Mon amie ne sait pas rediger un com sur un article. Du coup il voulais souligner par ce commentaire qu’il est ravi du contenu de ce blog internet.
je vous remercie
bourguiba abderrazak
I like to party, not look articles up online. You made it hpaepn.
On est mardi 1er novembre 2011, déjà neuf mois que ben ali s’est enfui et il est caché, comme un rat, en Arabie Saudite. Son collègue Gaddafi a été tué.
Après la lecture de cette lettre, tout cela parait être comme un cauchemar pour celles et ceux qui ne l’ont pas vécu personnellement. Cependant, le mal a sévi longtemps, beaucoup trop longtemps en Tunisie. Il est temps que ça change.
Tout un système policier qui s’effondre, la justice vient de renaître, certes encore fragile mais sera équitable insh’Allah.
Oui il a un fils qui est mon meilleur ami et croyez moi, même si son père et loin de lui sa ne fait pas de lui un mauvais père il s’occupe très bien de lui et Selim va le voir de temps en temps. Je suis au cœur de cette affaire et je peux donc savoir les ressentis de chacun...
ةcoutez quand on ne connait pas la personne on ne juge pas ! Je connais personnellement Monsieur Tebourski et je sais que c’est un homme bon, et je pense que si il a demander a rester en France c’est surtout pour son Fils !
Ne le jugez pas car vous ne le connaissez pas comme je le connais ! Je suis la meilleure amie de son fils Selim. Je sais qu’Adel est un homme bon alors arrêtez tous vos blabla et essayer donc de comprendre le fond de la chose. Merci et bonne soirée
the death of an African giant
Par : Y. Mérabet
En outre, contrairement à ce que pensent aujourd’hui de nombreux libyens, la chute de Kadhafi profite à tout le monde sauf à eux. Car, dans une Afrique où les pays de la zone subsaharienne riche en ressources minérales tournaient complètement le dos à la France pour aller vers la Chine, il fallait bien que monsieur Sarkozy trouve un autre terrain fertile pour son pays. La France n’arrive plus à vendre ses produits manufacturés ou de décrocher un marché en Afrique, elle risque de devenir un PSD C’est pour cela que l’on a vu une France prête à tout pour renverser ou assassiner Kadhafi ; surtout quand l’on sait que la Libye est l’une des premières réserves en Hydrocarbures d’Afrique et de Sebha est la capitale mondiale du trafic Franco-libyen de concentré d’uranium Nigérien. Egalement, l’on sait que jusqu’ici, les populations libyennes n’avaient rien à envier aux Français, ils vivaient richement mieux sans se suer. Puisque Kadhafi faisait tout son possible pour les mettre à l’abri du besoin. Il est donc temps pour les libyens de choisir pleinement futur partenaire occidental. Car si en cinquante ans de coopération la France n’a pu rien apporter à l’Afrique subsaharienne. Vat-elle apporter maintenant aux libyens un bonheur supérieur à celui que leur donnait leur Guide. Rien à offrir à ces ignorants de libyens, sauf des repas communs dans les poubelles de la ville Paris, en France c’est déjà la famine ? Lui, qui durant plusieurs décennies était l’un des faiseurs d’hommes les plus efficaces sur le continent Africain. De son existence, Kadhafi était le leader le plus généreux d’Afrique. Pas un seul pays africain ne peut nier aujourd’hui n’avoir jamais gouté un seul pétro –Dinar du guide Libyen. Aveuglement, et motivé par son projet des Etats-Unis d’Afrique, Kadhafi de son existence a partagé l’argent du pétrole libyen avec de nombreux pays africains, qu’ils soient Francophones, Anglophones ou Lusophones. Au sein même de l’union Africaine, le roi des rois d’Afrique s’était presque érigé en un bailleur de fond très généreux. Jusqu’à l’heure actuelle, il existe sur le continent de nombreux présidents qui ont été portés au pouvoir par Kadhafi. Mais, curieusement, même pas un seul de ces élèves de Kadhafi n’a jusqu’ici eu le courage de lui rendre le moindre hommage.Au lendemain du vote de la résolution 1973 du conseil de sécurité de l’ONU, certains pays membres de l’union africaine sous l’impulsion de Jacob Zuma ont tenté d’apporter un léger soutien au guide libyen. Un soutien qui finalement s’est éteint totalement sans que l’on ne sache pourquoi. Même l’union africaine qui au départ conditionnait avec amertume la prise du pouvoir libyen par un groupe de terroristes et la reconnaissance du CNT libyen constitués de traitres, s’est finalement rétracté de façon inexplicable. Et curieusement, jusqu’aujourd’hui, aucun gouvernement consensuel n’a été formé en Libye. Depuis l’annonce de l’assassinat de Mouammar Kadhafi, cette union africaine dont Mouammar Kadhafi était pourtant l’un des principaux défenseurs et ayant assuré le dernier mandat, n’a encore délivré aucun message officiel de condoléance à ses proches ou de regret. Egalement, même ceux qui hier tentaient de le soutenir n’ont pas eu le moindre courage de lever leur petit doigt pour rendre hommage à leur mentor. Jusqu’à l’heure actuel, seul l’ancien archevêque sud-africain et prix Nobel de paix Desmond TUTU a regretté cet acte ignoble. Même le président Abdoulaye Wade que l’on sait pourtant proche des révoltés libyens n’a pas encore salué la mort de l’homme qu’il souhaitait tant. Le lendemain de sa mort, un vendredi pas un musulman n’a prié pour lui ?.. A ce jour, sur le continent Africain, seul l’homme de la rue et les medias ont le courage de parler de cette assassina crapuleux du guide libyen. Mais, cette attitude des dirigeants africains ne surprend personne, dans la mesure où l’on sait que chaque président a peur de se faire remarquer par un Nicolas Sarkozy qui est capable de tout si la tête d’un président africain ou d’un arabe l’énerve.
Conclusion La Libye et l’Afrique toute entière viennent de tourner une page d’or avec la perte de Mouammar .
Traitre et maudit que je sois, si j’étais un libyen ?
Journaliste indépendant (Algérian Society for International Relations)
119, Rue Didouche Mourad
Alger centre
J’ai écrit un livre qui mérite d’être lu :
TOUT EST POSSIBLE - L’AVENIR DE LA TUNISIE
Vous pouvez télécharger le livre sur mon site Internet :
http://www.go4tunisia.de
Dr. Jamel Tazarki
Allemagne
Ma mére Térésa oui notre mére je suis abderrazak bourguiba le frére de mon meilleur ami Farouk .
vous peut etre me connait mais je pense pas que nous avont eu l’occasion de vous voir .
je suis désolé pour ce qui a passé pour mon frére Farouk .
Omar etait un homme exeptionnel un vrai homme j’ai passé avec lui 6 mois dans le prison nous étions plus que deux fréres.
soyez fiére de Farouk
et que la paradi soit pour lui
La Monarchie Constitutionnelle est l’avenir est la garantie des droits et libertés pour la Tunisie, la Libye et toute l’Afrique du Nord. Le Roi est l’âme du peuple, Il est porteur du sentiment d’unité nationale et du patrimoine historique du peuple. LA MONARCHIE CONSTITUTIONNELLE EST LE PLUS SUR MOYEN POUR EVITER QU’UN PRESIDENT FINISSE UN JOUR EN DICTATEUR (voyez le cas du roi d’Espagne, sauveur des libertés après le Franquisme).
Bonjour Mesdames, Messieurs,
Je souhaite attirer votre attention sur le faite que ce Barbouze comme vous le dites, a retourné sa veste à l’instant où il s’est assuré du départ définitif du ZABA plus exactement le 18 Janvier 2011.
Mais encore ce dernier qui détient pas un seul titre comme auprès du RCD mais aussi faison parti de plusieurs association et surout la chambre Franco-Tunisienne de marseille ou il a volé récemment le portfolio pour se faire une nouvelle peau et une nouvelle virginité auprès de la Tunisie, avec un pseudo symposium tenue au pôle technologique sis à la Gazelle (Ariana).
Rappel du passé : Khaled Néji représentant de l’office de l’huile près du consulat générale de Tunisie à Marseille a été victime de sa (Stoufida).
Monsieur Kahled Néji a été limogé de son poste, radié de ses fonctions, décédés suite à une attaque cardiaque après avoir visité les prisons Tunisiennes
Je souhaite que cette personne n’intervienne plus sur le sol Tunisien afin de crée des réseaux encore pire qu’avant et revenir au pouvoir par la fenêtre.
Aidez moi à dire la vérité sur ce malheureux de la Sbikha (kairouan) qui fout la honte à son peuple.
Ce Virus, qui trompe sa femme sans scrupule ni honte. A trahit ce que nos ancêtres ont essayé de bâtir, bravour, fraternité dévouement, sincérité.
Il est et il sera toujours à l’antipode des Tunisiens , lèches botes et au plurielles
Vive la Tunisie sans hypocrites
bonjour je suis tres heureuse que mr tlili soit libere mais je n arrive pas avoir de nouvelles precises je tiens a dire que c est un MONSIEUR exceptionnel et qu il ne merite vraiment pas ce qu il a endure j aimerai pouvoir lui exprimer tte ma sympathie
Voilà quatre ans se sont écoulés et votre combat a porté ses fruits. J’aurais pas osé signer ces quelques mots par mon nom réel si vous n’avez pas milité pour ’ma’ liberté. Reconnaissante et le mot ne peut résumer ce que je ressens et tout le respect que je vous porte.
Merci...
Lilia Weslaty
Les petits cons s’amusent à faire leurs graffitis imbéciles même sur les statues couvertes de prestige et d’histoire de Carthage ; on en a maintenant fini avec Ben Ali, avec la censure et l’étouffement des idées et de coeur opéré par son régime. Mais on en finira jamais avec l’idiotie des fondamentalistes islamiques qui promenent leurs femmes en burka, parce que c’est la seule façon par laquelle savent voir une femme : comme une bête dangeureuse. On en finira pas facilement, terrible dictature, avec ceux qui demandent maintenant de couper les mains, les jambes et les bras, suivant l’obsolète loi coranique, sans se faire aucun souci de l’Homme. Jésus, le Christ en est le plus grand champion, le Rédempteur de l’humanité, Lui qui a porté la Croix pour nous TOUS ; quant à la mafia et à al-Capone, nous les plaçerons comme un héritage historique de cet islam que tant s’acharnent à défendre par l’ignorance (mafia vient de l’arabe dialectal anciene "mafiah", c’est-à-dire "protection", la mafia est nait et c’est culturellement radiquée dans une ancienne terre d’islam, la Sicile)
j’ai aimé ce que vous pensé . suis de ton coté. tu me trouvera a l’appui
Vie des partis et des organisations
ATFD : Le
6ème congrès samedi prochain
L’Association Tunisienne des
Femmes Démocrates (ATFD) tiendra son 6ème congrès samedi prochain à
partir de 15 heures à l’Espace El Teatro au complexe El Mechtel de Tunis. En
marge du congrès une table ronde sera organisée sur le thème "Changements des
mentalités. Progression ou régression".
ATJA : Aujourd’hui répartition
des tâches
La répartition des tâches au sein du comité directeur de
l’Association Tunisienne des jeunes avocats (ATJA) élu samedi dernier est
prévue, sauf report, pour cet après-midi.
MDS : Conseil National de la
tendance Mohsni
La tendance du Mouvement des Démocrates Socialistes (MDS)
dont le chef de file est M. Taïeb Mohsni tiendra son conseil national le 21 mars
courant à Nabeul. A l’ordre du jour : la réconciliation. A noter que le groupe
n’a pas répondu à l’appel lancé par M. Ismaïl Boulehya pour rejoindre dans le
cadre de cette réconciliation la structure légale du Mouvement M. Mohsni exige,
au préalable, des garanties.
LTDH : Congrès de la section
d’Hammam-Lif, Ezzahra et Rades
ہ l’issue des travaux du congrès de la
section D’Hammam-Lif Ezzahra de la ligue tunisienne des Droits de l’Homme (LTDH)
tenu samedi dernier un nouveau comité directeur de la section a été élu. En
voici la composition
- M. Ridha Borkani : Président
- Mme Halima Jouini :
Vice président
- M. Jamel Malki : Vice président
- M. Amor Sbika :
Secrétaire général
- M. Mohamed Lassed Slimane : Secrétaire général
adjoint
- M. Abdallah Gram : Trésorier
- M. Moncef Chrigui : Trésorier
adjoint
PDP : Réunion du comité central
Le Comité Central du
Parti Démocratique Progressiste (PDP) a tenu dimanche dernier sa 6ème
réunion périodique en présence du secrétaire général du parti M. Nejib Chebbi. Au cours de cette réunion les membres du comité central ont examiné le programme électoral du parti pour les prochaines échéances électorales et la restructuration des fédérations et des sections du parti.
N.S.
© Le
Temps
3 mars 2004
Langage du Temps
La contre-offensive
L’initiative américaine du "Grand Moyen-Orient", n’a pas laissé les arabes de
marbre. L’Amérique semble aller loin dans ses ambitions, ce qui n’a pas l’heur
de plaire aux pays arabes qui se sont sentis offensés, visés voire menacés. La
contre-offensive n’a pas tardé à se manifester. L’ةgypte a en effet soumis un
contre-projet à la session extraordinaire des ministres des Affaires étrangères
de la ligue arabe du Caire, pour couper l’herbe sous les pieds du projet
américain. Un très bon pas. Le projet égyptien exhorte les pays arabes
d’accélérer le processus de réforme, une manière de dire qu’il ne faut pas
laisser le champ libre aux Américains, pour se servir d’un quelconque prétexte
pouvant justifier une plus grande ingérence, autrement plus redoutable, dans les
affaires du monde arabe.
L’observateur averti de l’évolution des événements
sur la scène internationale n’est guère étonné de "l’offre américaine". Celle-ci
était prévisible et s’inscrit dans l’ordre naturel des choses. Ce qui l’est
toutefois moins, c’est cette indifférence irréductible voire cette inaction
étrange et surannée du monde arabe.
Pourtant, le temps n’est plus à
l’immobilisme... Les pays arabes n’ont d’autres choix, à l’heure qu’il est, que
de se prendre en charge et de se réformer avant qu’une partie étrangère ne
décide et cela commence déjà de faire le travail à leur place. Certes, toute
réforme, pour qu’elle soit réussie et concluante doit émaner de l’intérieur...
elle doit répondre à un appel du peuple, tenir compte des spécificités
socio-économiques et culturelles du pays. Les peuples arabes, quoique assoiffés
de démocratie et de liberté, refusent catégoriquement, de leur côté, qu’une
force étrangère leur propose une formule démocratique clef en main... ils
demandent que ces réformes viennent de l’intérieur... et qu’ils soient mis à
contribution dans leur développement et leur fructification. Mais, cette attente
tarde à aboutir les pays arabes ont fait montre pendant de longues décennies
d’une passivité surprenante pour sortir leur pays de l’archaïsme et du
sous-développement politique. Ils se sont plu de garder le statu quo, tournant
le dos à toute tentative d’ouverture et de démocratisation. Parallèlement, le
reste du monde, fait de l’ouverture et de la libre circulation de l’information,
presque une religion. Résultat : le monde arabe s’est trouvé brusquement en
profond déphasage avec son environnement international. Son enfermement et sa
frilosité le montrent sur l’échiquier mondial, comme une entité incapable
d’avancer par elle-même... un comportement qui a été interprété par l’Amérique
comme un appel implicite à l’assistance.
Maintenant, les déclarations
américaines semblent secouer les arabes et les inciter à l’action. Tout l’espoir
est que leur réaction ne soit pas un fait momentané et fugace voire de simples
paroles lancées pour calmer les esprits et écarter les menaces.
Aujourd’hui,
les pays arabes sont au pied du mur. De deux choses l’une : où bien ils décident
de suivre la marche du monde vers l’ouverture et le développement, ou bien ils
vont subir de plein fouet les conséquences de leur hermétisme invétéré à tout
projet de réforme...
Hajer Jeridi
© Le Temps
2 mars 2004
Rencontre
« L’Irakienne en nous »
Le Centre Kaoutar et
l’Espace El Teatro, viennent d’organiser la rencontre avec la journaliste
Irakienne Imaan Kachachi qui vient de publier une sorte d’anthologie commentée
sur les écrivaines Irakiennes contemporaines. "Paroles d’Irakiennes" (édit. du
Serpent à Plumes), évoque le point de vue caractéristique des femmes sous 20 ans
de guerre. La rencontre a permis d’extrapoler et de mettre à jour les
informations qui dataient de la parution, il y a un an.
Imaan insiste sur le
fait que la perception de la situation et des conséquences de ces 3 guerres,
apparaît plus facilement aux femmes, dans la mesure où elles ne sont pas, comme
les hommes constamment soumises au qui-vive du front qui empêche de penser : "Les
hommes n’ont plus le temps de s’interroger", précise Imaan, résumant les
citations tirées de nouvelles et de romans d’écrivaines irakiennes, Les combats,
la mobilisation à long terme déréalisent. Que reste-t-il en effet du sens de la
vie ? Nombre de romans ou nouvelles l’explicitent : le guerrier au retour, en
permission, se trouve déphasé, vis-à-vis de ses proches. "Pas d’avenir, pas de
mariage, avec la paupérisation grandissante", ajoute-t-elle. L’édition,
elle-même, subit des contrecoups ; on écrit sur des supports d’emballage, des
feuilles déjà utilisées d’un côté. Et de nous rappeler ce qu’elle nomme « la
littérature rapiécée », corrigée et complétée par des collages... « Car la seule
littérature acceptée, voire récompensée devait correspondre aux directives du
régime » : une romancière s’est suicidée à la parution de son livre à l’étranger.
Pas d’exotisme, mais la ténacité de continuer sur des bouts de papier de
récupération. Dans le même temps, le nombre des quotidiens est passé de "4 à
130" ; tant le besoin d’expression est vital : « même si le niveau de vie était
supérieur, la vie était étouffante sous Saddam : le nombre d’enseignants liquidés
est impressionnant ; pour raison d’opinion divergente ». Et d’expliquer combien
les acquis antérieurs se sont dégradés. Naziha Galami, 1ere femme ministre,
tentait en 1959 de faire instaurer une loi sur l’égalité hommes-femmes ; avec un
programme de scolarisation ; ce qui lui vaudra plus tard, son limogeage, et le
retour aux lois rétrogrades avec la poussée islamiste.. Les effets de la guerre
n’ont pas apporté que ruines, mais retour à bien des siècles antérieurs, avec
« la suppression de la scolarité pour les filles, le travail pour les garçons de
8 ans, la corruption des enseignants ». « Si bien qu’on peut constater que la
grand-mère porte la coiffe traditionnelle, la fille est tête nue, et la
petite-fille est voilée ». A cette régression s’ajoute le manque de sécurité qui
se vit au quotidien des familles : kidnappings, viols, meurtres. La croissance
du brigandage peut s’expliquer de cette façon : « Le régime dictatorial a
fragilisé la société en faisant le vide autour de lui ; sans autorisation de
fonder associations et syndicats, le citoyen est peu amené à se prendre en
charge, tout comme à jouer un rôle social ou solidaire ; l’armée effondrée...
plus de barrière au déferlement de la violence et des pillages. L’Irak vit un
véritable séisme : « pas seulement au niveau de la destruction des
infrastructures, mais aussi au niveau moral ; le manque de civisme, des
civilités, sont des exemples de cette dislocation ». « Et sur ces impressions de
cataclysme, l’avenir immédiat ne, se présente pas sous les meilleurs auspices.
Comment trouver un consensus pour asseoir l’avenir ?
MAK
© Le
Temps
2 mars 2004
ةlections du Comité directeur de l’Association des Jeunes Avocats
Deux
listes ont raflé la mise
L’alliance entre ceux qu’on désigne comme étant de gauche et ceux proches du
Rassemblement s’est partagé les postes au sein du nouveau Comité
directeur.
Des alliances de dernière minute ont brouillé les cartes lors de
l’élection du Comité directeur de l’Association Tunisienne des Jeunes Avocats
(ATJA) qui s’est déroulée samedi au siège de l’Association à Tunis. Surtout
celle conclue dans les coulisses entre les candidats de la liste
professionnelle, syndicale et indépendante conduite par Me Naziha Jomâa et celle
dénommée « l’avocatie avant tout », conduite par Me Maher Essid. Une alliance
entre ceux qu’on désigne comme étant de gauche et ceux proches du Rassemblement.
Ces deux listes ont réussi ainsi à se partager les neufs postes au sein du
nouveau comité directeur de’ l’Association écartant ainsi les candidats des deux
autres listes en lice celle conduite par le secrétaire général sortant Me Khaled
Krichi et celle de Me Mohamed Abou et de même les candidats qui se sont
présentés à titre individuel.
Renouvellement pour les observateurs les
résultats de ces élections ne constituent pas une surprise et les alliances
nouées à la dernière minute ont visé la liste dite du bâtonnier Me Béchir Essid
qui est conduite par Me Khrichi et dans une moindre mesure celle de M. Abou. Des
alliances derrière lesquelles comme l’affirme un membre du Comité sortant
dirigées surtout contre le bâtonnier.
En tout cas, le taux de renouvellement
au sein du nouveau comité est très élevé. Des neufs membres élus seul Me Maher
Essid compte parmi les anciens membres. Voici la composition du nouveau comité
et les résultats des élections.
- Me Naziha Jomâa : 333 voix
- Me
Lotfi Arbi : 310 voix
- Me Mohamed Saïdana : 293 voix
- Me Maher Essid :
289 voix
- Me Ramzi Jebabli : 285 voix
- Me Samir Bouaziz 275 voix
- Me
Mounir Ben Smida 260 voix
- Me Zouheira Ben Brahim : 249 voix
- Me Chokri
Rahmani : 206 voix
Néjib SASSI
© Le Temps
2 mars 2004
Parti de l’Unité Populaire
Exclusion de Adnane Bel Haj
Amor
Les membres du conseil central de l’Unité Populaire (PUP) réunis
samedi et dimanche à Amilcar ont décidé d’exclure M. Adnane Bel Haj Amor de
toutes les structures du parti. Déjà lors de leur première réunion, le Conseil
Central a décidé de l’exclure du Bureau Politique. Contacté M. Mohamed Bouchiha,
secrétaire général du PUP, a déclaré : "cette décision a été prise par le
Conseil Central pour plusieurs raisons rappelez-vous que M. Adnane Bel Haj Amor
a été contesté par les militants du parti lors de son 6eme congrès qui s’est
déroulé à Bizerte ».
« Des trucs » ?
Pour sa part M. Adnane Bel Haj Amor nous
a déclaré : « Je pense que c’est une décision prise suite à des allégations qui
ne sont pas vraies et je ne pourrai me prononcer que quand j’aurai des éléments
en main, au moins un élément. Je me demande pourquoi le Bureau Politique ne m’a
pas invité à me prononcer sur ce qu’il pourrait me reprocher à moins que ce ne
soit des « trucs » récents mais je pense vous assurer que je n’ai placé aucune
bombe pendant les 48 heures qui ont précédé la tenue du Conseil
Central ».
Néjib SASSI
© Le Temps
2 mars 2004
RCD - Formation
Conférence sur « le marketing politique dans les
campagnes électorales »
Les travaux de la conférence régionale des
formateurs des premières, deuxième et troisième années de la formation de base
du Rassemblement, qui se tiennent depuis les 27 et 28 février, se sont
poursuivis hier à la maison du RCD à Tunis. Dans une communication intitulée
« L’amendement du Code électoral, une réforme constante », M. Zouhaïr M’dhaffar,
membre du Comité central du RCD et directeur général de l’institut Tunisien des
ةtudes Stratégiques (ITES), a souligné la place importante du Code électoral
dans la hiérarchie des lois, précisant que le Code électoral est le deuxième
texte fondamental après la Constitution dont il complète les dispositions,
s’agissant en particulier des prérogatives des pouvoirs exécutif et législatif
et du Conseil constitutionnel. Il a ajouté que l’amendement du Code électoral
témoigne du souci constant du Président Zine El Abidine Ben Ali de conférer
davantage de transparence et de crédibilité à l’opération électorale, affirmant
que les différents partis politiques ont eu la possibilité, à la faveur de cet
amendement, d’exprimer leurs opinions soit en présentant leurs propositions ou
en participant au conseil supérieur du Pacte national, créé au début des années
1990.
Par ailleurs, l’orateur a fait état des amendements qui ont été
introduits sur le Code électoral de 1988 à 1998, soulignant que ces amendements
ont permis d’assurer davantage de garanties aux candidats et aux représentants
des différentes formations politiques et d’obtenir des sièges à la Chambre des
Députés et aux conseils municipaux. Il a précisé que le dernier amendement du
Code électoral, ordonné par le Président Zine El Abidine Ben Ali, a permis
d’instituer la révision permanente des listes électorales et du principe de la
signature par l’électeur de la liste électorale, de faciliter les conditions du
choix des observateurs, de réduire le nombre des bureaux de vote et d’élargir
les délais de distribution des cartes électorales. M. Zouheïr M’dhaffar a
souligné que ces réformes structurelles et ces importantes améliorations sont
venues apporter la preuve de l’attachement du Président Zine El Abidine Ben Ali
à enraciner la pratique démocratique et à permettre au citoyen tunisien, où
qu’il soit, d’accomplir son devoir électoral dans les meilleures conditions. M.
Khalil Ben Saâd, expert et formateur en techniques du management, a donné une
conférence sur « Le marketing politique dans les campagnes électorales », qui,
a-t-il précisé, constitue un outil de travail fondamental dans l’activité
politique. Il a passé en revue, dans ce cadre, les principaux axes de la
stratégie de communication politique qui repose notamment sur la promotion du
programme électoral, la mise en exergue des acquis et réalisations accomplis à
court, moyen et long terme, le contact direct avec les structures et la base et
la consolidation de la relation avec les médias. Il a également indiqué que le
succès des élections est tributaire, en grande partie, de la capacité de
convaincre les électeurs et de la qualité du contact direct avec la population
sur le terrain. La mise à contribution du marketing politique lors des
prochaines campagnes électorales constitue un élément d’enrichissement de la vie
politique, a précisé M. Khalil Ben Saâd, soulignant qu’il est tout à fait
légitime pour le RCD de mettre en valeur les réalisations et acquis accomplis en
Tunisie, sous la conduite du Président Zine El Abidine Ben Ali et qui ont
contribué à l’édification d’une société fondée sur la solidarité et
l’entraide.
© La Presse
29 février 2004
Conseil central du PUP
Le dialogue au service de la
réforme
Plus haute instance de décision entre deux congrès, le
Conseil central du Parti de l’unité populaire (PUP) s’est réuni, hier, à l’hôtel
Amilcar, dans la banlieue nord de Tunis, sous la présidence du secrétaire
général de ce parti d’opposition représenté à la Chambre des Députés, M. Mohamed
Bouchiha.
Bien qu’il s’agisse d’une session ordinaire de cette instance de 80
membres élus par le congrès, qui tient lieu de comité central, la réunion, qui
doit se poursuivre ce matin, prévoit d’affiner les préparatifs en vue des
importantes échéances électorales de novembre prochain et d’établir, dans ses
grandes lignes tout au moins, le programme électoral du PUP. Dans le discours
d’ouverture qu’il a prononcé hier, M. Mohamed Bouchiha a réitéré le choix
fondamental de son parti d’une lutte de longue haleine basée sur un
« militantisme de principe » qui est la voie de « la nouvelle opposition
nationale », de « la contribution au renforcement des fondements de la mutation
démocratique » et de « l’édification de l’ةtat de droit et des institutions ». M.
Bouchiha a rappelé l’engagement de sa formation en faveur du dialogue en tant
que porte d’accès essentielle pour « faire évoluer davantage la société »et pour
« garantir la réforme », ainsi qu’en tant qu’outil permettant d’élargir l’espace
des tâches nationales qu’ont en commun les différentes familles politiques. Et
au centre de ces tâches, l’attachement à la souveraineté nationale, le respect
des institutions et le rassemblement autour d’objectifs fondamentaux communs,
dont en premier lieu la cohésion sociale.
Pour M. Mohamed Bouchiha, le rôle
de l’opposition ne consiste pas tant à faire état des insuffisances qu’à
présenter des conceptions, visions et programmes permettant d’atteindre les
objectifs des plus larges couches sociales du pays. Et le secrétaire général du
PUP d’indiquer que c’est dans le cadre de cette démarche que son parti adhère
depuis le 7 novembre 1987 au principe du dialogue avec le pouvoir afin de
consolider les acquis et réaliser des avancées nouvelles. M. Bouchiha a réitéré
la décision du PUP de participer aux élections présidentielles et législatives
de cette année ainsi que de se préparer en vue des municipales de
2005.
L’orateur a émis le voeu que les prochaines échéances électorales
permettront de consolider davantage le processus politique national, estimant
que celui-ci avait déjà, notamment par la réforme constitutionnelle de mai 2002,
jeté les bases d’une République nouvelle. Ce que le Président Ben Ali appelle :
la République de demain.
M’hamed JAIBI
© La Presse
29 février
2004
Me Nadhir Ben Yedder
« Défendre les intérêts des jeunes avocats »
Le Temps : Vous vous présentez à titre individuel. Pourquoi ce choix ?
Me
Nadhir Ben Yedder : Je me présente avant tout pour exprimer des orientations
d’ordre professionnel, démocratique et progressiste. Pour moi l’association doit
consolider son indépendance et son rayonnement. Aujourd’hui on peut constater
aisément que l’association a perdu de son rayonnement, il y a comme une sorte de
démission des jeunes avocats vis-à-vis de leur association.
Comment
jugez-vous les relations de l’association et du Bâtonnier ?
- Je ne suis pas
membre du comité directeur pour en juger mais je crois avant tout à
l’indépendance de l’association qui ne doit en aucune façon devenir un outil de
propagande électorale.
C’est-à-dire ?
- L’association doit préserver sa
vocation et défendre les intérêts des jeunes avocats et les encadrer.
Aujourd’hui la situation matérielle surtout des jeunes avocats s’est
dégradée.
A titre d’exemple la couverture sociale est devenue une nécessité
impérative.
- Comment envisagez-vous votre campagne électorale ?
- Avec
sérénité. En tout cas, la profession constitue une sorte d’école de la
démocratie.
© Le Temps
27 février 2004
Me Mohamed Abbou
« La profession avant tout »
Le Temps : Quelles sont les grandes lignes de votre programme d’autant plus
que vous vous représentez pour la deuxième fois ?
Me Mohamed Abou :
L’encadrement professionnel culturel et scientifique des jeunes avocats. La
défense de l’intégrité morale de la profession et son indépendance, la
contribution à son rayonnement et la défense de t’indépendance de la
magistrature et des libertés et des droits de l’homme.
- Comment jugez-vous
le bilan du comité directeur sortant ?
- Généralement positif. Nous avons
travaillé collégialement. Il n’y avait pas de désaccords on prenait les
décisions à la majorité. Mais malheureusement à la fin du mandat un différend a
surgi à propos du projet d’amendement du statut de l’association.
- Vous
allez briguer le poste de président ?
- C’est prématuré. Lors des dernières
élections j’ai préféré laisser la place à celui qui a plus d’expérience. Cette
fois-ci je ferai de même si la même chose se renouvelle.
- On dit que les
relations de l’association et du bâtonnier ne sont pas au beau fixe ?
- En
tant que membre du comité directeur de l’association j’ai soutenu le bâtonnier
et les revendications syndicales qu’il a avancées afin que la profession soit
unie. Le comité directeur de l’association a même publié un communiqué dans
lequel il soutient le bâtonnier comme étant le seul représentant des
avocats.
Mais après l’assemblée extraordinaire de l’association sur le projet
d’amendement du statut j’ai critiqué ouvertement, bien sûr en tant qu’avocat et
non en tant que membre du comité directeur, le Bâtonnier.
- Et les relations
avec la section du conseil de l’ordre de Tunis ?
- On a trouvé un soutien
total de la section de Tunis. Mais ce que je reproche à la section c’est une
sorte de laxisme concernant la question de discipline.
- De quoi souffre,
d’après vous, la profession ?
- De la politisation, il faut que les avocats
défendent avant tout la profession loin des préjugés partisans.
Nous croyons
surtout au travail associatif et à l’esprit de groupe pour promouvoir la
profession.
© Le Temps
27 février 2004
Information - Association
ةclairage sur les amendements du statut de
l’AJT
Le bureau directeur de l’Association des journalistes tunisiens
(AJT) a tenu, mercredi matin au siège de l’Association, une conférence de presse
au cours de laquelle il a fait la lumière sur les amendements apportés au statut
de l’AJT et adoptés récemment, à une large majorité, lors d’un congrès
extraordinaire de l’association.
M. Mohamed Ben Salah, président de l’AJT, a
précisé que l’amendement du statut de l’association est dicté par la nouvelle
dynamique que vit le secteur de l’information, en raison, notamment, de
l’augmentation du nombre des journalistes. Il a ajouté que ces amendements sont
de nature à imprimer un nouvel élan à l’action de l’association et à lui
permettre de répondre aux exigences de l’étape à venir.
Il a fait observer
que plusieurs rencontres ont précédé la tenue du congrès extraordinaire,
auxquelles ont participé des journalistes exerçant dans toutes les régions du
pays et au cours desquelles a été examiné le projet d’amendement élaboré par une
commission spéciale formée en décembre 2003 par le bureau de l’AJT.
Il a
affirmé que le congrès extraordinaire, réuni le 13 février, a mis en évidence la
conscience des journalistes quant à la nécessité de renforcer le travail
collectif au sein de l’association.
Le président de l’AJT a précisé que
l’objectif des amendements est de faire participer le maximum de journalistes à
l’action de l’association, à travers la création de nouvelles sections élues qui
agiront dans le cadre du bureau directeur élargi, lequel comprendra, outre les
membres du bureau directeur, les membres suppléants et les présidents des
sections.
Il a déclaré que le congrès de l’AJT se tiendra en 2004, après le
parachèvement de la restructuration de l’association.
© La Presse
27 février 2004
L’Association des journalistes tunisiens tient une conférence de presse sur l’amendement de son statut
Le bureau directeur de l’Association
des journalistes tunisiens (Ajt) a tenu une conférence de presse au cours de
laquelle il a fait la lumière sur les amendements apportés au statut de l’Ajt et
adoptés récemment, à une large majorité, lors d’un congrès extraordinaire de
l’association.
M. Mohamed Ben Salah, président de l’Ajt, a précisé que
l’amendement du statut de l’association est dicté par la nouvelle dynamique que
vit le secteur de l’information, en raison, notamment, de l’augmentation du
nombre des journalistes. Il a ajouté que ces amendements sont de nature à
imprimer un nouvel élan à l’action de l’association et à lui permettre de
répondre aux exigences de l’étape à venir.
Il a fait observer que plusieurs
rencontres ont précédé la tenue du congrès extraordinaire, auxquelles ont
participé des journalistes exerçant dans toutes les régions du pays et au cours
desquelles a été examiné le projet d’amendement élaborépar une commission
spéciale formée en décembre 2003 par le bureau de l’Ajt.
Il a affirmé que le
congrès extraordinaire, réuni le 13 février, a mis en évidence la conscience des
journalistes quant à la nécessité de renforcer le travail collectif au sein de
l’association.
Le président de l’Ajt a précisé que que l’objectif des
amendements est de faire participer le maximum de journalistes à l’action de
l’association, à travers la création de nouvelles sections élues qui agiront
dans le cadre du bureau directeur élargi, lequel comprendra, outre les membres
du bureau directeur, les membres suppléants et les présidents des
sections.
Il a déclaré que le congrès de l’Ajt se tiendraen 2004, après le
parachèvement de la restructuration de l’association.
© Info Tunisie
25 février 2004
Association Tunisienne Des Jeunes Avocats
45 candidats pour l’élection
de samedi prochain.
4 des 9 membres du comité sortant ont renouvelé leurs
candidatures et comptent briguer des postes clés au sein du nouveau
comité.
Comme à leur habitude les jeunes avocats ont cultivé le
suspense jusqu’au bout Vendredi dernier jour de la clôture du dépôt des
candidatures pour l’électionsamediprochain, du nouveau comité directeur de
l’Association Tunisienne Des Jeunes Avocats, on a totalisé 45 candidatures avec
17 déposées à la dernière minute dont notamment 4 membres du Comité sortant, le
secrétaire général M. Khaled Krichi, M. Mohamed Abbou, M. Maher Essid et Melle
Leila Ben Mahmoud.
Test
Ces, derniers, forts de leur expérience,
pourraient selon des sources proches de l’association briguer des postes clés au
sein du nouveau comité directeur.
M. Krichi qui avance-t-on est le candidat
du bâtonnier Me Béchir Essid est en train de constituer une liste, de même M.
Abou qui a obtenu lors des élections de 2002 le plus grand nombre de
voix.
Mais chez les avocats en général rien n’est joué d’avance et les
pronostics sont parfois trompeurs. Et cette année avec l’élection du bâtonnier
et du Conseil de l’Ordre en juin prochain, l’Association des jeunes avocats
serait un test pour les différentes parties qui se positionnent pour ou contre
la réélection de M. Essid.
Liste
Et à quatre jours de la tenue de
l’Assemblée générale élective de l’ATJA, les a1liances se nouent et se dénouent
dans les coulisses. Quatre listes, croit-on savoir, seraient en lice mais
plusieurs candidats des 45 déclarés se présenteront à titre individuel.
Voici
les noms des 45 candidats :
Mounir Ben Salha, Neziha Jomâa, Mohamed Hedi
Abidi, Ramzi Jebali, Sami Chtourou, Mohamed Saïdana, Ahmed Smata, Boulbaba Goma,
Zouheïra Ben Brahim, Mohamed Ali Belaïd, Sami Bouaziz, Lemya Abidi, Hajer Ouinâ,
Nabil Sabaï, Adel Bouguerra, Moufida Belguith, Hassen Toukabri, Najoua Ben Sâad,
Maher Essid, Hatem Maâtoug, Amor Bouallag, Leïla Ben Mahmoud, Maher Ouakaâ,
Samir Dilou, Lotfi Arbi, Mondher Charni, Mounir Ben Smida, Abdelaziz Essid,
Khoutheïr Bouallag, Karim Ben Raman, Mohamed Ben Smida, Issam Saâlani, Houda
Jebali, Abdessamed Yahyaoui, Ahmed Kamilan, Khaled Krichi, Chokri Rahmani, Atef
Ben Salah, Tahar Yahya, Abdelhamid Abdallah, Oussama Bouthelja, Taoufik
Yahyaoui, Chawki Halfaoui, Mohamed Abbou et Nadhir Ben Yedder.
Nejib
Sassi
© Le Temps
24 février 2004
LTDH : colloque sur les droits de l’homme
La ligue tunisienne de
doits de l’homme (LTDH), organise demain à 17 heures et après demain à partir de
14 heures, un colloque sur « les mécanismes internationaux et régionaux pour la
protection des droits de l’homme », et ce à son siège 21, rue Baudelaire à
Tunis.
PSL : réunion du bureau politique
Dans un communiqué
publié hier, le parti social libéral (PSL) a annoncé que son bureau politique
qui s’est réuni samedi a étudié le projet présenté par le président du parti Me
Mounir Beji concernant l’avenir de la société libérale et a décidé de soumettre
ce projet aux structures de base du parti.
D’autre part le bureau politique a
dénoncé « la pression que subit le président du parti » et il a étudié les
conséquences du procès intenté contre le parti par des exclus et des
démissionnaires. Le bureau rappelle à cet effet que le président du parti a été
élu directement par le congrès et ne peut être remplacé que par un
congrès.
Précision :
les deux étudiants M. Zeghidi Nadhem et
Anis Ben Fredj de la faculté de lettres et des sciences humaines de Sfax qui ont
été de nouveau autorisés à se réinscrire après le renvoi par le conseil de
discipline (voir le temps du 20/02/2004) nous ont ,envoyé un fax samedi dernier
dans lequel ils précisent que la décision de leur réintégration à la faculté n’a
pas été prise par le rectorat suite à une intervention de M. Ezzeddine Zaâtour
secrétaire général de l’UGET « qu’ils ne reconnaissent pas »,
écrivent-ils.
Nejib Sassi
© Le Temps
24 février 2004
ASSOCIATION DES JEUNES AVOCATS
43 candidats et 4 listes en lice
!
Les élections du bureau de l’Association Tunisienne des Jeunes Avocats (ATJA) s’annoncent particulièrement chaudes. Après les hésitations, le flot des candidatures a été massif puisque nous enregistrons 43 candidats.
Quatre grandes listes seront en lice :
- La liste du bâtonnier, une
première selon certaines sources puisque traditionnellement celui-ci
n’intervenait pas dans ces élections avec entre autres MM. Khaled Krichi ou
Mondher Cherni.
- Une liste des constitutionnalistes destouriens formée
entre autres des Maîtres Maher Essid ou Sami Bouaziz.
Et enfin la liste des
indépendants se réclamant de la gauche démocratique et progressiste formée entre
autres des Maîtres Naziha Jomaâ, Mohamed Hédi Laâbidi ou Ramzi Jebabli.
© Tunis Hebdo
23 février 2004