Les articles
publiés réflètent exclusivement les
opinions des auteurs
Mon amie ne sait pas rediger un com sur un article. Du coup il voulais souligner par ce commentaire qu’il est ravi du contenu de ce blog internet.
je vous remercie
bourguiba abderrazak
I like to party, not look articles up online. You made it hpaepn.
On est mardi 1er novembre 2011, déjà neuf mois que ben ali s’est enfui et il est caché, comme un rat, en Arabie Saudite. Son collègue Gaddafi a été tué.
Après la lecture de cette lettre, tout cela parait être comme un cauchemar pour celles et ceux qui ne l’ont pas vécu personnellement. Cependant, le mal a sévi longtemps, beaucoup trop longtemps en Tunisie. Il est temps que ça change.
Tout un système policier qui s’effondre, la justice vient de renaître, certes encore fragile mais sera équitable insh’Allah.
Oui il a un fils qui est mon meilleur ami et croyez moi, même si son père et loin de lui sa ne fait pas de lui un mauvais père il s’occupe très bien de lui et Selim va le voir de temps en temps. Je suis au cœur de cette affaire et je peux donc savoir les ressentis de chacun...
ةcoutez quand on ne connait pas la personne on ne juge pas ! Je connais personnellement Monsieur Tebourski et je sais que c’est un homme bon, et je pense que si il a demander a rester en France c’est surtout pour son Fils !
Ne le jugez pas car vous ne le connaissez pas comme je le connais ! Je suis la meilleure amie de son fils Selim. Je sais qu’Adel est un homme bon alors arrêtez tous vos blabla et essayer donc de comprendre le fond de la chose. Merci et bonne soirée
the death of an African giant
Par : Y. Mérabet
En outre, contrairement à ce que pensent aujourd’hui de nombreux libyens, la chute de Kadhafi profite à tout le monde sauf à eux. Car, dans une Afrique où les pays de la zone subsaharienne riche en ressources minérales tournaient complètement le dos à la France pour aller vers la Chine, il fallait bien que monsieur Sarkozy trouve un autre terrain fertile pour son pays. La France n’arrive plus à vendre ses produits manufacturés ou de décrocher un marché en Afrique, elle risque de devenir un PSD C’est pour cela que l’on a vu une France prête à tout pour renverser ou assassiner Kadhafi ; surtout quand l’on sait que la Libye est l’une des premières réserves en Hydrocarbures d’Afrique et de Sebha est la capitale mondiale du trafic Franco-libyen de concentré d’uranium Nigérien. Egalement, l’on sait que jusqu’ici, les populations libyennes n’avaient rien à envier aux Français, ils vivaient richement mieux sans se suer. Puisque Kadhafi faisait tout son possible pour les mettre à l’abri du besoin. Il est donc temps pour les libyens de choisir pleinement futur partenaire occidental. Car si en cinquante ans de coopération la France n’a pu rien apporter à l’Afrique subsaharienne. Vat-elle apporter maintenant aux libyens un bonheur supérieur à celui que leur donnait leur Guide. Rien à offrir à ces ignorants de libyens, sauf des repas communs dans les poubelles de la ville Paris, en France c’est déjà la famine ? Lui, qui durant plusieurs décennies était l’un des faiseurs d’hommes les plus efficaces sur le continent Africain. De son existence, Kadhafi était le leader le plus généreux d’Afrique. Pas un seul pays africain ne peut nier aujourd’hui n’avoir jamais gouté un seul pétro –Dinar du guide Libyen. Aveuglement, et motivé par son projet des Etats-Unis d’Afrique, Kadhafi de son existence a partagé l’argent du pétrole libyen avec de nombreux pays africains, qu’ils soient Francophones, Anglophones ou Lusophones. Au sein même de l’union Africaine, le roi des rois d’Afrique s’était presque érigé en un bailleur de fond très généreux. Jusqu’à l’heure actuelle, il existe sur le continent de nombreux présidents qui ont été portés au pouvoir par Kadhafi. Mais, curieusement, même pas un seul de ces élèves de Kadhafi n’a jusqu’ici eu le courage de lui rendre le moindre hommage.Au lendemain du vote de la résolution 1973 du conseil de sécurité de l’ONU, certains pays membres de l’union africaine sous l’impulsion de Jacob Zuma ont tenté d’apporter un léger soutien au guide libyen. Un soutien qui finalement s’est éteint totalement sans que l’on ne sache pourquoi. Même l’union africaine qui au départ conditionnait avec amertume la prise du pouvoir libyen par un groupe de terroristes et la reconnaissance du CNT libyen constitués de traitres, s’est finalement rétracté de façon inexplicable. Et curieusement, jusqu’aujourd’hui, aucun gouvernement consensuel n’a été formé en Libye. Depuis l’annonce de l’assassinat de Mouammar Kadhafi, cette union africaine dont Mouammar Kadhafi était pourtant l’un des principaux défenseurs et ayant assuré le dernier mandat, n’a encore délivré aucun message officiel de condoléance à ses proches ou de regret. Egalement, même ceux qui hier tentaient de le soutenir n’ont pas eu le moindre courage de lever leur petit doigt pour rendre hommage à leur mentor. Jusqu’à l’heure actuel, seul l’ancien archevêque sud-africain et prix Nobel de paix Desmond TUTU a regretté cet acte ignoble. Même le président Abdoulaye Wade que l’on sait pourtant proche des révoltés libyens n’a pas encore salué la mort de l’homme qu’il souhaitait tant. Le lendemain de sa mort, un vendredi pas un musulman n’a prié pour lui ?.. A ce jour, sur le continent Africain, seul l’homme de la rue et les medias ont le courage de parler de cette assassina crapuleux du guide libyen. Mais, cette attitude des dirigeants africains ne surprend personne, dans la mesure où l’on sait que chaque président a peur de se faire remarquer par un Nicolas Sarkozy qui est capable de tout si la tête d’un président africain ou d’un arabe l’énerve.
Conclusion La Libye et l’Afrique toute entière viennent de tourner une page d’or avec la perte de Mouammar .
Traitre et maudit que je sois, si j’étais un libyen ?
Journaliste indépendant (Algérian Society for International Relations)
119, Rue Didouche Mourad
Alger centre
J’ai écrit un livre qui mérite d’être lu :
TOUT EST POSSIBLE - L’AVENIR DE LA TUNISIE
Vous pouvez télécharger le livre sur mon site Internet :
http://www.go4tunisia.de
Dr. Jamel Tazarki
Allemagne
Ma mére Térésa oui notre mére je suis abderrazak bourguiba le frére de mon meilleur ami Farouk .
vous peut etre me connait mais je pense pas que nous avont eu l’occasion de vous voir .
je suis désolé pour ce qui a passé pour mon frére Farouk .
Omar etait un homme exeptionnel un vrai homme j’ai passé avec lui 6 mois dans le prison nous étions plus que deux fréres.
soyez fiére de Farouk
et que la paradi soit pour lui
La Monarchie Constitutionnelle est l’avenir est la garantie des droits et libertés pour la Tunisie, la Libye et toute l’Afrique du Nord. Le Roi est l’âme du peuple, Il est porteur du sentiment d’unité nationale et du patrimoine historique du peuple. LA MONARCHIE CONSTITUTIONNELLE EST LE PLUS SUR MOYEN POUR EVITER QU’UN PRESIDENT FINISSE UN JOUR EN DICTATEUR (voyez le cas du roi d’Espagne, sauveur des libertés après le Franquisme).
Bonjour Mesdames, Messieurs,
Je souhaite attirer votre attention sur le faite que ce Barbouze comme vous le dites, a retourné sa veste à l’instant où il s’est assuré du départ définitif du ZABA plus exactement le 18 Janvier 2011.
Mais encore ce dernier qui détient pas un seul titre comme auprès du RCD mais aussi faison parti de plusieurs association et surout la chambre Franco-Tunisienne de marseille ou il a volé récemment le portfolio pour se faire une nouvelle peau et une nouvelle virginité auprès de la Tunisie, avec un pseudo symposium tenue au pôle technologique sis à la Gazelle (Ariana).
Rappel du passé : Khaled Néji représentant de l’office de l’huile près du consulat générale de Tunisie à Marseille a été victime de sa (Stoufida).
Monsieur Kahled Néji a été limogé de son poste, radié de ses fonctions, décédés suite à une attaque cardiaque après avoir visité les prisons Tunisiennes
Je souhaite que cette personne n’intervienne plus sur le sol Tunisien afin de crée des réseaux encore pire qu’avant et revenir au pouvoir par la fenêtre.
Aidez moi à dire la vérité sur ce malheureux de la Sbikha (kairouan) qui fout la honte à son peuple.
Ce Virus, qui trompe sa femme sans scrupule ni honte. A trahit ce que nos ancêtres ont essayé de bâtir, bravour, fraternité dévouement, sincérité.
Il est et il sera toujours à l’antipode des Tunisiens , lèches botes et au plurielles
Vive la Tunisie sans hypocrites
bonjour je suis tres heureuse que mr tlili soit libere mais je n arrive pas avoir de nouvelles precises je tiens a dire que c est un MONSIEUR exceptionnel et qu il ne merite vraiment pas ce qu il a endure j aimerai pouvoir lui exprimer tte ma sympathie
Voilà quatre ans se sont écoulés et votre combat a porté ses fruits. J’aurais pas osé signer ces quelques mots par mon nom réel si vous n’avez pas milité pour ’ma’ liberté. Reconnaissante et le mot ne peut résumer ce que je ressens et tout le respect que je vous porte.
Merci...
Lilia Weslaty
Les petits cons s’amusent à faire leurs graffitis imbéciles même sur les statues couvertes de prestige et d’histoire de Carthage ; on en a maintenant fini avec Ben Ali, avec la censure et l’étouffement des idées et de coeur opéré par son régime. Mais on en finira jamais avec l’idiotie des fondamentalistes islamiques qui promenent leurs femmes en burka, parce que c’est la seule façon par laquelle savent voir une femme : comme une bête dangeureuse. On en finira pas facilement, terrible dictature, avec ceux qui demandent maintenant de couper les mains, les jambes et les bras, suivant l’obsolète loi coranique, sans se faire aucun souci de l’Homme. Jésus, le Christ en est le plus grand champion, le Rédempteur de l’humanité, Lui qui a porté la Croix pour nous TOUS ; quant à la mafia et à al-Capone, nous les plaçerons comme un héritage historique de cet islam que tant s’acharnent à défendre par l’ignorance (mafia vient de l’arabe dialectal anciene "mafiah", c’est-à-dire "protection", la mafia est nait et c’est culturellement radiquée dans une ancienne terre d’islam, la Sicile)
j’ai aimé ce que vous pensé . suis de ton coté. tu me trouvera a l’appui
Sommaire :
Partie arabe : (Al Quds Al Arabi) :
Washington de notre envoyé spécial
Que faire "après" ? Si le gouvernement Bush ne laisse guère planer de doute sur sa volonté d’en découdre avec Saddam Hussein, elle reste étrangement silencieuse sur ce qu’elle compte faire de sa victoire. L’après-guerre est à peine mentionné, comme si la Maison Blanche craignait que la seule évocation de l’énormité de la tâche - occuper quelque temps l’un des plus grands pays arabes - ne vienne renforcer le camp des opposants à la guerre.
C’est l’opposition démocrate et la presse qui, le plus souvent, abordent le sujet. Elles posent deux questions, auxquelles l’administration se garde de donner des réponses précises : primo, qui gouvernera l’Irak au lendemain de l’opération militaire ? Secundo, qui participera à la "reconstruction du pays" ? A l’évidence, la démocratie ne fleurira pas immédiatement sur les décombres du régime de Saddam Hussein. Deux de ses piliers, l’armée et le parti Baas, se seront vraisemblablement effondrés. Les Etats-Unis auront à prendre en charge un pays de 23 millions d’habitants, grand comme la France, ethniquement divisé, économiquement exsangue, socialement traumatisé par plus de vingt ans de guerres et de dictature et qui n’assure sa subsistance que grâce à une aide massive des Nations unies.
L’administration Bush ne cache pas que l’armée américaine sera aux commandes pour une période intérimaire qui pourrait durer un an au moins, peut-être deux. Selon un scénario à l’étude, une équipe civile américaine devrait prendre le relais "le plus vite possible". Elle sera à l’œuvre le temps d’imaginer une manière de mandat international qui verrait l’Irak expérimenter une formule de gouvernement provisoire, pour la phase de reconstruction du pays, à cheval entre le modèle Kosovo et le modèle afghan. L’objectif reste de rendre les pleins pouvoirs aux Irakiens aussi rapidement que possible.
Les Etats-Unis chercheront-ils à disposer d’un mandat de l’ONU pour légitimer l’exercice de ce pouvoir ? Combien faudra-t-il maintenir de forces américaines sur place et pour combien de temps ? Combien coûtera cette opération ? Comment sera-t-elle financée ? Autant de questions que le gouvernement Bush laisse sans réponse.
La perspective de cette administration militaire ne réjouit pas les représentants de l’opposition irakienne que les autorités américaines aident et parrainent depuis quelques mois. Les chefs de l’opposition s’attendaient à se voir confier le pouvoir quasi immédiatement. Ils auraient dit leur déception à l’envoyé spécial de l’administration, Zalmay Khalilzad, lors d’une réunion à Ankara, début février. Les Kurdes ne sont pas les moins dépités. Les responsables des deux grands partis kurdes d’Irak (l’Union patriotique du Kurdistan et le Parti démocratique du Kurdistan) avaient cru comprendre que leur région disposerait rapidement d’une certaine autonomie dans le cadre d’un Irak fédéral. Grâce à une zone de protection installée par les Etats-Unis en 1991, l’UPK et le PDK gèrent, avec succès, une partie du Kurdistan.
Ils craignent désormais de voir leur fief bientôt occupé par la Turquie ! Car les dirigeants turcs redoutent que les Kurdes d’Irak, en dépit des promesses qu’ils ont faites aux Etats-Unis, ne profitent de la victoire américaine pour proclamer une quasi-indépendance de leur région, et ne donnent ainsi de très mauvaises idées aux Kurdes de Turquie. Et dans les négociations en cours entre Ankara et Washington, le gouvernement turc aurait obtenu de faire entrer rapidement des troupes au Kurdistan d’Irak. Officiellement, il s’agirait d’un appui "humanitaire" pour faire face à un afflux de réfugiés. En réalité, il s’agirait bel et bien de forces chargées d’assurer un contrôle sur le Kurdistan d’Irak et d’en dissuader les dirigeants de proclamer l’indépendance. On parle de quatre divisions turques pour tenir en respect les quelque 70 000 hommes en armes dont disposent l’UPK et le PDK.
Du côté arabe, la situation pourrait ne pas être plus facile. L’écrasante majorité des Arabes d’Irak sont des chiites. Toujours exclus d’un pouvoir monopolisé par la minorité sunnite (et les chrétiens), les chiites pourraient revendiquer de prendre leur revanche sur des années d’oppression. Le tableau général est celui d’une situation d’après-guerre qui recèle nombre de risques : celui, pour l’administration militaire américaine, de passer rapidement pour une force d’occupation ; celui de devoir arbitrer des conflits sanglants entre Irakiens ; celui, enfin, d’une guérilla entre forces turques et Kurdes.
La deuxième grande question est celle de la reconstruction d’un pays qui, avant même une nouvelle guerre, est dans un piètre état. Les sommes requises se chiffrent en dizaines de milliards de dollars. Contrairement à ce qui s’est passé en 1991, où les Etats-Unis ont fait payer la guerre de libération du Koweït par leurs alliés, Washington pourrait cette fois devoir financer la plus grande partie de l’opération. Et Saddam Hussein vaincu, il faudra ensuite financer la reconstruction, avec l’hypothèse d’un appareil pétrolier sorti des combats en mauvais état.
Pas plus que le budget de la guerre, celui de l’après-guerre n’est évoqué à Washington. C’est qu’on touche ici à une période qui s’étendra sur plusieurs années et qui obligera l’administration Bush à s’attacher à ce qu’elle s’était juré de ne jamais faire, "l’édification d’une nation". De cela, on ne parle pas dans la capitale fédérale, où le pouvoir est assuré par une équipe qui, avant de gagner les élections, avait forgé une doctrine d’intervention répondant à une répartition des tâches très simple : la guerre est faite par les Américains, le travail d’assistance sociale d’après-guerre par les Européens - "On fait la cuisine, vous faites la vaisselle".
L’Europe sera donc sollicitée. Dans les milieux de l’Union européenne à Washington, le sentiment est que la contribution de l’Europe à l’après-guerre sera d’autant plus facile à solliciter que l’opération aura été légitimée par l’ONU. Car la participation de l’Union à l’après-guerre dépendra de l’accord du Parlement européen, caisse de résonance d’une opinion méfiante à l’égard des intentions américaines.
Alain Frachon
M. Powell ne prévoit pas de "date butoir"
Le secrétaire d’Etat américain, Colin Powell, a affirmé, jeudi 20 février, qu’il ne s’attendait pas à ce qu’une nouvelle résolution sur l’Irak, préparée par les Etats-Unis et par la Grande-Bretagne, contienne "une date butoir". "Mais le temps presse", a-t-il ajouté dans un entretien à plusieurs chaînes de télévision européennes. M. Powell a précisé que son administration "travaille encore à la formulation exacte de la résolution" qui pourrait être déposée au Conseil de sécurité. "Mais cette résolution fera très clairement allusion au fait que l’Irak n’a pas respecté la résolution 1441, et la responsabilité de l’ONU à agir au regard de ce non-respect y sera évoquée", a ajouté le secrétaire d’Etat. - (AFP.)
http://www.lemonde.fr/article/0,5987,3230—310176-,00.html
On croyait avoir tout vu. Mais Jacques Chirac en ver de terre ! C’est ainsi que le tabloïd londonien The Suna présenté, jeudi 20 février, le président français à la "une". "Chirac est un ver", a titré ce fleuron de ce que l’on appelle outre-Manche la " gutter press", la "presse de caniveau", ou presse à scandales (dictionnaire Harraps, p. 425). M. Chirac y est représenté tel un lombric entortillé sortant d’une France craquelée.
Qu’y lit-on ? Une sorte d’appel de Londres aux Français : "Nous pensons qu’en menaçant constamment de recourir à son droit de veto pour empêcher toute action militaire destinée à faire appliquer la volonté des Nations unies en Irak, votre président, Jacques Chirac, est devenu la honte de l’Europe. Nous pensons que cette attitude est d’autant plus hypocrite que tout le monde sait qu’au bout du compte -il- apportera finalement son soutien à l’ONU, aux Etats-Unis et à la Grande-Bretagne." Ne faisant guère plus dans la nuance que la presse américaine ou que certains membres de l’équipe Bush, le Sun fustige "la morgue" de celui "qui se pavane avec arrogance sur la scène internationale avec pour seul objectif de donner à son pays une importance démesurée par rapport à la réalité". "Les peuples" - il ne dit pas lesquels - et les Britanniques qui, selon le tabloïd, auraient "surnommé"M. Chirac "le ver", ne pardonneront pas au pays des grenouilles son "mépris" pour "le peuple américain et son président". "Au nom de nos dix millions de lecteurs, conclut-il, nous vous posons aujourd’hui cette question : n’avez-vous pas honte de votre president ?"
Enfonçant le clou, le tabloïd titre en page 2 sur l’invitation faite par M. Chirac au dictateur du Zimbabwe, Robert Mugabe, pourtant mis à l’index par l’Union européenne : "Le worm -ver en anglais- rencontre le monstre. Le visqueux Chirac déroule le tapis rouge pour le tyran Mugabe." Il faut bien reconnaître que, derrière ce vocabulaire ordurier, se cache une critique légitime que la presse dite sérieuse, en Angleterre comme en France, n’avait pas manqué de faire.
Faut-il prendre au sérieux cette croisade antifrançaise, ou antiChirac ? Oui et non. Oui, d’abord parce que le Sun se vend bien, en particulier grâce aux poitrines abondantes qu’il affiche en page 3. Aussi parce qu’il appartient au groupe de Rupert Murdoch, soutien résolu de Tony Blair et de George W. Bush, qui possède aussi le New York Post. Ce tabloïd avait publié en "une" la photo d’un cimetière militaire américain en France barrée de ces mots : "Sacrifice. Ils sont morts pour la France mais la France les a oubliés".
COUP DE PUB ?
Cette outrance entre dans la campagne, style rouleau compresseur, de la plupart des médias anglo-saxons contre la France, symbole des pays qui rechignent à suivre le leadership de M. Bush en Irak. Une campagne de plus en plus hargneuse au fur et à mesure que cette résistance s’étend.
Mais il faut aussi constater que le Sun n’a imprimé cette "une" qu’à un très petit nombre d’exemplaires, distribués dans les rédactions parisiennes ou sur les Champs-Elysées. Et qu’il est coutumier de ces "unes" tapageuses : M. Chirac n’a fait qu’en chasser "Fergie", l’entraîneur de Manchester qui avait jeté une chaussure à crampons au visage de la star du football anglais, David Beckham, après une défaite. Tout cela entre aussi dans la guerre que livre le Sun à son grand rival le Mirror pour contrôler le lectorat populaire anglais. Et quoi de plus payant que de prendre le parti de la guerre quand le Mirror a soutenu la manifestation antiguerre du 15 février et même imprimé les pancartes des manifestants londoniens ?
Pour conclure en renvoyant la balle au Sun, si Jacques Chirac est un "ver de terre" pour regimber devant cette la guerre, combien y a-t-il d’autres "vers" à travers le monde et, en premier lieu, combien de millions en Grande-Bretagne et parmi les lecteurs du Sun ?
Patrice de Beer
TUNIS (AP) - Plusieurs milliers de personnes ont manifesté jeudi à Tunis leur hostilité à une éventuelle guerre en Irak aux cris de "non à la guerre", "oui à la paix".
Estimée à environ 5.000 personnes, la manifestation était conduite par les dirigeants des formations politiques, dont ceux du parti au pouvoir, le Rassemblement constitutionnel démocratique (RCD), et de la plupart des partis de l’opposition, ainsi que par diverses organisations de masse.
"Nous sommes venus exprimer notre solidarité avec l’Irak et dénoncer le projet de guerre, plutôt d’agression contre le peuple irakien", a déclaré à l’Associated Press le secrétaire général du mouvement d’opposition Ettajdid, Mohamed Harmel.
"Les manifestations qui se déroulent partout dans le monde montrent clairement que (le président) Bush s’est isolé et qu’il devrait revoir sa politique s’il veut vraiment la paix ", a suggéré pour sa part le dirigeant syndicaliste Abdesselem Jrad.
La manifestation, qui a duré un peu plus d’une heure, a pris fin sans incident, contrairement à celle, non autorisée, qui avait eu lieu dimanche dernier à Sfax, dans le sud tunisien. Sévèrement dispersée par les forces de l’ordre, elle avait fait une vingtaine de blessés, selon des sources syndicales. AP
www.perspectivestunisiennes.net
Manifestations estudiantines et fermeture de facultés : la répression montre ses limites
Auteur : Perspectives
Date de publication : 21.02.2003 17:36
Manifestations estudiantines aux facultés du 9 avril, de Manouba, de Sfax, de Sousse et de l’Institut Bourguiba,
9 arrestations dont Rami Salhi, responsable du comité étudiants du Parti Démocrate Progressiste et membre du comité central de ce parti,
Une circulaire ministérielle ferme la faculté du 9 avril jusqu’à nouvel ordre
Tout ce que le pouvoir organise en matière d’action de masse tourne à la farce. C’est à croire que ce sont des gens qui ne se sont jamais frottés à la foule et n’ont jamais compris ce qu’est réellement un mouvement populaire. Ils préparent tous leurs plans sur papier, comme des stratèges de bas étage et veulent que la réalité s’y adapte.
Que penser d’autre d’un pouvoir qui organise une manifestation "populaire" à laquelle il appelle par téléphone des participants choisis, n’en fait aucune annonce dans les médias, en exclue ceux qui y avaient appelé depuis des semaines, et lors de son déroulement, bloque toutes les issues qui permettent à la population de la rejoindre ?
C’est exactement ce qui s’est passé hier à Tunis.
Ils sont loin de penser qu’une telle action, loin d’absorber le ressentiment populaire, ne fait que l’accroître. Et c’est bien la preuve qu’ils ont aujourd’hui.
Dans les enceintes universitaires des facultés du 9 avril, de Manouba, de l’Institut Bourguiba, de Sousse et de Sfax, les étudiants ont manifesté pour exprimer leur opposition aux menaces de guerre contre la guerre contre l’Irak. La police est intervenue pour disperser les attroupements et procéder à 9 arrestations.
En cours de journée, le ministère de l’éducation a pris la décision de fermer la faculté du 9 avril jusqu’à nouvel ordre.
Pour nous tous, démocrates, il n’est que grand temps que le vaste potentiel de changement que constitue le mouvement estudiantin se libère enfin pour contribuer aux changements qu’impose la situation du pays.
II Palestine :
http://www.lesoir.be/articles/a_038F5B.asp
Les Palestiniens baissent leurs armes
La direction palestinienne a décidé de « démilitariser » l’intifada pendant un an, a déclaré vendredi à Moscou Mahmoud Abbas (Abou Mazen), adjoint du leader palestinien Yasser Arafat, à l’issue d’un entretien avec le chef de la diplomatie russe Igor Ivanov.
AFP
La Presse, 20-2-03 (journal gouvernemental)
http://www.lapresse.tn/culture/cet.html
Ce soir, Les Palestiniens de T. Jebali
« Cet obscur objet théâtral »
« Qu’est-ce qui est plus vrai ? Le trait noir sur la page ou le blanc à côté ? ». « La page qui fut d’abord blanchie est maintenant parcourue de haut en bas de minuscules signes noirs : les lettres, les mots, les virgules, les points… et c’est grâce à eux qu’on dit que cette page est lisible… ».
C’est à partir du concept de la page blanche et du trait noir que Taoufik Jebali met en espace les textes de Jean Genet.
Les Palestiniens dont la première est prévue pour ce soir, à la salle le Carré d’art d’El Teatro, est une nouvelle création de théâtre-danse-musique inspirée d’un écrit de Jean Genet portant le même intitulé ainsi que des extraits de 4 heures à Chatila et de Un captif amoureux.
Les Palestiniens est en fait un travail de mise en espace d’une monture textuelle sur une variation en musique et chant de Néjib Charradi et une chorégraphie de Karry ! Kamel Karry.
Raouf Ben Amor, Taoufik Jebali, Dorra Zarrouk, Néjib Charradi et Mohamed Ali Ben Jemaâ marquent par la présence, la danse et le chant le lieu du spectacle au milieu des spectateurs qui partagent le même espace qu’eux.
Les Palestiniens de Jebali est une évasion brève dans le noir absolu éraillé par endroits par la calligraphie de Mohamed Guiga.
La mise en place et la superposition des arts et des interprétations et lectures du texte de Jean Genet constituent un désir de transmettre l’engagement de l’auteur et ses états d’âme, ainsi que ses visions et son regard sur la souffrance humaine en général et celle du peuple palestinien en particulier, des pensées et des réflexions que lui-même définit comme suit : « L’activité révolutionnaire ne se limite pas à l’usage d’un vocabulaire émotif, ni même à jouer du fusil. Elle réside également dans le défi qui consiste à vivre pleinement une vie heureuse… Il y a dans les camps une volonté de regarder la ! vérité dans les yeux… », « chaque objet de votre monde a pour ! moi un autre sens que vous. Je rapporte tout à mon système où les choses ont une signification infernale ».
Les Palestiniens de Taoufik Jebali est une lecture scénique forte en émotions qui ouvrira la manifestation consacrée à J. Genet organisée par l’Institut français de coopération ce soir à 19h00, suivie d’un cycle prévu pour les 21 et 22 février, et deux représentations au Théâtre municipal les 5 et 6 mars prochain.
Asma DRISSI
III Tunisie :
www.tunezine.com, 20-2-03
Présentation, à Montréal, d’un livre tunisien controversé :
Montréal le 14 février 2003
Tres cher(e) ami(e)
L’Association des Professeurs et Chercheurs Tunisiens au Canada vous invite à la présentation de Monsieur Mezri Haddad et de son dernier livre « Carthage ne sera jamais détruite » paru récemment à Paris dans les éditions Rocher.
Monsieur Mezri Haddad est un ancien journaliste et est docteur en philosophie morale et politique. Dans son livre, il fait l’autopsie de la campagne antitunisienne dont la Tunisie a fait l’objet ces cinq dernières années dans la presse française.
Un débat suivra cette présentation et un cocktail d’honneur sera offert à l’occasion.
En espérant vous avoir parmi nous, le 26 février 2003 de 17h30 a 19h 30 a la salle des boiseries de l’UQAM (405, rue Sainte Catherine au coin Saint Denis, Pavillon Judith-Jasmin / local J-2805, accès par le Métro Berri UQAM), veuillez accepter nos sincères salutations.
Naoufel Daghfous, Ph.D.
Président de l’Association des Professeurs et Chercheurs Tunisiens au Canada
Directeur du Département stratégie des affaires
<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p></FONT></SPAN></P>
<P class=MsoNormal style="TEXT-ALIGN: justify"><SPAN lang=FR style="FONT-FAMILY: 'Book Antiqua'; mso-ansi-language: FR"><FONT face=Arial>Dans l'une de ses nouvelles, l'écrivain américain O'Henry raconte l'histoire d'un SDF new-yorkais qui tente maintes fois de contrevenir à la loi juste pour pouvoir passer l'hiver en prison. Ce scénario risque de reproduire dans deux ans en Tunisie lorsque les prisons de demain seront fin prêtes.<o:p></o:p></FONT></SPAN></P>
<P class=MsoNormal style="TEXT-ALIGN: justify"><SPAN lang=FR style="FONT-FAMILY: 'Book Antiqua'"><FONT face=Arial>La République de demain est en train de préparer une agréable surprise pour les dix millions de Tunisiens : Les prisons de demain. Ce n'est pas une blague, c'est le ministre de l'intérieur lui-même qui vient de dévoiler les projets futuristes de l'Artisan de<SPAN style="mso-spacerun: yes"> </SPAN>la Nouvelle Ere Carcérale.<SPAN style="mso-spacerun: yes"> </SPAN>Les Tunisiens libres ne seront pas les seuls à devenir encore plus libres. Des dizaines de milliers de Tunisiens qui vivent derrière les barreaux auront, eux aussi le droit au meilleur des mondes possibles. Les libertés promises par le 26 mai envahiront aussi l'univers carcéral.<SPAN style="mso-spacerun: yes"> </SPAN>La nouvelle constitution<SPAN style="mso-spacerun: yes"> </SPAN>apporte plus qu'une bouffée d'air, c'est de la liberté pure à consommer sans modération.<SPAN style="mso-spacerun: yes"> </SPAN><o:p></o:p></FONT></SPAN></P>
<P class=MsoNormal style="TEXT-ALIGN: justify"><SPAN lang=FR style="FONT-FAMILY: 'Book Antiqua'"><FONT face=Arial>Le ministre de l'intérieur, jovial et souriant, expliqua aux journalistes pendant sept longues heures les projets, tenus jusqu'ici secrets, concernant les prisons de demain. Il fut le premier responsable à révéler ce projet audacieux et futuriste qui s'intégrera<SPAN style="mso-spacerun: yes"> </SPAN>en toute beauté dans l'agréable décor de la République de demain. <o:p></o:p></FONT></SPAN></P>
<P class=MsoBodyText><SPAN lang=FR style="FONT-FAMILY: 'Book Antiqua'"><FONT face=Arial>Trois gigantesques complexes pénitenciers remplaceront toutes les prisons d'aujourd'hui. Avec une capacité totale d'un million de lits, la Tunisie sera le pays d'Afrique le plus développé et le plus moderne en matière de prisons. Pour préserver l'équilibre régional, les trois complexes pénitentiaires se répartiront entre le nord (région de Bizerte), le centre (Mahdia) et le sud (Gabès). Ces<SPAN style="mso-spacerun: yes"> </SPAN>grands centres pénitentaires seront tous construit au bord de la mer pour ne pas priver les prisonniers de leur baignade quotidienne durant l'été. Chaque prisonnier aura droit à une chambre individuelle climatisée, dotée d'un poste télé, programmée pour recevoir une centaine de chaînes satellitaires, un magnétoscope, une chaîne stéréo et un PC connecté à Internet. Chaque chambre aura une kitchenette pour que le prisonnier puisse préparer ses repas. La chambre individuelle ne signifie pas, pour autant, l'isolement du détenu, car les détenus seront libres de circuler à l'intérieur de l'espace carcéral.<SPAN style="mso-spacerun: yes"> </SPAN><o:p></o:p></FONT></SPAN></P>
<P class=MsoBodyText><SPAN lang=FR style="FONT-FAMILY: 'Book Antiqua'"><FONT face=Arial>A l'intérieur de ces complexes pénitentiaires, seront construits des hammams et des piscines chauffées durant l'hiver, des salles de sport et de gymnastique, des stades de foot, de basket et de tennis. Les seuls prisonniers frustrés seront les joueurs de golfe, car faute d'espace l'administration ne prévoit pas l'aménagement de terrains de golfe.<o:p></o:p></FONT></SPAN></P>
<P class=MsoBodyText><SPAN lang=FR style="FONT-FAMILY: 'Book Antiqua'"><FONT face=Arial>La grande nouveauté, qui classera la Tunisie en tête des pays les plus avancés en matière de droits des prisonniers, consistera dans la visite hebdomadaire prolongée du conjoint. Non seulement il n'y aura plus de grillage, mais le visiteur ou la visiteuse pourra passer le week-end avec son conjoint. Des espaces de jeux sont prévus pour les enfants-visiteurs, qui peuvent eux aussi passer la fin de semaine avec le parent incarcéré. D'ailleurs, si le mari et la femme sont tous deux en prison, ils seront placés ensemble dans un nouvel espace carcéral, appelé l'aile des mariés.<o:p></o:p></FONT></SPAN></P>
<P class=MsoBodyText><SPAN lang=FR style="FONT-FAMILY: 'Book Antiqua'"><FONT face=Arial>D'après le ministre, dans la République de demain les deux mondes, celui des personnes libres et celui des détenus, se rapprocheront tellement que les observateurs étrangers trouveront de la difficulté<SPAN style="mso-spacerun: yes"> </SPAN>à les distinguer.<o:p></o:p></FONT></SPAN></P></DIV></DIV>
<P><FONT face=Arial><STRONG>Omar Khayyâm</STRONG></FONT></P>
<P><STRONG><FONT face=Arial></FONT></STRONG> </P>
<P class=dossiertxt style="PADDING-TOP: 6px"><STRONG><FONT face=Arial size=3>IV NY :</FONT></STRONG></P>
<P class=dossiertxt style="PADDING-TOP: 6px"><FONT face=Arial><A href="http://www.lesoir.be/articles/a_038F67.asp">http://www.lesoir.be/articles/a_038F67.asp</FONT></A></P>
<P class=dossiertxt style="PADDING-TOP: 6px"><FONT face=Arial><STRONG>Explosion face à Manhattan</STRONG></FONT></P>
<P class=dossiertxt style="PADDING-TOP: 6px"><FONT face=Arial>Une explosion est survenue vendredi dans une raffinerie de Staten Island, face à Manhattan, et des flammes ainsi qu'un panache de fumée noire s'élevait au-dessus du port de New York.<!-- END CHAPEAU --> <!-- START ARTICLE --></FONT></P>
<P><FONT face=Arial>Une forte explosion à l'origine indéterminée s'est produite vendredi dans une raffinerie de Staten Island, un quartier de New York, provoquant un énorme incendie, ont rapporté les télévisions locales. Un témoin a fait état d'une explosion tandis que les télévisions new-yorkaises ont interrompu leurs programmes pour montrer d'immenses flammes et une épaisse fumée noire s'élevant dans le ciel au-dessus de la raffinerie. </FONT></P>
<P><FONT face=Arial>Un témoin cité par la chaîne de télévision locale de CBS a fait état d'une "gigantesque explosion" et une immense colonne de fumée noire était visible à des kilomètres à la ronde. Michael Loughran, un porte-parole des pompiers de New York, a indiqué que les causes de l'incendie n'étaient pas immédiatement connues. "Nous avons eu des témoignages clairs d'une explosion et nous n'avons pas d'informations sur d'éventuels blessés", a-t-il ajouté. </FONT></P>
<P><FONT face=Arial>Selon Charles McDevitt de la police de Woodbridge, interrogé sur CBS, l'explosion a eu lieu sur une "petite barge" de transport de produits pétroliers dont on peut voit les contours au milieu des flammes. Charles McDevitt a également indiqué qu'il n'avait pas eu d'informations sur des blessés. L'incendie s'étendait essentiellement sur l'eau entourant le site, où s'alignent des dizaines de cuves de stockage qui ne semblaient pas touchés par les flammes, selon les images de télévision. </FONT></P>
<P><FONT face=Arial>Le site appartient à Exxonmobil, a indiqué une porte-parole de la compagnie pétrolière. La bourse new-yorkaise a accéléré ses pertes temporairement à cause de cette information avant de regagner tout le terrain perdu dans la matinée. </FONT></P>
<P><FONT face=Arial>Le prix du baril de brut à New York a bondi dès que l'information a été connue. Il a gagnait 71 cents à 35,45 USD par baril. Staten Island est une île située au sud de Manhattan, qui constitue l'un des cinq quartiers de la ville de New York. Elle fait face à l'Etat du New Jersey, dont elle est séparée par la rivière Hudson. </FONT></P>
<P><B><FONT face=Arial>AFP</FONT></B></P><!-- END ARTICLE -->
<P class=dossiertxt style="PADDING-TOP: 6px"><FONT face=Arial size=3><STRONG></STRONG></FONT> </P>
<P class=dossiertxt style="PADDING-TOP: 6px"><FONT face=Arial size=3><STRONG>IV Syrie :</STRONG></FONT></P>
<P class=dossiertxt style="PADDING-TOP: 6px"><A href="http://infos.netscape.fr/info/NDepeche?id=125993&cat_id=7"><FONT face=Arial>http://infos.netscape.fr/info/NDepeche?id=125993&cat_id=7</FONT></A></P>
<P class=dossiertxt style="PADDING-TOP: 6px"><FONT face=Arial>20 février, 13h32</FONT></P>
<P class=dossiertxt style="PADDING-TOP: 6px"><FONT face=Arial><STRONG>Un journaliste syrien tué sur la route dont il venait de décrire les dangers</STRONG> </FONT></P>
<DIV><FONT face=Arial></FONT></DIV>
<P class=dossiertxt style="PADDING-TOP: 6px"><FONT face=Arial>Un journaliste du quotidien officiel syrien Techrine, Saïd Matar, a été tué dans un accident de la circulation dans le nord de la Syrie, sur la route même dont il avait décrit les dangers quelques heures plus tôt dans un article. <BR>"Saïd Matar est mort sur la route de Raqqa (à 550 kilomètres au nord est de Damas) quelques heures après avoir faxé depuis cette ville un article intitulé +Les victimes de la route Alep-Raqqa+", écrit le journal dans son édition de jeudi. <BR>La ville de Raqqa se trouve à environ 140 kilomètres à l'est d'Alep, elle même à quelque 260 kilomètres au nord de Damas. <BR>Mardi, en revenant vers la capitale le journaliste de 47 ans, accompagné de sa famille, avait téléphoné au quotidien pour s'assurer de la parution de son article. <BR>Dans son texte, il dénonçait le "retard dans les travaux prévus pour élargir la route", et soulignait que "200 personnes étaient mortes sur cette route en 2002". <BR>Dans un commentaire, Techrine a critiqué le désintérêt des autorités concernées: "Les responsables circulent dans des voitures puissantes, et souvent les rideaux les empêchent de voir que cette route à double sens est étroite. Ils traitent les (morts) des accidents de la route comme de simples chiffres", écrit le journal. <BR>La femme et les enfants de M. Matar, qui l'accompagnaient, ont été gravement blessés, indique Techrine. <BR></FONT></P>
<P class=dossiertxt style="PADDING-TOP: 6px"><FONT face=Arial> </P></FONT></DIV>
<DIV>
<P class=dossiertxt style="PADDING-TOP: 6px"><FONT color=#808080><FONT face=Arial size=6>A demain</FONT></FONT></P></DIV></FONT></FONT></FONT></FONT></FONT></FONT></FONT></DIV></DIV>