Mon amie ne sait pas rediger un com sur un article. Du coup il voulais souligner par ce commentaire qu’il est ravi du contenu de ce blog internet.
je vous remercie
bourguiba abderrazak
I like to party, not look articles up online. You made it hpaepn.
On est mardi 1er novembre 2011, déjà neuf mois que ben ali s’est enfui et il est caché, comme un rat, en Arabie Saudite. Son collègue Gaddafi a été tué.
Après la lecture de cette lettre, tout cela parait être comme un cauchemar pour celles et ceux qui ne l’ont pas vécu personnellement. Cependant, le mal a sévi longtemps, beaucoup trop longtemps en Tunisie. Il est temps que ça change.
Tout un système policier qui s’effondre, la justice vient de renaître, certes encore fragile mais sera équitable insh’Allah.
Oui il a un fils qui est mon meilleur ami et croyez moi, même si son père et loin de lui sa ne fait pas de lui un mauvais père il s’occupe très bien de lui et Selim va le voir de temps en temps. Je suis au cœur de cette affaire et je peux donc savoir les ressentis de chacun...
ةcoutez quand on ne connait pas la personne on ne juge pas ! Je connais personnellement Monsieur Tebourski et je sais que c’est un homme bon, et je pense que si il a demander a rester en France c’est surtout pour son Fils !
Ne le jugez pas car vous ne le connaissez pas comme je le connais ! Je suis la meilleure amie de son fils Selim. Je sais qu’Adel est un homme bon alors arrêtez tous vos blabla et essayer donc de comprendre le fond de la chose. Merci et bonne soirée
the death of an African giant
Par : Y. Mérabet
En outre, contrairement à ce que pensent aujourd’hui de nombreux libyens, la chute de Kadhafi profite à tout le monde sauf à eux. Car, dans une Afrique où les pays de la zone subsaharienne riche en ressources minérales tournaient complètement le dos à la France pour aller vers la Chine, il fallait bien que monsieur Sarkozy trouve un autre terrain fertile pour son pays. La France n’arrive plus à vendre ses produits manufacturés ou de décrocher un marché en Afrique, elle risque de devenir un PSD C’est pour cela que l’on a vu une France prête à tout pour renverser ou assassiner Kadhafi ; surtout quand l’on sait que la Libye est l’une des premières réserves en Hydrocarbures d’Afrique et de Sebha est la capitale mondiale du trafic Franco-libyen de concentré d’uranium Nigérien. Egalement, l’on sait que jusqu’ici, les populations libyennes n’avaient rien à envier aux Français, ils vivaient richement mieux sans se suer. Puisque Kadhafi faisait tout son possible pour les mettre à l’abri du besoin. Il est donc temps pour les libyens de choisir pleinement futur partenaire occidental. Car si en cinquante ans de coopération la France n’a pu rien apporter à l’Afrique subsaharienne. Vat-elle apporter maintenant aux libyens un bonheur supérieur à celui que leur donnait leur Guide. Rien à offrir à ces ignorants de libyens, sauf des repas communs dans les poubelles de la ville Paris, en France c’est déjà la famine ? Lui, qui durant plusieurs décennies était l’un des faiseurs d’hommes les plus efficaces sur le continent Africain. De son existence, Kadhafi était le leader le plus généreux d’Afrique. Pas un seul pays africain ne peut nier aujourd’hui n’avoir jamais gouté un seul pétro –Dinar du guide Libyen. Aveuglement, et motivé par son projet des Etats-Unis d’Afrique, Kadhafi de son existence a partagé l’argent du pétrole libyen avec de nombreux pays africains, qu’ils soient Francophones, Anglophones ou Lusophones. Au sein même de l’union Africaine, le roi des rois d’Afrique s’était presque érigé en un bailleur de fond très généreux. Jusqu’à l’heure actuelle, il existe sur le continent de nombreux présidents qui ont été portés au pouvoir par Kadhafi. Mais, curieusement, même pas un seul de ces élèves de Kadhafi n’a jusqu’ici eu le courage de lui rendre le moindre hommage.Au lendemain du vote de la résolution 1973 du conseil de sécurité de l’ONU, certains pays membres de l’union africaine sous l’impulsion de Jacob Zuma ont tenté d’apporter un léger soutien au guide libyen. Un soutien qui finalement s’est éteint totalement sans que l’on ne sache pourquoi. Même l’union africaine qui au départ conditionnait avec amertume la prise du pouvoir libyen par un groupe de terroristes et la reconnaissance du CNT libyen constitués de traitres, s’est finalement rétracté de façon inexplicable. Et curieusement, jusqu’aujourd’hui, aucun gouvernement consensuel n’a été formé en Libye. Depuis l’annonce de l’assassinat de Mouammar Kadhafi, cette union africaine dont Mouammar Kadhafi était pourtant l’un des principaux défenseurs et ayant assuré le dernier mandat, n’a encore délivré aucun message officiel de condoléance à ses proches ou de regret. Egalement, même ceux qui hier tentaient de le soutenir n’ont pas eu le moindre courage de lever leur petit doigt pour rendre hommage à leur mentor. Jusqu’à l’heure actuel, seul l’ancien archevêque sud-africain et prix Nobel de paix Desmond TUTU a regretté cet acte ignoble. Même le président Abdoulaye Wade que l’on sait pourtant proche des révoltés libyens n’a pas encore salué la mort de l’homme qu’il souhaitait tant. Le lendemain de sa mort, un vendredi pas un musulman n’a prié pour lui ?.. A ce jour, sur le continent Africain, seul l’homme de la rue et les medias ont le courage de parler de cette assassina crapuleux du guide libyen. Mais, cette attitude des dirigeants africains ne surprend personne, dans la mesure où l’on sait que chaque président a peur de se faire remarquer par un Nicolas Sarkozy qui est capable de tout si la tête d’un président africain ou d’un arabe l’énerve.
Conclusion La Libye et l’Afrique toute entière viennent de tourner une page d’or avec la perte de Mouammar .
Traitre et maudit que je sois, si j’étais un libyen ?
Journaliste indépendant (Algérian Society for International Relations)
119, Rue Didouche Mourad
Alger centre
J’ai écrit un livre qui mérite d’être lu :
TOUT EST POSSIBLE - L’AVENIR DE LA TUNISIE
Vous pouvez télécharger le livre sur mon site Internet :
http://www.go4tunisia.de
Dr. Jamel Tazarki
Allemagne
Ma mére Térésa oui notre mére je suis abderrazak bourguiba le frére de mon meilleur ami Farouk .
vous peut etre me connait mais je pense pas que nous avont eu l’occasion de vous voir .
je suis désolé pour ce qui a passé pour mon frére Farouk .
Omar etait un homme exeptionnel un vrai homme j’ai passé avec lui 6 mois dans le prison nous étions plus que deux fréres.
soyez fiére de Farouk
et que la paradi soit pour lui
La Monarchie Constitutionnelle est l’avenir est la garantie des droits et libertés pour la Tunisie, la Libye et toute l’Afrique du Nord. Le Roi est l’âme du peuple, Il est porteur du sentiment d’unité nationale et du patrimoine historique du peuple. LA MONARCHIE CONSTITUTIONNELLE EST LE PLUS SUR MOYEN POUR EVITER QU’UN PRESIDENT FINISSE UN JOUR EN DICTATEUR (voyez le cas du roi d’Espagne, sauveur des libertés après le Franquisme).
Bonjour Mesdames, Messieurs,
Je souhaite attirer votre attention sur le faite que ce Barbouze comme vous le dites, a retourné sa veste à l’instant où il s’est assuré du départ définitif du ZABA plus exactement le 18 Janvier 2011.
Mais encore ce dernier qui détient pas un seul titre comme auprès du RCD mais aussi faison parti de plusieurs association et surout la chambre Franco-Tunisienne de marseille ou il a volé récemment le portfolio pour se faire une nouvelle peau et une nouvelle virginité auprès de la Tunisie, avec un pseudo symposium tenue au pôle technologique sis à la Gazelle (Ariana).
Rappel du passé : Khaled Néji représentant de l’office de l’huile près du consulat générale de Tunisie à Marseille a été victime de sa (Stoufida).
Monsieur Kahled Néji a été limogé de son poste, radié de ses fonctions, décédés suite à une attaque cardiaque après avoir visité les prisons Tunisiennes
Je souhaite que cette personne n’intervienne plus sur le sol Tunisien afin de crée des réseaux encore pire qu’avant et revenir au pouvoir par la fenêtre.
Aidez moi à dire la vérité sur ce malheureux de la Sbikha (kairouan) qui fout la honte à son peuple.
Ce Virus, qui trompe sa femme sans scrupule ni honte. A trahit ce que nos ancêtres ont essayé de bâtir, bravour, fraternité dévouement, sincérité.
Il est et il sera toujours à l’antipode des Tunisiens , lèches botes et au plurielles
Vive la Tunisie sans hypocrites
bonjour je suis tres heureuse que mr tlili soit libere mais je n arrive pas avoir de nouvelles precises je tiens a dire que c est un MONSIEUR exceptionnel et qu il ne merite vraiment pas ce qu il a endure j aimerai pouvoir lui exprimer tte ma sympathie
Voilà quatre ans se sont écoulés et votre combat a porté ses fruits. J’aurais pas osé signer ces quelques mots par mon nom réel si vous n’avez pas milité pour ’ma’ liberté. Reconnaissante et le mot ne peut résumer ce que je ressens et tout le respect que je vous porte.
Merci...
Lilia Weslaty
Les petits cons s’amusent à faire leurs graffitis imbéciles même sur les statues couvertes de prestige et d’histoire de Carthage ; on en a maintenant fini avec Ben Ali, avec la censure et l’étouffement des idées et de coeur opéré par son régime. Mais on en finira jamais avec l’idiotie des fondamentalistes islamiques qui promenent leurs femmes en burka, parce que c’est la seule façon par laquelle savent voir une femme : comme une bête dangeureuse. On en finira pas facilement, terrible dictature, avec ceux qui demandent maintenant de couper les mains, les jambes et les bras, suivant l’obsolète loi coranique, sans se faire aucun souci de l’Homme. Jésus, le Christ en est le plus grand champion, le Rédempteur de l’humanité, Lui qui a porté la Croix pour nous TOUS ; quant à la mafia et à al-Capone, nous les plaçerons comme un héritage historique de cet islam que tant s’acharnent à défendre par l’ignorance (mafia vient de l’arabe dialectal anciene "mafiah", c’est-à-dire "protection", la mafia est nait et c’est culturellement radiquée dans une ancienne terre d’islam, la Sicile)
j’ai aimé ce que vous pensé . suis de ton coté. tu me trouvera a l’appui
Français, Françaises, Européens, Européennes
Je requiers toute votre attention quant à l’état hautement critique qu’est celui de la liberté d’expression et de la démocratie dans la Tunisie d’aujourd’hui. Les dernières résonances de liberté sont en train de disparaître à grande vitesse.
Pourtant à l’origine, la Tunisie, carrefour historique de civilisations, jouissaient d’une richesse et d’une mixité culturelle prédisposant notre pays à se placer au premier rang en matière de liberté et des Droits de l’Homme dans le Monde Arabe et Africain, défendant des valeurs de paix et de tolérance. Le plus bel exemple fut celui des droits de la femme : avant même de nous doter d’une constitution, à l’indépendance en 1956, l’assemblée constitutive a adopté un Code du Statut Personnel accordant à la femme tunisienne des droits encore inégalés dans le monde arabe. Non seulement notre position de précurseur était reconnue par rapport au monde arabe, mais notre rayonnement pouvait atteindre le monde entier.
Des liens historiques forts existent entre la Tunisie et la France depuis des siècles, tant sur le plan politique qu’économique. Bon nombre de nos étudiants les plus brillants ont étudié en France et comptent désormais parmi les citoyens français. Bon nombre d’immigrés tunisiens sont aujourd’hui citoyens français aussi.
Nous, TAKRIZ, constituons le premier groupe tunisien de cyber réflexion et d’intelligence collective[1]. Ce mouvement fondé en 1998 est considéré encore à l’heure actuelle comme un pionnier mondial en matière de cyber activisme pour les droits civiques[2]. Mais surtout, TAKRIZ est la voix de la jeunesse tunisienne[3]. Entre 1998 et 2000, aux premières heures d’Internet, notre sens de l’innovation et l’implication de nos activités de militants nous ont permis d’obtenir une grande notoriété en Tunisie[4]. Liberté, Vérité, Laïcité, Honnêteté, Citoyenneté, Paix, sens de la Critique et Anonymat fondent nos valeurs[5]. Liberté d’expression et de ton et défense des droits civiques constituent nos moteurs. Deux notions qui ont été complètement bafouées par le gouvernement tunisien : notre cyber mouvement est censuré depuis l’an 2000 [6].
Durant les deux premières années pendant lesquelles nous avons pu émettre en ligne en étant en avance sur le système national de censure qui ne touchait pas encore Internet, notre activité a été significative. Nous avons commencé par des réflexions constructives sur l’état des libertés dans notre pays. Les citoyens tunisiens se sont alors mobilisés autour de nous, car nous ouvrions la voie au débat et à la démocratie, TAKRIZ étant à l’époque le seul espace de libre expression en Tunisie. La notion de Droits Civiques a alors pris tout son sens pour beaucoup de gens qui ont vu là la plateforme adéquate pour bâtir l’édifice d’une nouvelle Tunisie.
Malheureusement, ceci a amené le gouvernement à censurer nos sites web, s’en est rapidement suivi une véritable chasse à l’homme[7], certains de nos membres ont été emprisonnés et ont été torturés et en sont morts[8]. Nous sommes encore tous imprégnés de l’âme du martyr Zouhaier Yahyaoui qui décéda suite à son emprisonnement et sa torture [9].
Si vous vous interrogez sur le pourquoi de l’outil Internet, la réponse est simple : toutes les formes de médias en Tunisie sont contrôlées par le gouvernement, pas une once de liberté n’échappe à la surveillance, à la répression, à la censure. Si vous vous interrogez sur le pourquoi de l’anonymat, la réponse est évidente : répression, prison, torture, mort.
Nous nous tenons devant vous aujourd’hui, car nous revendiquons le droit de penser, le droit de nous exprimer et de débattre de nos idées, le droit de préparer les prochaines générations à guider notre pays, le droit d’être et d’agir sans être entravé par aucune forme de peur, de terreur, de censure politique, illégale et inconstitutionnelle.
Nous revendiquons ces droits, car la Tunisie est actuellement dans une situation alarmante au plus haut point. Dans ce pays dirigé par un seul homme, il n’y a aucune place pour la démocratie, ni pour la justice, encore moins pour les droits civiques et les droits de l’homme. La répression dont nous sommes victimes n’a pas d’égal dans notre histoire moderne. Torture, corruption, peur, simulacres de procès politiques se succèdent à un rythme effréné et laissent présager le pire pour notre avenir. Aujourd’hui en Tunisie, un dictateur vieillissant dirige le pays d’une main de fer. Les Tunisiens n’ont aucun moyen de préparer ni même d’envisager une future gouvernance de leur pays par qui que ce soit, ils ne maîtrisent ni leur présent ni leur futur. A l’heure actuelle, cette problématique semble sans issue.
Dictateur. Les dernières élections d’octobre 2009 ont été le théâtre d’une mascarade à laquelle personne n’était dupe. 8150 jours d’esclavage mental et de dictature, 23 ans de terreur et de répressions sont là pour rappeler à chacun qui est Ben Ali. Par-dessus les mensonges du gouvernement, par-delà les mensonges véhiculés par les médias étatiques, nous sommes obligés de vivre dans un ةtat sans liberté où mensonges, propagande et désinformation perpétrés par un régime diabolique mettent le peuple à genoux. La vérité est muselée par les méthodes les plus terrifiantes dans les délais les plus courts.
Quiconque ose mettre en doute la politique du gouvernement, qu’il soit tunisien ou non, est sanctionné. Rien que durant ces 6 derniers mois, 3 journalistes, dont un membre de TAKRIZ, TBB, Taoufik Ben Brik, ont été emprisonnés à la suite de faux procès[10][11][12]. Leur crime ? Avoir osé écrire ce dont nous relatons ici même. Si dans le passé un journaliste français couvrant la dictature tunisienne a été poignardé[13], des collègues à lui, Français, ont été interdits de fouler le sol de notre pays[14]. Nos étudiants sont également emprisonnés parce qu’ils s’insurgent contre les défaillances d’un système universitaire mis à mal par la dictature en place[15]. Même l’Université Libre de Tunisie, une institution tunisienne, est en train d’être détruite après des années d’existence : son fondateur a eu le malheur de publier un ouvrage traitant des libertés et des droits civiques dans le pays[16][17].
A contrario, les neveux de Ben Ali, véritable mafia, peuvent commettre les infractions les plus crapuleuses en toute impunité en France, y être inculpés en examen[18], et être extradés en Tunisie pour un second procès[19] grâce au soutien et la bienveillance de la France, ils sont de toute façon assurés d’être disculpés par un simulacre de procès et rester libres. Nous vous informons de leur récente relaxe pour leurs dernières activités criminelles, vol de yachts cette fois-ci. [20]
Alors que les mafieux[] profitent de leurs pleines libertés, la dictature tunisienne nous prive des nôtres, elle éteint nos voix, elle déguise la vérité, elle mystifie la démocratie, elle nous vole notre pays. Cette situation appelle l’urgence, il ne peut plus en être ainsi. Si le dictateur est encore au pouvoir, c’est parce que le gouvernement en place a fait en sorte de verrouiller le moindre accès à toute forme de liberté d’expression et de pensée. Sous le travers de son idéologie, le gouvernement utilise la peur et la terreur comme instruments d’aliénation de tout un peuple.
Ce forcing dictatorial, s’il servait à quelque chose, à part bien sûr le pouvoir absolu et les poches du dictateur, cette chose pourrait se résumer en deux mots : Immigration Clandestine. Celle non clandestine, par ailleurs représente aussi très bien la souffrance d’un peuple qui ne se sent plus chez lui en Tunisie tellement on lui a ôté toutes ses libertés. Pour vous cela sera Identité Nationale, ou remise en question de votre identité nationale pour être plus précis. Car il est bien beau aujourd’hui de voir le premier allié de la Tunisie questionner son identité nationale, et se mobiliser comme jamais auparavant contre l’immigration clandestine et qu’en même temps aucune action concrète n’a pu être prise pour la démocratie en Tunisie. Ces trois problèmes sont fortement corrélés on ne vous apprend rien. Si tout ou partie du gouvernement français joue le rôle d’écran protecteur de la dictature en Tunisie, vos problèmes d’identité nationale et d’immigration clandestine résident donc plutôt ici.
Nous, peuple tunisien, avons besoin de nos libertés pour construire notre pays, avons besoin de liberté pour aller de l’avant, avons besoin de liberté pour inscrire notre nation dans la durée, avons besoin de liberté tout simplement pour vivre comme des êtres humains et non comme des esclaves à la solde du général Zine El Abedine Ben Ali et ses sbires. Aussi avons-nous besoin de liberté pour assurer la future gouvernance de notre pays. Notre dictateur septuagénaire, votre ami et partenaire, ou pas, et cela ne change rien, est sur le déclin.
Nous vous demandons donc de bien vouloir mettre en adéquation votre idéologie avec des actions. Que cela s’exprime par des pressions diplomatiques sur la dictature en place (en faisant appel par exemple à la Procédure dite de Compétence Universelle), ou que cela s’exprime par un soutien concret qui nous permettra de mener notre combat contre la dictature chez nous en Tunisie.
Nous vous rappelons qu’il est de la responsabilité morale de tous les gouvernements de veiller au respect des droits inaliénables de tous les individus à s’exprimer librement. Nous vous rappelons qu’il est de la responsabilité de ceux qui se proclament la meilleure démocratie du monde de bien vouloir mettre en adéquation ses propos et ses actes. Nous rappellerons aussi que notre génération, la future génération leader de la Tunisie n’a aucun problème d’identité et gardera surtout en mémoire l’immobilisme de ceux qui se proclament pour la démocratie et qui soutiennent indéfectiblement la dictature. Les dictateurs sont périssables, l’histoire demeure.
TAKRIZ est ouvert pour traiter des points mentionnés ici même avec tout interlocuteur qualifié, nous sommes joignables à benali@takriz.com.
En vous remerciant,
Foetus, Membre Fondateur.
Références :
1. Cyberdémocratie Par Pierre Lévy - 2002
2. Rapport du Groupe Spécial Méditerranéen - Assemblée Parlementaire de l’OTAN - 2002 Mediterranean Special Group Report - NATO Parliamentary Assembly - 2002
3, 4, 5, 6, 7. CNRS, ہ quoi servent les partis tunisiens ? Sens et contre-sens d’une « libéralisation » politique - Célina Braun - 2006 TIC et Diasporas - Internet et la reconfiguration de l’espace public tunisien : le rôle de la diaspora - Romain Lecomte - 2009 Développement territorial et mutations culturelles Par Declève Bernard, Hibo Dominique Les partis politiques dans les pays arabes : Le Maghreb Par Pierre-Robert Baduel Querelles privées et contestations publiques : le rôle de la presse dans la la formation de l’opinion publique au Proche Orient Par Raoul Motika Société numérique et développement en Afrique : usages et politiques publiques Par Jean-Jacques Gabas Régimes politiques et droits humains au Maghreb Par Confluences Méditerranée Charte TAKRIZ : http://www.takriz.com/emag/article/... Takriz : l’enfant terrible du net tunisien - Afrik Magazine - Roche Sonnet - 15/08/2000 WWW . TAKRIZ - Le Monde - Géraldine Faes - 13/09/2000 Les cyber-résistants tunisiens donnent naissance à une nouvelle forme de contestation - Le Monde - Florence Beaugé - 21/09/2000 Le Web censuré, à la mode tunisienne - Transfert Magazine - Eric Mugneret - 18/01/2001 Des "souris" contre Ben Ali - Le Nouvel Observateur - Stéphane Arteta - 21/08/2001 Internet en accès très limité - L’Express - Eric Mugneret - 21/01/2001 En Tunisie, police et justice contre le plus célèbre des cyber-résistants - Le Monde - Florence Beaugé - 13/06/2002 Plusieurs Publications - Amnesty International Plusieurs Publications - Reporters Sans Frontières Plusieurs Publications - Human Rights Watch Parlement Européen Commission des Affaires Etrangères, des Droits de L’homme, de la Sécurité Commune et de la Politique de Défense Rapport de la Délégation ad hoc en Tunisie du 25-27/05/2002
8, 9. Le 10 juillet 2002, Zouhair Yahyaoui a été condamné, par la cour d’appel de Tunis, à deux ans de prison pour "propagation de fausses nouvelles". Il avait été arrêté, le 4 juin, par plusieurs policiers en civil dans un cybercafé. Au cours de son interrogatoire, il avait subi trois séances de "suspension", méthode de torture où la personne est suspendue par les bras, avec les pieds touchant à peine le sol. (AFP, RSF, AMNESTY, HRW).
10, 11, 12. Taoufik Ben Brik arrêté et écroué - Le Nouvel Observateur - Boris Manenti - 30/10/2009 Procès Ben Brik : "je suis victime d’un traquenard de la police" - Le Nouvel Observateur / AFP - 19/11/2009 Tunisie : un journaliste (Zouhaier Makhlouf) emprisonné - AFP - 01/12/2009 Prison pour les meneurs du mouvement social de Gafsa - FRANCE 24 / RFI - 12/12/2008
13. Agression de l’envoyé spécial de Libération à Tunis : Reporters sans frontières dénonce une intimidation très grave - RSF - 12/11/2005 Christophe Boltanski, journaliste à « Libération », a été agressé à Tunis - Le Monde - Florence Beaugé - 13/11/2005
14. L’envoyée spéciale du « Monde » refoulée à l’aéroport de Tunis - Le Monde - 22/10/2009 Robert Ménard refoulé de Tunisie : « une atteinte inacceptable à la liberté d’expression » - Josep Borrell - RSF - 17/11/2005
15. Tunisie : Peine de 7 mois ferme confirmée en Appel pour le Secrétaire général de l’UGET (Union Générale des Etudiants Tunisiens) - Réseau Euro-Méditerranéen des Droits de l’Homme - 20/01/2010 Quand Ben Ali rompt la glace - Jeune Afrique - Abdelaziz Barrouhi - 05/02/2010
16. Le président de l’Université libre de Tunis critique M. Ben Ali : l’établissement devra fermer - Le Monde - Florence Beaugé - 29/01/10
17. Le jour où j’ai réalisé que la Tunisie n’est plus un pays de liberté - Mohamed El Boussaïri Bouebdelli (Fondateur de l’Université Libre de Tunis) - 2009
18, 19. Trafic de yachts : deux neveux du président tunisien Ben Ali mis en examen en Corse - AFP – 18/05/2008 Le procès d’un réseau franco-tunisien de voleurs de yachts crée la polémique - Le Figaro - Cyrille Louis - 20/08/2009 Affaire des Yachts volés : Le tribunal d’Ajaccio condamne les auteurs et renvoi la poursuite des commanditaires aux tribunaux tunisiens - Tunisia Watch / AFP - 01/10/2009
20. Tunisie : l’impunité des "Trabelsi" Des proches de Ben Ali impliqués dans des vols de yachts de luxe - Courrier International - Fabrice Lhomme L’affaire des yachts volés jugée à Tunis : Une parodie jouée en catimini - Tunisia Watch - Mokhtar Yahyaoui [Magistrat Tunisien] -10/02/2010