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21 mai 2003, par Omar Khayyâm
BAUDOUIN LOOS Les Quinze avaient choisi le paradigme tunisien pour servir de vitrine au processus de Barcelone. Habilement, le régime du président Zine el-Abidine Ben Ali avait saisi la perche : dès 1995, l’accord d’association était signé, le premier du genre, et, depuis, l’Europe vante le « modèle tunisien ». Seulement voilà, outre que les résultats économiques satisfaisants ne font, selon des opposants, pas l’unanimité, un petit détail pose problème : la Tunisie - qui s’enorgueillit d’œuvrer à une (...)