En réponse à :
23 février 2005
Avec le dernier rapport sur la Tunisie de l’IFEX un autre chapitre du livre noir de la dictature s’ajoute dans le dossier de dénonciation des dérives autoritaires que connaît notre pays ces dernières années. « La liberté d’expression assiégée » semble un titre fort pour exprimer la stupéfaction de la mission sur la gravité de la situation dont ils ont pu faire le constat directement. Pourtant si ce n’était que l’expression qui est assiégée dans ce pays cela aurait pu passer et nous aurions pu comprendre (...)