Mon amie ne sait pas rediger un com sur un article. Du coup il voulais souligner par ce commentaire qu’il est ravi du contenu de ce blog internet.
je vous remercie
bourguiba abderrazak
I like to party, not look articles up online. You made it hpaepn.
On est mardi 1er novembre 2011, déjà neuf mois que ben ali s’est enfui et il est caché, comme un rat, en Arabie Saudite. Son collègue Gaddafi a été tué.
Après la lecture de cette lettre, tout cela parait être comme un cauchemar pour celles et ceux qui ne l’ont pas vécu personnellement. Cependant, le mal a sévi longtemps, beaucoup trop longtemps en Tunisie. Il est temps que ça change.
Tout un système policier qui s’effondre, la justice vient de renaître, certes encore fragile mais sera équitable insh’Allah.
Oui il a un fils qui est mon meilleur ami et croyez moi, même si son père et loin de lui sa ne fait pas de lui un mauvais père il s’occupe très bien de lui et Selim va le voir de temps en temps. Je suis au cœur de cette affaire et je peux donc savoir les ressentis de chacun...
ةcoutez quand on ne connait pas la personne on ne juge pas ! Je connais personnellement Monsieur Tebourski et je sais que c’est un homme bon, et je pense que si il a demander a rester en France c’est surtout pour son Fils !
Ne le jugez pas car vous ne le connaissez pas comme je le connais ! Je suis la meilleure amie de son fils Selim. Je sais qu’Adel est un homme bon alors arrêtez tous vos blabla et essayer donc de comprendre le fond de la chose. Merci et bonne soirée
the death of an African giant
Par : Y. Mérabet
En outre, contrairement à ce que pensent aujourd’hui de nombreux libyens, la chute de Kadhafi profite à tout le monde sauf à eux. Car, dans une Afrique où les pays de la zone subsaharienne riche en ressources minérales tournaient complètement le dos à la France pour aller vers la Chine, il fallait bien que monsieur Sarkozy trouve un autre terrain fertile pour son pays. La France n’arrive plus à vendre ses produits manufacturés ou de décrocher un marché en Afrique, elle risque de devenir un PSD C’est pour cela que l’on a vu une France prête à tout pour renverser ou assassiner Kadhafi ; surtout quand l’on sait que la Libye est l’une des premières réserves en Hydrocarbures d’Afrique et de Sebha est la capitale mondiale du trafic Franco-libyen de concentré d’uranium Nigérien. Egalement, l’on sait que jusqu’ici, les populations libyennes n’avaient rien à envier aux Français, ils vivaient richement mieux sans se suer. Puisque Kadhafi faisait tout son possible pour les mettre à l’abri du besoin. Il est donc temps pour les libyens de choisir pleinement futur partenaire occidental. Car si en cinquante ans de coopération la France n’a pu rien apporter à l’Afrique subsaharienne. Vat-elle apporter maintenant aux libyens un bonheur supérieur à celui que leur donnait leur Guide. Rien à offrir à ces ignorants de libyens, sauf des repas communs dans les poubelles de la ville Paris, en France c’est déjà la famine ? Lui, qui durant plusieurs décennies était l’un des faiseurs d’hommes les plus efficaces sur le continent Africain. De son existence, Kadhafi était le leader le plus généreux d’Afrique. Pas un seul pays africain ne peut nier aujourd’hui n’avoir jamais gouté un seul pétro –Dinar du guide Libyen. Aveuglement, et motivé par son projet des Etats-Unis d’Afrique, Kadhafi de son existence a partagé l’argent du pétrole libyen avec de nombreux pays africains, qu’ils soient Francophones, Anglophones ou Lusophones. Au sein même de l’union Africaine, le roi des rois d’Afrique s’était presque érigé en un bailleur de fond très généreux. Jusqu’à l’heure actuelle, il existe sur le continent de nombreux présidents qui ont été portés au pouvoir par Kadhafi. Mais, curieusement, même pas un seul de ces élèves de Kadhafi n’a jusqu’ici eu le courage de lui rendre le moindre hommage.Au lendemain du vote de la résolution 1973 du conseil de sécurité de l’ONU, certains pays membres de l’union africaine sous l’impulsion de Jacob Zuma ont tenté d’apporter un léger soutien au guide libyen. Un soutien qui finalement s’est éteint totalement sans que l’on ne sache pourquoi. Même l’union africaine qui au départ conditionnait avec amertume la prise du pouvoir libyen par un groupe de terroristes et la reconnaissance du CNT libyen constitués de traitres, s’est finalement rétracté de façon inexplicable. Et curieusement, jusqu’aujourd’hui, aucun gouvernement consensuel n’a été formé en Libye. Depuis l’annonce de l’assassinat de Mouammar Kadhafi, cette union africaine dont Mouammar Kadhafi était pourtant l’un des principaux défenseurs et ayant assuré le dernier mandat, n’a encore délivré aucun message officiel de condoléance à ses proches ou de regret. Egalement, même ceux qui hier tentaient de le soutenir n’ont pas eu le moindre courage de lever leur petit doigt pour rendre hommage à leur mentor. Jusqu’à l’heure actuel, seul l’ancien archevêque sud-africain et prix Nobel de paix Desmond TUTU a regretté cet acte ignoble. Même le président Abdoulaye Wade que l’on sait pourtant proche des révoltés libyens n’a pas encore salué la mort de l’homme qu’il souhaitait tant. Le lendemain de sa mort, un vendredi pas un musulman n’a prié pour lui ?.. A ce jour, sur le continent Africain, seul l’homme de la rue et les medias ont le courage de parler de cette assassina crapuleux du guide libyen. Mais, cette attitude des dirigeants africains ne surprend personne, dans la mesure où l’on sait que chaque président a peur de se faire remarquer par un Nicolas Sarkozy qui est capable de tout si la tête d’un président africain ou d’un arabe l’énerve.
Conclusion La Libye et l’Afrique toute entière viennent de tourner une page d’or avec la perte de Mouammar .
Traitre et maudit que je sois, si j’étais un libyen ?
Journaliste indépendant (Algérian Society for International Relations)
119, Rue Didouche Mourad
Alger centre
J’ai écrit un livre qui mérite d’être lu :
TOUT EST POSSIBLE - L’AVENIR DE LA TUNISIE
Vous pouvez télécharger le livre sur mon site Internet :
http://www.go4tunisia.de
Dr. Jamel Tazarki
Allemagne
Ma mére Térésa oui notre mére je suis abderrazak bourguiba le frére de mon meilleur ami Farouk .
vous peut etre me connait mais je pense pas que nous avont eu l’occasion de vous voir .
je suis désolé pour ce qui a passé pour mon frére Farouk .
Omar etait un homme exeptionnel un vrai homme j’ai passé avec lui 6 mois dans le prison nous étions plus que deux fréres.
soyez fiére de Farouk
et que la paradi soit pour lui
La Monarchie Constitutionnelle est l’avenir est la garantie des droits et libertés pour la Tunisie, la Libye et toute l’Afrique du Nord. Le Roi est l’âme du peuple, Il est porteur du sentiment d’unité nationale et du patrimoine historique du peuple. LA MONARCHIE CONSTITUTIONNELLE EST LE PLUS SUR MOYEN POUR EVITER QU’UN PRESIDENT FINISSE UN JOUR EN DICTATEUR (voyez le cas du roi d’Espagne, sauveur des libertés après le Franquisme).
Bonjour Mesdames, Messieurs,
Je souhaite attirer votre attention sur le faite que ce Barbouze comme vous le dites, a retourné sa veste à l’instant où il s’est assuré du départ définitif du ZABA plus exactement le 18 Janvier 2011.
Mais encore ce dernier qui détient pas un seul titre comme auprès du RCD mais aussi faison parti de plusieurs association et surout la chambre Franco-Tunisienne de marseille ou il a volé récemment le portfolio pour se faire une nouvelle peau et une nouvelle virginité auprès de la Tunisie, avec un pseudo symposium tenue au pôle technologique sis à la Gazelle (Ariana).
Rappel du passé : Khaled Néji représentant de l’office de l’huile près du consulat générale de Tunisie à Marseille a été victime de sa (Stoufida).
Monsieur Kahled Néji a été limogé de son poste, radié de ses fonctions, décédés suite à une attaque cardiaque après avoir visité les prisons Tunisiennes
Je souhaite que cette personne n’intervienne plus sur le sol Tunisien afin de crée des réseaux encore pire qu’avant et revenir au pouvoir par la fenêtre.
Aidez moi à dire la vérité sur ce malheureux de la Sbikha (kairouan) qui fout la honte à son peuple.
Ce Virus, qui trompe sa femme sans scrupule ni honte. A trahit ce que nos ancêtres ont essayé de bâtir, bravour, fraternité dévouement, sincérité.
Il est et il sera toujours à l’antipode des Tunisiens , lèches botes et au plurielles
Vive la Tunisie sans hypocrites
bonjour je suis tres heureuse que mr tlili soit libere mais je n arrive pas avoir de nouvelles precises je tiens a dire que c est un MONSIEUR exceptionnel et qu il ne merite vraiment pas ce qu il a endure j aimerai pouvoir lui exprimer tte ma sympathie
Voilà quatre ans se sont écoulés et votre combat a porté ses fruits. J’aurais pas osé signer ces quelques mots par mon nom réel si vous n’avez pas milité pour ’ma’ liberté. Reconnaissante et le mot ne peut résumer ce que je ressens et tout le respect que je vous porte.
Merci...
Lilia Weslaty
Les petits cons s’amusent à faire leurs graffitis imbéciles même sur les statues couvertes de prestige et d’histoire de Carthage ; on en a maintenant fini avec Ben Ali, avec la censure et l’étouffement des idées et de coeur opéré par son régime. Mais on en finira jamais avec l’idiotie des fondamentalistes islamiques qui promenent leurs femmes en burka, parce que c’est la seule façon par laquelle savent voir une femme : comme une bête dangeureuse. On en finira pas facilement, terrible dictature, avec ceux qui demandent maintenant de couper les mains, les jambes et les bras, suivant l’obsolète loi coranique, sans se faire aucun souci de l’Homme. Jésus, le Christ en est le plus grand champion, le Rédempteur de l’humanité, Lui qui a porté la Croix pour nous TOUS ; quant à la mafia et à al-Capone, nous les plaçerons comme un héritage historique de cet islam que tant s’acharnent à défendre par l’ignorance (mafia vient de l’arabe dialectal anciene "mafiah", c’est-à-dire "protection", la mafia est nait et c’est culturellement radiquée dans une ancienne terre d’islam, la Sicile)
j’ai aimé ce que vous pensé . suis de ton coté. tu me trouvera a l’appui
"Dis au monde entier...."
Adel Rahali, détenu d’opinion depuis un an en Tunisie, a été condamné le 5 mars dernier à dix années d’emprisonnement et à dix années de contrôle administratif en vertu de la nouvelle loi relative au soutien des efforts internationaux de lutte contre le terrorisme et à la répression du blanchiment d’argent, promulguée avec cynisme le 10 décembre 2003, date commémorative de la déclaration universelle des droits de l’homme et du citoyen. Il est l’une des premières victimes de cette nouvelle loi et a fait appel de son jugement.
De la prison du 9 avril, où il est emprisonné loin des siens, et en premier lieu de Mervat, son épouse de nationalité jordanienne qui vit à Amman, il a envoyé un appel qui fait écho au vibrant appel lancé récemment par Hamadi Jebali : "Dis au monde entier de nous faire sortir de cette tombe"
Adel Ben Mohammad Ben Al-Taher Al-Rahali No. : 3997 Prison Address : Prison civile de Tunis Boulevard du 9 April, Tunis, Tunisie
Prison du 9 avril, Tunis
Le 14 avril 2004, j’ai été renvoyé de la République d’Irlande en Tunisie, et mon épouse, Mervat Yaghi, a été reconduite en Jordanie. Cela faisait suite à mon arrestation le 10 décembre 2003, pour infraction aux lois sur l’immigration et séjour irrégulier, et à une détention de quatre mois.
Le 14 avril, donc, à mon arrivée, j’ai été arrêté à l’aéroport de Tunis-Carthage par des agents de la Sûreté de l’Etat, et j’ai passé quatre jours au ministère de l’Intérieur où j’ai dégusté les pires sortes de torture physique et morale. Le but était de m’arracher des aveux inacceptables basés sur des rapports erronés à mon sujet.
Lors de mon premier interrogatoire, j’ai dû avouer que j’étais bien la personne recherchée, surnommée Abou Rahil. Lorsqu’il s’est avéré que ce n’était pas le cas, et, partant, que les rapports et informations en leur possession étaient erronés, ils ont inventé d’autres accusations très graves, à savoir mes liens avec des symboles de l’opposition tunisienne à l’étranger, notamment Seyyid Ferjani, du mouvement de la Nahdha, et Mohammed Ali Harrath, du Front Islamique Tunisien (ils résident en toute liberté en Grande-Bretagne), et d’autres personnes résidant en Europe où elles ont obtenu l’asile politique.
J’ai été accusé d’appartenir à une organisation terroriste en dehors de la Tunisie, utilisant le terrorisme pour réaliser ses desseins et d’utiliser un pseudonyme pour faire l’apologie de cette organisation.
Le 5 mars 2005, mon procès s’est déroulé à Tunis, sous la présidence du juge Ben Hamidane, de la quatrième chambre, et en vertu de la nouvelle loi anti terroriste, promulguée le 10 décembre 2003. Cette loi est redoutable et effroyable. Le procès a duré cinq heures, en présence des avocats : maîtres Samir Ben Amor, Semir Dilou, Noureddine Behiri et Farida Labidi, qui n’ont ménagé aucun effort pour prévenir le juge contre ce procès inéquitable. Car on me jugeait en vertu d’une loi extraordinaire devant un tribunal ordinaire, ce qui est inconstitutionnel. J’aurais dû être jugé devant un tribunal d’exception, qui a été abrogé depuis belle lurette. Ce procès était donc entâché de nullité. Par ailleurs, j’étais jugé en vertu d’une loi promulguée le 10 décembre 2003, or, à l’époque, j’étais arrêté et emprisonné en Irlande. Comment a-t-on pu appliquer cette loi, sinon de façon rétroactive, et juger pour des faits commis avant sa promulgation ? C’est illégal et inconstitutionnel et cela constitue un précédent dans l’histoire de la justice tunisienne. C’est un indice de la transgression des lois et des libertés individuelles. Ensuite, je n’ai rien commis qui puisse nuire à mon pays, que ce soit avant la date de la promulgation de cette loi, ni même après. Je ne suis qu’un émigré à la recherche d’un lieu qui me donne les moyens de vivre, à l’instar de tous les émigrés.
Je n’ai rien à voir avec X ou Y et je n’y entends pas grand chose en politique. Ces accusations ont été montées pour m’impliquer dans un labyrinthe dont j’ignore tout. Si j’avais commis quoi que ce soit, l’Irlande ne m’aurait pas livré et m’aurait jugé. Je suis innocent et injustement victime de cette nouvelle loi, et de ces rapports et renseignements erronés. J’en paye le prix fort : ma liberté.
Qui suis-je pour être lié aux symboles de l’opposition et que n’ont-ils été jugé en mes lieux et place ?
Qu’a-t-on à me reprocher et qu’ai-je commis contre mon pays pour être condamné pour terrorisme et considéré comme un terroriste ?
Quel crime ai-je commis pour qu’on porte contre moi des accusations dignes du procès d’un leader d’une organisation importante et dangereuse ?
Où est l’équité, où sont les droits de l’homme, où est la liberté, où est la justice rendue par les magistrats ?
Je suis innocent de toutes ces accusations dénuées du moindre fondement. Je n’étais qu’un simple émigré. Lorsque j’ai quitté mon pays, je n’avais que quatorze ans. Je suis parti rejoindre mon père, puis j’ai étudié et j’ai travaillé. Lorsque je suis devenu un homme, ma récompense a été la prison, ainsi que l’avenir et l’existence totalement brisés !
Je me demande bien quel crime j’ai commis envers mon pays. Est-ce pour avoir rencontré fortuitement une personne ici ou là, avec laquelle je n’ai pas de rapport, qu’on m’accuse d’être avec elle.
Quelle est cette dangereuse organisation à laquelle j’adhérerais ? Et qu’ai-je fait ? Sachant que même la Nahdha et le FIT ne sont pas considérés comme des mouvements terroristes et que leurs membres jouissent d’une totale liberté en Europe. S’il s’agissait de terroristes, ils y auraient été jugés et livrés à la Tunisie. Cela montre bien la fausseté et la nullité des accusations à mon encontre. Je ne suis que la victime de cette nouvelle loi. Et, je le répète, je n’ai de lien avec aucune personne ou organisation. Je n’ai fait qu’une chose, chercher à travailler et à assumer mes responsabilités et à subvenir aux besoins de ma famille.
J’étais d’accord pour revenir dans mon pays. J’aurais pu ne pas y revenir, mais je n’y avais pas d’antécédents, et mon casier y est vierge. Et me voilà puni de la pire manière qui soit pour des actes que je n’ai pas commis, et jugé par un tribunal illégitime et inconstitutionnel.
Où sont la justice et la probité de la magistrature ?
Peut-on parler de justice quand je suis condamné à cinq ans d’emprisonnement pour adhésion à une organisation terroriste sans la moindre preuve et en vertu d’une loi inconstitutionnelle et sans que j’ai jamais commis quoi que ce soit contre mon pays, à l’étranger ou à l’intérieur ?
Peut-on parler de justice quand je suis condamné à cinq ans d’emprisonnement pour un surnom porté à la demande de ma femme, qui est jordanienne et c’est une habitude chez eux, et une obligation incontournable ?
Peut-on parler de justice quand on m’accuse d’avoir utilisé ce pseudonyme pour désigner l’organisation présumée ? Est-ce qu’il ne s’agit pas là d’une injustice caractérisée et d’une violation de la liberté individuelle ?
Qu’ai-je fait pour être condamné pour ce surnom ? Quelles coutumes ou lois condamnent pour un surnom ? Et on en prend pour cinq ans ?
Et supposons même que j’ai utilisé ce nom d’emprunt : est-ce que je mérite un verdict aussi sévère ?
Où sont les droits de l’homme pour que je sois privé de ma femme et de ma mère malade pendant toutes ces années ?
Pourquoi suis-je condamné pour d’autres personnes ? Toutes ces accusations sont forgées de toutes pièces, nulles et sans fondements. Je suis la victime de rapports erronés et d’une loi effroyable qui ne pardonne pas.
Je crie au monde et j’en appelle à toutes les consciences vives, à tous les responsables en Tunisie : qu’on me libère et qu’on me restitue ma liberté perdue depuis une année ! Vais-je trouver des oreilles attentives ?
Je lance un appel à toutes les organisations internationales. Qu’elles s’informent de ce qui m’est arrivé et de mon affaire !
J’en appelle à tous ceux qui veillent sur les droits de l’homme, son droit à une vie digne, libre et protégée de toute oppression : informez-vous sur cette affaire !
J’en appelle au gouvernement irlandais pour qu’il répare son erreur qui a consisté à transmettre des rapports erronés à mon sujet.
J’en appelle aux médias arabes et internationaux pour qu’ils relatent mon affaire. Je veux que le monde soit au fait et qu’il en soit le témoin.
Suis-je un terroriste ou un opprimé innocent et une victime de ces lois qui n’ont aucune considération pour la liberté et la dignité de l’être humain ?
J’appelle et je lance un cri pour qu’on me libère et qu’on me restitue mes droits à la vie et à la liberté.
Adel Rahali
Prison du 9 avril
Tunis
(traduction, Luiza Toscane)
Lire aussi "De l’application rétroactive de la loi : Adel Rahali"
بيان ونداء من السجين عادل بن محمد بن الطاهر الرحالي سجن 9 افريل في تونس
لقد تم ترحيلي من جمهورية ايرلندا الى تونس يوم 14/4/2004 وترحيل زوجتي ميرفت ياغي الى الاردن بعد ان اوقفت من طرف الشرطة الايرلندية يوم 10/12/2004 وتم ايداعي السجن لمدة (4) اشهر وذلك لمخالفتي قوانين الهجرة وبكوني مهاجر غير شرعي، ويوم 14/4/2004 عند عودتي تم توقيفي في مطار تونس قرطاج من طرف اعوان امن الدوله وتم احتجازي (5) ايام في وزارة الداخلية ذقت فيها اشد انواع والوان العذاب المادي والنفسي قصد نزع اعترافات لا قبل لي بها حسب ما ورد في تقاريرهم المغلوطة عني فكان اول استجواب لي أن اعترف بأني انا الشخص الذي يبحثون عنه والمكنّى بـ "أبي رحيل" ولما تبينوا عدم صحة ذلك وبالتالي عدم صحة التقارير والمعلومات التي لديهم؛ تم تلفيق اتهامات اخرى خطيرة جدا وهي ربطي برموز المعارضة التونسية بالخارج، منها (سيد فرجاني، حركة النهضة)، و(محمد علي الحراث، الجبهة الاسلامية بتونس) وكلاهما مقيم في بريطانيا وحرّ طليق واشخاص آخرين مقيمين بأوروبا ومتحصلين على اللجوء السياسي، فتم اتهامي بالانضمام الى تنظيم ارهابي خارج تونس اتخذ من الارهاب وسيلة لتحقيق اغراضه، واستعمال اسم حركي للتعريف بهذا التنظيم، ويوم 5 مارس 2005 تمت محاكمتي بتونس تحت اشراف القاضي بن حميدان الدائرة الرابعة وحسب القانون الجديد لمكافحة الارهاب والصادر يوم 10/12/2003 وهو قانون رهيب ومفزع، ودامت محاكمتي قرابة (5) ساعات بحضور الاساتذة المحاميين سمير بن عمر، سمير ديلو، نور الدين البحيري وفريدة العبيدي واللذين ما ادخروا جهدا في ثني القاضي عن هذه المحاكمة الغير عادلة لأني احاكم حسب قانون استثنائي وامام محكمة عادية وهذا غير دستوري ولذا وجب محاكمتي حسب هذا القانون الاستثنائي امام محكمة استثنائية والتي الغيت منذ فترة وبالتالي فان المحاكمة باطلة من اصلها ثم اني كيف احاكم حسب هذا القانون لمكافحة الارهاب والصادر يوم 10/12/2003 وفي ذلك التاريخ كنت فيه موقوفا داخل السجن في ايرلندا فكيف يرجع هذا القانون الى الوراء ويحاكم على الاعمال المرتكبة قبل تاريخ اصداره فهذا غير شرعي وغير دستوري وسابقة في تاريخ القضاء التونسي ومؤشر خطير لانتهاك القوانين والحرية الفردية، ثم اني لم اقم بأي عمل يسيء الى بلدي سواء خارج تونس او داخلها وسواء قبل تاريخ اصدار هذا القانون او بعده فما انا سوى مهاجر كنت اسعى لتحصيل موطن رزق كبقية المهاجرين ولا دخل لي بهذا او ذاك وحتى لا افقه الكثير في السياسة فتم تلفيق هذه التهم الباطلة والزّج بي في متاهات اجهلها ثم لو اني قمت بأعمال ما لما سلمتني ايرلندا ولحاكمتني هناك فأنا بريء ومظلوم وضحية هذا القانون الجديد وضحية التقارير والمعلومات الخاطئة وها انا ادفع الثمن وهو حريتي، ومن انا حتى يتم ربطي برموز المعارضة، فما تم سوى محاكمة اولئك الاشخاص عن طريقي ، فما ذنبي اذن وماذا اقترفت ضد بلدي حتى احاكم على الارهاب وأصنّف بأني ارهابي، ما جنيت حتى اتهم باتهامات خطيرة تصلح لمحاكمة زعيم تنظيم كبير وخطير، لقد تم تهويل المسألة برمتها وهي مهزلة حقا في حق القضاء التونسي والقانون الجديد لمكافحة الارهاب الذي ينتهك حقوق الانسان ويجرف الابرياء معه فأين العدل وحقوق الانسان اين حرية وعدالة القضاء؟ فما انا الا بريء من كل تلك الاتهامات الباطلة والعارية من ادنى أي دليل يدينني فما كنت الا مهاجرا بسيطا، هاجرت وعمري لم يتجاوز (14) عاما للالتحاق بوالدي ثم الدراسة والعمل ثم عندما رُّحِلت كان جزائي السجن وتحطيم مستقبلي وحياتي برمتها ! اني اتساءل ماذا جنيت في حق بلدي، هل لأني رأيت عرضا شخصا هنا او هناك ولا صلة لي به أتّهَم اني معه وأوصف بأني ارهابي، وما هو هذا التنظيم الخطير الذي انتمي اليه وما هي الاعمال التي قمت بها، فحتى حركة النهضة والجبهة الاسلامية لا يصنفان تنظيمات ارهابية واعضاؤها في اوروبا يتمتعون بكامل حريتهم، فلو كانوا ارهابيين لماذا لا يحاكمون هناك او يسلمون الى تونس، فهذا يكشف زور وبطلان الاتهامات ضدي فما انا الا ضحية هذا القانون الجديد وانا أؤكد ان لا صلة لي بأي شخص وتنظيم، وعملي الوحيد كان السعي للعمل وكفالة عائلتي واعالتها وما اتهموني به إن هو إلا الكيد بعينه، فانا الذي وافقت على العودة الى بلدي طواعية وكان بإمكاني عدم العودة وذلك ليقيني اني خال من السوابقوانملفي نظيف ولكني ها انا اعاقب اشد العقاب على افعال لم ارتكبها ثم احاكم محاكمة غير شرعية وغير دستورية وباطلة من اساسها فأين عدالة القضاء ونزاهته فهل العدل ان احاكم بـ (5) اعوام سجن من اجل الانضمام الى تنظيم ارهابي بدون ادنى أي دليل وحسب قانون غير دستوري ومن دون ان اقترف أي ذنب في حق بلدي خارجها او داخلها، وهل هو العدل ان احاكم بـ (5) اعوام سجن اخرى من اجل كنية نزولا عن رغبة زوجتي الأردنية والتي جرت بها العادة عندهم وأصبحت ضرورة لا مفر منها ! اين العدل ان اتهم باستعمال هذه الكنية للتعريف بهذا التنظيم المزعوم، أليس هذا ظلم بعينه وتعدي على الحرية الفردية ماذا فعلت أن احاكم عليها وفي أي عرف او قانون يحاكم على الكنية وانال (5) اعوام سجن بحالها؟ ! ولو افترضنا اني استعملت هذا الاسم المستعار هل انال مثل هذه العقوبة القاسية ؟ هل انا مجرم من الطراز الأول حتى أحاكم بمثل هذه الاحكام القاسية؟ اين حقوق الانسان ان أحرم من زوجتي ومن والدتي المريضة كل هذه السنين ! لماذا انا احاكم باسم اشخاص آخرين، ان كل تلك الاتهامات ملفقة وباطلة ولا اساس لها من الصحة، فأنا ضحية تقارير مغلوطة وقانون رهيب لا يرحم فأنا اصرخ الى العالم وانادي كل من له ضمير حي وانادي كل المسؤولين في تونس ان يطلقوا سراحي ويرجعوا لي حريتي التي فقدتها منذ سنة فهل أجد آذانا صاغية ؟ إني اوجه ندائي الى جميع المنظمات الدولية ان يطلعوا عما جرى لي وعن قضيتي ! انادي اللذين يسعون للحفاظ على حقوق الانسان وان يعيش كريما حرا وغير مظلوم ان يطلعوا على قضيتي، انادي الحكومة الايرلندية ان تصلح خطأها بأن سلّمت تقارير خاطئة عني، انادي جميع وسائل الاعلام العربية والعالمية ان تعرض قضيتي ويعرفها العالم حتى يحكم عليها ويشهد ما حصل لي، هل اني انا ارهابي ام مظلوم وبريء وضحية لهذه القوانين التي لا تراعي حرية وكرامة الانسان ! اني انادي واصرخ ان يطلق سراحي واسترجع حقوقي في الحياة والحرية من جديد.
عادل الرحالي
سجن 9 افريل
تونس