ministre.
Mobilisation policière pour le "match à risques" PSG-OM |
PARIS (Reuters) - Plus de 2.000 policiers et gendarmes sont mobilisés pour assurer la sécurité du 16e de finale de finale de Coupe de France Paris Saint-Germain - Olympique de Marseille samedi soir au Parc des Princes.
Nicolas Sarkozy supervisera le dispositif de sécurité juste avant le match, au poste de commandement du Parc des Princes, a souligné le ministère de l’Intérieur.
Le ministre de l’Intérieur a fait adopter jeudi par les députés un amendement visant à renforcer la lutte contre la violence dans les stades afin, a-t-il dit, de "supprimer ces excès intolérables qui salissent la communauté sportive".
La veille, de vifs incidents avaient opposé à Nice des supporters avant la rencontre entre le Paris-Saint-Germain et l’OGC Nice. L’un d’eux a été grièvement blessé.
L’amendement punit d’une amende de 30.000 euros et de deux ans d’emprisonnement le fait "pour une personne de pénétrer ou de se rendre, en violation de la peine d’interdiction prévue, dans ou aux abords d’une enceinte où se déroule une manifestation sportive".
Les députés ont aussi voté un article qui étend aux agents assurant la sécurité des manifestations sportives l’autorisation de pratiquer "fouilles et palpations de sécurité".
"Nous vous proposons un véritable plan de lutte contre le ’hooliganisme’ qui permettra de sanctionner réellement les individus qui refusent les mesures d’interdiction de stade prononcées par la justice", a dit Nicolas Sarkozy.
Le 26 octobre dernier, le Paris Saint-Germain et l’Olympique de Marseille s’étaient déjà affrontés au Parc des Princes pour le compte du championnat de Ligue 1.
La préfecture de police de Paris avait mis en place un dispositif de sécurité particulier pour cette rencontre classée à haut risque (coup d’envoi avancé dans l’après-midi, périmètre de sécurité autour du stade, interdiction de la vente de boissons alcoolisés).
Mais ces mesures n’avaient pas empêché des échauffourées d’éclater avant et après la rencontre, entraînant l’interpellation d’une soixantaine de personnes.