En réponse à :
23 avril 2003
Tunis sur goulag le 17 Avril 2003
Hier vers midi, le téléphone a sonné et avant de répondre, une voix familière pressée me demandait si on pouvait se voir vers 14 heures. Je réponds que je passerais. Vers 14 heures, alors que je m’apprêtais à partir, le téléphone sonne de nouveau pour me rappeler le rendez-vous. Il ne me reste que le temps du chemin. A peine sorti de la porte de l’immeuble où j’habite, je me sentais pris d’un pressentiment d’être attendu. Les visages des voisins tendus, les gestes (...)