En réponse à :
5 octobre 2005
Il y a certes la dictature que tout le monde connaît, qui s’agrippe au pouvoir, qui veut tout contrôler et nous compter même les souffles d’air par lesquels on respirait. C’est la principale serrure derrière la porte duquel la Tunisie est emprisonnée. Mais la Tunisie, malheureusement, ne souffre pas que de ça.
Il y a d’autres serrures bien enfermées qui veillent autant à ce que l’air qu’on respire nous soit compté. Comme les geôliers qui partagent bien avec nous la même prison il y a des gens dont le (...)