En réponse à :
19 novembre 2003, par hasni
La semaine dernière, Angelica se demandait dans son « non-édito » où étaient passés les Tunisiens vivants ? où se cachaient les forces vives de la Tunisie alors que le « silence tunisien » continuait de tuer à coup de clandestins noyés, de détenus politiques martyrisés, de grèves de la faim à répétition tant dans les prisons, les usines que dans les foyers des militants des droits de l’homme.
La semaine dernière, en lisant ce texte, j’étais effondré et j’avais honte. Honte que si peu de personnes se soient (...)