En réponse à :
10 octobre 2002, par Lise Garon
Cher Monsieur,
Dans votre lettre du 5 septembre, qui accompagnait l’envoi de deux exemplaires de votre livre, Carthage ne sera pas détruite, vous me demandiez de vous fournir l’occasion de vous « exprimer devant des étudiants et des chercheurs sur des thèmes qui les intéressent autant qu’ils les interpellent, à savoir l’évolution des libertés publiques et plus particulièrement en Tunisie ».
Vous souhaitez, écrivez-vous, « confronter des opinions divergentes » à l’Université Laval ? اa n’est pas (...)