En réponse à :
13 octobre 2004, par Farah Turki
Après tant de déjections, de mugissements, de bruits et de sons il n’y a toujours pas l’ombre d’un espoir. Les Tunisiens qui voudraient changer les choses se sentent coincés. Coincés entre un régime qui tient des dossiers sur chacun de nous avec un indice de danger politique qu’il vaut mieux ne pas franchir,
coincés par nos concitoyens en qui nous ne pouvons pas avoir confiance, parmi lesquels on trouve beaucoup de vendus, des gens apparemment sans ambitions qui pourraient pourtant vous poignarder (...)