En réponse à :
19 mars 2003, par Omar Khayyâm
Par JOSة GARاON
Comment comprendre qu’un régime harcèle et martyrise tous ceux qui osent réclamer, pacifiquement, le respect des libertés publiques alors qu’il bénéficie du soutien tacite d’une bonne partie de la population et qu’aucune opposition ne le menace ? C’est le triste paradoxe de la Tunisie de Zine el Abidine Ben Ali qui, après douze ans de pouvoir, brigue, dimanche, un nouveau mandat. Car la "démocratie pluraliste" que le policier/ex-Premier ministre met sans cesse en avant, ressemble à s’y (...)