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6 septembre 2002
Après des années de clandestinité et sept mois de prison, il bénéficie d’une mesure de clémence
Quarante-huit heures après le rejet de son affaire en cassation et la confirmation de sa peine de trois ans et deux mois de prison ferme, l’opposant Hamma Hammami, 50 ans, a été remis en liberté conditionnelle, mercredi 4 septembre à Tunis, officiellement pour "raisons de santé".
Samir Tamallah, condamné comme lui pour appartenance au Parti communiste des ouvriers de Tunisie (PCOT, interdit) a également (...)