Mon amie ne sait pas rediger un com sur un article. Du coup il voulais souligner par ce commentaire qu’il est ravi du contenu de ce blog internet.
je vous remercie
bourguiba abderrazak
I like to party, not look articles up online. You made it hpaepn.
On est mardi 1er novembre 2011, déjà neuf mois que ben ali s’est enfui et il est caché, comme un rat, en Arabie Saudite. Son collègue Gaddafi a été tué.
Après la lecture de cette lettre, tout cela parait être comme un cauchemar pour celles et ceux qui ne l’ont pas vécu personnellement. Cependant, le mal a sévi longtemps, beaucoup trop longtemps en Tunisie. Il est temps que ça change.
Tout un système policier qui s’effondre, la justice vient de renaître, certes encore fragile mais sera équitable insh’Allah.
Oui il a un fils qui est mon meilleur ami et croyez moi, même si son père et loin de lui sa ne fait pas de lui un mauvais père il s’occupe très bien de lui et Selim va le voir de temps en temps. Je suis au cœur de cette affaire et je peux donc savoir les ressentis de chacun...
ةcoutez quand on ne connait pas la personne on ne juge pas ! Je connais personnellement Monsieur Tebourski et je sais que c’est un homme bon, et je pense que si il a demander a rester en France c’est surtout pour son Fils !
Ne le jugez pas car vous ne le connaissez pas comme je le connais ! Je suis la meilleure amie de son fils Selim. Je sais qu’Adel est un homme bon alors arrêtez tous vos blabla et essayer donc de comprendre le fond de la chose. Merci et bonne soirée
the death of an African giant
Par : Y. Mérabet
En outre, contrairement à ce que pensent aujourd’hui de nombreux libyens, la chute de Kadhafi profite à tout le monde sauf à eux. Car, dans une Afrique où les pays de la zone subsaharienne riche en ressources minérales tournaient complètement le dos à la France pour aller vers la Chine, il fallait bien que monsieur Sarkozy trouve un autre terrain fertile pour son pays. La France n’arrive plus à vendre ses produits manufacturés ou de décrocher un marché en Afrique, elle risque de devenir un PSD C’est pour cela que l’on a vu une France prête à tout pour renverser ou assassiner Kadhafi ; surtout quand l’on sait que la Libye est l’une des premières réserves en Hydrocarbures d’Afrique et de Sebha est la capitale mondiale du trafic Franco-libyen de concentré d’uranium Nigérien. Egalement, l’on sait que jusqu’ici, les populations libyennes n’avaient rien à envier aux Français, ils vivaient richement mieux sans se suer. Puisque Kadhafi faisait tout son possible pour les mettre à l’abri du besoin. Il est donc temps pour les libyens de choisir pleinement futur partenaire occidental. Car si en cinquante ans de coopération la France n’a pu rien apporter à l’Afrique subsaharienne. Vat-elle apporter maintenant aux libyens un bonheur supérieur à celui que leur donnait leur Guide. Rien à offrir à ces ignorants de libyens, sauf des repas communs dans les poubelles de la ville Paris, en France c’est déjà la famine ? Lui, qui durant plusieurs décennies était l’un des faiseurs d’hommes les plus efficaces sur le continent Africain. De son existence, Kadhafi était le leader le plus généreux d’Afrique. Pas un seul pays africain ne peut nier aujourd’hui n’avoir jamais gouté un seul pétro –Dinar du guide Libyen. Aveuglement, et motivé par son projet des Etats-Unis d’Afrique, Kadhafi de son existence a partagé l’argent du pétrole libyen avec de nombreux pays africains, qu’ils soient Francophones, Anglophones ou Lusophones. Au sein même de l’union Africaine, le roi des rois d’Afrique s’était presque érigé en un bailleur de fond très généreux. Jusqu’à l’heure actuelle, il existe sur le continent de nombreux présidents qui ont été portés au pouvoir par Kadhafi. Mais, curieusement, même pas un seul de ces élèves de Kadhafi n’a jusqu’ici eu le courage de lui rendre le moindre hommage.Au lendemain du vote de la résolution 1973 du conseil de sécurité de l’ONU, certains pays membres de l’union africaine sous l’impulsion de Jacob Zuma ont tenté d’apporter un léger soutien au guide libyen. Un soutien qui finalement s’est éteint totalement sans que l’on ne sache pourquoi. Même l’union africaine qui au départ conditionnait avec amertume la prise du pouvoir libyen par un groupe de terroristes et la reconnaissance du CNT libyen constitués de traitres, s’est finalement rétracté de façon inexplicable. Et curieusement, jusqu’aujourd’hui, aucun gouvernement consensuel n’a été formé en Libye. Depuis l’annonce de l’assassinat de Mouammar Kadhafi, cette union africaine dont Mouammar Kadhafi était pourtant l’un des principaux défenseurs et ayant assuré le dernier mandat, n’a encore délivré aucun message officiel de condoléance à ses proches ou de regret. Egalement, même ceux qui hier tentaient de le soutenir n’ont pas eu le moindre courage de lever leur petit doigt pour rendre hommage à leur mentor. Jusqu’à l’heure actuel, seul l’ancien archevêque sud-africain et prix Nobel de paix Desmond TUTU a regretté cet acte ignoble. Même le président Abdoulaye Wade que l’on sait pourtant proche des révoltés libyens n’a pas encore salué la mort de l’homme qu’il souhaitait tant. Le lendemain de sa mort, un vendredi pas un musulman n’a prié pour lui ?.. A ce jour, sur le continent Africain, seul l’homme de la rue et les medias ont le courage de parler de cette assassina crapuleux du guide libyen. Mais, cette attitude des dirigeants africains ne surprend personne, dans la mesure où l’on sait que chaque président a peur de se faire remarquer par un Nicolas Sarkozy qui est capable de tout si la tête d’un président africain ou d’un arabe l’énerve.
Conclusion La Libye et l’Afrique toute entière viennent de tourner une page d’or avec la perte de Mouammar .
Traitre et maudit que je sois, si j’étais un libyen ?
Journaliste indépendant (Algérian Society for International Relations)
119, Rue Didouche Mourad
Alger centre
J’ai écrit un livre qui mérite d’être lu :
TOUT EST POSSIBLE - L’AVENIR DE LA TUNISIE
Vous pouvez télécharger le livre sur mon site Internet :
http://www.go4tunisia.de
Dr. Jamel Tazarki
Allemagne
Ma mére Térésa oui notre mére je suis abderrazak bourguiba le frére de mon meilleur ami Farouk .
vous peut etre me connait mais je pense pas que nous avont eu l’occasion de vous voir .
je suis désolé pour ce qui a passé pour mon frére Farouk .
Omar etait un homme exeptionnel un vrai homme j’ai passé avec lui 6 mois dans le prison nous étions plus que deux fréres.
soyez fiére de Farouk
et que la paradi soit pour lui
La Monarchie Constitutionnelle est l’avenir est la garantie des droits et libertés pour la Tunisie, la Libye et toute l’Afrique du Nord. Le Roi est l’âme du peuple, Il est porteur du sentiment d’unité nationale et du patrimoine historique du peuple. LA MONARCHIE CONSTITUTIONNELLE EST LE PLUS SUR MOYEN POUR EVITER QU’UN PRESIDENT FINISSE UN JOUR EN DICTATEUR (voyez le cas du roi d’Espagne, sauveur des libertés après le Franquisme).
Bonjour Mesdames, Messieurs,
Je souhaite attirer votre attention sur le faite que ce Barbouze comme vous le dites, a retourné sa veste à l’instant où il s’est assuré du départ définitif du ZABA plus exactement le 18 Janvier 2011.
Mais encore ce dernier qui détient pas un seul titre comme auprès du RCD mais aussi faison parti de plusieurs association et surout la chambre Franco-Tunisienne de marseille ou il a volé récemment le portfolio pour se faire une nouvelle peau et une nouvelle virginité auprès de la Tunisie, avec un pseudo symposium tenue au pôle technologique sis à la Gazelle (Ariana).
Rappel du passé : Khaled Néji représentant de l’office de l’huile près du consulat générale de Tunisie à Marseille a été victime de sa (Stoufida).
Monsieur Kahled Néji a été limogé de son poste, radié de ses fonctions, décédés suite à une attaque cardiaque après avoir visité les prisons Tunisiennes
Je souhaite que cette personne n’intervienne plus sur le sol Tunisien afin de crée des réseaux encore pire qu’avant et revenir au pouvoir par la fenêtre.
Aidez moi à dire la vérité sur ce malheureux de la Sbikha (kairouan) qui fout la honte à son peuple.
Ce Virus, qui trompe sa femme sans scrupule ni honte. A trahit ce que nos ancêtres ont essayé de bâtir, bravour, fraternité dévouement, sincérité.
Il est et il sera toujours à l’antipode des Tunisiens , lèches botes et au plurielles
Vive la Tunisie sans hypocrites
bonjour je suis tres heureuse que mr tlili soit libere mais je n arrive pas avoir de nouvelles precises je tiens a dire que c est un MONSIEUR exceptionnel et qu il ne merite vraiment pas ce qu il a endure j aimerai pouvoir lui exprimer tte ma sympathie
Voilà quatre ans se sont écoulés et votre combat a porté ses fruits. J’aurais pas osé signer ces quelques mots par mon nom réel si vous n’avez pas milité pour ’ma’ liberté. Reconnaissante et le mot ne peut résumer ce que je ressens et tout le respect que je vous porte.
Merci...
Lilia Weslaty
Les petits cons s’amusent à faire leurs graffitis imbéciles même sur les statues couvertes de prestige et d’histoire de Carthage ; on en a maintenant fini avec Ben Ali, avec la censure et l’étouffement des idées et de coeur opéré par son régime. Mais on en finira jamais avec l’idiotie des fondamentalistes islamiques qui promenent leurs femmes en burka, parce que c’est la seule façon par laquelle savent voir une femme : comme une bête dangeureuse. On en finira pas facilement, terrible dictature, avec ceux qui demandent maintenant de couper les mains, les jambes et les bras, suivant l’obsolète loi coranique, sans se faire aucun souci de l’Homme. Jésus, le Christ en est le plus grand champion, le Rédempteur de l’humanité, Lui qui a porté la Croix pour nous TOUS ; quant à la mafia et à al-Capone, nous les plaçerons comme un héritage historique de cet islam que tant s’acharnent à défendre par l’ignorance (mafia vient de l’arabe dialectal anciene "mafiah", c’est-à-dire "protection", la mafia est nait et c’est culturellement radiquée dans une ancienne terre d’islam, la Sicile)
j’ai aimé ce que vous pensé . suis de ton coté. tu me trouvera a l’appui
UNE ةTUDE MONTRE QUE LES RESTRICTIONS IMPOSةES AUX MةDIAS PAR LES GOUVERNEMENTS ARABES COMPRENNENT L’INTERNET
Le document « The Internet in the Arab World : A New Space of Repression ? » L’Internet dans le monde arabe : Nouvel espace de répression est une nouvelle étude du Réseau arabe d’information sur les droits de la personne (Arabic Network for Human Rights Information, HRINFO). Ce document conclut que la plupart des gouvernements arabes ne font pas d’exception pour l’Internet en ce qui concerne les restrictions imposées aux autres médias, et que ces restrictions ont des répercussions négatives pour les sites web arabes et leurs utilisateurs.
Selon l’auteur de l’étude, Gamal Eid, qui est Directeur général du HRINFO, « la plupart de ces gouvernements s’opposent à la liberté d’expression en particulier et aux autres libertés politiques et civiles en général ».
La Jordanie, les ةmirats arabes unis et le Qatar offrent un degré relativement plus élevé de liberté en ligne, dit l’étude, mais les huit autres pays arabes « invoquent habituellement la "protection des valeurs islamiques et de la morale publique" pour justifier l’interdiction de sites web qui parlent des droits de la personne ou de groupes d’opposition politique qui censurent ces gouvernements ; même les forums [en ligne] sont interdits dans les pays arabes », dit Eid.
L’étude conteste aussi les affirmations de la Tunisie, qui prétend être à la hauteur et mériter d’accueillir la deuxième phase du Sommet mondial sur la société de l’information, et soutient que le gouvernement totalitaire de la Tunisie ne respecte pas les droits de la personne et les libertés de ses citoyens.
Selon Gamal Eid, « les Arabes méritent de vivre libres. La surveillance et la répression de la liberté d’expression ayant échoué, le temps est venu de pratiquer la liberté d’expression elle-même. »
Le HRINFO est partenaire du Portail arabe pour les droits de la personne : www.hrria.org
Le document de 77 pages est accessible sur le site web du HRINFO :
Extrait concernant la Tunisie
La Tunisie
Le Premier, Le Plus mauvais
L’homme désigné pour organiser le sommet du monde sur la société de l’information que la Tunisie accueillera en novembre 2005 est un ancien policier secret tunisien appelé Habib Ammar. Il est bien connu par des organismes nationaux et internationaux de droits de l’homme pour son usage de torture. Le choix de la Tunisie de l’organisateur reflète clairement la façon dont l’Internet est contrôlé en Tunisie aussi bien que la vision des autorités tunisiennes de l’Internet.
Ammar était le chef de la garde nationale entre 1984 et 1987, puis le ministre de l’intérieur en 1988. En dépit puis de la notoriété qu’il a gagnée pour son usage de torture contre les détenus tunisiens, il a été nommé comme Président du comité préparatoire du sommet mentionné ci-dessus. Pendant sa visite vers la Suisse en septembre 2003, deux droits de l’homme que les organismes ont classé une plainte contre lui ont basé sur la convention internationale de l’cOnu contre la torture qui oblige la Suisse, comme partie d’état, appréhende des perpetrators de torture dans le cas ce elles soit dans la jurisprudence de la Suisse.
Ammar n’a pas été arrêté en Suisse. Pas parce qu’il était innocent ou parce que les frais apportés contre lui n’étaient pas sérieux mais entre parce qu’il, comme représentant d’un membre d’état lors des réunions du sommet du monde, apprécie l’immunité selon l’accord fait le gouvernement de la Suisse et l’union internationale de la technologie (UIT). [1]
L’Internet à Tunis remonte à 1991. Cependant, alors que Tunis était le premier état arabe avec l’exposition à l’Internet, les Tunisiens de majorité accéderaient à l’Internet longtemps après cette date.
Un rapport statistique tunisien, édité sur l’Orient en ligne en novembre 2003, montre que le nombre d’utilisateurs d’Internet à Tunis était 550.000 personnes. Les états de rapport, "le nombre de cafés nets de ’publinet ’a atteint 300, partout Tunisie localisée. Il y a maintenant de 12 ISPs de sectors." [2] public et privé
Jusqu’à ce que 1997-when là aient été un nombre environ de 1200 abonnés à Internet à Tunis se développait unhurriedly. En octobre 1997 le nombre d’abonnés a atteint 4000 ; en novembre 1997, 11.000. On peut estimer à partir de ces nombres ces le taux de croissance mensuel des abonnés d’Internet à Tunis à être 8,40% [3]
La réalité pratique à Tunis est complètement différente de ces rapports. Les utilisateurs tunisiens d’Internet n’ont pas une variété de choix dans les emplacements d’enchaînement qu’ils visitent. Car les rapports de montre de droits de l’homme, "Tunis a un groupe de législations d’Internet qui sont considérées comme celles les plus détaillées de la région. Bon nombre d’entre elles ont été conçues pour s’assurer qu’aucune critique ou opinion libre ne pourrait passer des mêmes lois accablantes imposées aux autres médias. Le décret d’Internet, publié en 1997, stipule que ’chaque ISP doit soumettre, sur une base mensuelle, une liste de ses abonnés d’Internet "à l’opérateur public" (Ati géré par l’Etat) (article 8, le paragraphe 5) ; si l’cIsp ferme ou cesse de fournir des services, elle doit "sans tarder" retourner "à l’opérateur public" un complet placer de ses archives ("le DES l’ensemble soutient le d’archivage") aussi bien que les moyens de le lire (article 9, paragraphe 7).’ Elle impose également une responsabilité légale à l’ISPs de la teneur de l’enchaînement les situe accueillent. Le décret d’Internet empêche également le chiffrage sans approbation préalable de l’authorite." [4]
Quand le gouvernement d’Al-Abidine’s de Zine, déjà connu pour sa restriction aiguë de la liberté d’expression, nomme un ancien policier comme chef du comité préparatoire de la deuxième phase du sommet de société de l’information, et quand les deux plus grand ISPs en Tunisie sont commandés par des personnes proche du président tunisien, il n’y a aucune surprise que les cafés nets « publinet" communs dans beaucoup de villes tunisiennes ne soient pas autorisé de permettre à leurs clients d’entrer sur des sites considérés blessants le gouvernement. Ces sites ont été décrits par Al Hayat en tant que sites rebelles parce qu’ils sont intensivement surveillés par les forces de sécurité. [5]
La censure tunisienne n’est pas limitée pour les sites rebelles tels que "Al Karama de Qos," un site créé par le tunisien Zoghlamy de Galal d’activiste. Le gouvernement en retire encore autre, interdisant plusieurs emplacements internationaux d’enchaînement tels que le site bien connu "Hotmail", beaucoup de sites palestiniens, sites égyptiens (comme Masrawy.com), sites de droits de l’homme, et le site du journal d’Al-Watan de Donia. Ces sites ne sont pas intéressés spécifiquement par la situation tunisienne ; interdire de ces sites démontre l’intensité de la censure en Tunisie.
En discutant des violations commises par les autorités contre les avocats tunisiens, Mohammad Gabbor, secrétaire général de l’union tunisienne des avocats, a indiqué, des "avocats ont été exposés à beaucoup de violations comprenant des violations sexuelles. Les avocats sont ont fréquemment mis (sic) et parfois leurs lignes sont débranchées complètement. Le ministère si l’intérieur peut changer la direction d’un certain fax pour empêcher la transmission. Beaucoup d’emplacements d’enchaînement sont aussi bien bloqués."
[6]
Zouhair Yahyaoui : Le premier (mais libéré) prisonnier de l’Internet
Le 20 juin 2002, une cour tunisienne a condamné le de journaliste Zouhair Yahyaoui , fondateur et rédacteur-en-chef du site TUNeZINE d’information, à deux ans et à quatre mois en prison. Il avait été accusé de disséminer des nouvelles fausses" et "de l’utilisation frauduleuse des moyens de communication." Il a été même accusé de vol.
Yahyaoui était le premier à distribuer une lettre ouverte au président tunisien, écrit par Mokhtar Yahyaoui , oncle de Zouhair et un juge, critiquant l’indépendance du système juridique tunisien. Cette lettre était la raison principale derrière l’expulsion du juge Yahyaoui de ses fonctions en 2001.
Les autorités tunisiennes avaient utilisé de nombreux outils illégaux pour surveiller et harceler les dissidents politiques et les activistes de droits de l’homme. Pourtant l’épreuve de Yahyaoui était la première de sa sorte, car c’était la première fois que l’ordre judiciaire tunisien a été confronté à un cyber-dissident tunisien dont le crime devait critiquer le régime sur l’Internet.
Le site de TUNeZINE a été connu pour sa critique rigoureuse des pratiques en matière de police à Tunis. Il a contenu des articles censuré sur les situations politiques de l’état écrites par les auteurs qui ont employé des pseudonymes. Une fois Yahyaoui signalait un scrutin sur le site demandant à des lecteurs, "vous considérez comme étant la Tunisie une république, un royaume, un zoo, ou une prison ?"
[7]
Dans son communiqué de presse publié le 2003 16 juillet, le journaliste Robert Menard de reporters sans frontière dit, "nous condamnons la ligne dure prise par l’ordre judiciaire tunisien contre ce cyber dissident , dont le seul crime doit avoir osé dénoncer le régime totalitaire du Président Ben Ali « [8] que l’élargissement de Yahyaoui en novembre 2003 était une tentative de la part du gouvernement tunisien d’améliorer l’image de l’état quelques mois avant que le sommet 5+5 tenu en décembre 2003. Yahyaouia été libéré à condition qu’il pas répètent les mêmes actions que cela l’a mené à la prison, une condition ces quantités à la censure politique.
Visitez un site Web. Obtenez derrière des barres
Interdire des sites blessants aux autorités et la détention de ceux qui créent ces emplacements sont des stratégies normales utilisées dans les régions arabes et en Chine . Mais détenir des utilisateurs d’Internet pour visiter simplement un site est une stratégie unique en Tunisie.
Mai 2003 le 14, environ 200 activistes tunisiens militant de droits de l’homme politiques et a signé une pétition invitant des autorités tunisiennes, y compris le Président Ben Ali, "pour cesser de violer les différentes et collectives droits d’expression.
"la pétition a mentionné Al Maher Asmany, de 23 ans qui avait été torturé à la mort le avril 2003 au centre de police de l’Intérieur. [9] et souligné que " pendant les derniers mois, 40 jeunes hommes tunisiens ont été emprisonné, condamné à de longues limites et torturé, juste pour avoir visité des sites prétendument selon les autorités être des emplacements d’enchaînement de terroriste." La pétition a encouragé les activistes de droits de l’homme et tous les organismes civils de société à faire de l’année 2003, l’année de l’expression.
La douleur des utilisateurs nets tunisiens a mené des reporters sans frontières à publier un communiqué de presse sur 03/07/2003 décrivant la décision de l’Onu de tenir le sommet 2005 du monde sur la société de l’information à Tunis comme une plaisanterie, déclarant que "n’importe qui sachant la situation en Tunisie avec la liberté d’Internet et de répression générale pourrait pouvoir rire au sujet d’it" [10]
traduction par outil informatique et moyens du bord de ce qui suit, pour toute réclamation ou précision, contacter le service des moyens généraux, si j’ose dire. Hasni
Tunisia The First, The Worst
The man appointed to organize the World Summit on the Information Society that Tunisia will host in November 2005is a Tunisian former secret policeman named Habib Ammar. He is well known by national and international human rights organizations for his use of torture. Tunisia’s choice of organizer clearly reflects the manner in which the Internet is managed in Tunisia as well as the Tunisian authorities’ vision of the Internet.
Ammar was the chief of the National Guard between 1984 and1987 , then the Minister of Interior in1988 . Despite then notoriety he gained for his use of torture against Tunisian detainees, he was appointed as chairman of the preparatory committee of the aforementioned Summit. During his visit to Switzerland in September2003 , two human rights organizations filed a complaint against him based on the UN International Convention against Torture which obligates Switzerland, as a state party, to apprehend perpetrators of torture in the case that they be within Switzerland’s jurisprudence.
Ammar was not arrested in Switzerland. Not because he was innocent or because the charges brought against him were not serious but because he, as a representative of a state member in the meetings of the World Summit, enjoys immunity according to the agreement made between the Switzerland government and the International Union of Technology (UIT). 1
The Internet in Tunis dates back to1991 . However, while Tunis was the first Arab state with exposure to the Internet, the majority Tunisians would gain access to the Internet long after that date.
A Tunisian statistical report, published on Middle East Online in November2003 , shows the number of Internet users in Tunis to be 550, 000people. The report states, "The number of the ’publinet’ net cafes has reached300 , located all over Tunisia. There are now 12 ISPs from public and private sectors."2
Till1997 -when there were an estimated 1200 subscribers-the number of Internet subscribers in Tunis was growing unhurriedly. In October 1997 the number of subscribers reached4000 ; in November1997 , 11,000. One can estimate from these numbers that the monthly growth rate of the Internet subscribers in Tunis to be8 .40%3.
In a promising statement that opened the Geneva Information Summit held in December2003 , the Tunisian president Zine Al-Abidine Ben Ali affirmed the significance of technological transformations in developing the information society. He went on to state that amongst the myriad ramifications of such technological transformation would be the establishment of a comprehensive and integrated concept of human rights which, in turn, would help establish freedom of expression, states’ autonomy, and people’s right to self-determination.4
The practical reality in Tunis is completely different from these statements. Tunisian Internet users do not have a variety of choices in the web sites they visit. As Human Rights Watch reports, "Tunis has a group of Internet legislations which are considered to be the region’s most detailed ones. Many of them were designed to insure that no criticism or free opinion could pass from the same oppressive laws imposed on the other mediums. The Internet Decree, issued in1997 , stipulates that ’Each ISP must submit, on a monthly basis, a list of its Internet subscribers to the "public operator" (the state-run ATI) (article8 , paragraph5 ) ; if the ISP closes down or stops providing services, it must "without delay" turn over to the "public operator" a complete set of its archives ("l’ensemble des supports d’archivage") as well as the means to read it (article9 , paragraph7 ).’ It also imposes a legal responsibility on the ISPs for the content of the web sites they host. The internet decree also bars encryption without prior approval from the authorities."5
When Zine Al-Abidine’s government, already known for its acute restriction of freedom of expression, appoints a former policeman as chief of the preparatory committee of the second phase of the Information Society Summit, and when the two largest ISPs in Tunisia are controlled by persons close to the Tunisian president, it is no surprise that the "publinet" net cafes common in many Tunisian cities are not permitted to allow their customers to log on websites considered offensive to the government. These websites were described by Al Hayat as rebel websites because they are intensively monitored by security forces.7
Tunisian censorship is not limited to rebel websites such as "Qos Al Karama," a website created by the Tunisian activist Galal Al Zoghlamy. The government goes even further, banning several international web sites such as the well known "Hotmail" website, many Palestinian websites, Egyptian websites (like Masrawy.com), human rights websites, and the Donia Al-Watan newspaper’s website. These websites are not interested specifically in the Tunisian situation ; the banning of these websites demonstrates the intensity of censorship in Tunisia.
When discussing the violations committed by the authorities against Tunisian lawyers, Mohammad Gabbor, the secretary-general of the Tunisian lawyers union, stated, "Lawyers have been exposed to many violations including sexual violations. The lawyers are frequently wiretapped and sometimes their lines are disconnected completely. The Ministry if Interior may change the direction of some fax lines to prevent transmission. Many web sites are blocked as well." (8) Zohair al Yehiawy : The first (but not last) prisoner of the Internet
On the20 th of June2002 , a Tunisian court sentenced the journalist Zohair Ben Said al Yehiawy, founder and editor-in-chief of the news website TUNeZINE, to two years and four months in prison. He had been charged of "disseminating false news" and "fraudulent use of a means of communication." He was even charged of theft.
Yehiawy was the first to distribute an open letter to the Tunisian president, written by Mokhtar Al Yehiawy, Zohair’s uncle and a judge, criticizing the independence of the Tunisian judicial system. This letter was the main reason behind the expulsion of Judge Yehiawy from his position in2001 .
Tunisian authorities have been using numerous illegal tools to monitor and harass political dissidents and human rights activists. Yet Yehiawy’s trial was the first of its kind, as it was the first time that the Tunisian judiciary was faced with a Tunisian cyber-dissident whose crime was to criticize the regime on the Internet.
The TUNeZINE website was known for its rigorous criticism of the police practices in Tunis. It contained articles censuring the state’s political situations written by authors who employed pseudonyms. Once Yehiawy posted a poll on the website asking readers, "Do you consider Tunisia to be a republic, a kingdom, a zoo, or a prison ?"9
In its press release issued on July16 th2003 , Reporters Without Borders secretary-general Robert Menrad said, "we condemn the hard line taken by the Tunisian judiciary with this cyber dissident, whose only crime is to have dared to denounce President Ben Ali’s totalitarian regime."10 The release of Yehiawy in November 2003 was an attempt on the part of the Tunisian government to improve the state’s image a month before5 +5 Summit was held in December2003 . Yehiawy was released on the condition that he not repeat the same actions that led him to jail, a condition that amounts to political censorship.
Visit a web site. Get behind bars
Banning websites offensive to authorities and detaining those who create these sites are normal strategies used in the Arab region and China. But to detain Internet users for merely visiting a website is a strategy unique to Tunisia.
On May14 th2003 , about 200 pioneering Tunisian political and human rights activists signed a petition calling on Tunisian authorities, including President Ben Ali, "to stop violating the individual and collective rights of expression. " The petition mentioned Maher Al Asmany, a 23 year old who had been tortured to death on the27 th of April 2003 inside the police center.11 The petition read, "During the last months, 40 young Tunisian men have been jailed, sentenced to long terms and tortured, just for logging on to some websites claimed by authorities to be terrorist web sites." The petition encouraged human rights activists and all civil society organizations to make the year 2003 a year for imposing freedom of expression in Tunisia.
The suffering of Tunisian net users led Reporters without Borders to issue a press release on03 /07/ 2003describing the UN decision to hold the 2005 World Summit on the Information Society in Tunis as a joke, stating that "anyone knowing a little about the situation in Tunisia with the Internet and press freedom generally might be able to laugh about it"12.
Footnotes 1. Swiss Info web site.14 /09/2003. Accessed on02 /02/2004. http://www.swissinfo.org/sar/swissi... 4270955 2. Middle East Online web site.05 /11/2003. Accessed on04 /01/2004 http://www.middle-east- online.com/technology/ ?id=19142 3. "Human Capital in the Information Society in Arab States," Arab Magazine for Sciences and Information,24 . 4. Middle East Online web site.10 /12/2003. Visited on02 /05/2004 http://www.middle-east- online.com/technology/ ?id=20000 5. "The Internet in Middle East and North Africa, Free Expression and Censorship. A report by Human Rights Watch,"1999 http://www.hrw.org/advocacy/interne... 6. BBC on Friday.06 /092002. Accessed on04 /01/04 http://news.bbc.co.uk/hi/arabic/mid... 7. Al Hayat. 9 September2002 8. Swiss Info website. 10 December2003 . Visited on 12 February2004 . http://www.swissinfo.org/sar/swissi... 4531154 9. Elaph electronic newspaper. 10 June2003 . 10. Press Release, Reporters Without Borders. 16 July2003 . Accessed on 17 January2004 . 11. Islam-Online.net. 14 May2003 . Accessed on 9 August2003 . http://www.islam-online.net/Arabic/... 05/14/article10.shtml 12. BBC on Friday. 6 September2003 . Visited on 4 January2004 . http://news.bbc.co.uk/hi/arabic/mid...