En réponse à :
8 juin 2005
« Pourquoi donc nos frères les animaux ne nous donnent-ils le spectacle d’aucune lutte civilisatrice semblable ? Il est fort probable que certains d’entre eux, les abeilles, les fourmis, les termites, ont lutté des milliers de siècles pour aboutir à ces institutions gouvernementales, à cette répartition des fonctions, à cette limitation de la liberté individuelle que nous admirons aujourd’hui chez eux. Mais notre sentiment intime qu’en aucune de ces républiques d’animaux, en aucun des rôles respectifs (...)