En réponse à :
1er décembre 2008, par hasni
Lettre à monsieur le chef de la censure.
Cher chef,
Un an. Un an déjà que tu as réussi à me couper la chique. Remarque, après quelques années à tordre le nez et me foutre de ton chef en chef, il était de bonne guerre de payer quelque marlou pour venir à bout de l’impertinence du Réveil Tunisien. Je me souviens avec émotion des dizaines d’images que j’ai bidouillées pour créer des caricatures de ton chef en chef. J’ai presque une larme si je me souviens des centaines d’articles écrits par des citoyens qui (...)